ATTENTION AU MARIAGE AVEC UNE MALGACHE

Commentaires et précisions très pertinentes. Merci Pierre.

Je persiste à penser que le titre en cause a le mérite d'être clair, concis et accrocheur. Donc utile à tous, dont aux “naïfs”.

Néanmoins,
“Mariages franco-malgaches, gare aux désillusions”
serait sans doute plus respectueux, tout en gardant ces mêmes qualités.

Des avis ?
@Princessme
Tout de même, hommes et femmes n'ont pas que la beauté et l'argent à apporter à leur union.
Il y a aussi le caractère, les qualités morales, l'intelligence, la culture, certains habitus (malgaches comme européens).
Test
“Mariages franco-malgaches, gare aux désillusions”
serait sans doute plus respectueux, tout en gardant ces mêmes qualités.

Des avis ?
- @Gilles92
A titre personnel, je trouve ça beaucoup mieux !
Et cela choquerait moins nos intéressantes et précieuses contributrices malgaches, telles que tit.ravinala, Missbizna et Princessme (j'en oublie sans doute)
J'aurais tendance à penser que le très grande majorité des - jeunes - femmes malgaches n'a aucune "attirance" particulière - physique, ethnique ou culturelle - à se marier avec un "vazaha".

Ces unions mixtes restent principalement le fait de personne issues de milieux "modestes" et en quête d'une certaine forme de "confort matériel".

Ceci étant, j'admets tout à fait qu'il y ait des exceptions - et j'en connais d'ailleurs de nombreuses -.
J'aurais tendance à penser que le très grande majorité des - jeunes - femmes malgaches n'a aucune "attirance" particulière - physique, ethnique ou culturelle - à se marier avec un "vazaha".

Ces unions mixtes restent principalement le fait de personne issues de milieux "modestes" et en quête d'une certaine forme de "confort matériel".

Ceci étant, j'admets tout à fait qu'il y ait des exceptions - et j'en connais d'ailleurs de nombreuses -.
- @Crusaders
Effectivement la très grande majorité des jeunes femmes malgaches ne rêvent pas de princes charmants vazaha, mais vous devriez savoir, depuis le temps que vous êtes dans ce pays, que dans beaucoup de couples malgaches les pratiques ancestrales sont toujours de mise, et que beaucoup de femmes malgaches sont "soumises" à leur maris (voire à la belle-famille), sans compter l'infidélité qui est un sport national (plus pratiqué que le foot). Vous qui fréquentez régulièrement des malgaches d'un certain niveau n'ignorez sans doute pas que beaucoup cumulent les aventures ( et qu'avoir un 2ème bureau, voire un 3ème ou 4ème bureau est une pratique très courante).
Il n' a bien sûr, pas 100% de mauvais mari malgaches et 100% de bons maris vazaha (surtout lorsque l'on voit le comportement de certains vazaha dans ce pays), mais épouser un vazaha est pour certaines jeunes femmes malgache l'espoir d'avoir une vie de couple plus réussie.
Mais malheureusement pour elles, le comportement de certains vazaha qui découvrent Mada après de nombreuses années (voire toute une vie) d'abstinence en France sera toujours pire que celui de n'importe quel mari malgache...
modéré
Modéré par Julien il y a 2 ans
Raison : propos ne respectant pas les conditions d'utilisation du site
Je vous invite à lire la charte du forum
Les femmes malgaches se marierait toutes par intérêt ???
Et si l'on parlait des mariages entre des hommes français et des femmes des pays de l'est (puisque c'est votre cas, sauf erreur de ma part)? La jeune femme d'Europe de l'est sauvée par son prince charmant (quoique pas toujours) de l'Europe de l'ouest venue la chercher non pas sur son cheval blanc mais dans un avion low-cost tout blanc (Mais qu'elle épousera évidement uniquement par amour)

"Du côté des femmes de l'Est, les facteurs explicatifs de la demande seraient les suivants : les conditions socio-économiques et leur dégradation, en particulier pour les femmes, dans les années 1990 (exiguïté des logements, chômage), la crise de la condition masculine (alcoolisme, persistance du stéréotype de l'homme soviétique infantilisé), l'accroissement des inégalités dans le couple (intensification du fardeau de la double journée de travail), les violences conjugales, une sexualité peu épanouie, les difficultés pour se remarier après un divorce, le déficit d'hommes une fois passé un certain âge, etc. 
Dans une telle perspective, les femmes de l'Est échangeraient leur subordination contre un confort matériel et un meilleur statut social, la migration devenant l'aboutissement d'une forme d'« échange économico-sexuel »

@loicpty

Sauf que je suis Cap verdien , que ma femme est bien plus riche que moi ....
mais comme vous avez des idées preconcues et que vous parlez sans savoir


[modéré: vulgarités inutiles]
vous avez tout a fait raison , un peu comme les produits chinois on a beau savoir que ce n est pas de la qualité , mais vu le prix on se laisse toujours tenter , ok je sors mdr - @sawadeekat
Les femmes malgaches se marierait toutes par intérêt ???
Et si l'on parlait des mariages entre des hommes français et des femmes des pays de l'est (puisque c'est votre cas, sauf erreur de ma part)? La jeune femme d'Europe de l'est sauvée par son prince charmant (quoique pas toujours) de l'Europe de l'ouest venue la chercher non pas sur son cheval blanc mais dans un avion low-cost lui aussi tout blanc (Mais qu'elle épousera évidement uniquement par amour)

"Du côté des femmes de l'Est, les facteurs explicatifs de la demande seraient les suivants : les conditions socio-économiques et leur dégradation, en particulier pour les femmes, dans les années 1990 (exiguïté des logements, chômage), la crise de la condition masculine (alcoolisme, persistance du stéréotype de l'homme soviétique infantilisé), l'accroissement des inégalités dans le couple (intensification du fardeau de la double journée de travail), les violences conjugales, une sexualité peu épanouie, les difficultés pour se remarier après un divorce, le déficit d'hommes une fois passé un certain âge, etc. 
Dans une telle perspective, les femmes de l'Est échangeraient leur subordination contre un confort matériel et un meilleur statut social, la migration devenant l'aboutissement d'une forme d'« échange économico-sexuel »

