Die Linke, les insoumis allemands, en voie de disparition
Dernière activité 13 Janvier 2024 par jean luc1
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Pour la première fois depuis les années 1960, un groupe parlementaire allemand se dissout en plein mandat. La faute à une certaine Sahra Wagenknecht, figure complexe de la gauche outre-Rhin. Commotion au Bundestag. Il n'y aura plus de députés portant la bannière de Die Linke à l'extrême gauche de l'hémicycle sous la coupole de verre du Reichstag. Die Linke est ce parti à la gauche de la social-démocratie porté sur les fonts baptismaux en 2007, deux ans après la création de son groupe parlementaire. Une alliance entre le PDS, héritier réformé du SED, parti communiste de l'ex-RDA, et la WSAG (Alternative électorale travail et justice sociale), regroupant sociaux-démocrates révoltés par les réformes mises en place par le chancelier Gerhard Schröder, syndicalistes déçus et gauchistes se réclamant de diverses chapelles.
C'est la première fois depuis les années 1960 qu'un groupe parlementaire se dissout en plein mandat. Déclencheur de cet événement qui remodèle l'échiquier politique allemand : la décision de Sahra Wagenknecht, star très médiatique de la gauche radicale, de claquer la porte du groupe parlementaire qu'elle dirigea de 2015 à 2019 en entraînant dans son sillage 9 députés. Avec ses 28 députés restants, Die Linke n'est plus autorisé à former un groupe au Bundestag. 37 étant le nombre minimum. De lourdes conséquences
Deux groupuscules vont donc subsister et se faire concurrence au Parlement : ce qui reste de Die Linke d'une part et la nouvelle « Alliance Sahra Wagenknecht » de l'autre. Privé de son statut de groupe parlementaire Die Linke voit ses droits et son influence réduits à une peau de chagrin. Ses députés ne pourront plus déposer de propositions de loi et seront exclus des commissions permanentes. Ils ne pourront plus non plus adresser une question écrite au gouvernement pour mettre en lumière un dossier qui leur tient à cœur. Financièrement aussi, la perte du statut de groupe parlementaire a de lourdes conséquences. Privé des aides de l'État, Die Linke va devoir licencier une bonne partie de ses salariés.
À LIRE AUSSI Allemagne : la grosse correction infligée à Olaf ScholzSahra Wagenknecht est depuis longtemps une figure très controversée et très singulière de la scène politique. Dès la chute du Mur, cette jeune marxiste est-allemande qui, avec son chignon démodé et ses chemisiers à jabot, ressemble étrangement à Rosa Luxembourg se fait remarquer. Elle ne cessera plus de faire parler d'elle. Ces derniers mois, elle s'opposait ouvertement à la direction de Die Linke. Certains accusent cette abonnée des talk-shows de passer plus de temps à assurer la promotion de ses livres et de sa personne dans les médias qu'à assurer le travail plus ingrat à la base du parti. D'autres lui reprochent de frotter l'extrême droite dans le sens du poil. Sahra Wagenknecht ne s'est jamais désolidarisée de Vladimir Poutine. Elle ne cesse de réclamer la levée des sanctions économiques contre la Russie.
Sahra Wagenknecht pour un contrôle strict de l'immigration
Sur l'immigration, ses positions choquent également une partie de l'électorat de gauche. Partisane d'un strict contrôle, elle estime aussi que les réfugiés ukrainiens sont des profiteurs qui se servent du statut de réfugiés qui leur est automatiquement accordé pour profiter du système de protection sociale allemand tout en continuant à vivre dans leur pays. Sahra Wagenknecht s'est forgé l'image d'une passionaria provocante et narcissique. Le parti qu'elle prévoit de fonder au début de l'année prochaine pour être sur les rails pour les européennes de l'an prochain s'est engagé à examiner à la loupe chaque demande d'adhésion : pas question d'admettre en son sein d'anciens membres de l'AFD populiste d'extrême droite ou les rebuts dont les autres partis ne veulent pas.
