Démarches installation médecin en Suisse
@poevincent2
bonjour
il me semble que cela depend des cantons avec la nouvelle loi qui est passee recemment
bon courage
@poevincent2
Les spécialités médicales en tension/pénurie dans certains cantons de Suisse, et surtout en dehors des grands centres urbains, sont par ordre décroissant
• la médecine générale (qui est une spécialité à part entière !), y compris la gériatrie
• la pédiatrie
• la pédopsychiatrie
• la psychiatrie
• (dans une moindre mesure, l'ophtalmologie)
Les cantons romands en manque de médecins sont:
Fribourg, Jura, haut/Nord du Canton de Neuchâtel, Valais.
(Dans le canton de Genève, il y a plutôt trop de Médecins; dans le Canton de Vaud, ils sont mal répartis, au détriment de la campagne et des petites localités.)
Dans ces 4 cantons, le Médecin cantonal, qui est l'autorité règlementaire locale des professions de santé (il n'y a pas d'Ordre des Médecins en Suisse) , peut décider d'accorder à un généraliste/pédiatre/psychiatre/pédopsychiatre ayant fait des études à l'étranger, mais reconnues par la MEBEKO-diplôme de base, l’autorisation de facturer en nom propre à la charge de l'AOS-Assurance obligatoire des soins, même s'il n'a pas effectué le minimum normalement requis de 3 ans d'activité médicale clinique "dans un établissement suisse de formation post graduée" - pas forcément un hôpital !
Pour les autres cantons et les autres spécialités médicales, les 3 ans au minimum d'activité médicale clinique "dans un établissement de formation post graduée reconnu" restent exigés, tout comme ils sont exigés dans tous les cas pour les médecins diplômés en Suisse.
Ces établissements de formation post graduée engagent, et rémunèrent bien entendu, des médecins-assistants; selon les qualifications et l'expérience éventuellement reconnues par la MEBEKO-spécialités, certains médecins étrangers peuvent y postuler directement à un poste plus élevé, notamment chef-de-clinique (adjoint), médecin collaborateur en cabinet ...
Exemple de parcours: pour un généraliste, passer en cabinet médical agréé, dans une policlinique, en psychiatrie, en gérontologie, en néphrologie, en réadaptation, en pédiatrie, ... cela peut avoir du sens.
Pour vous éclairer davantage, voici les liens pertinents pour l'acquisition du titre de praticien OU de spécialiste en Médecine générale:
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgraduee.cfm
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgr … ticien.cfm
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgr … ations.cfm
Selon des informations déjà données sur ce fil de discussion, la reconnaissance du titre initial de médecin, coûte 800 CHF; et le cas échéant, celle de spécialiste encore 800 CHF - C'est la Suisse: tout fonctionne, tout est payant !
En consolation, sachez qu'en 1991, j'ai payé 750 CHF pour faire reconnaître mon diplôme d'infirmière.
Il est très important de bien documenter les années d'expérience: en Suisse, l'expérience et les certificats de travail comptent énormément.
Ci-dessous, les coordonnées de l'organisme qui organise la formation médicale post graduée et continue; et qui agrée les lieux de formation clinique post graduée (il en tient donc la liste):
ISFM-Institut suisse pour la formation médicale post graduée et continue
Elfenstrasse 18
case postale
CH- 3000 Berne 16
Tél. +41 31 503 06 00
info@siwf.ch
(Vous pouvez atteindre les sections «Etablissements de formation postgraduée» et «Formation continue» par téléphone du lundi au vendredi de 8h00 à 12h00 et de 13h00 à 17h00.
La section «Diplômes» est atteignable par téléphone du lundi au vendredi de 13h à 17h.)
En conclusion, les conditions d’installation en pratique indépendante (le terme pratique libérale n'est pas utilisé en Suisse) varient donc selon le canton concerné… Ne jamais oublier que la Suisse est une Confédération d’états indépendants, réunis par un pacte d’entraide et le principe de subsidiarité : Le principe de subsidiarité commande que la collectivité du niveau supérieur ne se saisisse d'une tâche que si la collectivité du niveau inférieur n'est pas en mesure de s'en acquitter de manière suffisante.
Pour vous faire une bonne idée de la médecine en Suisse, je vous conseille de vous abonner à la Revue Médicale Suisse (les anciens numéros sont en libre accès informatique) : https://www.revmed.ch/
Bonjour,
pas forcément. Ça dépend des cantons et des spécialités. En ce qui concerne la médecine générale, il y a un régime d’exception dans la plupart des cantons et en particulier à Neuchâtel.
Cordialemet
Dr J Margalith
Bonjour,
Voici ma question : lorsque l'on reçoit l'autorisation d'exercer, celle ci concerne t elle tout le canton ou bien une zone géographique plus ou moins étroite à laquelle on est confiné ? Par exemple, précédemment dans la discussion, il a été mentionné le cas du canton du Vaud où il y a apparemment des disparités dans l'offre de médecins généralistes. Quelqu'un a des nouvelles concernant la politique dans le canton du Vaud et si oui selon quelles sources ?