- @loicpty
A vrai dire , je n en sais rien , et je m en contre fou ...
Pour moi c est vivre et laissé vivre , désolé si mon trait d humour a choqué votre sensibilité
et oui la faim parfois justifie les moyens , et oui , pas toutes  ,mes beaucoup de femmes cherchent
un vazaha pour améliorer leurs conditions de vie ,
@loicpty

Sauf que je suis Cap verdien , que ma femme est bien plus riche que moi ....
mais comme vous avez des idées preconcues et que vous parlez sans savoir
vous allez peut être penser que ma femme a été attiré par mon gros p....s ?
Hélas , désolé la aussi de vous décevoir , je suis normalement constitué ahahahah !
- @sawadeekat
Aucune idée préconçue de ma part, ce que démontre cette étude, c'est simplement que les mariages "dans l'espoir de conditions de vie meilleures" ne sont pas uniquement une spécificité malgache ou même africaine et ne datent pas d'aujourd'hui...
Si ma mémoire ne me fait pas défaut, les agences matrimoniales spécialisées dans les mariages (par amour?) entre européen de l'ouest et européenne de l'est existaient déjà quand j'étais encore ado...
Ce sont juste les destinations "mariages" qui ont un peu évoluées... Les francophones allant dorénavant  principalement se chercher une épouse en Afrique alors que les anglophones privilégient l'Asie.

Mais il est vrai aussi que, parfois, que certains jeunes hommes africains parviennent à épouser (uniquement par amour?) des femmes blanches bien plus riches qu'eux  (je plaisante, ne vous sentez pas viser)
Bonjour,

cette discussion part un peu en vrille là ... on aurait pas fait (de multiples fois) le tour de la question ?
Au risque de choquer certains intervenants, je dirais que MADAGASCAR est clairement devenue une destination pour rencontres et mariages "low cost". 

Je ne pense pas en effet que, nonobstant les difficultés à vivre dans leurs pays d'origine, la majorité des femmes d'EUROPE DE l'EST ou d'ASIE soient prêtes à se jeter dans les bras de "sauveurs" occidentaux qui ont parfois l'âge d'être leur grand-père, qui plus est pour souvent "avoir du mal à joindre les deux bouts" à chaque fin de mois.
Dans un pays de p...rincess..me... les jumbils sont rois... Finalement nous avons tous ce que nous méritons.... n'est ce pas
Au risque de choquer certains intervenants, je dirais que MADAGASCAR est clairement devenue une destination pour rencontres et mariages "low cost". 

Je ne pense pas en effet que, nonobstant les difficultés à vivre dans leurs pays d'origine, la majorité des femmes d'EUROPE DE l'EST ou d'ASIE soient prêtes à se jeter dans les bras de "sauveurs" occidentaux qui ont parfois l'âge d'être leur grand-père, qui plus est pour souvent "avoir du mal à joindre les deux bouts" à chaque fin de mois.
- @Crusaders
Bjr Crusaders,

D'accord avec ton analyse du  low-cost de Mada.

J'ai connu ici en Europe il y a 30 ans la vague slave low cost qui a succédé à la vague low cost nationale où les jolies et jeunes femmes françaises, belges,... souhaitaient s'établir avec un français, belge,,... gagnant correctement sa vie. Donc, rien n'a changé dans ce mouvement ("...soient prêtes à se jeter dans les bras de "sauveurs" occidentaux qui ont parfois l'âge d'être leur grand-père, qui plus est pour souvent "avoir du mal à joindre les deux bouts" à chaque fin de mois.... )

Ah si, j'oubliais la récente tendance ukrainienne qui va faire flamber le taux de divorce en Europe.

Donc ne blâmons pas  les malgaches, c'est une question de survie comme partout et de  tout temps.

D'accord aussi d'avertir les candidats des risques de ce type de relation.

Parfois, je regrette le temps des mariages "arrangés", dictés par les parents. Il y avait, à mon avis, moins de drames familiaux, entre autre parce que le couple issu du même milieu social partageait les mêmes valeurs et culture. Les enfants n'étaient pas conçus pour percevoir les allocations : j'ai lu une étude delon laquelle 1 enfant sur 2 en FR ou BE est conçu pour ce motif !

D'un autre côté, je constate parmi beaucoup de mes amis européens de plus de 40 ans, l'absence de volonté ou de désir de fonder une famille avec des enfants, pour des raisons financières : Madame ne veut pas perdre son travail, donc pas de gosse. Avec l'âge, le désir d'enfant diminue, face au "plaisir" d'une vie matérielle confortable (vacances, voiture, habitation,...) et, par conséquent,  les gouvernements sont obligés d'ouvrir leurs frontières aux immigrés pour rajeunir la population et subvenir aux emplois basiques (see l'Allemagne).

Autre aspect pusique nous sommes sur Expat : la plupart des expatriés sans leur famille (femme et enfants restés à la maison) que j'ai connus ont divorcé : "loin des yeux loin du coeur". Vive la mondialisation.

Désolé pour cette analyse politico-démographique et belle vie aux couples "mixtes" heureux, il en existe.

Veloma,
JP
jpmadalu a écrit:
Donc ne blâmons pas  les malgaches, c'est une question de survie comme partout et de  tout temps.

Je ne blâme en rien les femmes/filles malgaches.

Plutôt les ....., suivez mon regard !!!!!
Bonjour,

cette discussion part un peu en vrille là ... on aurait pas fait (de multiples fois) le tour de la question ?
- @Julien
Pensez-vous raisonnablement Julien que cela soit possible ?
C'est de loin le sujet le plus populaire, celui où chacun a son avis et plus gai que : "ma moto est en panne..." "cherche un plombier pour cause de fuite..." ou "j'ai plus de café, connaissez vous une boutique..."

Il y a 2 choses qu'il ne faut pas aborder si on ne veut pas se prendre la tête, la religion et la politique.
Il y a 2 choses qui font tourner le monde, l'argent et le c**.

Ici, on ne gagne pas d'argent, alors même si ça part un peu en vrille des fois, laissez nous le 2ème svp.

Salutation Julien
Bonne Pâque à tous et particulièrement à tous les couples mixtes qui vivent heureux et sereins sous le soleil de Mada.  🐣👩‍❤️‍👨
Si j'ai bien tout suivi, je ne crois pas que ce soit le cas de Crusaders.
Par contre il me semble avoir un petit tropisme contre les vieux pauvres, particulièrement ceux qui viennent chercher l'amour à Madagascar 😍
Salama everybody,

Pour en revenir au sujet "Attention au mariage avec une femme malgache", voici 3 anecdotes.

