Moi ? Jean...Présentation.

Moi Jean, je raconte JEAN...

   Je personnifie l'étincelle créatrice paraît-il !
   Mon enthousiasme et mon ambition me poussent toujours plus loin. Mes coups de tête et mes coups de cœur sont le moteur de mes activités.

   Je fonce tête baissée sans prendre le temps de réfléchir, ce qui me pousse à des actes aux conséquences parfois lourdes.

   Cependant je ne crains ni l'action ni les défis, car j'ai le goût du risque.
 
   J'aime vivre dangereusement, et rien ne vous motive davantage que les actions sublimes, de préférence gratuites, qui font de moi un héros. J'aime les situations nettes, et ne connais guère l'art de la concession.
   Je supporte mal les normes et l'officiel, car je refuse de me fondre dans la masse. Lorsque l'on m'impose des choix qui ne sont pas les miens, je me sens menacé dans mon intégrité, et l'on peut redouter ma riposte.

   J'accepte mal mes défaites, mais je sais me remettre en question : je suis sincère et je refuse de tricher. C'est pourquoi je suis irrité par le mensonge et la trahison. Je réagis spontanément…
   Gare à mes colères ! Je suis tout aussi entier dans mes relations avec mon entourage. Généreux et convivial, je donne sans compter.

   Si je me sens en confiance, je peux même faire preuve d'un grand sens du sacrifice. Je me trompe rarement dans mes jugements sur les autres, ce qui m'évite de perdre du temps, d'autant que je ne me laisse pas envahir par mes doutes.

   Attention je ne suis pas infaillible et je risque, dans ma hâte, de manquer de discernement. Je déborde d'énergie ; je pense qu'il serait sage de canaliser ce surplus de vitalité par des activités physiques.
   J'ai tendance à négliger ma santé, à mésestimer mes efforts et à braver la douleur. Je risque de dépasser mes limites et de me retrouver vite épuisé.

Travail :
   Je sais me mettre en avant et faire remarquer ma détermination.

   Mon courage, mon goût de l'héroïsme et mon sens de l'autorité m'attirent parfois vers le métier des armes. Je réussis également bien dans les professions libérales, notamment dans les milieux médicaux (Sapeurs pompiers) où je  fais, par exemple, un bon en tout, plus intéressé par l'exploit que par l'argent. Je suis assez entreprenant pour mettre sur pied des affaires vouées à la réussite.

   Je me méfie de : mon optimisme me pousse à voir un peu trop grand.

   Ce n'est pas l'appât du gain qui me stimule, mais le désir de vaincre.
   L'action politique, si elle n'est pas trop entachée de compromis, me séduit. Tout ce qui surprend me donne envie d'entreprendre, car j'adore le saut dans l'inconnu.

   En revanche, surtout dans le travail, mon manque de tact risque de me placer dans des situations inconfortables. Il faut que je conserve un peu de recul et devrais rester vigilant. Suis libre comme l'air depuis 1986... J'ai eu des enfants (5) aujourd'hui indépendants…

   Marié à l'age de 23 ans, j'ai eu des enfants :
   Une fille Sonia : en 1967... 
   Un garçon Jeaniel : en 1977...
   Et un autre Cédric : en 1980... Mais libre et Seul depuis 1986)
   Pui deux filles… Jane en 1994 puis Alice 1995…

   Pardon, aujourd'hui!! Je suis pressé… Suis artisan…Je reprends le  boulot jusqu'à pas heure ! J'ouvre souvent les serrures des portes le jour, la nuit et jours fériés (on vient me réveiller - Police/Gendarmerie).

   - Serrurier de ville c'est comme cela… Mais cela peut changer… (Je le veux bien)
   Ma vie à ce jour passe beaucoup par l'écriture… Natif d'Angers / toute ma famille est aux Sables d'Olonne (A la Chaume) ou Angers… Mais rien ne me retient à TOULOUSE  si ce n'est mon Artisanat :

   SERRURIER ASSISTANT A L'OUVERTURE AFFUTEUR INDUSTRIEL/DOMESTIQUE
   Suis collé à mon artisanat comme à un parent…

   SERRURIER AIDE A L‘OUVERTURE DE PORTES COFFRES ET AUTRES…
   
   Je possède également un Cabinet d'Orientation professionnelle et d'Aide à la gestion d'entreprise…

   Chiens : 1 Chihuahua - 1 lévrier… & 1 Loup !

   J'AIME : La pêche en maraude (Au lancer, oui il faut que ça bouge - Marche)… Les balades à pieds, les marches même longues, les champignons dans les bois, les restos, les cinés…

   JE NE SUPPORTE PAS : Le Foot, la foule, la circulation, ne rien faire, ne pas faire la cuisine, les fumeurs, les importants, les importuns, les gens sales, les menteurs, les voleurs, les cons, les illettrés, ceux qui savent tout en tout, les racistes, les maquillées et ceux qui ne rendent pas service et les autres…

   OUI ! J'en oublie… Je le sais !Avec toi nous pourrions allonger la liste…

   - « Si on s'écrivais ! » - « Et si on se parlait» … « Hein ?  On est grand »  … « Qu'en penses-tu ? » ...Et si tu te présentais comme cela !? OUI comme moi avec force détails... NON !??
Ha ! C'est la pudeur?

   Pour cette nuit, ma nuit… Stop ! 
   Il est 3 h.30 heures bientôt …. Bonne nuit… Je travaille quand certains dorment. Et la Num... et l‘Ordi !