Certes, Die Linke dirige le Land de Thuringe dans l'ex-RDA avec Bodo Ramelow un ministre-président très populaire. Le parti est présent dans deux autres gouvernements régionaux, Brême à l'ouest et le Mecklembourg-Poméranie-occidentale à l'est. Reste à savoir comment les 2 millions d'électeurs de Die Linke vont réagir. Vont-ils se sentir floués et quitter un parti déjà très mal en point ? Les récents sondages ne créditent Die Linke que de 5 % des intentions de vote ou moins encore. Le parti essuie une débâcle électorale après l'autre. Aux récentes régionales de Hesse, Die Linke n'a obtenu que 3,1 % des voix, bien au-dessous de la barre des 5 % qui conditionne l'entrée dans un parlement en Allemagne. Après 15 ans à siéger au parlement de Wiesbaden, ses députés ont donc été forcés de faire leurs cartons. « Il était une fois Die Linke », titrait la presse allemande. Son président Dietmar Bartsch a beau se montrer optimisme, préférer le terme « renouveau » à celui de défaite et jurer que l'on n'est « en aucun cas en train d'assister à la fin de Die Linke », il n'en reste pas moins que l'avenir de la gauche radicale allemande est plus qu'incertain. Refonder un groupe parlementaire à l'issue des législatives de 2025 représente un « travail d'Hercule », reconnaît Dietmar Bartsch. source https://www.lepoint.fr/monde/allemagne- … 470_24.php jean Luc
On pourrait comme même avoir une aventure avec cette dame qui est bien roulé
Un peu comme avec une mante religieuse qui fait un sort à son partenaire ....
ce que je trouve marrant c'est la capacités de la gauche française ou allemande de se faire sauter en plein vol en 2005 c'etais le SPD qui explose , le ps c'etais en 2002,maintenant le link qui va disparaître , reste la NUPES en France question de temps . le link as pas résister á la pression de l'immigration car le nouveau parti de gauche se veut être un mouvement anti-migration genre AFD , maintenant on auras des facho de droite et de gauche ,les premier levant la main droite et chantant "le deutchland uber alle ,les second levant le poing gauche et chantant l'internationale tout aussi sanglant . une chose est sûre le contribuable va faire des économie . jean Luc
Les facho de droite et de gauche ,les premier levant la main droite et chantant "le deutchland uber alle ,les second levant le poing gauche et chantant l'internationale tout aussi sanglant.
En fait c'est quand meme deux idees extremes de gauche historiquement.
Cela me semble tj un paradoxe extreme droite et fachisme car à la base facisme vient du NSPD donc bien de gauche en opposition a une droite liberale.
Extreme droite et dictature ça semble plus correcte, mais l'extreme droite ne veut pas d'une dictature mais rester democratique.
En tout cas une bonne nouvelle marrante pour ce début d'année, vivement que la NUPES fasse pareil lol en France.
Et cette hyprocrosie bien allemande de sortir "Toleranz" à tout bout de champ alors qu'ils sont les 1ers à critiquer tout autre nationalité autre que allemande. J'en ai fait les frais en étant juste français dont ils considèrent notre langue de Molière comme une langue de tapette parce que ça grogne pas autant qu'eux c'est comique et triste.
En fait c'est quand meme deux idees extremes de gauche historiquement.
Cela me semble tj un paradoxe extreme droite et fachisme car à la base facisme vient du NSPD donc bien de gauche en opposition a une droite liberale.
Et cette hyprocrosie bien allemande de sortir "Toleranz" à tout bout de champ alors qu'ils sont les 1ers à critiquer tout autre nationalité autre que allemande. J'en ai fait les frais en étant juste français dont ils considèrent notre langue de Molière comme une langue de tapette parce que ça grogne pas autant qu'eux c'est comique et triste.