Merci pour vos réponses
Cordialement
Rémi
@Rémi Matta
Bonjour,
Pour exercer dans un Canton Suisse comme médecin ayant fait ses études études à l'étranger, il y a plusieurs conditions préalables
1) Comme nous l'avons évoqué précédemment, la reconnaissance du diplôme de base de Médecin, et de l'éventuel titre de spécialiste par la commission MEBEKO qui se situe au niveau Fédéral. Suite à cette reconnaissance, le médecin est inscrit par la MEBEKO dans le MEDREG-Registre national des professionnels de santé.
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/be … edreg.html
Ce registre est public: il précise notamment l'adresse d'exercice, les titres et les compétences linguistiques dont le professionnel peut se prévaloir. En cas d'interdiction d'exercice, le professionnel est rayé du MEDREG.
Pour les professionnels diplômés en Suisse, ils font eux-mêmes la demande au Médecin cantonal de leur Canton d'exercice de les inscrire au MEDREG.
C'est aussi les services des Médecins Cantonaux qui enregistrent dans le MEDREG les changements de situation.
2) Dans le canton d'exercice prévu, le médecin doit obtenir auprès du Médecin cantonal l'Autorisation de Pratique
https://www.vd.ch/themes/sante-soins-et … -pratiquer
Elle est obligatoire pour les professionnels de santé - à leur propre compte ou salariés - exerçant sur le territoire cantonal.
3) Dans le cas d'une pratique indépendante, le médecin doit enfin obtenir auprès du Médecin cantonal l’Admission à pratiquer à charge de l’AOS-Assurance obligatoire des Soins (droit de facturation), autrement appelée Attestation C: elle permet d’obtenir un numéro RCC- Registre des codes créanciers auprès de SASIS SA.
https://sbk-asi.ch/fr/soins-travail/soi … ant/sasis/
Pour obtenir une admission à pratiquer à charge de l’AOS, une autorisation de pratiquer est nécessaire; les deux documents peuvent être demandés conjointement.
L'attestation C permet aussi aux personnes salariées d'obtenir un numéro RCC auprès de SASIS, afin de pratiquer à charge de l’AOS au sein de l'institution ou cabinet employeur (disposant d’un numéro RCC entreprise, délivré par SASIS).
Dans chaque canton, le Médecin cantonal - qui est un haut fonctionnaire appliquant la politique du Conseiller d'Etat en charge de la Santé publique et des Affaires sociales (exécutif) - a la possibilité de réguler la pratique indépendante des médecins, et autres professionnels de santé, par l'acceptation ou le refus d'accorder les Attestations C.
@Rémi Matta
Pour en revenir plus précisément au Canton de Vaud ...
https://www.vd.ch/prestation/demander-u … pharmacien
Les conditions préalables pour obtenir une autorisation de pratiquer sous propre responsabilité sont les suivantes :
- Posséder un titre admis pour l’exercice de la fonction, inscrit dans le registre fédéral MEDREG
- Être digne de confiance et dans un état de santé permettant l’exercice de la profession (vérifié par le certificat médical et l’extrait du casier judiciaire)
- Avoir un niveau de langue française suffisant
Les conditions préalables pour obtenir une admission à pratiquer à charge de l’AOS ou une Attestation C sont les suivantes :
- Posséder une autorisation de pratiquer sous propre responsabilité
- Disposer des années de pratique professionnelle nécessaires :
Pour les médecins : 3 ans dans un établissement reconnu ISFM
Pour plus d'information, nous vous recommandons la FAQ de l’OFSP:
https://www.vd.ch/fileadmin/user_upload … ations.pdf
Une exception est tolérée pour les spécialisations de la médecine interne générale comme seul titre postgrade, de la pédiatrie, de la psychiatrie et psychothérapie pour enfants et adolescents (pédopsychiatrie) ainsi que pour les médecins praticiens comme seul titre postgrade.
Pour les médecins-dentistes : 3 ans, dont 18 mois en Suisse
Une autre exception est possible en cas de reprise d'un cabinet dont le titulaire facture déjà à l'AOS: il faut fournir une lettre de exploitant exposant les motifs de remise à un professionnel ne remplissant pas le critère de la pratique de minimum 3 ans d’expérience à 100% dans un/des établissements reconnus par l’ISFM.