Côté cœur :
   L'impulsivité et la passion dominent ma  vie sentimentale. Je tombe amoureux dans la minute. J'adore conquérir et séduire, et dans l'heure qui suit, exposer à l'être aimé, avec la plus grande sincérité, mes projets d'avenir.

   Attention, ma passion peut être aussi éphémère qu'immédiate ! Je ne supporte pas d'être délaissé, et je m'arrange toujours pour « enchaîner » les conquêtes avec, chaque fois, autant de flamme.

   Le « mariage » ne me fait pas peur !
Je contrains peut-être mon partenaire et les miens à adopter mon rythme de vie effréné.

   Prudence ! Même si mon comportement est souvent motivé par le désir de faire partager mon enthousiasme, j'ai du mal à ce que tout le monde ne fonctionne pas comme moi.

   Je risque de laisser, dans le feu de l'action, de la passion et de l'impulsion, mon partenaire insatisfait par ma fougue amoureuse.

   Mon impulsivité et mon caractère entier peuvent m'aveugler et me faire manquer de recul face à certaines personnes.

   Il faut que je me garde, contre toute apparence, à ne pas me faire « manger la laine sur le dos » par celui ou celle que j'aime.

   Ma vitalité :
   Je méprise la fatigue et je ne m'intéresse  guère à mon  état de santé. Je ne sais pas m'arrêter ; la maladie m'atteint alors d'une manière fulgurante, inattendue.

   A la longue, cela peut m'affecter le moral.
   Quel que soit mon rythme, il faut que je me ménage des périodes de récupération au soleil et au grand air, et renouveler ainsi ma  force dilapidée dans ma vie professionnelle et sentimentale. Je m'épuise et m'expose aux accidents.

   Je me blesse facilement, surtout au visage et au crâne, (mes points faibles).

   Excessif dans bien des domaines, j'ai du mal à me limiter, qu'il s'agisse d'alimentation.

   Je déborde d'enthousiasme dans tout ce que je fais, mais je suis très émotif ; ce mélange me rend vulnérable, et de ce fait j'ai  tout intérêt à apprendre à freiner mon impulsivité.

   Ma vie :
   Quand je suis né, ce matin là, il neigeait encore paraît t'il, je ne savais pas encore que ma mère était peut-être détestable ni que mon père avait une telle mentalité de prolo qu'elle l'empêcherait jusqu'à sa mort de prendre un crédit sur vingt ans pour faire construire une maison moche dans un lotissement laid qui ne vit jamais le jour.
   Quand on naît comme moi à Trélazé, on ne sait rien.

   Quand on naît, on crie.

   C'est sans doute histoire de perdre, dès le début, toutes les illusions de la vie fœtale, sans contraintes et sans impôts, sans plan de carrière.

   J'en profite pour rappeler à mes amis cadres qui me lisent sur leur temps de travail qu'une carrière est avant tout un trou.

   Faire son trou c'est faire carrière et il y a mieux à faire mais moi non plus, je n'ai pas trop su, rassurez-vous.
   Tiens ! Je suis né pile le jour de mon anniversaire, c'est à dire demain, si j'arrive à activer ce foutu serveur ce soir et à mettre ce texte en ligne avant qu'il ne tombe à l'eau de lui-même.

   Quand je suis né… J'étais petit, et quand on est petit on ne sait pas qu'on ne change pas vraiment. (J'avais eu le temps de compter jusqu'à 9 puis la Numérologie m'enfonça encore son arme chiffrée dans le dos – A moi Jean ! Le futur Artisan des Nombres…)

   Contrairement a l'anniversaire de mes vingt ans et dès que j'y pense, j'entends Aznavour chanter, l'anniversaire de presque mes deux fois vingt ans (et quand j'y pense, j'entends Barbara chanter) sera moins alcoolisé que l'autre et moins tardif, j'étais en plus militaire depuis 2 ans à cette première époque… Volontairement engagé… Par mon Père !

   A vingt ans ou un peu plus, après quelques bouteilles, les quelques copains qui étaient là sont partis,  partis danser et j'avais tellement bu et j'avais tellement les cheveux longs et en fait, j'avais tellement de cheveux, que j'étais incapable de me lever pour les suivre et de toutes façons, je n'aime pas danser sans une fille inconnue et cambrée dans mes bras… (C'était l'époque…)
Raide dans mon lit, je rigolais, j'avais vingt ans.
Si c'est votre cas, profitez-en, ce n'est pas fini.

   A vingt ans j'étais très très con (tout comme vous). Il faut dire que j'ai été un enfant sauvage jusqu'à la terminale, j'ai donc des excuses. Tous mes copains avaient des parents d'élèves, il faut comprendre la différence. (Les miens étaient Enseignants).

   Il faut dire aussi que j'ai élevé des cochons d'Inde jusqu'à vingt-quatre ans, que j'ai pleuré quand mon chat est mort à 28 ans et que j'ai eu un mal fou à abandonner ; sur les ordres de l'une des mes premières « femmes » ; Maurice, un gros lapin pacifique qui sentait le foin et avait tout le temps la chiasse dans notre petit appartement.

   Avant, au lycée, j'avais des facilités dans la parlote comme disait la pulpeuse Sandrine qui redoublait sa terminale pour la seconde fois (où es-tu, Saaalope ?), et je vivais sur mes acquis, sans doute ceux du C.P. parce qu'après, j'étais dispensé de sport.