-@amaretto1971
le NPDS avait une base sociale au départ pour capter les chômeurs , les gagne petit , les discours populiste as fait le reste . je dirais pas que l#extrême droite ou gauche c'est pareil , mais ces deux extrémes s'adresse á la même base sociale que sont les ouvriers , les employés , les smicard, les chômeurs , et tout ceux qui on peur de la mondialisation .
pour ma part en tant que français ne n'est jamais eu de problème particulier avec les allemands , en plus ceux que je connais disent que la langue française est belle que la leur . par contre si on se comportent mal "cochon de français peut vite arriver" . moi étant lorrain j'ai eu droit á "boche de l'est" oú quand j'étais dans ma voiture immatriculé en Allemagne "sale boche" , alors que j'avais rien fait, alors c'est simple moi je me dit que j'ai rencontrés un con . moi je suis au dessus de ce genre de problême jean luc
A chaque fois le but est de capter le petit peuple comme on dit sans etre pejoratif la propagande est tj bien rodee mais de nos jours cela change on dirait ce n'est plus aussi simpliste qu'autrefois.
La ou l'extrême droite ou gauche c'est pareil c'est dans le fait de supprimer toute opposition, le communisme purge ses opposants comme une dictature (Cuba, URSS...)
Tu as de la chance d'avoir des admirateurs de la france, pour ma part ils étaient souvent sceptiques et nous prennent vraiment pour des billes et des blaireaux. Apres il y a des gens plus ouvert, plus cultivé mais c'est comme aux USA ca devient rare et le Deutsch Qualität + Deutschlande über Alles est tj bien present mais ils commencent a déchanter et ça me fait marrer leurs critiques
A chaque fois le but est de capter le petit peuple comme on dit sans etre pejoratif la propagande est tj bien rodee mais de nos jours cela change on dirait ce n'est plus aussi simpliste qu'autrefois.
La ou l'extrême droite ou gauche c'est pareil c'est dans le fait de supprimer toute opposition, le communisme purge ses opposants comme une dictature (Cuba, URSS...)
-@amaretto1971
extrême droite ou gauche peuvent mettre leurs idées simpliste en œuvre , celas n'auras aucune chance de marcher . jean Luc
Tu as de la chance d'avoir des admirateurs de la france, pour ma part ils étaient souvent sceptiques et nous prennent vraiment pour des billes et des blaireaux. Apres il y a des gens plus ouvert, plus cultivé mais c'est comme aux USA ca devient rare et le Deutsch Qualität + Deutschlande über Alles est tj bien present mais ils commencent a déchanter et ça me fait marrer leurs critiques -@amaretto1971
les gens que je fréquente sont des gens normaux ,de braves gens. les länder du sud sont francophiles leurs ministre-président parlent français , les échanges économique sont plus important que dans le nord ou l'ouest ,et l'est . le made in germany est connus dans le monde, synonyme de qualité ,mais pour un allemands celas ne veut plus dire grand chose , on sait que de nombreuses pièces de voitures viennent de l'étranger pour être monter en Allemagne et avoir le made in germany . quand au Deutchland über Alles essaie donc de le chanter en public , tu verras la réaction de la population . pour comprendre un pays,il faut bien maîtriser la langue ,vivre avec les gens ,et pas á coter ,beaucoup de français pense que l'anglais suffit , après ils déchantent . moi comme mes filles être français j'en est fait ma force , elles ont les deux nationalités , donc 2 cultures, elles travaillent pour Würht , elles sont les meilleures dans leurs spécialité , remplace leurs chefs á l’occasion , pourquoi? simplement elle apportent une touche française dans leurs travail ,comme la créativité ,l’innovation le tout allier á au pragmatisme et organisation allemande . les milieux socio-économique allemand sont admiratif devant les réformes faite par Macron , lui au moins est crédible devant les allemands , pas les autres hommes politiques . jean luc
Immigration : en Allemagne, l'ex-égérie de gauche Sahra Wagenknecht érige la France en contre-modèle Par Marie Labat
Après avoir claqué la porte de Die Linke, Sahra Wagenknecht, figure de proue de la gauche radicale allemande, a lancé le 8 janvier l’Alliance Sahra Wagenknecht – Pour la raison et la justice (BSW). Si le programme du mouvement ne sera dévoilé que le 27 janvier prochain, l’immigration devrait y tenir une place de choix.