1) Je me suis marié avec une malgache que je fréquentais depuis plus de 5 ans à Mada. Je la ramène avec sa fille de 7 ans en Occidentanie.
Cinq ans de bonheur, puis divorce en grande partie de ma faute parce que je refuse de lui faire un enfant (ça faisait pourtant partie de notre "convention préalable de mariage"), de mon absence régulière imprévue suite à la crise financière de  2008 (je travaillais la semaine à l'étranger, loin du coeur, loin des yeux) et autres raisons.
Bilan + : sa fille que j'ai en partie éduquée et considérais comme la mienne poursuit de brillantes études à Londres.
Bilan - : la maman  (mon ex) - je l'ai appris récemment, ayant perdu tout contact depuis plus de 7 ans- est atteinte d'épilepsie grave et se trouve à 40 ans en chaise roulante à vie, ce qui me semble bien plus malheureux que l'inflation ou la dépression économique que j'entrevois.

2) Nous fréquentions en Occidentanie, d'autres couples mixtes. Un vasah fait un enfant avec son épouse ramenée de Mada. Il est jeune retraité, sportif, à l'aise financièrement, etc. Six ans plus tard, sa femme le quitte pour ...un canadien vivant à des milliers de km de l'Europe, laissant son mari seul éduquer l'enfant (ce qu'il fait très bien), enfant que Madame a abandonné . Aux dernières nouvelles, Monsieur serait reparti à Mada pour se trouver une nouvelle chérie.

3) Autre fréquentation, un camionneur divorcé épouse une malgache rencontrée en Occidentanie. Ils font un enfant ensemble, s'ajoutant à la fille du premier mariage de Monsieur. Et bonne nouvelle, depuis 15 ans, tout se passe à merveille pour cette famille.

Je me répète, ne blâmons pas les femmes malgaches et beaucoup de bonheur à toutes les familles.

Veloma,
JP
Hé oui , chacun cherche son bonheur avec plus ou moins de sucés !
Quand on entreprend une relation , on est tous confiants , et pour diverses
raisons , cela marche ou pas , l espoir fait vivre , rien de plus vrai !
Une pensée pour les ukrainiens qui vivent des moments difficiles ,
bien plus pénibles que nos petits tracas quotidiens
il manque un quatrième scenario réel! qui a fait l'objet d'une émission de " Crimes" en france récemment; l'histoire dune malgache jolie qui épouse un français et vient vivre avec lui en france; qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte(!! qui se met à rencontrer pas mal d'hommes, et qui avec le dernier en date(sans profession)  assassine le célibataire français amoureux d'elle ,( aprés l'avoir délesté de ses économies de 9000 euros)! tout ça pour ça!
il manque un quatrième scenario réel! qui a fait l'objet d'une émission de " Crimes" en france récemment; l'histoire dune malgache jolie qui épouse un français et vient vivre avec lui en france; qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte(!! qui se met à rencontrer pas mal d'hommes, et qui avec le dernier en date(sans profession)  assassine le célibataire français amoureux d'elle ,( aprés l'avoir délesté de ses économies de 9000 euros)! tout ça pour ça!
- @jumbofreddy
Elle épouse un français, mais assassine le célibataire amoureux, j'avoue que j'ai un peu de mal à vous suivre, mais bon...
Peut-être que cela aurait été différent si la jolie malgache avait été moche1f602.svg

173 personnes ont été tuées par leur conjoint(e) ou ex-conjoint(e) en France en 2019:
Parmi les 173 personnes tuées par leur conjoint(e) ou ex-conjoint(e) l'an dernier, 146 femmes et 27 hommes, selon l'Étude nationale des morts violentes au sein du couple rendue publique ce lundi par le ministère de l'Intérieur. Soit, en moyenne, un décès tous les deux jours.

Doit-on en conclure (d'après votre post) que la majorité de celles ou ceux qui assassinent leur époux ou épouses sont d'origine étrangère?

" qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte" - @jumbofreddy
Une jeune malgache sauvé de la misère grâce au mariage, qui demande le divorce alors que la situation financière de son mari était tout à fait correct, effectivement il y a de quoi être surpris...

Comme le dit un proverbe, l'argent ne fait pas le bonheur (même s'il y contribue quand même)... 1f60f.svg

Il suffirait donc d'après vous, qu'un mari gagne correctement sa vie pour qu'une femme malgache soit heureuse en couple. Il y a, me semble-t-il, de quoi s'interroger sur votre vision de ce que doit être un couple (manque d'expérience peut-être?).
Donc si je comprends bien, peu importe la relation au sein d'un couple, que le le mari soit violent, alcoolique ou autre (par exemple), s'il gagne correctement sa vie, cela devrait suffire à la pauvre malgache sauvée de la misère pour être heureuse en couple ou du moins être suffisamment reconnaissante d'avoir été sauvé de la misère pour rester avec ce dernier, qu'elle soit heureuse ou non.

Puisque vous semblez aimez les cas particuliers je pourrais vous en citer d'autres:
  • Une jeune malgache de Tana (une connaissance) qui a dû se réfugier auprès d'une association (et être hébergée par cette dernière) pour échapper à son mari violent et alcoolique après seulement 2 mois de vie de couple en France.
  • Une jeune malgache de Tuléar, qui ne parlait quasiment pas un mot de français, plus considérée comme une femme de ménage ou une esclave qu'une épouse et maintenue "captive à la maison" par son époux français (pas le droit de sortir). Et qui finalement n'a pu échapper à son calvaire que lorsqu'une autre malgache (aussi de Tuléar) qui a elle aussi épousé un français est venue s'installer dans le même village. Le couple en question a pris contact avec des associations et un avocat , dès qu'ils ont eut connaissance de la situation, pour permettre , enfin, à la prisonnière de quitter son mari, après 5 ans de galère. Mais il s'agit sans doute encore d'une ingrate puisque pendant ces 5 ans elle avait un toit sur la tête et de quoi manger, cela aurait dû lui suffire.

