Sûreté aéroportuaire Madagascar nouveau développement

Petite révolution sur l'île rouge.

Au moment de la haute saison.

Les réglements de compte s'affichent;

Une parti des informations sont tronquées, déformées.

A vous de voir.

Sûreté aéroportuaire MG

Sûreté aéroportuaire MG suite

En finalité c'est une autre entreprise Française qui a récupéré le dossier. Dans l'immédiat elle n'a pas été cité, j'en ferai de même.

Je dirais plutôt, les règlements de compte continuent !!!!!

Inquiétant, très inquiétant !!!!!

Il est toujours bon d'entendre les deux parties, voilà un droit de réponse qui synthétise l'ensemble de l'action depuis 2013

Sûreté aéroportuaire droit de réponse

basque bondissant a écrit:

Il est toujours bon d'entendre les deux parties, voilà un droit de réponse qui synthétise l'ensemble de l'action depuis 2013

Sûreté aéroportuaire droit de réponse


Quand la politique s'ingère dans l'économie …..

bon dès le départ de ce dossier est tronquer sous forme de "corruption" et copinage, il n'y à pas lieu de débattre, voici un article, qui confirme ce que je pensait, à tout bien tout honneur, le gouvernement actuelle veut sa part, on ne va pas changer une équipe qui gagne, bonne lecture
Plus de 38 milliards d'ariary. Tel est le montant des impôts et taxes que la société SAMADA s'est abstenu de verser dans les caisses de l'Etat. Un tel arriéré n'a pu être cumulé que sur plusieurs années. Autrement dit, les dirigeants de cette société se sont superbement foutus des autorités malagasy en général et celles fiscales en particulier. Et ce depuis 2014, date à laquelle elle a commencé ses activités sur le territoire national. Et c'est ce qui sans doute serait à la source d'interdiction de sortie du territoire (IST) prise par les autorités actuelles à l'encontre de certaines têtes de la SAMADA. Une telle effronterie ne peut s'expliquer que par une collusion avec des barons de l'ancien régime. Avec le recul, on serait tenté d'accorder du crédit à la rumeur qui court selon laquelle l'ancienne Première Dame serait un associé au sein de cette société et c'est la raison pour laquelle certains dirigeants de celle-ci ont bénéficié d'une totale immunité malgré leurs frasques et les propos de lèse-majesté qu'ils proféraient régulièrement en public. Dans tous les cas, cette évasion fiscale de grande envergure a certainement un lien avec la mise sous scellé des matériels de la SAMADA intervenue mercredi dernier et, consécutivement, son éviction de la mission de sécurisation des principaux aéroports de Madagascar et du transfert de cette activité, depuis hier, à la CSPI-M en vue d'en assurer la continuité.

Lebrin bonjour,

Pouvez-vous cité l'auteur de l'article, la source (journal)

CSPI à débuté son activité en 2013 sous la période de transition de Monsieur Rajoelina

merci.

BRJ
Cette a été article à été publier dans le journal "la vérité" du 05/07

SAMADA - Poursuivie pour évasion fiscale de 190 milliards de francs

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La saga judiciaire entre la société CSPI-M (Compagnie de sécurité privée et Industrielle-Madagascar) et la SAMADA (Sûreté Aéroportuaire de Madagascar) vient de connaître enfin son épilogue. Depuis hier, en effet, la mission de Sécurité et de sûreté des huit principaux aéroports de Madagascar a été de nouveau confiée à la CSPI-M, à laquelle la SAMADA s'est indûment substituée depuis octobre 2014. Cette issue intervient après une longue bataille judiciaire  qui a vu les défaites successives de la SAMADA depuis la première instance jusqu'à la Cour de cassation en passant par la Cour d'Appel. Rappelons que l'affaire a trait à un contrat BOT de sécurisation des principaux aéroports de Madagascar dont l'exécution a été  confiée à une société  spécialement créée à cet effet, la CSPI-M. Compte tenu de l'importance des investissements, appel a été fait à un partenaire mauricien, le Durban International traders Ltd, lequel avait injecté la somme de 1.000.000 d'euros.  La suite va être ahurissante.  En effet, sous un prétexte purement fallacieux, les partenaires de  Durban International traders  Ltd ont créé la société SAMADA qui, en un tournemain, va se substituer à la CSPI-M dans l'exécution du contrat BOT. Du jour au lendemain, le siège social de CSPI-M est devenu celui de SAMADA, il en est de même pour les membres du personnel du CSPI-M dont on a seulement changé les écussons, ainsi que les mobiliers,  documents administratifs, matériels et équipements appartenant à la CSPI-M.

