Déjà 1600 chirurgies retardées

A cause de la grève des infirmières , la minitre de la santé justifie la réquisition civile

Les syndicats saissisent la justice


ministra da Saúde, Marta Temido, disse hoje que na segunda greve cirúrgica dos enfermeiros já foram adiadas 1.600 cirurgias, muitas incluídas nos serviços mínimos, o que justificou a requisição decretada na quinta-feira.

Yoke57 a écrit:

A cause de la grève des infirmières , la minitre de la santé justifie la réquisition civile

Les syndicats saissisent la justice


ministra da Saúde, Marta Temido, disse hoje que na segunda greve cirúrgica dos enfermeiros já foram adiadas 1.600 cirurgias, muitas incluídas nos serviços mínimos, o que justificou a requisição decretada na quinta-feira.


Bonsoir
Super , cela va faire des interventions inutiles, ratées , avec des complications inattendues, en moins par rapport à la situation normale des services , au Portugal. Si cela pouvait être pareil en France! Mais , blague à apart,cela va venir , vu la façon dont les personnels sont traités depuis que les chefs de services ont été contraints de céder devant des Directeurs d'hôpitaux juste sortis de Rennes , purs financiers et le plus souvent incompétents
Saude

Bonsoir @Joke.

J'ai envie de vous dire... Mais nous sommes Dimanche, bonne fête pour les Arnaude et les Arnaud.
En fait nous sommes aussi : Duodi 22 Pluviôse 227 - Thimelé. Attention il est 9h22  là !

En fait comme c'est fête dominicale, malgré une digression Vendredi (Aljumea) - un court texte et quelques recos - je vous répondrais demain soyez-en sûr pour votre 3ème tête de gondole. Je m'excuse de ce désagrément.

Cordialement.

? :/:unsure:joking::sleep

Frantugais a écrit:

Bonsoir @Joke.

J'ai envie de vous dire... Mais nous sommes Dimanche, bonne fête pour les Arnaude et les Arnaud.
En fait nous sommes aussi : Duodi 22 Pluviôse 227 - Thimelé. Attention il est 9h22  là !

En fait comme c'est fête dominicale, malgré une digression Vendredi (Aljumea) - un court texte et quelques recos - je vous répondrais demain soyez-en sûr pour votre 3ème tête de gondole. Je m'excuse de ce désagrément.

Cordialement.


Ola. Doit y avoir un code secret... Bonne semaine

Frantugais a écrit:

Bonsoir @Joke.

J'ai envie de vous dire... Mais nous sommes Dimanche, bonne fête pour les Arnaude et les Arnaud.
En fait nous sommes aussi : Duodi 22 Pluviôse 227 - Thimelé. Attention il est 9h22  là !

En fait comme c'est fête dominicale, malgré une digression Vendredi (Aljumea) - un court texte et quelques recos - je vous répondrais demain soyez-en sûr pour votre 3ème tête de gondole. Je m'excuse de ce désagrément.

Cordialement.


Frantugais en mode révolutionnnaire, en cette quinzième décade !  :D
Aujourd'hui c'est le chiendent !  ;):cheers:

@Joke. Bonjour.

Excusez-moi mais le week-end est sacré car j'ai passé une bonne partie de ma vie à être de garde et/ou d'astreinte un week-end sur deux.

Bon, je me suis dit que problème devait être important. Vous n'êtes pas souffrant au moins ?

Ce qui m'a mis la puce à l'oreille (celle qui me reste) c'est que 3 discussions sur le sujet engagées en moins de 8 jours, il devait y avoir un sérieux problème.

Alors, j'ai derechef fait tourner ma machine ce matin pour comprendre mieux.
Donc, click direct sur Expresso.pt (Libertad para pensar). Bon je suis resté sur ma faim et je n'ai pas trouvé d'article récent et exhaustif sur ce problème.

Que nenni, je ne me laisse pas faire et vais directos sur le site du SINDEPOR et l'UGT (syndicat ad hoc).
Eurêka ! j'ai trouvé. Je prends donc un bon café et envoie un sms à Linda (le prénom a été changé). Linda me dit qu'elle est d'après-midi et de garde) ce qui tombait bien. Portugaise et travaillant au bloc (bonne infirmière je confirme) que je fréquente moi-même, je lui demande ce qu'elle en pense. Nous nous penchons donc à deux sur le problème.