- Remplir les exigences qualité définies à l’article 58g OAMal (pour l’admission à pratiquer à charge de l'AOS, excepté pour les pharmacien∙ne∙s et médecins pathologues)
https://www.gdk-cds.ch/fileadmin/docs/p … 1021_f.pdf
https://www.fmh.ch/files/pdf26/reponses … ualite.pdf
- Être couvert par une assurance de responsabilité civile (pour l’admission à pratiquer à charge de l'AOS excepté pour les pharmacien∙ne∙s et médecins pathologues)
- Pour les médecins (pour l’admission à pratiquer à charge de l'AOS) : être affilié au DEP-dossier électronique du patient
Bonjour,
Voici ma question : lorsque l'on reçoit l'autorisation d'exercer, celle ci concerne t elle tout le canton ou bien une zone géographique plus ou moins étroite à laquelle on est confiné ? Par exemple, précédemment dans la discussion, il a été mentionné le cas du canton du Vaud où il y a apparemment des disparités dans l'offre de médecins généralistes. Quelqu'un a des nouvelles concernant la politique dans le canton du Vaud et si oui selon quelles sources ?
Merci pour vos réponses
Cordialement
Rémi
-@Rémi Matta
Non ça concerne tout le canton il me semble.
Je n'ai pas connaissance qu'il y ai des restrictions géographiques. Lausanne il y a trop de généralistes mais si on s'éloigne de la capitale du canton, vous aurez plein d'opportunités.
Bonjour nous cherchons à remettre notre cabinet médical médecin généraliste pour début 2025, région Jura bernois français.
Avis aux intéressés
Merci et bonne journée
Bonjour marco1962,
Bienvenue sur Expat.com
Je vous suggère de publier votre annonce dans la rubrique dédiée aux Petites annonces en Suisse.
En le faisant, vous augmenterez vos chances de trouver des personnes intéressées, car votre annonce sera visible dans notre newsletter hebdomadaire.
Bonne chance,
Cheryl
Équipe Expat.com
@embedded Bonjour, je me permet un petit rectificatif :
En France la médecine générale est une spécialité. En tant qu'étudiant on a un tronc commun (externat) de 6 ans puis on choisit sa spécialité (internat).
L'internat de médecine générale dure 3 ans, et bientôt 4 ans.
@embedded
il semble bien que le canton de neuchatel a retiré cette obligation des 3 ans Avant l’installation en independant
Bonjour,
Cette obligation de 3 ans de pratique en hôpital universitaire est elle valable également lorsque que l'on souhaite reprendre un cabinet ?
Belle journée
Poë
-@poevincent2
Parlez-vous d'un cabinet de "spécialiste", d'une spécialité autre que Médecine interne Générale, Psychiatrie, Pédo-psychiatrie, Pédiatrie ?
Si c'est le cas, l'obligation de 3 ans de pratique dans un "Hôpital/Institut/Cabinet" reconnu pour la formation postgraduée par l'ISFM-Institut suisse pour la formation médicale postgraduée et continue perdure... pour pouvoir facturer en nom propre à l'AOS-Assurance obligatoire des soins.
https://www.siwf-register.ch/default.aspx
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgraduee.cfm
Mais, je ne sais pas comment il faut l'écrire pour être comprise, ces "Hôpitaux/Instituts/Cabinets" reconnus pour la formation postgraduée par l'ISFM NE SONT PAS QUE DES HÔPITAUX UNIVERSITAIRES !
Les 2 questions suivantes m'ont été posées par message privé (MP), et comme elles n'impliquent aucune donnée personnelle sensible, j'y répond sur le Forum public pour que tout le monde en profite - ne sommes-nous pas un forum d'entraide !
Je suis anesthésiste réanimateur (...)
1) Je souhaiterais savoir quel statut je pourrais obtenir pendant les 3 années d'exercice public à l'hôpital ?
Est-ce en tant que chef de clinique ? Médecin hospitalier ?
2) Quelle est la rémunération qui est proposée ?
Comme je l'ai écrit, en rouge, dans le message précédent, les "Hôpitaux/Instituts/Cabinets" reconnus pour la formation postgraduée par l'ISFM NE SONT PAS QUE DES HÔPITAUX UNIVERSITAIRES ! Parmi ceux qui emploient des anesthésistes-réanimateurs, il y a aussi des cliniques/maternités privées. Voyez le registre:
https://www.siwf-register.ch/default.aspx
Dans les structures publiques, la rémunération correspond à l'échelle des salaires de la fonctions publique cantonale. Un spécialiste pleinement formé pourraît en théorie y être engagé comme Chef de Clinique, mais ce dernier étant d'emblée responsable non seulement pour sa pratique, mais aussi pour celle de ses subordonnés, il sera plutôt engagé comme Chef de Clinique adjoint, le temps de se familiariser avec les règles et procédures suisses, puis passera Chef de Clinique au bout d'un an ou deux... Evidemment, je parle ici pour un médecin de moins de 40 ans, pas pour un expert qui aurait 20 ans d'expérience, lequel pourrait d'emblée postuler comme Médecin associé.
Dans les structures privées, les salaires sont soit équivalents à ceux du secteur public, soit négociés en fonction de l'offre et de la demande. Si votre profil est recherché, vous serez mieux payé.