   J'étais vraiment très con, partisan du moindre effort et surtout le pire, je trouvais le temps de m'ennuyer, ce qui est sans aucun doute la pire chose qui puisse arriver à un imbécile prétentieux.

   J'étais donc tout cela à la fois, ainsi qu'un amant lamentable collant un casque hi-fi sur les oreilles de Françoise (La fille du postier) des fois que Pink Floyd lui provoque quelques orgasmes clitoridiens pendant que je faisais de mon mieux...

   Quand j'y repense docteur, j'ai honte.
   - « Est-ce grave ? »
   - « … »
   Je peux vous dire que la honte à du bon.
Même ma Fille So, aujourd'hui, l'avoue…

   Il est vrai que les jeunes femmes feraient mieux de coucher avec moi et leurs copains avec des rombières de la cinquantaine n'ayant plus rien à perdre mais à l'appétit digne des forçats de Cayenne, les soirs torrides où leurs cris de rut faisaient peur même aux animaux de la campagne alentour. Même les taupes s'en souviennent…

   J'étais aussi un mauvais « musicien » qui n'avait ni les mains ni les oreilles et juste l'envie, un piètre étudiant (J'ai fait serrurier- ferronnier d'Art en province, imaginez un peu), pas encore ouvrier amateur et incapable de faire des crêpes sans recette.

   Quand je demande aujourd'hui à mes amis ce qu'ils savent faire, je suis rassuré.

   Le néant n'est jamais loin et j'ai souvent ce sentiment océanique en les regardant, sentiment qui se transforme très vite, par un étrange procédé chimique, en envie de départ, de fuite absolue.

   Si seulement l'une d'elles le savait. Mais je leur fais peur c'est normal.

   On ne change pas vraiment. On se plie juste un peu. On arrondit les angles. Mais je sais bien en revoyant parfois de vieux copains que la trajectoire est lancée dès les années du collège, et je suis sûr…
   Tiens! Je suis sur qu'Éric le timide, le rougeaud, le rougeoyant même, avec ses boutons volcaniques et auvergnats plein la gueule roses et orangés, je suis bien certain qu'il est presque toujours le même aujourd'hui, les déclics, c'est rare, sauf accident.

   On se taraude, on se fraise, on se meule, ça sent le BEP travaux manuels mais globalement, tout est joué très tôt.

   Un CAP, à Narcé en Anjou ?
   Mais quand… ?  1961 ?!!

   En regardant mes mômes, j'ai l'impression que dès deux ans, l'affaire est dans le sac...

   En tout cas, si vous tous, lisez ce texte vers un 3 avril avant ma mort (l'espérance de vie étant passée à 80 ans hier, essayez de le faire avant 2026 ou 26...), merci de me faire parvenir votre e-mail et de me souhaiter un excellent anniversaire, c'est toujours ça de pris…

   Et si tu te présentais comme cela !? OUI comme moi avec force détails... NON !??
   Ha ! C'est encore le courage...

   Oui, je disais donc avant de délirer…

   Moi? Je suis né un matin de printemps à 7 heures dans un petit village angevin nommé Trélazé, mes parents décident de m'appeler Jean. (Je l'ai déjà dit je le sais il ne faudrait pas prendre pour un… Mais une piqûre de rappelle reste souvent indispensable ! Surtout pour certains !!)

   Merci !
   --- On entend au loin l'écho d'une guerre finissante, la rosée envahit les prairies et brille de mille feux sous l'effet du soleil, il fait très beau évidemment, quelques papillons s'enhardissent, se décollent les ailes tandis qu'un coucou s'entraîne, avertissement de la nouvelle saison. Le premier anniversaire de mon frère Jacques vient de sonner au village.

Village ? Oui, mais surtout capitale de notre belle pierre bleutée, appelée : Ardoise.

   --- Cette dernière est extraite du sous-sol dans les mines mondialement connues par les gens de toiture. Toutes les maisons bourgeoises, et cela bien avant le Roi René, Duc d'Anjou dont le  château s'étale au bord de la Maine entre le pont de la basse chaîne et le pont de la haute chaîne à Angers, en sont bardées.

   Pour la petite histoire : (Le chef des armées donne l'ordre de tendre juste en dessous du niveau de flottaison des bateaux ou relâcher de grosses chaînes d'acier en aval et en amont de la rivière afin de ralentir ou d'arrêter les invasions batelières, puis on balance à l'aide de catapultes des grosses pierres sur les assiégeants, tout cela du château et du pont du centre...

   Ehhhh ! TOI ! Tu m'écoutes ?

   --- A l'origine, les tours du château d'Angers sont chapeautées de toits coniques ardoisés, toits disparus depuis, détruits par les différentes guerres ou batailles des hommes...

   Bien-sur tous les châteaux du bord de Loire ainsi que toutes les maisons de ma région, bénéficient de cette magnifique trouvaille souterraine découpée au fil des ans de plus en plus fine pour avoir nos ardoises d'aujourd'hui.

   --- Mines ou travaille depuis des siècles toute une population.

   De parents enseignant et artisan, je suis né et élevé, dans cette région ouvrière, minière et campagnarde.

   --- Suivant l'éducation, l'enseignement et les mutations de mon institutrice, Maman.

   Plus tard, avec mes parents, frères et sœur  je déménage dans un autre petit village encore plus petit appelé Saint Jean de la Croix, juste à côté des Ponts-de-Cé. (49)

   --- Pour la petite histoire : (Ponts-de-Cé qui d'après la légende tient son nom de César qui, recevant une flèche ou autre blessure juste au moment de l'invasion avec Vercingétorix, dit en passant la Loire - sur le pont de DUMNACUS (Chef des Andegaves).
   - « Ici, la ville s'appelle LES PONTS de CE..SAR !» Mais ne peut continuer sa phrase, mortellement blessé).

