Avocat contentieux

Bonjour,
Je suis fort mécontent de mon avocate, qui a commis une grave erreur lors d'une acquisition immobilière.
Je lui ai demandé de tenir à ma disposition le livre des réclamations, et elle m'a dit que leur profession n'était pas tenue d'en avoir.
Est-ce vrai?
Je vous en remercie.
Christian

Bonjour,
Pourquoi n'appelez vous pas l'ordre des avocats ?
Cordialement
Pranolles

Bonjour,
Effectivement ce n'est pas une obligation mais cela peut être contourné auprès d'une réclamation au sein de l'ordre d'avocats ou par le formulaire que voici:

Formulário queixa Ordem de Advogados

Il conviendrait d'avoir une bonne maîtrise en portugais et de bien préparer en amont votre brouillon pour que cela ait du poids (Voir minutas queixas contra advogados). Vous pouvez vous faire aider par un solicitador ou bien même m'envoyer le brouillon et je jette un coup d'oeil et rectifie si besoin.

Bien cordialement,
Afonso Albuquerque

#2
Bonjour Pranolles,
Je viens de transmettre un dossier de réclamation sur Lisbonne.
Cordialement.
Christian

#3
Bonjour Afonso,
Je vous remercie de votre réponse.
Bien Cordialement.
Christian

LES AVOCATS, NON C'EST COMME LES MÉDECINS, C'EST PAS DES FEUILLES DE RÉCLAMATIONS. SOIT FAUT ALLER SE PLAINDRE AU BARREAU DES AVOCATS (COLLÈGE DES MÉDECINS), MAIS PAS TOUT ENTRE. ILS VÉRIFIENT SEULEMENT QUE LE CODE DÉONTOLOGIQUE EST SUIVI.
SI C'EST UN PROBLÈME AVEC UN DOSSIER,C'EST DE LA RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE, FAUT ALLER VOIR UN (AUTRE ICI) AVOCAT.
ENFIN BONNE CHANCE!

#6
Bonsoir Annie,
Je n'ai trouvé aucun avocat, pour assigner le mien.
Cordialement.
Christian

Bonsoir Christian,

Tu dis "Mon avocate", ce qui peut faire penser que tu la "fréquentes" de longue date ... Que peut être même vous êtes amis, ou pas loin, elle et toi ...
Si c'est le cas, à mon avis, ton litige avec elle doit se traiter autrement ...
En tête à tête de préférence ...
C'est mon avis ...

Toutes mes amitiés cher ami  :cheers:

roro

#8
Bonjour Roro,
Ce n'est pas mon amie, mais une relation de travail(Vilamoura)l, le comble!
Tu sais bien qu'au Portugal, on se tutoie facilement.
Cela fait 2 ans que j'essaie de négocier avec elle.
Si tu veux, une grande partie de la maison n'a pas été déclarée.
Historique:
Avant la signature du CPCV, j'ai demandé que cette extension soit vérifiée au niveau de la mairie, car j'avais un doute .
Les propriétaires ont fourni un plan faisant apparaitre toute la surface existence.
J'ai demandé que ce plan soit joint au CPCV, et qu'il soit signé.
Cela a été fait.
Cependant, ce plan n'a pas été enregistré en Mairie, donc nul!
Il y a eu également une agence(Ferragudo), qui m'a certifié que tout était en ordre(mails), mais cela était faux.
L'avocate me fait savoir, par mail, que la maison ayant été construite avant 1951, le cadastre n'étant pas au point à cette époque, il se peut que les surfaces aient été mal enregistrées.
Il faut savoir que dans cette zone, l'urbanisme accepte l'extension du bâtiment, donc cela est un point positif.
Donc, lui faisant confiance, je signe.
La maison, est une ancienne maison de pêcheur, entièrement à rénover.
Je procède à une vérification de surface, et je constate qu'il y a plus de 30 m2, que ce qui a été déclaré en Mairie(je n'ai pas pu le faire avant le CPCV, car la maison était insalubre).
Donc, la maison est en partie illégale, et il convient alors de la régulariser, afin d'obtenir une licence d'utilisation(coût entre 4.000 et 5.000€).
Je propose à mon avocat de prendre en charge une partie de ses frais.
Elle me répond qu'elle prendra en charge les frais de géomètre, pour l'établissement d'un plan de masse(coût 300€).
Je lui dis ok, mais vous venez instruire le dossier en mairie, et elle a refusé!
Je pense avoir été suffisamment patient et conciliant, aussi j'en informerai l'ordre des avocats.
Il est inadmissible et inconcevable, qu'en ayant rémunéré un professionnel, de telles choses puissent se produire, et de surcroit quel ne répare pas le préjudice causé.
Cependant, compte de cette péripétie, l'achat reste quand même valable.
Bonne fin de journée.
Christian.