Pour estimer votre salaire potentiel, je vous conseille de vous référer au site
https://www.travailler-en-suisse.ch/emp … e_salaires
qui donne de précieuses informations et plusieurs pistes pour évaluer le salaire correct pour votre profil professionnel , qui variera selon la région, la qualification, l'expérience, voire les certificats de travail. Parmi les calculateurs cités, celui de La Confédération (Salarium) et celui de l'Union syndicale suisse (USS) me semblent particulièrement pertinents.
Les meilleurs salaires sont à Zürich, puis à Genève, mais ils correspondent dans ces cantons aux coûts de la vie les plus élevés. Faites-vous toujours bien préciser si le salaire mensuel annoncé est payé sur 12 ou 13 mois... En cas de salaire annuel, si le 13e salaire éventuel est inclus dans le montant annoncé. Notez qu'il n'y a pas de 13e salaires dans la fonction publique genevoise.
@Fabinou8642
Bonjour
Je cherche un successeur pour ma patientelle à compter de janvier 2025 à Moutier (jura bernois français).
Je prends ma retraite et vous accompagnerai pour la transition.
N'hésitez pas à me contacter
@moudaryounes11
bonjour
mon mari est medecin generaliste francais . on cherche a venir s’installer en Suisse mais nous aurions aimer avoir plus d’informations, etes vous un cabinet medical reconnu pour la valider les 3ans demandes par les autorites ?
Quel est le montant du salaire ?
merci par avance .
adeline
@PIRLET Anne Françoise Bonjour , j'aimerai savoir les procédures à suivre pour un médecin généraliste originaire de Madagascar, inférieur à 40 ans , expérience de deux ans et plus .
J'aimerai l'installer en suisse pour poursuivre mon carrière médical, même si c'est un poste de médecin associé ou stagiaire, je suis motivé aussi à faire des épreuves de vérification de connaissances.
Quelqu'un pourra me conseiller ?
Merci d'avance.
Que Dieu nous bénisse
@adelinelachaume
Bonjour, mon mari est installé en libéral à son compte dans le Jura bernois en Suisse. Il n'est pas salarié mais indépendant.
Il me semble qu'il ne faut plus les 3 ans de validation pour s'installer dans notre secteur. Il suffit de vous renseigner auprès du médecin cantonal pour avoir la reconnaissance des diplômes.
Si vous le souhaitez je peux vous téléphoner ce week-end pour en discuter et répondre à vos questions.
Cordialement
MW
@kekelyrochell
Je vous ai déjà répondu le 29 septembre 2023 à cette même question sur le fil de discussion que vous avez créé
https://www.expat.com/forum/viewtopic.php?id=1045427
La réponse n'a pas changé:
La Suisse, au travers de sa commission MEBEKO, ne reconnaît pas les Diplômes de Médecins délivrés hors UE.
Mais elle peut les reconnaître si ces diplômes ont été préalablement reconnus par un autre pays de l'UE/AELE: c'est ce que l'on appelle la Reconnaissance indirecte
"Si un Etat contractant reconnaît un diplôme délivré par un Etat tiers (diplôme obtenu hors de l'UE/AELE), on parle de la reconnaissance indirecte («reconnaissance de la reconnaissance»)."
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/be … -efta.html
Donc si vous ambitionnez de travailler comme médecin en Suisse, vous devez au préalable faire reconnaître et travailler (inscription à l'ordre national !) dans un autre pays de l'UE/AELE.
Il existe peut-être des accords bilatéraux favorisant ce type de reconnaissance, par exemple, que sais-je, entre la France et Madagascar... En tous cas, ce n'est qu'après une pleine reconnaissance et inscription professionnelle dans un pays de l'UE/AELE, que vous pourriez engager une procédure de reconnaissance "indirecte" en Suisse de votre Diplôme de Médecin malgache.
Si utile:
https://www.bretagne.paps.sante.fr/equi … -en-france
@marco1962
c’est adorable merci mais nous habitons actuellement en polynesie francaise donc il me semble qu’il y a 12h ou 13h de decalage horaire mais je suis interessee par le temoignage de votre mari.le parcours, le rythme du cabinet, la remuneration ainsi que les différentes charges .
votre mari peut facturer normalement ou il est soumis a la règlementation et doit facturer 7%de moins ?
@marco1962Votre mari peut facturer normalement ou il est soumis a la règlementation et doit facturer 7%de moins ? -@adelinelachaume
Les médecins généralistes qui facturent à 93% du tarif sont ceux qui ont été reconnus par la MEBEKO comme "Médecins praticiens" (3 à 4 ans de spécialisation post grade) et non comme "Médecins spécialistes en Médecine interne générale" (5 à 6 ans de spécialisation post grade).
@adelinelachaume
... Il me semble qu'il ne faut plus les 3 ans de validation pour s'installer dans notre secteur. Il suffit de vous renseigner auprès du médecin cantonal pour avoir la reconnaissance des diplômes... -@marco1962
Les cantons romands en manque de médecins sont:
Fribourg, Jura, haut/Nord du Canton de Neuchâtel, Valais.