J'habite en plein centre du village à l'école mairie sur la place de l'église en face du dépotoir... Et du puits communal ! Bizarre ! Non !

   --- La cour de récréation de l'école est notre cour personnelle et nous jouons, frères et sœur les jours de congés. Mais cette cour est vite trop petite, nous grandissons...

   De l'espace, il nous en faut d'autre ; alors, derrière la porte s'ouvrent d'autres horizons. L'inconnu, mais vite investit...

   --- Alors des travaux de construction prennent une extension surprenante, des pinces, des marteaux, du fils de fer, des clous nous accompagnent à chaque voyage dans les bosquets de cette descente, afin de construire « La cabane ».
Robinson nous a t-il inspiré ?

   --- Non ! Je crois que tous les enfants construisent des cabanes surtout en campagne...

   Notre père cherche souvent ses outils ; que nous n'avons jamais touchés...

   --- Plus tard nous poussons notre exploration dans le tout-bas de la descente, coupant à la scie, à la hachette, sécateur les branches gênantes formant des chemins des allées et nous courrons comme des fous inventant je ne sais quel fantôme ou sorcière... Il fait presque nuit...

   Des arcs, des flèches, des lance-pierres de notre fabrication, nous arment comme de véritables trappeurs les jours suivants.

   --- Puis un jour, tout en progressant sur notre terrain de jeux marchant quelques dizaines de minutes le long des sentiers bordés de peupliers et de saules, le terrain devient plus mou, sablonneux et la, droit devant, un bruit étrange nous arrête, un bruit que je peux décrire, comme un glissement doux et fort à la fois, annonçant un danger en même temps...

   Nous découvrons un point d'eau et le bruit du courrant, oui, ça fait un bruit même sans cascade, celui du sable et gravillons qui roulent emmenés par la force de l'eau, et de dire :
- « Oh ! Jackie* la LOIRE ! » (Mon frère*)

   Déjà vu en passant sur le pont, dans la voiture mais jamais sur les berges, sur le bord de mes 9 ans, moi tout seul, comme un explorateur... Ca  impressionne je te le dis... On se sauve…

   --- S'en est trop... Je ne raconte pas tout de suite ma découverte à la maison le jour même, la peur de l'interdit ; mais me jurant bien de construire une canne à pêche ou tout autre piège afin de sortir un ou plusieurs poissons de l'eau... Je vais revenir... Histoire de...

   L'été est là nous avons grandi et les sables, les branches, les cailloux, les rats-gondins, les hérons, les abeilles, les nids de pie, de corbeaux, les poissons du fleuve sont à tous nos jeux, notre terre d'accueil.

   --- Pour la petite histoire : La Loire, tous les ans recouvre les terres, arrache les plus petits arbres au cours de la « crue », coupe même les plus gros quand elle charrie des glaçons qui s'entrechoquent, qui glissent à la verticale, immenses comme des églises et qui retombent avec un fracas indescriptible dans des tourbillons d'écume glacée.

   Oui, je l'ai vu, vécu tout ça 1956, l'eau monte très haut et seule la route qui borde le village sert de digue, de protection pour les champs cultivés et les maisons les plus basses.

   --- La levée va t-elle tenir ? Et bien sur s'occuper des animaux au sec... Quelle vie d'Angevin !

   La levée comme on l'appelle (la route) est coupée à plusieurs endroits, l'eau passe par dessus, creuse des trous, des galeries en dessous, toute la région est inondée de ce fait je ne loupe pas une occasion pour faire un tour en barque avec les gens du village.

   --- Même la nuit ou le matin vers 4 heures de connivence avec Maman je pars à la chasse aux canards avec le Maire de St. Jean : M. ODÉE. - Quel pied ! Que d'eau !

   Qu'elle étendue, plate, silencieuse, impitoyable, happant la mort à son passage, mort des animaux, mort des végétaux et parfois des humains.

   Pour moi c'est beau, pour les producteurs de légumes une catastrophe !
Je vois des vaches dans la cour de l'école de Saint Jean de la Croix, sous les préaux, montées sur des litières de fagots de bois mort, parce que l'eau monte, monte même dans la cour de récréation. (Quel merdié après !)

   --- Tout le monde au village en de telle circonstance est sur le pied de guerre, tous les villageois se déplacent en barque, tu sais les grandes barques noires du bord de Loire, c'est le seul moyen de locomotion pendant les inondations, nous, mon frère et moi ça nous amusent... Les bateaux, les vaches dans la cour...

   Pour une fois que l'on les a de près, les toucher, leur donner à manger, et puis on rencontre aussi du monde... Les paysans viennent s'en occuper, nous apportent également des vivres et remportent du tabac ou autre... (A l'école on faisait dépôt de tabac.)

   --- Si la Loire arrache des arbres pourquoi pas nous ! Alors les grands travaux ont commencé, haches, scies, marteaux, clous, cordes, branches tressées tout faisait corps pour notre nouvelle cabane sur pilotis, oui une cabane perchée entre quatre gros arbres que le courant ne nous emporte pas, voilà notre nouveau plan !

   ---  L'ouvrage terminé nous en sommes enchantés... Une grosse corde pour y monter, une échelle pour les filles, ouais ! Y avait des filles !
Ben quoi, c'est interdit !?