La politique migratoire a été l’un des principaux moteurs de la scission opérée par Sahra Wagenknecht avec Die Linke en octobre dernier. Et ce 8 janvier, lors de la conférence de presse de lancement de son parti à Berlin, elle était même son idée fixe. À peine le BSW (Alliance Sahra Wagenknecht – Pour la raison et la justice) était né que sa toute nouvelle coprésidente, assise derrière la longue table de la salle de presse fédérale, confessait déjà une forme de lassitude face à la politique d’« immigration incontrôlée » que mène l’Allemagne ces dernières années, mais aussi face à une politique d’asile qu’elle juge « profondément malhonnête car beaucoup de ceux qui sont vraiment menacés n'obtiennent pas l'asile parce qu'ils ne peuvent même pas faire le voyage ». Tenante d’un resserrement des arrivées et d’un durcissement des règles d’accueil, Sahra Wagenknecht assume ses positions. « Nous ne pouvons pas résoudre le problème de la pauvreté dans le monde par la migration », a-t-elle déclaré. Et ce, même si elle est taxée de chasser sur les terres de l’AfD (Alternative pour l'Allemagne, extrême droite) qui, très loin de son europhobie originelle, opère une forte progression dans l’ensemble du pays. Pour Sahra Wagenknecht, l’immigration n’est pas l’apanage de la droite, tant s’en faut. Il s’agit davantage d’un sujet abandonné par la gauche.
Le modèle danois
En Allemagne, l’immigration est un sujet de société brûlant depuis que le pays a été secoué par la crise migratoire qui a vu plus d’un million d’immigrés – essentiellement syriens, afghans et irakiens – arriver sur le territoire au cours de l’année 2015. « Wir schaffen das ! » (« Nous y arriverons ! ») avait alors déclaré la chancelière Angela Merkel à de multiples reprises. L’Allemagne compte désormais plus de 10 millions d’étrangers et le BSW se tient à bonne distance de cet optimisme. Cette nouvelle gauche se fait même plus incisive sur le sujet, quitte à casser du sucre sur le dos de son voisin d’Outre-Rhin. Sahra Wagenknecht dépeint une France cauchemardesque, communautarisée, composée de « sociétés parallèles déjà massivement implantées ».« C'est un gros problème, des quartiers entiers ne reflètent plus la société française », explique-t-elle. Son modèlese situe plus au Nord, au Danemark, où les sociaux-démocrates ont pris un virage très restrictif sur la question migratoire, plus en phase avec l’électorat populaire et les classes moyennes. Mais plus encore que la question de l’accueil, c’est l’échec de la politique d’intégration qui est en jeu pour le BSW. Le modèle allemand traditionnellement fondé sur l’inclusion par le travail s’est considérablement durci ces dernières années avec la mise en place de critères culturels stricts comme l’obligation de prendre, à sa charge, 700 heures de cours d’allemand par exemple. https://www.marianne.net/monde/europe/i … tre-modele jean luc
ce nouveau partis est aussi pro-russe ,car sa présidente est contre le soutient á l’Ukraine ,elle cache pas sa sympathie pour poutine , en plus elle déteste les ukrainiens . quand á son modèle Danois , eux ont une petite frontiére terrestre de 200km maximum avec l'Allemagne donc facile á contrôler , pas comme l'Allemagne qui as frontiére avec le Danemark , les pays bas ,la Belgique, le Luxembourg, la France ,la Suisse ,l'Autriche, la république tchèque , la Pologne , en plus la loi fondamentale autorise tout immigrant á demandé l’asile en Allemagne . voter pour ce partis c'est voter pour la 5EME colonne . jean Luc
Aucunes chances faut voir, que dit l’Histoire ?