Le Canton de Berne - en partie bilingue, dans le Jura bernois, là où exerce le mari de marco1962- est aussi en pénurie
(Dans le canton de Genève, il y a plutôt trop de Médecins; dans le Canton de Vaud, ils sont mal répartis, au détriment de la campagne et des petites localités.)
Dans les cantons en pénurie effective de généralistes/pédiatres/pédopsychiatres/psychiatres, le Médecin cantonal, qui est l'autorité réglementaire locale des professions de santé (il n'y a pas d'Ordre des Médecins en Suisse) , peut décider d'accorder à un médecin au profil recherché, ayant fait des études à l'étranger, mais reconnues par la MEBEKO-diplôme de base, l'autorisation de facturer en nom propre à la charge de l'AOS-Assurance obligatoire des soins, même s'il n'a pas effectué le minimum normalement requis de 3 ans d'activité médicale clinique "dans un établissement suisse de formation post graduée" - pas forcément un hôpital !
Pour les cantons sans pénurie, et pour toutes les autres spécialités médicales, les 3 ans au minimum d'activité médicale clinique "dans un établissement de formation post graduée reconnu" restent exigés, tout comme ils sont exigés dans tous les cas pour les médecins diplômés en Suisse.
Ces établissements de formation post graduée engagent, et rémunèrent bien entendu, des médecins-assistants; selon les qualifications et l'expérience éventuellement reconnues par la MEBEKO-spécialités, certains médecins étrangers peuvent y postuler directement à un poste plus élevé, notamment chef-de-clinique (adjoint), médecin collaborateur en cabinet ...
@PIRLET Anne Françoise
Merci pour ces informations precieuses .
nous allons donc etudier tous les possibilités avant d’entamer quoique ce soit .
merci encore
@embedded
Bonsoir, petit rectificatif sur le cursus français : tout futur médecin fait un cursus commun de 6 ans à l’issu desquels l’xamen national classant permet d’attribuer les places dans les différentes spécialités, dont fait parti la médecine générale, et ce depuis 20 ans déjà : médecine générale 3 ans de formation complémentaire jusque 2023, remontée depuis 11/2023 à 4 ans d’internat. Les médecins généralistes français pratiquent un spécialité à part entière avec ses spécificités et son internat propre.
@Lwismouth
Bonjour,
venant de faire les démarches pour ma reconnaissance de diplomes auprès dela MEBEKO, j’ai personnellement fait la demande au conseil national de l’Ordre des Médecins fin 2023, cela fonctionne aussi.
@Morgane135
Donc, pour conclure, lors de la constitution du dossier pour faire reconnaître un diplôme de médecin français par la commission MEBEKO, il est notamment demandé de fournir une copie certifiée conforme de l'attestation de conformité à la directive européenne 2005/36/CE du diplôme de Médecin: celle-ci peut être indifféremment demandée
- à la faculté de Médecine qui a délivré le diplôme, surtout si ce diplôme est récent,
- ou bien au Service Tableau du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
@Cheryl
Bonjour, aucune rubrique ne correspond à une recherche de successeur pour cabinet médical.
Que me conseillez-vous ?
Cordialement
Bonsoir,
je me suis enrichie des questions et réponses émises dans le fil de discussion ci-dessus et vous en remercie.
La discussion en étant le sujet, nous souhaitons aussi avec mon conjoint venir s’installer en Suisse ; je suis médecin généraliste et mon conjoint est physiothérapeute.
Nous venons d’avoir touts deux nos équivalences.
Nous avons également pris quelques contacts pour le travail.
Cependant, concernant la médecine, Il y a deux questions importantes auxquelles je n’ai pas réussi à avoir de réponses :
- j’ai à ce jour, en plus de mon diplôme de médecin généraliste, un DU d’ostéopathie. Je sais que les DU français ne sont pas reconnus en Suisse. Un directeur d’un hopital consulté pour une possible proposition d’emploi m’a dit »vous êtes médecin, vous faites ce quevous voulez en consultation ». Cependant, ai-je le droit de réaliser de la thérapie manuelle sur mes patients ? Et suis-je couverte au niveau assurance RCP ? J’ai trouvé dans le TARMED une cotation « médecine manuelle par le spécialiste » mais il n’est pas explicité ce qu’est le « spécialiste » en, question : puis-je utiliser cette cotation dans mon cas pour valoriser mes actes de thérapie manuelle ? et comment est-on couvert au niveau assurance responsabilité professionnelle en Suisse ?
- ma deuxième question est sur la formation continue en Suisse : comment se passe-t-elle ? A quelle genre de formation a-t-on accès en tant que médecin généraliste. Mon impression première est que la médecine est très cloisonnée en Suisse : est-ce réel ou juste une impression ?