   Que de sorties les longs des rives, que de promenades aux bords des petits bras de Loire ou trous d'eau calmes, que de papillons de sauterelles, de hannetons piqués par des épingles sur des planchettes rapportés en classe et des fourmilières en veux-tu en voilà, des poissons ramenés à la maison, des grenouilles dans des bocaux, maman qui cherche ses bocaux, des feuilles, des herbes, des fleurs séchées collées sur des cahiers pour apprendre et se souvenir, des bouquets énormes de boutons d'or, de clochettes coucou ou de marguerites ornent les fenêtres de notre maison il y en avait partout.

   --- Je ne te parle pas des courses d'escargots sur la table de la cuisine...
Quelle joie de vivre en campagne, en liberté... Tout l'inverse de la maison ! Moi qui ne rêve que d'espace, de grands espaces, de vie sauvage de viande ou de poisson cuit à la braise, de camping de pêche, de feu de camp, de champignons et de fruits de bois...

   Je pousse même la plaisanterie d'aller aider les cultivateurs voisins dans leurs travaux et ça par plaisir d'être dehors ! Et de rentrer seul comme un homme sur le cheval de trait, au petit galop à la tombée du jour.
--- C'est pas le pied tout ça ?
- Bien sur, faut pas déconner ! Avec en prime les mollets en sang par le frottement...

   Mon père est souvent en déplacement ; et même ne s'occupe jamais de nous. A son retour je tremble...

   --- Mon frère et moi sommes comme propriétaires de la contrée, tu te rends comptes, propriétaire à 12 ans ? Nous connaissons tout, tout le monde, partout sur des kilomètres et même plus loin parce qu'un jour nous avons eut un vélo, chacun, moi celui de mon père c'est suffisant parait-il, mais qu'importe ça le fait...

   On peut aller plus loin, plus vite, plus longtemps et ailleurs...

   --- C'est ce que nous recherchons, moi surtout...

   Le soir, à la nuit, il faut rentrer fatigué bien-sur, cassé, fourbu, avec des bosses des écorchures, des plaies, des vêtements sales et déchirés parfois, des engueulades, des punitions, mais déjà de nouveaux projets germent dans ma tête pour demain...

   - « Il me faut emporter ça et ça et puis encore tout cela... » Mes poches sont toujours bourrées à craquer tout comme les sacoches du vélo...

   --- Voyant notre enthousiasme Maman nous inscrit aux Éclaireurs de France... Scoutisme... Donc re-vélo, donc re-sorties... Les jeudis et samedis-dimanches...

   Ca ne peut pas mieux tomber :

   - Oh! Oui! Les sorties les réunions au « local », les copains, les feux de camp, les guitares, les vacances dans les montagnes - Massif central, Pyrénées, les camps autour d'Angers, jeux de jour de nuit...

   -  « Rien que du beau… »
   --- Mais seul dans ma tête.
   Une autre fois je te raconte l'histoire de la mare à grenouilles derrière le jardin à côté de la Société (Jeux de boule)
Marre ? Comblée ! Bouchée ! Depuis… - Quel gâchis... Les hommes.

   Voilà la première « douzaines d'années » … La suite jusqu'à ce jour, si vous le désirez! …
Et si tu te présentais comme cela !? OUI comme moi avec force détails... NON !??
Ha ! C'est toujours le courage...


   SERRURIER  ASSISTANT A L'OUVERTURE - AFFUTEUR INDUSTRIEL/DOMESTIQUE

   Ouverture de portes, coffres forts, coffrets, boites à bijoux, valises et autres mallettes, toutes serrures...

   CE FUT MON ENSEIGNE :
   Serrurerie - Affûtage  Aux Minimes TOULOUSE :
   “Seule maison pour toutes les réparations” prévient l'enseigne du numéro 2, rue Villemur…
   - Cette inscription vieillotte en lettres noires pourrait faire croire aux passants que la maison est fermée depuis longtemps.

   Il n'en est rien.
   Il ne faut pas hésiter à franchir la grille jaune tournesol pour trouver, blotti au fond de l'atelier, Jean, le repaire d'un des derniers “Bricoleurs” toulousain. Son atelier est une caverne d'Ali Baba dont les trésors variés vont et viennent.

   Comme cette croix du Languedoc en fer forgé, cette girouette qui abrite un renard et un corbeau ou encore ce coq qui tourne aux quatre vents ou encore posé sur une étagère cette scie de forestier en attente… Une hache d'incendie étincelante, en souvenir de son passage dans ce corps…

   - Plus loin, cette herminette de tonnelier ayant les rondeurs sensuelles d'une danseuse du ventre. Des objets à la beauté ensorcelante dont Monsieur Jean dit qu'il «essaie de ne pas en tomber amoureux».

   L'artisan a le cœur tendre, mais la poignée de main ferme. Ses petites lunettes et son crâne lisse le rendent immédiatement sympathique. Parfaitement à l'aise dans ce capharnaüm, il navigue de tâche en tâche, du standard à la soudure, du dessin à la comptabilité.

   - Le savoir-faire de Jean est réputé bien au-delà de nos frontières. Musées et collectionneurs privés font appel à lui pour des travaux de restauration et de polissage.

   La rénovation des lampadaires et des lampes anciennes, des cuirasses, armes blanches et j'en passe, c'est lui :
un mois de travail par-ci par-là - précise-t-il avec humour, plus de 450 chaudrons au total !