Je pense que l'on pourrait en déduire d'après votre post, que dans un couple franco-malgache il y a surtout deux choses importantes: que l'épouse soit jolie et l'argent (que le mari gagne correctement sa vie) et que la pauvre malgache soit bien sûr reconnaissante d'avoir été sauvée de la misère...
Mais rassurez vous cela arrive aussi. Une amie malgache qui réside en France et avec qui je suis toujours en contact (et heureuse en couple), m'a annoncé il a 2 ans environ que son mari voulait demander le divorce, et elle ne savait pas trop quoi faire, accepter ou refuser.
Les raisons invoquées par le mari était que la santé de ce dernier (65 ans et 25 de différence d'âge) commençait à se détériorer et qu'il ne souhaitait pas être une charge pour sa jeune épouse (6 ans de vie commune et une petite fille de 4 ans) et qu'il souhaitait lui rendre sa liberté pour qu'elle puisse refaire sa vie (avec leur fille). Elle n'était pas dépendante de la retraite de son mari pour survivre, puisqu'elle a suivi une formation dès son arrivée en France et exerce depuis le métier d'infirmière. En conclusion de notre échange sur ce sujet, elle m'a finalement annoncé qu'elle refuserait le divorce, car elle ne souhaitait pas abandonné son mari dans son état après tout ce qu'il avait fait pour elle.
Mais la grosse différence me semble-t-il avec l'affaire que vous citez, c'est qu'elle était heureuse en couple (peu importe les revenus de son mari, la différence d'âge et son état de santé)
Au risque de choquer certains intervenants, je dirais que MADAGASCAR est clairement devenue une destination pour rencontres et mariages "low cost". 

Je ne pense pas en effet que, nonobstant les difficultés à vivre dans leurs pays d'origine, la majorité des femmes d'EUROPE DE l'EST ou d'ASIE soient prêtes à se jeter dans les bras de "sauveurs" occidentaux qui ont parfois l'âge d'être leur grand-père, qui plus est pour souvent "avoir du mal à joindre les deux bouts" à chaque fin de mois.
- @Crusaders

Combien de ces couples, (ou quel pourcentage) d'entre eux avez vous rencontré (ou connaissez vous) pour en arriver à de telles conclusions?
Ou s'agit-il encore d'une info provenant de Rade Terminus?

Statistiques de l'INSEE de 2011 (document excel à télécharger). Je n'ai pas trouvé plus récent, mais on peut raisonnablement imaginer que le nombre de couples mixtes a (fortement?) augmenté depuis avec l'augmentation croissante des sites de rencontres et des réseaux sociaux.

Femmes algériennes avec époux français: 2145 / Hommes algériens avec épouses françaises: 3066
Femmes marocaines avec époux français: 2348 / Hommes marocains avec épouses françaises: 2619
Femmes camerounaises avec époux français: 595 / Hommes camerounais avec épouses françaises:238
Femmes congolaise avec époux français: 471 / Hommes congolais avec épouses françaises: 246
Femmes ivoiriennes avec époux français: 386 / Hommes ivoiriens avec épouses françaises: 237
Femmes sénégalaises avec époux français: 326 / Hommes sénégalais avec épouses françaises: 321
Femmes malgaches avec époux français: 295 / Hommes malgaches avec épouses françaises: 86
Femmes mauricienne avec époux français: 269 / Hommes mauricien avec épouses françaises: 108
Femmes gabonaises avec époux français: 141 / Hommes gabonais avec épouses françaises: 55


Je n'ai repris que les pays pour lesquels le nombre de mariage était supérieur à 100 (homme d'origine française avec épouse d'origine africaine).

Si me réfère à ses chiffres, et concernant uniquement l'Afrique sub-saharienne, 2483 hommes d'origine française ont épousé une jeune femme d'origine africaine en 2011. Et, 1291 femmes d'origine française auraient épousé une jeune(?) homme d'origine africaine.

Doit-on en conclure d'après votre raisonnement que 1291 jeunes hommes africains étaient prêt à se jeter dans les bras de "sauveuses" occidentales qui ont parfois l'âge d'être leur grand-mère, qui plus est pour souvent "avoir du mal à joindre les deux bouts" à chaque fin de mois?
J'imagine donc que tous ces pays sont donc aussi des destinations "mariage low cost"...
loicpty a écrit:

Femmes malgaches avec époux français: 295 / Hommes malgaches avec épouses françaises: 86

Je note cependant que, parmi tous les pays cités, MADAGASCAR est celui où la proportion d'hommes malgaches mariés avec des épouses françaises est la plus faible.

C.Q.F.D.1f609.svg
Je note cependant que, parmi tous les pays cités, MADAGASCAR est celui où la proportion d'hommes malgaches mariés avec des épouses françaises est la plus faible.

C.Q.F.D.1f609.svg
- @Crusaders
***1f602.svg1f923.svg
Modéré par Cheryl il y a 2 ans
Raison : Inutile
Je vous invite à lire la charte du forum
@jumbofreddy

Bonjour Jumbo,

Sur youtube, pas mal d'histoires tragiques de couples mixtes, mais aucunes à ma connaissance où le méchant était le vazaha,ce qui arrive aussi.

J'ai appris aussi ( pas lu dans la presse à l'époque)  qu'un (vieux) vasaha était décédé à Majunga dans des circonstances "classiques". Cela m' a été rapporté par le proprio d'un établissement à la sortie de Maju sur la route vers l'aéroport (bar et billard), qui en a été tellement dégouté qu"il tente de revendre son commerce.

Donc, oui , attention au mariage avec une malgache, mais ne généralisons pas. Dans le cas contraire, promenons-nous au marché de Strasbourg et à Nice ou allons danser au Bataclan.
il manque un quatrième scenario réel! qui a fait l'objet d'une émission de " Crimes" en france récemment; l'histoire dune malgache jolie qui épouse un français et vient vivre avec lui en france; qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte(!! qui se met à rencontrer pas mal d'hommes, et qui avec le dernier en date(sans profession)  assassine le célibataire français amoureux d'elle ,( aprés l'avoir délesté de ses économies de 9000 euros)! tout ça pour ça!
- @jumbofreddy
Elle épouse un français, mais assassine le célibataire amoureux, j'avoue que j'ai un peu de mal à vous suivre, mais bon...
Peut-être que cela aurait été différent si la jolie malgache avait été moche1f602.svg

173 personnes ont été tuées par leur conjoint(e) ou ex-conjoint(e) en France en 2019:
Parmi les 173 personnes tuées par leur conjoint(e) ou ex-conjoint(e) l'an dernier, 146 femmes et 27 hommes, selon l'Étude nationale des morts violentes au sein du couple rendue publique ce lundi par le ministère de l'Intérieur. Soit, en moyenne, un décès tous les deux jours.