Ah quand même, fait important : Linda habite à 10 km de chez moi en France et à deux rues au Portugal ou je suis aussi. Donc on se voit souvent ce qui n'est pas anormal car elle à dépassé ses 20 ans et moi je file sur les 70.
Par conséquent nous avons vu la/les revendications des infirmières  - et allons-y  - les infirmiers aussi spécialisés (Instrumentiste, anesthésiste, et circulante). C'est comme chez nous dis !

Ces revendications sont légitimes. Nous connaissons bien la profession, ses exigences et ses contraintes. Nous avons eu en France dans les en 1988 qui a donné lieu à des modifications de la prime Veil (du nom de la Ministre, notre regrettée Simone qui est de la famille par alliance avec ma fille). Je vous transmets le lien si vous ne vous en rappelez pas :
https://www.infirmiers.com/profession-i … s-der.html

Nous avons été à deux doigts de la réquisition. Le mouvement a eu du succès parce qu'il y a eu des erreurs politiques mais surtout il a été apolitique avec un refus viscéral de récupération y compris syndical. C'est pas banal ça !
Il y a eu reconnaissance et revalorisation : Etat comme acteurs (praticiens,etc) ont mis la main à la poche ; sûrement les patients aussi dans le temps.

Maintenant ce qu'il ressort de ce conflit au Portugal, c'est qu'il a aussi un manque de reconnaissance. Au vu des articles l'UGT est offusqué parque la réquisition est faite par un gouvernement de gauche, parce qu'il est de gauche.
Mais ce sont les seuls à décider ! Et il y a sans doute des contraintes budgétaires. La santé n'a pas de prix oui, seulement elle a un coût.

La réquisition irait jusqu'au 28. Les différents nombreux portent aussi sur la notion de service minimum avec les grades associés : urgence vitale, urgence différée, différent grades dans les pathologies graves, etc.  j'en passe.

Je conclue. Les revendications sont légitimes et pourraient même être étendues aux autres catégories en proportion d'exigences de service. Il faut que le financement soit possible et acté.
Je n'ai  pas vu le point de vue des patients  sur ce problème, ce qui est important et qui avait provoqué la résolution lors de la Coordination Infirmière en France.

En fait je n'ai que votre avis supposé. Peut-être y'en a t-il d'autres : je pense à Afonso.
Désolé de vous avoir fait attendre et d'être longuet dans le texte. Je m'excuse aussi de cette intrusion dans un système de santé extérieur qui, pour ce qui me concerne, me va.

Cordialement. Frantugais.

Frantugais a écrit:

@Joke. Bonjour.

Excusez-moi mais le week-end est sacré car j'ai passé une bonne partie de ma vie à être de garde et/ou d'astreinte un week-end sur deux.

Bon, je me suis dit que problème devait être important. Vous n'êtes pas souffrant au moins ?

Ce qui m'a mis la puce à l'oreille (celle qui me reste) c'est que 3 discussions sur le sujet engagées en moins de 8 jours, il devait y avoir un sérieux problème.

Alors, j'ai derechef fait tourner ma machine ce matin pour comprendre mieux.
Donc, click direct sur Expresso.pt (Libertad para pensar). Bon je suis resté sur ma faim et je n'ai pas trouvé d'article récent et exhaustif sur ce problème.

Que nenni, je ne me laisse pas faire et vais directos sur le site du SINDEPOR et l'UGT (syndicat ad hoc).
Eurêka ! j'ai trouvé. Je prends donc un bon café et envoie un sms à Linda (le prénom a été changé). Linda me dit qu'elle est d'après-midi et de garde) ce qui tombait bien. Portugaise et travaillant au bloc (bonne infirmière je confirme) que je fréquente moi-même, je lui demande ce qu'elle en pense. Nous nous penchons donc à deux sur le problème.