-@Moetai
on as jamais pu empêcher les gens d'immigrés , l'histoire est là pour le rappeler . tant que le désespoir régneras dans les pays de l’hémisphère sud , et qu' ils y as aucun espoir pour ces gents là ,ils continuerons de venir , en 2050 ils serons 2 milliard et nous 500 millions .jean Luc
Publié le 13/01/2024 08:50 Un nouveau parti, l'Alliance, vient d’être créé en Allemagne. À sa tête, une personnalité qui promet de changer la politique en profondeur. Elle s’appelle Sahra Wagenknecht. Eloquente, charismatique, réputée combative, cette philosophe de formation de 54 ans est une figure bien connue en Allemagne : c’est la personnalité la plus invitée en ce moment sur les plateaux télé.
Pour former son nouveau parti, Sahra Wagenknecht a fait voler en éclats au Bundestag le groupe de gauche die Linke, qu’elle a quitté avec neuf autres députés. Son mouvement se veut antisystème, et s’adresse, dit-elle, à tous ceux qui ne se sentent plus représentés par aucun parti : "Nous avons fondé le nouveau parti pour nous débarrasser des erreurs politiques, de l'incompétence et de l'arrogance qui règne ici, dans la région de Berlin. Tout cela divise notre pays, compromet notre avenir et met en danger notre démocratie."
En 2018, déjà, Sahra Wagenknecht avait tenté de lancer sa propre formation avant de renoncer. Cette fois, c’est mieux engagé : son Alliance a déjà récolté 1,4 million d’euros de dons. Elle compte 44 membres, qui seront bientôt rejoints par 400 autres, promet la dirigeante.
Le parti "du retour à la raison"
Quant à son positionnement sur l’échiquier politique, ne demandez pas à Sahra Wagenknecht si son Alliance est de gauche ou de droite : elle refuse les étiquettes. Son parti est simplement celui "du retour à la raison", dit-elle. Clairement, le mouvement emprunte des idées chères à l’extrême-droite, comme la réduction du nombre de migrants ou la fin des livraisons d’armes à l’Ukraine. Wagenknecht défend aussi un rapprochement avec Moscou, pour offrir à l’Allemagne un approvisionnement énergétique bon marché. Sa politique sociale, elle, penche plutôt à gauche : dans son programme qui tient en cinq pages, Sahra Wagenknecht promet de défendre les classes populaires, d’augmenter les retraites, bref de s’occuper de tous ceux qui sont laissés pour compte par le gouvernement d’Olaf Scholz.
Un sondage paru dans Bild le mois dernier crédite la formation de 12% d’intentions de vote en cas d'élections fédérales. Pas si mal, alors que le parti n’a pas encore dévoilé son programme. Le moment est en tout cas bien choisi pour Sahra Wagenknecht, qui veut profiter de l’impopularité du gouvernement d’Olaf Scholz, du mécontentement face à la hausse de l’immigration dans une Allemagne dont l’économie tourne au ralenti.
Sahra Wagenknecht espère bien séduire aussi les électeurs de l’ex-Allemagne de l’Est, dont elle est originaire. Il y a dans ces régions un fort sentiment d’abandon et dans trois d’entre elles, des élections régionales sont prévues en septembre. Ce seront des baromètres intéressants pour savoir si la greffe a pris, si ce nouveau parti parvient à s’installer dans le paysage politique.https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-monde-est-a-nous/en-allemagne-un-nouveau-parti-ni-droite-ni-gauche-mauvaise-nouvelle-pour-le-chancelier-scholz_6284301.html
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