Bonjour à tous,
Désireux d'utiliser la compagnie aérienne nationale, d'autant plus qu'elle était moins chère qu'Air France, j'avais pris l'habitude d'utiliser Air Madagascar.
Or, les trois derniers vol aller-retour que j'ai pris ont été de plus en plus catastrophiques.
- vol retour retardé non annoncé une première fois,
- vol retour avancé, non annoncé pour une seconde fois,
- puis vol aller retardé une troisième fois.
La troisième fois le vol de minuit a été retardé à 8 heures du matin, et donc, nous avons été contraints de prendre une chambre d'hôtel de proximité pour être à 4 heures à l'embarquement, puis le vol a été reparté à 11 heures, puis à 18 heures !!! Pour compensation, nous avons eu droit à un café en guise de petit déjeûner, puis à un sandwich-fromage avec orangina pour le déjeûner. Au moment de passer à l'embarquement,puisque les "transit" avaient la priorité, nous n'avions droit qu'au reste et nous nous sommes vu signifié d'attendre un autre vol et comme nous étions résidents, on lous a dit de retourner chez nous et d'attendre. Fou de rage, j'ai bloqué un accès en attendant une réponse positive, ou la police, ou les médias (où étaient les médias ?), et finaleent nous avons pu embarquer de justesse. Aumoment de sortir de l'espace d'embarquement, les terminaux étaient bloqués, on nous a fait passés d'une porte à l'autre, rien ne nous a été épargné !!! Un passager français a dit derrière moi : "même en le faisant exprès, on ne purrait pas y arriver".
J'ajoute que pour les vols avancés ou retardés sans annonce, nous avons pu obtenir un dédommagement (sur justificatifs) après nous être déplacés plusieurs fois et menacés une intervention de la justice.
Je n'ai pas réclamer quoi que ce soit pour le troisième vol, mais il ne faut pas parler à ma femme d'air madagascar dont les prestations à bord étaient minimalistes (j'ai même l'impression qu'on se moquait de nous !!!
Depuis, nous utilisons Air Austral, ou Air Seychelles, beaucoup plus professionnelles, et sérieuses.
A bientôt pour vos commentaires,
Bon dimanche,
Jean-Louis ROBINET