En clair, Durban  International traders Ltd non seulement a été spolié de son enveloppe de un million d'euros mais a aussi perdu la société CSPI-M et toutes ses immobilisations. Tout ceci a été découvert lors de l'exécution d'une Ordonnance du tribunal ordonnant l'audit financier de la CSPI-M, au cours de laquelle l'huissier et le cabinet d'expertise ont été tout simplement interdits d'accès des locaux abritant le siège de la CSPI-M, devenu celui de la SAMADA. L'affaire a été portée devant le tribunal de commerce, lequel, dans le jugement N°253-C rendu le 25 septembre 2015, a tranché en faveur de CSPI-M. Le juge a ordonné l'exécution provisoire en ce qui concerne la fermeture de SAMADA, la restitution à la CSPI-M des immobilisations corporelles qu'incorporelles, les matériels et le personnel illicitement transférés (à SAMADA, ndlr) ainsi que la reprise immédiate de l'Exécution du contrat de sécurisation des principaux aéroports de Madagascar par la CSPI-M, « nonobstant toutes voies de recours ». Ne s'avouant pas vaincu, SAMADA a fait appel mais la demande de sursis à exécution qu'elle a formulée dans ce cadre a été rejetée et les deux parties ont été renvoyées à l'exécution des dispositifs assortis d'exécution provisoire du jugement commercial n°253-C du 25 septembre 2015. Depuis cet arrêt de la Cour d'Appel, la SAMADA joue sur les procédures pour faire des dilatoires et ce, en (ab)usant de toutes les ficelles juridiques possibles et imaginables pour empêcher l'exécution du jugement N°253-C ci-dessus. La dernière en date fut le Pourvoi dans l'intérêt de la loi (PIL) qu'elle a pu obtenir du ministère de la Justice du régime Rajaonarimampianina. Un acte qui a pour effet de paralyser une décision de justice définitive donc exécutoire. Aux dernières nouvelles, le PIL a été levé et c'est tout naturellement que l'exécution du contrat BOT a été de nouveau confiée à la CSPI-M, après la mise sous scellé de la SAMADA suite à la constatation d'une gigantesque évasion fiscale à laquelle elle s'est livrée.
La Rédaction

Dirigeants de SAMADA - De mauvaise foi jusqu'au bout
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Vendredi dernier, après qu'ils furent notifiés par le directeur général par intérim de l'ACM de la décision du ministère de tutelle transférant à la société CSPI-M (Compagnie de sécurité privée et Industrielle-Madagascar) la mission de sécurité et de sûreté des principaux aéroports de Madagascar, activité auparavant  exercée par la SAMADA (Sureté Aéroportuaire de Madagascar), les représentants de cette dernière ont quitté la réunion sous le prétexte de se concerter brièvement pour ne plus y revenir. Il faut savoir pourtant que, vu la nécessité  d'assurer impérativement la continuité de l'activité, une passation en bonne et due forme entre les prestataires sortant et entrant était requise.



Un comportement qui n'a pas sa place dans des discussions de haut niveau et sur un sujet aussi névralgique que  la sécurité et la sûreté aéroportuaires mais qui est bien à l'image de la manière avec laquelle les dirigeants de SAMADA ont évincé Durban International traders Ltd, leur partenaire au sein de la CSPI-M sur un prétexte purement fallacieux. Rappelons que, pour écarter Durban International traders Ltd, le nommé Raphaël Albaladejo, la tête pensante de SAMADA SA, avait accusé son partenaire financier de s'être livré a « de faux et d'abus de confiance » à son encontre. Pour étayer ses dires, l'homme de soutenir que la société Durban International traders Ltd, associée dans CSPI-M, n'existe plus pour avoir été radiée des registres du tribunal de commerce de Maurice depuis 2010.

La réalité est cependant tout autre : Durban International traders Ltd n'est nullement dissoute mais avait, dans un premier temps en 2010, déplacé son siège social aux Seychelles, (Fac similé 1) et dans un deuxième temps en 2014, changé sa dénomination sociale en  « Camellia International Ltd »  (fac similé 2) comme l'attestent les deux certificats délivrés par l' « International Business Compagnies Act, 1994 ». Le numéro des deux sociétés dans les registres de cet organisme est le même, à savoir 73188. Ce qui ne peut vouloir dire que  Camellia International Ltd est bel et bien l'ancienne Durban International traders Ltd. La grossière ruse de Raphaël Albaladejo est de faire croire que le transfert du siège d'une société privée et le changement de sa dénomination signifient ipso facto sa dissolution.

Pour en revenir à ce qui s'est déroulé vendredi dernier, force est de reconnaître que la sûreté et la sécurité aéroportuaires étaient le dernier des soucis des cadres de SAMADA. Pour assurer la continuité du service en effet, une passation dans les normes était plus qu'impérative. Malgré le souhait émis par CSPI-M pour le déroulement de cette procédure dans la sérénité et en toute courtoisie, les représentants de SAMADA à la réunion ont plutôt brillé par la manière cavalière avec laquelle ils ont mis fin à leur participation. Jusqu'au bout, les dirigeants de SAMADA auront fait preuve d'une mauvaise foi sans fin.

Merci pour le partage !

Merci Lebrun,

En résumé, une affaire de gros Très gros sous, ce qui et inquiétant c'est la façon dont l'affaire est présenté en public, et surtout la continuité de la mission, sachant que les cadres  "étranger"chargé de l'exploitation, et de la gestion de la société  ont été priés de quitter le territoire.....

Remplacés par d'autres d'une autre société

un article ce jour

Sûreté aéroportuaire MG

oui on va de rebondissement, en rebondissement et je crois que c'est pas finit , le feuilleton continue 1/0