@angelosa
Votre métaphore sur la grenouille est tout à fait intéressante et va certainement occuper la réflexion de ma journée.
Je dirais à chaud que lorsque je parlais de "se laisser mourir", je parlais vraiment de mort définitive, de disparition inexorable, pas de survie.
Je crois fondamentalement en la capacité de l'homme à aller jusqu'au bout du bout de ses excès en tous genres (et c'est l'une de ses différences avec le reste du monde vivant ), mais également en son sursaut de survie au dernier moment, juste avant la "vraie" mort, au moment où, face à une mort certaine, la solidarité redevient la priorité.
Depuis la naissance de l'humanité et toutes les épreuves et horreurs traversées, il n'y a pas eu disparition du plus grand prédateur de la planète, c'est bien que nous avons des ressources !
Mais là encore, bien entendu, il y aura des dommages collatéraux !
Moi j'y crois !
Sur ce, Je vais méditer sur l'excellente métaphore de la grenouille Merci
Bonne journée