Doit-on en conclure (d'après votre post) que la majorité de celles ou ceux qui assassinent leur époux ou épouses sont d'origine étrangère?

" qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte" - @jumbofreddy
Une jeune malgache sauvé de la misère grâce au mariage, qui demande le divorce alors que la situation financière de son mari était tout à fait correct, effectivement il y a de quoi être surpris...

Comme le dit un proverbe, l'argent ne fait pas le bonheur (même s'il y contribue quand même)... 1f60f.svg

Il suffirait donc d'après vous, qu'un mari gagne correctement sa vie pour qu'une femme malgache soit heureuse en couple. Il y a, me semble-t-il, de quoi s'interroger sur votre vision de ce que doit être un couple (manque d'expérience peut-être?).
Donc si je comprends bien, peu importe la relation au sein d'un couple, que le le mari soit violent, alcoolique ou autre (par exemple), s'il gagne correctement sa vie, cela devrait suffire à la pauvre malgache sauvée de la misère pour être heureuse en couple ou du moins être suffisamment reconnaissante d'avoir été sauvé de la misère pour rester avec ce dernier, qu'elle soit heureuse ou non.

Puisque vous semblez aimez les cas particuliers je pourrais vous en citer d'autres:
  • Une jeune malgache de Tana (une connaissance) qui a dû se réfugier auprès d'une association (et être hébergée par cette dernière) pour échapper à son mari violent et alcoolique après seulement 2 mois de vie de couple en France.
  • Une jeune malgache de Tuléar, qui ne parlait quasiment pas un mot de français, plus considérée comme une femme de ménage ou une esclave qu'une épouse et maintenue "captive à la maison" par son époux français (pas le droit de sortir). Et qui finalement n'a pu échapper à son calvaire que lorsqu'une autre malgache (aussi de Tuléar) qui a elle aussi épousé un français est venue s'installer dans le même village. Le couple en question a pris contact avec des associations et un avocat , dès qu'ils ont eut connaissance de la situation, pour permettre , enfin, à la prisonnière de quitter son mari, après 5 ans de galère. Mais il s'agit sans doute encore d'une ingrate puisque pendant ces 5 ans elle avait un toit sur la tête et de quoi manger, cela aurait dû lui suffire.

Je pense que l'on pourrait en déduire d'après votre post, que dans un couple franco-malgache il y a surtout deux choses importantes: que l'épouse soit jolie et l'argent (que le mari gagne correctement sa vie) et que la pauvre malgache soit bien sûr reconnaissante d'avoir été sauvée de la misère...
Mais rassurez vous cela arrive aussi. Une amie malgache qui réside en France et avec qui je suis toujours en contact (et heureuse en couple), m'a annoncé il a 2 ans environ que son mari voulait demander le divorce, et elle ne savait pas trop quoi faire, accepter ou refuser.
Les raisons invoquées par le mari était que la santé de ce dernier (65 ans et 25 de différence d'âge) commençait à se détériorer et qu'il ne souhaitait pas être une charge pour sa jeune épouse (6 ans de vie commune et une petite fille de 4 ans) et qu'il souhaitait lui rendre sa liberté pour qu'elle puisse refaire sa vie (avec leur fille). Elle n'était pas dépendante de la retraite de son mari pour survivre, puisqu'elle a suivi une formation dès son arrivée en France et exerce depuis le métier d'infirmière. En conclusion de notre échange sur ce sujet, elle m'a finalement annoncé qu'elle refuserait le divorce, car elle ne souhaitait pas abandonné son mari dans son état après tout ce qu'il avait fait pour elle.
Mais la grosse différence me semble-t-il avec l'affaire que vous citez, c'est qu'elle était heureuse en couple (peu importe les revenus de son mari, la différence d'âge et son état de santé)
- @loicpty
Vous avez raté votre vocation d avocat!  Tout est bon pour plaider tout et son contraire! Je cite des faits bruts et vous en faites des interprétations à n'en plus finir!
Le bonheur est dans le pré ?
Il y a des vazahas trafiquants, des vazahas violents, des vazahas malhonnêtes, des vazahas avec des problèmes psychologiques / psychiatriques / manipulateurs, profiteurs de la misère des autres, infidèles, des vazahas avec des aprioris et condescendants, ... je ne souhaite à aucune jeune fille gasy de tomber dans leur griffes. Il y a des jeunes femmes malgaches profiteuses, calculatrices, grosses menteuses, infidèles, voleuses et folles qui ne méritent pas le vazaha de bonne foi. Il y a de tout mais il vaut mieux orienter les clients vers une certaine vision, n'est-ce-pas ? Esperons que ça le serve sur le long terme.
Vu le nombre dérisoire de mariages mixtes par rapport à la population générale de femmes malgaches, le titre est sacrément gonflé, mais ça ne m'étonne en rien au vu de l'orientation générale du forum, ici ce sont les femmes malgaches, là le vieux vazaha pauvre, quelque part le peuple malgache, ... non non ça n'offusque personne de les insulter y compris les administrateurs, tant que ça ne touche pas ce qui est sacré à certains groupes, c'est bon.
Après, continuez à parler, Ici on parle à tous va, mais dans la vraie vie on finit par quitter le pays avec la haine (pourquoi tant de haine, lol), à cause de ce que je pourrais englober par un "problème d'adaptation" à la Darwin.
Oui le problème d'adaptation vient de la différence des cultures des différents peuples!  Je me souviens d'un notaire ivoirien de la capitale ( a priori évolué) qui avait ordonné à son boy d'enlever le superbe tapis  qui faisait office de paillassondevatntla porte de son étude! La raison était qu'il faisait de mauvaises affaires depuis quelque temps et qu'il accusait un mauvais esprit se cachant sous ledit tapis! Avec le plus grand sérieux!' Difficile de comprendre pour un non africain😜
Et quid d'un mariage mixte entre une vasaha  et un malgache ?
Je me souviens d'un notaire ivoirien de la capitale ( a priori évolué) Difficile de comprendre pour un non africain😜
- @jumbofreddy
Un notaire africain "à priori évolué"? En connaissez vous beaucoup qui ne le sont pas? Que signifie "évolué" pour vous? C'est quoi le contraire d'un africain évolué? un sauvage? Les africains auraient-ils moins de neurones qu'un girondin? Et sauf erreur de ma part les homo-sapiens sont partis d'Afrique avant de "coloniser" le reste du monde (région des grands lacs).
La raison était qu'il faisait de mauvaises affaires depuis quelque temps et qu'il accusait un mauvais esprit se cachant sous ledit tapis! Avec le plus grand sérieux!' Difficile de comprendre pour un non africain😜 @jumbofreddy
Beaucoup d'africains croient à la sorcellerie, aux pouvoirs des guérisseurs, au surnaturel, cela les rend-t-il moins intelligent (ou moins évolué) que certains incapable de jugement critique et qui croient à la moindre fakenews (comme celles dont vous avez bombardé le forum au début de l'épidémie de covid, voire bien avant)?
Certes beaucoup d'africains (mais aussi sud-américains, asiatiques etc) ont peu accès à l'instruction, mais il n'y a, il me semble, aucun rapport entre l'évolution et le niveau d'instruction et encore moins l'intelligence...