Ah quand même, fait important : Linda habite à 10 km de chez moi en France et à deux rues au Portugal ou je suis aussi. Donc on se voit souvent ce qui n'est pas anormal car elle à dépassé ses 20 ans et moi je file sur les 70.
Par conséquent nous avons vu la/les revendications des infirmières  - et allons-y  - les infirmiers aussi spécialisés (Instrumentiste, anesthésiste, et circulante). C'est comme chez nous dis !

Ces revendications sont légitimes. Nous connaissons bien la profession, ses exigences et ses contraintes. Nous avons eu en France dans les en 1988 qui a donné lieu à des modifications de la prime Veil (du nom de la Ministre, notre regrettée Simone qui est de la famille par alliance avec ma fille). Je vous transmets le lien si vous ne vous en rappelez pas :
https://www.infirmiers.com/profession-i … s-der.html

Nous avons été à deux doigts de la réquisition. Le mouvement a eu du succès parce qu'il y a eu des erreurs politiques mais surtout il a été apolitique avec un refus viscéral de récupération y compris syndical. C'est pas banal ça !
Il y a eu reconnaissance et revalorisation : Etat comme acteurs (praticiens,etc) ont mis la main à la poche ; sûrement les patients aussi dans le temps.

Maintenant ce qu'il ressort de ce conflit au Portugal, c'est qu'il a aussi un manque de reconnaissance. Au vu des articles l'UGT est offusqué parque la réquisition est faite par un gouvernement de gauche, parce qu'il est de gauche.
Mais ce sont les seuls à décider ! Et il y a sans doute des contraintes budgétaires. La santé n'a pas de prix oui, seulement elle a un coût.

La réquisition irait jusqu'au 28. Les différents nombreux portent aussi sur la notion de service minimum avec les grades associés : urgence vitale, urgence différée, différent grades dans les pathologies graves, etc.  j'en passe.

Je conclue. Les revendications sont légitimes et pourraient même être étendues aux autres catégories en proportion d'exigences de service. Il faut que le financement soit possible et acté.
Je n'ai  pas vu le point de vue des patients  sur ce problème, ce qui est important et qui avait provoqué la résolution lors de la Coordination Infirmière en France.

En fait je n'ai que votre avis supposé. Peut-être y'en a t-il d'autres : je pense à Afonso.
Désolé de vous avoir fait attendre et d'être longuet dans le texte. Je m'excuse aussi de cette intrusion dans un système de santé extérieur qui, pour ce qui me concerne, me va.

Cordialement. Frantugais.


Pour info sur ce sujet délicat et les relations toujours ambiguës public/privé

Le gouvernement, le PCP, le PSD et le CDS-PP ont soumis à l'approbation de l'Assemblée de la République leurs propositions de révision de la Loi Fondamentale de Santé. Parmi les questions débattues, celle des relations que le SNS entretient avec le privé est sans doute la plus controversée.


Un système à bout de souffle

Le Service National de Santé (SNS) portugais est basé sur un modèle établit en 1979 qui en quarante ans, semble s'être éloigné petit à petit des besoins actuels du pays et de ses habitants.Les technologies médicales ont évoluées, elles sont plus efficaces mais aussi plus coûteuses, de même que les médicaments. La démographie a changé, les gens vivent plus longtemps et ont besoin de soins tout au long de leur vie. Face à ces bouleversements, le SNS peine à s'adapter, et souffre cruellement du manque de moyen. L'augmentation des coûts de la main d'œuvre, les besoins urgents en matière de rénovation, d'équipement, de construction et d'entretien ne permettent pas le développement pérenne de ce service public fondamental. Bien qu'une étude qualitative récente (2017) ait classé le système de santé portugais à la 14e place sur 35 pays européens, il semble nécessaire de rétablir un système de santé public en cohérence avec la réalité du Portugal. Maria de Belém (membre du PS et ancienne Ministre de la santé) a coordonné une commission de révision de la Loi Fondamentale de la Santé, qui a été examinée par le Parlement – l´organe qui légifère dans la République portugaise –  le mercredi 23 janvier. Le gouvernement (PS) ainsi que trois autres partis (PCP, PSD et CDS-PP) ont soumis leurs idées à l'Assemblée de la République. Il y a dans ces différentes propositions des éléments de convergences qui témoignent globalement d'une volonté commune de défendre et promouvoir le service public au détriment du secteur privé.