Je vous remercie pour vos éclaircissement, bonne soirée
Nous venons d’avoir touts deux nos équivalences.Nous avons également pris quelques contacts pour le travail.Cependant, concernant la médecine, Il y a deux questions importantes auxquelles je n’ai pas réussi à avoir de réponses :j’ai à ce jour, en plus de mon diplôme de médecin généraliste, un DU d’ostéopathie. Je sais que les DU français ne sont pas reconnus en Suisse. Un directeur d’un hopital consulté pour une possible proposition d’emploi m’a dit »vous êtes médecin, vous faites ce que vous voulez en consultation ». Cependant, ai-je le droit de réaliser de la thérapie manuelle sur mes patients ? Et suis-je couverte au niveau assurance RCP ? J’ai trouvé dans le TARMED une cotation « médecine manuelle par le spécialiste » mais il n’est pas explicité ce qu’est le « spécialiste » en, question : puis-je utiliser cette cotation dans mon cas pour valoriser mes actes de thérapie manuelle ? et comment est-on couvert au niveau assurance responsabilité professionnelle en Suisse ?... -@Morgane135
Bonjour, et félicitation pour vos équivalences.
Avant de tenter de vous éclairer, certaines précisions nous manquent.
- Quelle équivalence avez-vous personnellement obtenue: celle de Médecin praticien ou bien celle de Médecin spécialiste en Médecine interne générale ?
- Quel mode d'activité professionnelle envisagez-vous: serez-vous salariée ou bien indépendante (le terme pratique libérale n'est pas utilisé) ? En effet, comme salariée vous serez essentiellement couverte pour votre pratique par l'assurance responsabilité civile de votre employeur; tandis que comme indépendante, vous devrez vous-même souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle. Dans l'un et l'autre cas, l'assureur au travers des clauses souscrites dans le contrat, peut avoir son avis sur le type de soins que vous pourrez pratiquer. De surcroît, les caisses maladies qui seraient amenées à rembourser vos actes pourraient aussi avoir un avis sur la question, je vous invite donc à poser votre question PAR ECRIT (les écrits restent !) concernant votre éventuelle pratique de la thérapie manuelle à l'association faîtière la plus représentative des caisses maladie suisses:
santésuisse
Römerstrasse 20
CH- 4502 Soleure/Solothurn
+41 32 625 41 41
mail@santesuisse.ch
https://www.santesuisse.ch/fr/santesuisse/entreprise
https://www.santesuisse.ch/fr/tarifs-pr … bulatoires
https://www.santesuisse.ch/fr/santesuis … se/contact
- Enfin, dans quel canton envisagez-vous d'exercer ? En Suisse, la législation sur la Santé (les législations pourrait-on dire) est cantonale: dans chaque état-canton, c'est le Médecin cantonal qui est l'autorité chargée de faire respecter la législation sanitaire cantonale, et par conséquent d'accorder ou non le droit de pratique aux professions (para)médicales, ce qui implique de pouvoir se prononcer sur ce qui rentre ou non dans cette pratique... Exemple pour le Canton de Vaud:
https://www.vd.ch/toutes-les-autorites/ … n-cantonal
ma deuxième question est sur la formation continue en Suisse : comment se passe-t-elle ? A quelle genre de formation a-t-on accès en tant que médecin généraliste. Mon impression première est que la médecine est très cloisonnée en Suisse : est-ce réel ou juste une impression ?-@Morgane135
Enfin, avant que moi ou d'autres puissions répondre à votre deuxième question, qui mérite un certain développement, il serait nécessaire de nous expliquer ce que vous entendez par "médecine très cloisonnée en Suisse".
@PIRLET Anne Françoise
Bonjour Me PIRLET et merci pour cette réponse détaillée.
J’ai en effet l’équivalence de médecin praticien ; je sais que cela fait déjà une différence sur les tarifs TARMED que je peux appliquer ou non par rapport à un médecin interniste général.
J’avais envisagé une activité salariée initialement, afin d’être accompagnée dans ce nouveau système de santé ; cependant, les retours d’un collègue parti avant moi me rappelle trop bien le fonctionnement hospitalier auquel je n’aspire pas.
J’envisage donc de rester indépendante.
Si je ne souhaite pas faire 3 ans d’hospitalier, ne parlant plus très bien allemand, alors les cantons dans lesquels je peux m’installer seraient Jura, Neuchatel, Fribourg, le Valais si je ne m’abuse. Le valais serait celui qui m’attirerait le plus, éventuellement Neuchatel. Bien entendu, cela dépendra surtout des possibilités d’installation.
Je n’ai pas eu le temps encore d’envoyer un mail à SantéSuisse pour avoir des réponses directes avec eux, je vais m’y atteler.
Pour ce qui est de mon impression de profession cloisonnée, c’est sur nos possibilité d’être polyvalent et/ou de se former pour évoluer vers un profession médicale accessible à partir de médecine générale.
