Je devrais le savoir depuis le temps, mais je ne m'en suis jamais préoccupé.
Contrairement à ce qui se fait en France, les principaux actes d'état-civil (naissance, mariages, union stable, etc.) sont enregistrés chez un entrepreneur privé, le cartorio, censé tout garder dans ses archives.
Mais y-a-t-il quelque part une centralisation des actes, pour le cas où l'étude fermerait, brûlerait, etc?
Autre chose: le test ADN de paternité est-il recevable en justice? Peut-on contraindre un homme à le subir? (en France non, mais le tribunal PEUT (et non pas "doit") juger que le refus est une forme d'aveu)
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