Quand le privé empiète sur le public

Depuis 2002, un certain nombre d'hôpitaux publics portugais ont été transformés en "Entités Commerciales Publiques" (EPE), des établissement hybrides crées par l'Etat mais gérés par des sociétés privées. Ces partenariats ont suscité, dernièrement, de nombreuses questions auprès des parlementaires. L'un des principaux problèmes c'est que l'Etat n'a pas de contrôle direct sur les EPE. Il en assume les charges financières alors même qu'une grande partie des bénéfices financiers revient à la société privée, sans pour autant que l´Etat ait un  réel droit de regard sur les services fournis. L'actuelle et fraîchement nommée Ministre de la Santé, Marta Temido voudrait renforcer le rôle du SNS, supprimer le soutien de l'État au développement du secteur privé et diminuer le nombre d'EPE au Portugal. Elle a, d'ailleurs,  annoncé que l'hôpital public de Braga (EPE) devrait sous sous peu être géré à nouveau directement par le SNS. Au Portugal, les hôpitaux privés, plus chers et donc moins accessibles pour les Portugais, empiètent peu à peu sur le système public. Selon l'Institut National des Statistiques (INE), les hôpitaux privés (117 hôpitaux privés, sur un total de 225 au Portugal) reçoivent environ 4 millions de Portugais par an et assurent presque un tiers des interventions chirurgicales pratiquées dans le pays. Maria-Faia, auxiliaire médicale à l'hôpital public de São José à Lisbonne, craint que l'Etat laisse le SNS se transformer en "hôpital pour les pauvres". Les manifestations se sont multipliées ces dernières semaines, tant du côté des auxiliaires médicaux que des infirmiers, deux professions particulièrement touchées par le manque de moyen et de perspectives de carrières dans les hôpitaux publics du pays. C'est d'ailleurs à São José que le plus haut pourcentage de grévistes a été enregistré selon le Syndicat des Infirmiers Portugais : 68% des infirmiers étaient en grève vendredi dernier. Pour le personnel médical du service public, la réalité est difficile, "le SNS se meurt" admet Maria-Faia.


Maintenir un système hybride en faveur du SNS

Dans sa proposition de réforme de la Loi Fondamentale de la Santé, le PS voudrait nationaliser davantage le système de santé, tout en maintenant le principe de "coopération" entre les secteurs public et privé. Selon Ana Jorge, membre du PS, ancienne ministre de la Santé (2008-2011) et ancienne médecin elle même, la meilleure proposition possible "est celle qui défend le mieux un service national de santé pour tous les Portugais. Le secteur public et privé doit pour cela être sur un pied d'égalité." Marta Temido a rappelé la primauté constitutionnelle des services de l'Etat en matière de prise en charge. Elle a proposé un système de sous-traitance des entités privées par le SNS qui conditionnerait la prise en charge d'un patient par un établissement privé "à l'évaluation du besoin". Autrement dit, un patient pourrait être pris en charge par un hôpital privé seulement si un hôpital public est dans l'impossibilité de le faire.


Public ou rien

Si le maintient de la coopération entre le secteur public et privé est envisagée au PS, ainsi qu'au PSD et au CDS-PP, pour Jerónimo de Sousa, secrétaire général du Parti Communiste Portugais (PCP), ce n'est pas une option. Ce serait même cette promiscuité qui aurait plongé le SNS dans la crise qu'il traverse aujourd'hui. "Nous proposons que l'Etat soit le financier, le prestataire et le régulateur, et non un Etat qui  démissionne de ses fonctions  en transférant attributions, compétences et ressources à des tiers, notamment pour les grands groupes privés opérant dans le secteur de la santé", a-t-il déclaré. La proposition du PC oblige l'Etat au respect de l'impératif constitutionnel selon lequel il lui incombe de garantir seul le respect du droit à la protection de la santé, individuelle et collective, et du fait qu´il lui revient de  fournir un accès universel, général et gratuit à la santé à tous les Portugais.