Je viens de terminer 3 ans de thérapie manuelle et ostéopathie : en France, je peux choisir d’utiliser l’ostéopathie comme une corde de plus à mon arc, ou de m’installer en tant que médecin ostéopathe exclusif.
Je suis en train de débuter une formation d’échographie et envisage le DU de médecine du sport.
Un confrère a démarré dans le Canton de Vaud en tant que salarié en février 2024 ; il a pour compétence un DU de mésothérapie et d’homéopathie ; il ne peut pas les exercer, n’est pas couvert et pas reconnu ; il ne voit plus de pédiatrie, ne fait pas de suivi gynécologique ; son ressenti est qu’on lui laisse les dossiers complexes, la gériatries et les dossiers d’assurance ; il ne s’attendait pas à cela.
Ma question est donc : peut-on, en Suisse, garder la polyvalence de la médecine générale (suivi du nourrisson et des enfants, le suivi gynécologique des femmes, les sutures, etc.), et puis-je envisager d’utiliser et valoriser les compétences que j’ai déjà acquises, ainsi que poursuivre celles pour lesquelles je souhaite me former, en espérant avoir le droit de l’exercer, et de me former de la sorte en Suisse ?
J’espère avoir éclairé mes propos et vous remercie d’ores et deja pour vos réponses.
Bon week end de Pâques à tous.
Un confrère a démarré dans le Canton de Vaud en tant que salarié en février 2024 ; il a pour compétence un DU de mésothérapie et d’homéopathie ; il ne peut pas les exercer, n’est pas couvert et pas reconnu ; il ne voit plus de pédiatrie, ne fait pas de suivi gynécologique ; son ressenti est qu’on lui laisse les dossiers complexes, la gériatries et les dossiers d’assurance ; il ne s’attendait pas à cela.
-@Morgane135
Concernant les suivis gynécologiques, en Suisse, il n'est plus guère dans les habitudes de les faire chez le Généraliste, alors qu'il y a des Gynécologues - et des Sages-Femmes - disponibles et équipés pour le faire.
Concernant la Pédiatrie, les Pédiatres sont en grande pénurie, et il est courant que les Généralistes soignent les enfants. Evidemment, cela ne rentre pas forcément dans la mission que s'est donnée l'employeur de votre confrère.
Voici les coordonnées de la Société suisse de Mésothérapie:
https://www.mesotherapy.ch/contact.php
https://www.mesotherapy.ch/mesotherapy.php
Dans la liste des praticiens reconnus par cette société savante, j'ai reconnu des généralistes que je connais personnellement... Je pense que votre confrère doit se tourner vers cette instance pour toute information utile.
Ou vers les instances cantonales et fédérales:
https://www.vd.ch/themes/sante-soins-et … sotherapie
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/ve … dizin.html
Concernant l'homéopathie en Suisse, voici l'actualité:
https://www.rts.ch/emissions/abe/2024/v … 51356.html
https://homoeopathie-schweiz.org/fr/por … armaciens.
https://www.chuv.ch/fr/chuv-home/format … athie-ssmh
ATTENTION ! Pré-requis pour pratiquer l'homéopathie et les autres médecines complémentaires remboursables (acupuncture, médecine anthroposophique, pharmacothérapie de la médecine traditionnelle chinoise, phytothérapie) par l'AOS-Assurance obligatoire des soins: être Médecin avec untitre de spécialiste ou titre de spécialiste étranger reconnu.
Pour ce qui est de mon impression de profession cloisonnée, c’est sur nos possibilité d’être polyvalent et/ou de se former pour évoluer vers un profession médicale accessible à partir de médecine générale.
Je viens de terminer 3 ans de thérapie manuelle et ostéopathie : en France, je peux choisir d’utiliser l’ostéopathie comme une corde de plus à mon arc, ou de m’installer en tant que médecin ostéopathe exclusif.
Je suis en train de débuter une formation d’échographie et envisage le DU de médecine du sport.
(...) et puis-je envisager d’utiliser et valoriser les compétences que j’ai déjà acquises, ainsi que poursuivre celles pour lesquelles je souhaite me former, en espérant avoir le droit de l’exercer, et de me former de la sorte en Suisse ? -@Morgane135
J'avoue avoir du mal à percevoir la cohérence de votre projet d'expatriation en Suisse avec vos aspirations: vous multipliez en France des formations complémentaires qui ne seront pas reconnues en Suisse et qui ne pourraient, au mieux, y être exercées que si vous acquériez un titre de Médecin Spécialiste ( en 3 ans, ce serait possible ! )
- soit en Médecine interne générale
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgr … nerale.cfm
- soit en Rhumatologie
https://www.siwf.ch/fr/formation-postgr … ologie.cfm
... Quant à exercer comme Ostéopathe, ce ne sera pas possible en Suisse:
https://amge.ch/2013/01/14/le-titre-dos … en-suisse/
Ambroise évêque de Milan, et Docteur de l’Église du IVe siècle de notre ère, aurait écrit à Saint Augustin d'Hippone qu'il avait converti :
Si fueris Romae, Romano vivito more ; si fueris alibi, vivito sicut ibi
dont la traduction est : "Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit".