   Mais son travail s'inscrit également dans le cadre de la serrurerie. Vous le verrez venir dans sa petite auto à Etoile, ouvrir votre porte…
- Si Jean manipule le “passe-partout” depuis quarante ans, il ne l'a toujours pas domestiqué:
   - «C'est lui qui vous apprivoise», explique-t-il.

   Selon lui, le système est vivant, sauvage même, qui a sa personnalité et requiert toute l'attention de son maître... Le verrou me rappelle toujours à l'ordre: «je me trompe à longueur de journée», dit-il en tendant des mains usées, brûlées, entaillées, souvent maculées de sang…

   Une fierté pour ce héros du travail manuel.
«Souder-Réparer- Arranger-Peindre et restaurer est un métier salissant et difficile», expose-t-il, «mais il n'y a rien de plus honorable que de vivre de ses mains».
    - Un principe acquis dès son enfance où, «tous les jeudis», le petit Jean aidait son père dans l'atelier.

   Il y travaillera ensuite tous les jours - ou presque à partir de l'âge de quinze ans: «j'ai quitté l'école avec quelques diplômes en poche bien-sur… (Il manquerait plus que çà, Maman était dans l‘enseignement)…», se souvient l'artisan, satisfait du chemin parcouru depuis mais aucun m'ont apprit ce que je fais aujourd'hui. Aurait-il aimé faire autre chose ?

   - «Non, je n'ai pas eu le temps de réfléchir», répond-il.

   Car dans notre famille, on ouvre les portes de Père en fils, c'est la tradition - et on ferme sa g.... 
   - Jean succède ainsi à son père Robert, qui lui-même avait succédé à son père Paul M., (marié à Émilienne Bénéteau cousine de André Bénéteau - Jeanneau, le fameux constructeur de bateaux de plaisance), fondateur de la maison en 1910.
   Jean n'a pas connu ce grand-père mais en conserve une image pittoresque, celle d'une « grande gueule », joueur de cartes et coureur de jupons...

    - Jean côtoie sans rechigner la “jet-set” Toulousaine et autre, tout en conservant sa simplicité:
«Ce métier vous oblige à toujours vous remettre en question», dit-il.

   Refusant le qualificatif d'artiste, il préfère dire de lui qu'il est «juste un bon ouvrier». Modeste, mais pas insensible aux récompenses...

   Et si par hasard on lui offre de vieux outils d'antan il est fou de joie et les restaure pour que vive la tradition…

    - L'atelier est aussi unique que son Locataire. Partout, contre les murs, dans les allées, sur les établis, des clés, des outils, des serrures, des ciseaux étranges, des pendules et horloges, des épées, des fusils, revolvers, des sabres et poignards multiples...

   Tiens! Une girouette, une carabine en réparation, un fusil Napoléon, une mini-pendule ancienne, une télévision dernier cri, des tondeuses à gazon sans moteur, une autre à cheveux...
Une tronçonneuse, un taille haie, un sabre de 1890 et mille autres choses, une statuette en cristal de la liberté le bras cassé…

   Souvenirs
   - «Aux Forges de Narcé (49) régnait un esprit bon enfant», affirme l'artisan un brin nostalgique, «rien à voir avec d'aujourd'hui… »

   Pourtant, lors de mon passage en son atelier il régnait une atmosphère d'entraide et de camaraderie.
Le sol de carrelage est poli par l'usure. Les murs, blancs, sont couverts de suie, de poussière de polissage, de limaille de fer. Le lieu résonne des gestes du savoir-faire, eux aussi séculaires. 
    - Ces gestes, qui se transmettent de génération en génération, Jean Maisonnier les appelle des «tours de main».

   Pour l'artisan, cette transmission du savoir gestuel et oral est le seul enseignement possible: « aucune traduction couchée sur le papier ne serait suffisamment sensible pour expliquer un tour de main ».

   Et des anciens qui savaient façonner de si belles choses avec peu de technologie, Jean Maisonnier dit, d'eux: «C'était des mains», comme d'autres diraient: «C'est une tête».

   Un des tours de main dont il est fier, c'est de savoir ouvrir les serrures sans clef !  Ou souder «l'insoudable» ou... 
   Ce savoir-faire est pourtant aujourd'hui menacé... 

   Il conclut: «Dans les métiers d'art, les différentes professions forment un tout cohérent. Si un maillon lâche, c'est l'ensemble de la chaîne qui en pâtit ».  Malgré ces difficultés, l'atelier demeure un lieu bien vivant.
    - Les amis et confrères, nombreux, s'arrêtent à l'improviste pour discuter un instant ou demander un petit service - boire un verre de temps en temps.
    - Ils sont voisins «en panne de…», antiquaires, collectionneurs... Jean Maisonnier les accueille chaleureusement, prend le temps de bavarder et rit volontiers. Les clients, eux aussi, défilent. Un vieux monsieur élégant cherche une lanterne pour sa demeure dans le Lauragais. Il y a Lucien qui lui apporte une vis, trouvée sur le trottoir… Un jeune homme branché désire ouvrir la serrure de sa belle voiture...

    - Malgré les prix bas, le carnet de commandes de Jean Maisonnier n'est pas tellement bien rempli.

   Pourtant, l'artisan veut donner le meilleur de lui-même :
«J'aime aller aux limites de mes possibilités», confie-t-il, «je veux laisser la trace de quelqu'un qui aurait bien fait son métier  parce qu'il l'aimait bien».