Mais certains français "à priori évolué" continuent eux aussi à croire aux pratiques surnaturels, fer à cheval, gui au dessus de la porte, trèfle à quatre feuilles, patte de lapin ou autres grigris porte chance (et je dois en oublier beaucoup). Sans oublier toutes les croyances sur les maisons hantées qui sont d'un autre domaine mais qui concerne aussi les croyances "populaires". Certaines croyances qui persistent en France, pourraient être difficiles à comprendre pour un non français...1f914.svg

Pour ceux pour qui le post seraient encore trop long, je rappelle qu'il existe un bouton défilement sur leur souris 1f600.svg
Dominique Camus (« Enquête sur les sorciers et jeteurs de sorts en France aujourd'hui ») 2018
Les photos du récent ouvrage de Dominique Camus (« Enquête sur les sorciers et jeteurs de sorts en France aujourd'hui ») dévoilent des pratiques que l'on pensait d'un autre âge. Le simple promeneur pourrait ne pas les remarquer ou n'y voir qu'un jeu d'enfant, mais ces objets sont, pour l'ethnologue, autant de preuves d'une pratique de la sorcellerie. Ce petit sac anodin accroché à l'enclos des vaches ou ce bouquet de blé pendu à un arbre sont bien destinés à protéger les bêtes et les récoltes contre le mauvais œil.
Travailler sur la sorcellerie, c'est bien sûr rencontrer tous les acteurs concernés. Il y a ceux qui s'en disent victime, comme ce monsieur Lemoine, éleveur de cochons, qui a vu ses bêtes « se battre et s'entredévorer oreilles et queues, brisant les couveuses et les barrières, piétinant les jeunes pourceaux, dont bon nombre moururent étouffés dans la mêlée ». Ou bien cette madame Garilais, une commerçante aisée, qui a découvert un jour tous les objets en verre ou en céramique fracassés : vitrages des fenêtres, des bibliothèques, miroirs, ampoules électriques, carrelage de la cuisine… Tout y est passé sans qu'il y ait eu effraction. Et pas qu'une fois ! « Là, je savais qu' “on” me voulait du mal », témoigne-t-elle.

C'est comme une règle : les faits qui amènent les gens à se croire envoûtés sont soudains, dramatiques et répétitifs. Ce que Dominique Camus nomme « le malheur-sorcier ». Ces événements mettent en péril le domicile, la santé, l'activité professionnelle… Chez les agriculteurs, les bêtes sont atteintes, puis les terres et les hommes. Les machines agricoles tombent en panne sans arrêt. De quoi faire dire aux malheureux propriétaires : « Qu'est-ce qui va encore se passer ? » Mais il est aussi question d'amour et d'argent. Et s'il y a des victimes, il y a des bourreaux.

Des demandes d'envoûtements
Ceux qui font appel au sorcier pour procéder à un envoûtement veulent retrouver l'être aimé, comme la jeune madame Pailec, délaissée par son amant, ou prendre la place de leur chef, comme monsieur Trouadec, employé de banque. « Dépit amoureux, haine, vengeance, cupidité à l'égard d'une tierce personne, tels sont les sentiments qui guident les demandes d'envoûtements », rapporte Dominique Camus.

L'Ouest de la France ne possède pas le monopole de ces pratiques. On connaît la réputation du Berry et de l'Auvergne. En Lorraine, l'ethnologue Déborah Kessler-Bilthauer, membre du Laboratoire lorrain de sciences sociales de l'université de Lorraine et cadre de santé à l'institut régional de travail social, s'intéresse aux soins non conventionnels. Entre 2005 et 2012, elle a réalisé une enquête de terrain dans le cadre de sa thèse consacrée aux guérisseurs-désenvoûteurs contemporains et a pu s'entretenir avec 56témoins. C'est à force de rencontres qu'on l'a orientée vers ceux qui « bricolent ». Euphémisme local pour désigner les sorciers, dans une région où le mot est tabou et où l'on préfère évoquer de « méchantes gens » qui « bloquent », « pompent » ou « bouffent » leurs victimes.

Contrairement aux clichés véhiculés par les séries télé, sorciers et désensorceleurs ressemblent à monsieur Tout-le-monde. Ils sont ouvriers, fonctionnaires, agriculteurs… Rien ne les prédestine à cette pratique si ce n'est le don qu'ils possèdent. « Si les origines sociales des sorciers sont modestes, leur niveau d'instruction l'est également, témoigne Dominique Camus. Un seul sorcier parmi ceux qu'il a rencontrés est bachelier et a fréquenté l'université. Peu en font leur activité principale. Ils officient dans un décorum édifiant : autel, talismans, poupées en cire et aiguilles. D'autres s'activent dans la cuisine ou le garage de leur pavillon après leurs heures de travail. Leur clientèle n'est pas plus crédule qu'une autre, soulignent également les spécialistes. Elle est surtout désespérée après avoir épuisé les ressources du vétérinaire, du médecin et parfois du curé. « Contrairement aux idées reçues, les clients des sorciers ont une instruction supérieure à la moyenne dans la région : très peu de non diplômés et une population deux fois plus nombreuse à être bachelière », a constaté Dominique Camus. Et même si certains officiants font, dans leurs pratiques, référence au catholicisme et utilisent des prières, ils n'attirent pas davantage de croyants.