Bonsoir Me PIRLET et merci encore pour votre réponse.
je suis d’accord avec votre dernière citation, et c’est pourquoi j’essai de savoir si mon projet professionnel colle avec ce projet d’expatriation avant toute décision, et pour cela je m’informe et pose les questions nécessaires, car il est difficile de savoir comment fonctionne un système de santé quand on n’y a pas travaillé.
Je pense que mon projet professionnel prime sur mon projet projet d’expatriation à ce jour.
Je vais poser les questions aux différentes instances dont vous m’avez donné les liens et prendrai ma décision en connaissance de cause.
Encore merci.
Bonjour, je suis actuellement étudiant en 5ème année de médecine en France et je devrais avoir terminé mes études dans 5-6 ans. Pensez vous qu'à la fin des mes études, si je suis généraliste, il me sera toujours possible de m'installer dans les cantons actuellement en manque de médecins (Fribourg, Jura, haut/Nord du Canton de Neuchâtel, Valais) ? Ou alors me conseillez vous par prévention de postuler pour un assistanat de médecin interne-généraliste ? Pour la deuxième option j'ai entendu dire qu'il était difficile pour les médecins étrangers d'obtenir un poste d'assistanat dans les établissements de catégorie A et B car la priorité est donnée aux étudiants ayant des lettres de recommandations d'un chef de service suisse (ce qui n'est pas mon cas). Auriez-vous des conseils à me donner ?
Merci beaucoup,
Bonne journée
@simgicien
Les dérogations en cours pour l'exigence de 3 ans de pratique en établissement reconnu comme lieu de formation par l'ISFM sont prévues jusque fin 2027. Leur prorogation dépendra de la démographie médicale en Suisse à ce moment: je ne suis pas en mesure de la prévoir.
A titre personnel, je trouve raisonnable de s'initier à l'étranger au système de santé et aux mentalités de la patientèle et des confrères avant de se lancer seul comme médecin indépendant. C'est aussi important pour vous de savoir si vous vous plairez au quotidien en Suisse: l'acculturation n'est pas automatique, même en Suisse romande, et les cultures sont probablement beaucoup plus différentes que vous ne pouvez l'imaginer.
Je vous encourage donc, si votre projet d'expatriation en Suisse est bien étayé, d'y faire votre spécialisation. Une fois diplômé, vous pourrez retourner en France si vous le souhaitez ou vous installer en Suisse comme initialement prévu.
Pour la deuxième option j'ai entendu dire qu'il était difficile pour les médecins étrangers d'obtenir un poste d'assistanat dans les établissements de catégorie A et B car la priorité est donnée aux étudiants ayant des lettres de recommandations d'un chef de service suisse (ce qui n'est pas mon cas). Auriez-vous des conseils à me donner ? -@simgicien
Parmi les conseils possibles:
1) Accroître vos compétences linguistiques en acquérant un certificat d'allemand de niveau B2 voire C1 reconnu par l'administration Suisse
https://acrobat.adobe.com/id/urn:aaid:s … 8316ec7509
Cela vous permettra de postuler aussi pour des postes de médecin assistant dans des régions bilingues (ex. Fribourg, Bern/Berne, Bienne/Biel).
2) Venir faire un job d'été ou un stage en milieu de soins au sens large: non seulement en milieu hospitalier, mais aussi EMS-Etablissement médico-social (= EPHAD), CMS-Centre médico-social (=Soins à domicile), CTR-Centre de Traitement et Réadaptation ... Et en repartir avec un certificat explicite et élogieux.
3) Pour votre premier poste de Médecin assistant, vous avez vraiment le choix d'une large palette de spécialités qui apportent des compétences valorisables ultérieurement dans une pratique médicale en Médecine interne générale ou autre; même un stage en physiologie humaine, en anatomo-pathologie; une collaboration dans une étude de cohorte peut avoir du sens...
4) Pour d'autres informations
@PIRLET Anne Françoise
Bonsoir madame,
Un grand merci pour votre gentille réponse et pour toutes les pistes apportées !
Bonne soirée à vous
la priorité est donnée aux étudiants ayant des lettres de recommandations d'un chef de service suisse (ce qui n'est pas mon cas). Auriez-vous des conseils à me donner ? -@simgicien
Vous avez une image incomplète des corps professoraux des Facultés de Médecine en Suisse: beaucoup relèvent de nationalités et de parcours académiques divers et variés - je vous ai mis un exemple bien parlant en message privé.
Un conseil que je peux encore donner:
Acquérir un certificat de compétence - à rafraîchir tous le 2 ans - en Basic Life Support (BLS-AED); c'est une formation d'une journée.
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