   Tout comme son autre métier dont il fait humblement étal parfois :   
   La Numérologie (Une passion !)

   Recevoir et transmettre
    - S'il est fier d'être le gardien de tours de main ancestraux, Jean trouve parfois cet héritage « pesant. D'autant qu'il ne sait plus à qui le confier: il y a peu, il a appris que ses fils, âgés de 24 et 26 ans, ne reprendraient pas le flambeau.

   Un choc brutal pour cet homme bercé depuis toujours par la sacro-sainte trilogie familiale “recevoir, perfectionner et transmettre”. 

- Mais il ajoute avec vigueur qu'il mettra “un point d'honneur à sauver cette maison” ! Avec plus d'un tour de main dans son sac, il saura sûrement infléchir son destin comme il sait si bien ouvrir les portes…

   OUI !!! Nous parlions il y a quelques mots de Numérologie…         
   Réussir professionnellement et sentimentalement par une meilleure connaissance de soi et de son destin !

   La numérologie, est une méthode, qui se propose d'étudier, entre autres, la personnalité et la destinée des gens. On la présente comme étant la science des nombres et des cycles. En provenance de l'Egypte ancienne, on la lie aussi à la Kabbale ainsi qu'à PYTHAGORE.

   Elle s'intéresse à la valeur symbolique des nombres. A chaque lettre de votre nom et de votre prénom correspond un nombre. Il y a dix chiffres qui servent à former tous les nombres.

   En numérologie le zéro n'est pas pris en compte car il représente ce qui n'est pas ou ce qui n'est plus. Muni de ces nombres ainsi de ceux qui constituent votre date de naissance, notre logiciel déterminera leurs influences respectives et établira votre thème numérologique.

   L'étude numérologique vous permettra de mieux vous connaître. Elle révélera aussi les potentialités qui sont en vous. Celles ci peuvent être inconnues ou ne pas s'exprimer de façon entière.

   L'étude numérologique, peut également être liée à une étude astrologique. L'une, comme l'autre, apportant des éléments importants de la personnalité.

   D'ailleurs, certains systèmes numérologiques, utilisent largement l'astrologie pour les études. De la même façon, les tarots où l'on trouve 22 arcanes majeurs, jouent un rôle dans l'interprétation des nombres.
On peut aussi lier la numérologie à la Kabbale qui est un document chiffré. Comme on le voit, tout est lié, astrologie, numérologie, tarots, kabbale ...

   Le domaine des sciences occultes et de la connaissance de l'homme intéresse plus d'un quart de la population.
   La numérologie gagne chaque jour de plus en plus de terrain. L'on peut considérer qu'elle tiendra bientôt une place égale à coté de l'astrologie traditionnelle et de l'astrologie chinoise. Elle nous vient, dans sa forme moderne, des Etats-Unis.

   Le courant NEW AGE qui s'y est développé et qui a gagné la France, vient la renforcer. Elle est de plus en plus connue et reconnue par le public.

   Ce que certains ne savent pas, c'est que la Numérologie est la science Mère – Et, si vous placiez la Numérologie dans une passoire il y découleraient en dessous toutes les « sciences » dites en «…cie ou gie » comme l'Astrologie, la Géomancie, la Cartomancie… Toutes les "sciences qui se servent des nombres…"

   Donc à chaque fois que vous pratiquez une méthode divinatoire ou « science » chiffrée vous faites de la NUMÉROLOGIE …Peut-être sans le savoir !

   Jean ?! C'est Moi ?! Jean! Qui rêve aujourd'hui, en retraite, et bien entendu pense à vous !…

   Et maintenant... Si tu te présentais comme cela! ? OUI ? Comme moi avec force détails... NON !??
   Haaa ! Je t'attends quand même, oui,face à face... Hate de te rencontrer... Nous parlerons en Français...
   
   Amicalement.
                                  Jean

Bonjour et bienvenue sur Expat.com Jean,

je déplace votre message sur le forum Vietnam, où il sera plus à sa place.

A bientôt,

Julien

Bonjour,

Eh bien ce n'est plus une presentation, mais quasiment un roman !
Si je peux me permettre, ne le prenez pas mal, ca bouillonne chez vous !

En meme temps, cela a reveille quelques souvenirs de jeunesse, je ne suis pas Angevin,
mais j'y ai vecu toute mon adolescence, de l'age de 10 ans en 73 jusqu'au milieu des annees 80, a la roseraie ! Je connais bien la region, j'y ai encore quelques vieux amis, dont un sur trelaze !

Ceci dit, pour en revenir a du plus terre a terre, lorsque sur un forum on vous demande de vous presenter, c'est en gros, vous demander quelles sont vos motivations pour "adherer" a ce forum, en l'occurence sur celui ci, la question generale pourait etre pourquoi le vietnam ? On peut y devoiler a l'occasion une partie de son CV, et quelques traits de caracteres ... la, pour le coup, on vous connait presque de fond en comble !!

Bienvenu sur le forum, et qui sait, si un jour je passe par Cu Chi !!

Cordialement.

Bonjour,

Une idee originale pour la presentation, un peu comme si vous ne vouliez pas perdre de temps et qu on vous accepte tel quel, mais vous n y trouverez pas beaucoup de candidat a faire de meme, les expatries en general gardent une part de mystere sur un tas de facettes les concernant, ce n est pas genant outre mesure, mais une certaine pudeur et de protection personnelle. Rien a voir avec du courage!