PS: je ne sais pas s'ils sont évolués ou non, mais d'après ce que j'ai pu voir dans les publications récentes, certains malgaches ont compris comment faire pour ne pas republier l'intégralité d'un post (surtout lorsqu'il est long) 1f644.svg
il manque un quatrième scenario réel! qui a fait l'objet d'une émission de " Crimes" en france récemment; l'histoire dune malgache jolie qui épouse un français et vient vivre avec lui en france; qui demande le divorce quelques temps plus tard, à la surprise du mari,( dont la situation professionnelle état tout à fait correcte(!! qui se met à rencontrer pas mal d'hommes, et qui avec le dernier en date(sans profession)  assassine le célibataire français amoureux d'elle ,( aprés l'avoir délesté de ses économies de 9000 euros)! tout ça pour ça!
- @jumbofreddy
Vous avez raté votre vocation d avocat!  Tout est bon pour plaider tout et son contraire! Je cite des faits bruts et vous en faites des interprétations à n'en plus finir!  - @jumbofreddy
Des faits bruts???
Si la présumé coupable (je ne sais pas si un jugement a été rendu) du meurtre avait été normande, bretonne, corse, etc auriez vous précisé si elle était jolie ou non? Si elle n'avait pas été malgache, auriez vous été étonné qu'elle demande le divorce alors que son mari (ou ex mari) "avait une situation professionnelle tout à fait correct"? Cela se produit pourtant dans des centaines voire des milliers de couples en France chaque année...

Pour moi les faits bruts sont simplement: une femme et son amant assassinent le mari ou l'ex-mari de cette dernière (ou sont présumés coupable de cet assassinat si un jugement n'a pas été rendu). POINT BARRE
Je me souviens d'un notaire ivoirien de la capitale ( a priori évolué) Difficile de comprendre pour un non africain😜
- @jumbofreddy
Un notaire africain "à priori évolué"? En connaissez vous beaucoup qui ne le sont pas? Que signifie "évolué" pour vous? C'est quoi le contraire d'un africain évolué? un sauvage? Les africains auraient-ils moins de neurones qu'un girondin? Et sauf erreur de ma part les homo-sapiens sont partis d'Afrique avant de "coloniser" le reste du monde (région des grands lacs).
La raison était qu'il faisait de mauvaises affaires depuis quelque temps et qu'il accusait un mauvais esprit se cachant sous ledit tapis! Avec le plus grand sérieux!' Difficile de comprendre pour un non africain😜 @jumbofreddy
Beaucoup d'africains croient à la sorcellerie, aux pouvoirs des guérisseurs, au surnaturel, cela les rend-t-il moins intelligent (ou moins évolué) que certains incapable de jugement critique et qui croient à la moindre fakenews (comme celles dont vous avez bombardé le forum au début de l'épidémie de covid, voire bien avant)?
Certes beaucoup d'africains (mais aussi sud-américains, asiatiques etc) ont peu accès à l'instruction, mais il n'y a, il me semble, aucun rapport entre l'évolution et le niveau d'instruction et encore moins l'intelligence...

Mais certains français "à priori évolué" continuent eux aussi à croire aux pratiques surnaturels, fer à cheval, gui au dessus de la porte, trèfle à quatre feuilles, patte de lapin ou autres grigris porte chance (et je dois en oublier beaucoup). Sans oublier toutes les croyances sur les maisons hantées qui sont d'un autre domaine mais qui concerne aussi les croyances "populaires". Certaines croyances qui persistent en France, pourraient être difficiles à comprendre pour un non français...1f914.svg

Pour ceux pour qui le post seraient encore trop long, je rappelle qu'il existe un bouton défilement sur leur souris 1f600.svg
Dominique Camus (« Enquête sur les sorciers et jeteurs de sorts en France aujourd'hui ») 2018
Les photos du récent ouvrage de Dominique Camus (« Enquête sur les sorciers et jeteurs de sorts en France aujourd'hui ») dévoilent des pratiques que l'on pensait d'un autre âge. Le simple promeneur pourrait ne pas les remarquer ou n'y voir qu'un jeu d'enfant, mais ces objets sont, pour l'ethnologue, autant de preuves d'une pratique de la sorcellerie. Ce petit sac anodin accroché à l'enclos des vaches ou ce bouquet de blé pendu à un arbre sont bien destinés à protéger les bêtes et les récoltes contre le mauvais œil.
Travailler sur la sorcellerie, c'est bien sûr rencontrer tous les acteurs concernés. Il y a ceux qui s'en disent victime, comme ce monsieur Lemoine, éleveur de cochons, qui a vu ses bêtes « se battre et s'entredévorer oreilles et queues, brisant les couveuses et les barrières, piétinant les jeunes pourceaux, dont bon nombre moururent étouffés dans la mêlée ». Ou bien cette madame Garilais, une commerçante aisée, qui a découvert un jour tous les objets en verre ou en céramique fracassés : vitrages des fenêtres, des bibliothèques, miroirs, ampoules électriques, carrelage de la cuisine… Tout y est passé sans qu'il y ait eu effraction. Et pas qu'une fois ! « Là, je savais qu' “on” me voulait du mal », témoigne-t-elle.

C'est comme une règle : les faits qui amènent les gens à se croire envoûtés sont soudains, dramatiques et répétitifs. Ce que Dominique Camus nomme « le malheur-sorcier ». Ces événements mettent en péril le domicile, la santé, l'activité professionnelle… Chez les agriculteurs, les bêtes sont atteintes, puis les terres et les hommes. Les machines agricoles tombent en panne sans arrêt. De quoi faire dire aux malheureux propriétaires : « Qu'est-ce qui va encore se passer ? » Mais il est aussi question d'amour et d'argent. Et s'il y a des victimes, il y a des bourreaux.