Manuel J. Antunes, Professeur en médicine à l'université de Coimbra, a répondu aux questions du Público au lendemain des discussions parlementaires : "Si nous continuons à faire ce que nous avons toujours fait, nous continuerons à atteindre les résultats que nous avons toujours atteints". Autrement dit, le succès de la révision de la Loi Fondamentale de la Santé dépend essentiellement de la volonté politique et de la détermination du gouvernement à la mettre en œuvre.
réf Le petit journal de Lisbonne


Et ya plus qu'à faux con

Bonjour à tous,

Qu'est-ce être infirmière au Portugal?

Onze infirmières donnent la face et parlent de leur quotidien, entre heures folles, nuits blanches, bas salaires et agressions aux urgences.

http://visao.sapo.pt/actualidade/socied … m-Portugal

Prenez la peine de lire ces témoignages pour savoir ce qu'il se passe réellement dans cette profession, c'est édifiant.

Mais , finalement, on n'est pas bien loin de ce qu'il se passe en France, hélas...

Bom dia.

:cheers:

@modafinil.

Il faut que je relise et relise mais c'est intéressant. Il faut même que je relise longuement. Et vais relire très longuement tellement il y a de références. Linda est partie, elle doit doit bosser. Mais on va relire.

@Gerfin85.

Oui c'est le quotidien. Cela je sais, j'ai même si j'ai fait 36 heures (et un peu plus car dans ces cas on n'a pas envie de partir, on a peur ! )  d'affilée en dormant sur un brancard par période d'un quart d'heure.

@Yoke.

Vous ouvrez la boite de Pandore, qui n'est pas spécifique au Portugal, loin de là. Evitez l'annonce tête de gondole, qui ne vous sert point, toutefois pour être crédible,  Argumentez ! Ce que vous ne faîtes jamais ! Cela est très délétère et ne sert à rien. C'est ce qui vous manque le plus.

Gerphin85 a écrit:

Bonjour à tous,

Qu'est-ce être infirmière au Portugal?

Onze infirmières donnent la face et parlent de leur quotidien, entre heures folles, nuits blanches, bas salaires et agressions aux urgences.

http://visao.sapo.pt/actualidade/socied … m-Portugal

Prenez la peine de lire ces témoignages pour savoir ce qu'il se passe réellement dans cette profession, c'est édifiant.

Mais , finalement, on n'est pas bien loin de ce qu'il se passe en France, hélas...

Bom dia.

:cheers:


Sauf qu'en France , tout le monde s'en fiche ( voir les résultats de leurs grèves depuis plus de 20 ans et de leur sitting sous une tente devant le ministère de la santé. Bien à vous

modafinil a écrit:
Gerphin85 a écrit:

Bonjour à tous,

Qu'est-ce être infirmière au Portugal?

Onze infirmières donnent la face et parlent de leur quotidien, entre heures folles, nuits blanches, bas salaires et agressions aux urgences.

http://visao.sapo.pt/actualidade/socied … m-Portugal

Prenez la peine de lire ces témoignages pour savoir ce qu'il se passe réellement dans cette profession, c'est édifiant.

Mais , finalement, on n'est pas bien loin de ce qu'il se passe en France, hélas...

Bom dia.

:cheers:


Sauf qu'en France , tout le monde s'en fiche ( voir les résultats de leurs grèves depuis plus de 20 ans et de leur sitting sous une tente devant le ministère de la santé. Bien à vous


Là je ne glisse pas, mais pas du tout.

"Vous ouvrez la boite de Pandore, qui n'est pas spécifique au Portugal, loin de là. Evitez l'annonce tête de gondole, qui ne vous sert point, toutefois pour être crédible,  Argumentez ! Ce que vous ne faîtes jamais ! Cela est très délétère et ne sert à rien. C'est ce qui vous manque le plus."

Vous avez raison, on jette un lien et basta! Mais c'est bien la spécificité de certains, aprés chacun en fait ce qu'il veut.

Boa tarde.

:cheers:

@Gerphin.

Oui et plus une reco en plus. C'est cela.

Amicalement.