Votre presentation est plus que complete, c est votre choix de nous aborder comme cela, pour ma part je trouve cela un peu genant, car quand il faudra vous repondre, ca manquera un peu de naturel dans les reponses, on se referera toujours a votre profil.....

Ca permet aussi d apprecier une personne, peut importe son statut, par sur ce qu elle dit d elle meme, mais sur ce qu on en percoit vraiment d elle, meme quand elle en a gros sur la patate.

Moins sur les interventions, car l habit ne fait pas le moine. On se fait une idee des affinites au long de debats, rencontres etc...on peut ne pas etre d accord avec les idees de ses meilleurs amis. Ici on fait rarement le distingo entre les statuts de uns ou des autres, il y a des rapprochements amicaux de toutes natures.:) partageant ou pas des memes passions, ou trajets de vie. On ne tri pas forcement selon les presentations, peut etre juste sur des a priori. Un peu....;)

Aussi il serait mal interprete que vous disparaissiez soudainement du forum. Car de nouveau intervenants sont necessaires pour en remplacer ou completer d autres....

Ce n est que mon avis.

Encore une fois, bienvenue sur le forum,
A vous lire, bonne journee!

Bonjour,

      Un Ami à Trélazé ? Village ou je suis né (A la Mairie...)
      Cet Ami n'est pas moi, je ne suis pas de votre génération...

      Toute mon enfance à tourné autour de ce village, ville maintenant – Escapades interdites sur les montagnes de déchets d'ardoise ou nous usions nos culottes en glissades dangeureuses disaient-ils ; avant il n'y avait pratiquement que des mineurs de d'ardoise qui y demeuraient, qui pouvaient supporter les profondeurs des puits des vieux fonds de la Paperie et la silicose pulmonaire... Il le fallait bien.

      Entre les Ponts-de-Cé et Angers - Les Justices, St. Léonard... TRÉLAZÉ se cache ! Plus loin,Brun/L'Authion doit aussi et surement vous rappeler d'autres souvenirs.
      Tout cela pour dire que vous connaissez les mêmes "pavés" que moi...
      Les toits bleus-noirs des habitations, les pierres blanches de tuffeau sans oublier le granit de BÉCON-les-GRANITS !

      A bientôt, si vous êtes de passage dans mon coin perdu, n'hésitez pas de faire 100 mètres de côté afin de nous rencontrer mon épouse et moi.

      Rendez-vous sur mon blog vous verrez comment faire.
      Merci de votre contact.  :)
      Cordialement
      Jean

Ben alors quelles sont les oordonnees de ce fameux blog  ,
Enuite vous parlez de politesse et vous reclamiez de ne pas avoir de reponse, ben je vous renvoie alors la.politesse.....
Bonne journee...

Oui...OUI ! il est dans la case mon blog !
Merci
A plus... :lol:
Jean

Joyeux blog, humour et plein de couleurs.....

Sympa!!!

A bientot...

RE...
.... - Avez vous habitez à GOUVIEUX ?
NON ?
Parceque la-bàs.... Ils ouvrent la bouche avant les yeux ! :lol::D
Trèx cordialement.
Jean qui rit.

Jeanga a écrit:

Bonjour,

Un Ami à Trélazé ? Village ou je suis né (A la Mairie...)
Cet Ami n'est pas moi, je ne suis pas de votre génération...

      Toute mon enfance à tourné autour de ce village, ville maintenant – Escapades interdites sur les montagnes de déchets d'ardoise ou nous usions nos culottes en glissades dangeureuses disaient-ils ; avant il n'y avait pratiquement que des mineurs de d'ardoise qui y demeuraient, qui pouvaient supporter les profondeurs des puits des vieux fonds de la Paperie et la silicose pulmonaire... Il le fallait bien.

      Entre les Ponts-de-Cé et Angers - Les Justices, St. Léonard... TRÉLAZÉ se cache ! Plus loin,Brun/L'Authion doit aussi et surement vous rappeler d'autres souvenirs.
      Tout cela pour dire que vous connaissez les mêmes "pavés" que moi...       
      Jean


Bonjour,

Et oui un vieux poteau, que je n'ai pas revu depuis longtemps, mais il me suffirait d'y retourner pour que ce soit comme hier !!
Ils habitent, avec sa petite famille au "bout des pyramides" rue raymond lefevre, et dissemines, sur la region d'angers, une demi douzaine, d'autres vieux copains d'enfance !

Sinon au niveau des paves (oui je me doute c'est une formule !), a mon epoque, il n'y en avait plus beaucoup, (uniquement vers le chateau) et nous etions plutot avides de verdure, les chemins de terre qui titillent mes souvenirs , c'est plutot, dans l'ordre ... le bois du Hutreau ... St gemmes/loire ... Bouchemaine ... St jean des mauvrets ... la possonniere ...

Dans notre petit coin de la roseraie, les fantasmes couraient sur les bandes de Trelaz, des plaines, de belle beille, de montplaisir ....

Un Saigonnais.

Téphan...
          J'aimerais comme on dit faire un visu...
          Oui j'aimerais vous rencontrer vous soulevez tant de souvenirs en moi... C'est un peu le livre de mon enfance qui s'ouvre !
          Celà me ferait surement une montée de...
          Mais dans la honte de.... Y a du bon !
          Très cordialement !
          Jean

Bonjour Jeanga.

Promis, je passerais un de ces jours sur Cu Chi.
Maintenant, vous dire quand ? C'est pas tout pres ... mais je mets ca dans une case memoire.

Cordialement.