Des demandes d'envoûtements
Ceux qui font appel au sorcier pour procéder à un envoûtement veulent retrouver l'être aimé, comme la jeune madame Pailec, délaissée par son amant, ou prendre la place de leur chef, comme monsieur Trouadec, employé de banque. « Dépit amoureux, haine, vengeance, cupidité à l'égard d'une tierce personne, tels sont les sentiments qui guident les demandes d'envoûtements », rapporte Dominique Camus.

L'Ouest de la France ne possède pas le monopole de ces pratiques. On connaît la réputation du Berry et de l'Auvergne. En Lorraine, l'ethnologue Déborah Kessler-Bilthauer, membre du Laboratoire lorrain de sciences sociales de l'université de Lorraine et cadre de santé à l'institut régional de travail social, s'intéresse aux soins non conventionnels. Entre 2005 et 2012, elle a réalisé une enquête de terrain dans le cadre de sa thèse consacrée aux guérisseurs-désenvoûteurs contemporains et a pu s'entretenir avec 56témoins. C'est à force de rencontres qu'on l'a orientée vers ceux qui « bricolent ». Euphémisme local pour désigner les sorciers, dans une région où le mot est tabou et où l'on préfère évoquer de « méchantes gens » qui « bloquent », « pompent » ou « bouffent » leurs victimes.

Contrairement aux clichés véhiculés par les séries télé, sorciers et désensorceleurs ressemblent à monsieur Tout-le-monde. Ils sont ouvriers, fonctionnaires, agriculteurs… Rien ne les prédestine à cette pratique si ce n'est le don qu'ils possèdent. « Si les origines sociales des sorciers sont modestes, leur niveau d'instruction l'est également, témoigne Dominique Camus. Un seul sorcier parmi ceux qu'il a rencontrés est bachelier et a fréquenté l'université. Peu en font leur activité principale. Ils officient dans un décorum édifiant : autel, talismans, poupées en cire et aiguilles. D'autres s'activent dans la cuisine ou le garage de leur pavillon après leurs heures de travail. Leur clientèle n'est pas plus crédule qu'une autre, soulignent également les spécialistes. Elle est surtout désespérée après avoir épuisé les ressources du vétérinaire, du médecin et parfois du curé. « Contrairement aux idées reçues, les clients des sorciers ont une instruction supérieure à la moyenne dans la région : très peu de non diplômés et une population deux fois plus nombreuse à être bachelière », a constaté Dominique Camus. Et même si certains officiants font, dans leurs pratiques, référence au catholicisme et utilisent des prières, ils n'attirent pas davantage de croyants.

PS: je ne sais pas s'ils sont évolués ou non, mais d'après ce que j'ai pu voir dans les publications récentes, certains malgaches ont compris comment faire pour ne pas republier l'intégralité d'un post (surtout lorsqu'il est long) 1f644.svg
- @loicpty
De plus en plus pointu dans l exégèse de texte! A quand la Thèse🏋🏻‍♀️
Et quid d'un mariage mixte entre une vasaha  et un malgache ?
- @jpmadalu
Aussi rarissime qu ‘un éléphant blanc ?😂
Oui le problème d'adaptation vient de la différence des cultures des différents peuples!  Je me souviens d'un notaire ivoirien de la capitale ( a priori évolué) qui avait ordonné à son boy d'enlever le superbe tapis  qui faisait office de paillassondevatntla porte de son étude! La raison était qu'il faisait de mauvaises affaires depuis quelque temps et qu'il accusait un mauvais esprit se cachant sous ledit tapis! Avec le plus grand sérieux!' Difficile de comprendre pour un non africain😜
- @jumbofreddy

Ce qui est intéressant, c'est votre propension à rabaisser ce que vous n'êtes pas à même de comprendre. Cela donne déjà un aperçu de votre niveau par rapport à cet Africain qui exerce la noble profession de notaire.
Article trouvé par hasard, qui n'est pas récent (2007) mais toujours d'actualité et l'activité semble même s'être fortement développée, mais aujourd'hui plus besoin de cyber, la plupart utilisent directement leurs smartphones...1f60f.svg


Les petites fiancées de l'Internet
Leurs aînées passaient des petites annonces dans "Le Chasseur français". Aujourd'hui, c'est dans les cybercafés que les jeunes femmes de Diego-Suarez, au nord de Madagascar, cherchent un mari français.

Pour lire la suite:
https://www.lemonde.fr/afrique/article/ … _3212.html
Il est également intéressant de savoir , du moins à Tanà, que dans les années 80-90 c'était mal vu pour les filles de s'afficher avec les vazaha dans les rues de la capitale  car elles étaient considérées comme des prostituées ("cox", "Makôssa" en argot malgache de cette période).
Chez certaines filles, il y avait toujours cet envie de vouloir quitter le pays pour aller à "l'étranger" pour avoir un niveau de vie décent. Mais à l'époque, les filles ne cherchaient pas trop  un époux vazaha, ne se bousculaient pas pour répondre à des "annonces de coeur" publiées dans les presses écrites ou sur le tableau de petites annonces à l'entrée des supermarchés. Les filles cherchaient souvent des bourses d' étude car elles considéraient qu'être diplômées d'une université étrangère leur permettraient une ascension sociale. D'autres filles cherchaient plutôt du travail (la plupart de temps pour être gouvernantes).
Au début des années 2000, c'était toujours le cas (bourses d'études, emploi). Mais lorsque les cybercafés pullulent les coins de rue (et le business de cybercafés a détrôné le business de poulets de chair!) et les filles/femmes découvrent les sites de rencontre, l'engouement de certaines filles pour un mariage avec un vazaha a commencé. Cette période était aux alentours de 2005.
Maintenant, ça semble un peu dépassé de considérer comme une prostituée une fille gasy avec un homme vazaha (à moins qu'elle ait les cheveux peroxydés et s'habille vulgairement). Maintenant certains individus  voient une telle relation comme quelque chose de positif (pouvoir quitter le pays ou avoir un bon niveau de vie par rapport à celui de sa famille...).

Enfin malgré la pauvreté, toutes les filles/femmes gasy ne sont pas toutes à la recherche d'un vazaha.
Et en matière de mariage, les mauvaises femmes et les mauvais hommes existent partout dans le monde. Il  y a des mariages mixtes qui marchent bien et il y en a ceux qui ne marchent pas.
Fermé