AllSpice et débarqué, merci beaucoup pour vos réponses !
Je ne compte pas démissionner avant que nous soyons certains de nos droits et de ce qu'il adviendra de nous une fois partis.
@ALLSpice: Oui je dis compagne, mais nous sommes en réalité en "cohabitation légale" depuis août 2011 ! Avant ça nous étions en simple cohabitation depuis à peu près 7 années. Je n'aurai aucune difficulté à prouver celà en ce sens ou je peux aller à la commune demander l'historique de nos domiciliations communes.
Pour tout vous dire, nous étions allés à la commune de notre localité (mairie pour les français) pour nous pacser, mais la dame nous a dit qu'il fallait non pas se pacser, mais établir une cohabitation légale ! (On ne souhaite pas se marier)
La cohabitation légale est plus ou moins l'équivalent du PACS, elle nous met sous le même régime matrimonial que des personnes mariées mais sans l'être... Je ne devrais donc pas avoir de difficultés à justifier notre union, sans compter que nous avons à présent notre fils également...
J'ai lu (rapidement) les liens que tu m'as donné (au travail pour le moment, je lirai plus attentivement ensuite). Mais concernant les droits, je semble rentrer dans les conditions sans problème pour résider.
Par contre c'est pour le chômage, je n'ai toujours pas réponse à ma question, concernant la durée, apparemment, je rentrerais plus dans la 3ème situation càd:
3e situation
Dernier emploi exercé dans un autre État membre au titre duquel il a déjà été perçues des prestations de chômage.
Un allocataire qui percevait des prestations de chômage dans un État membre (cf. fiche : Espace Emploi International) peut continuer à recevoir celles-ci en France dans certaines conditions :
être resté au moins 4 semaines à la disposition des services de l'emploi de l'État membre qu'il quitte (dérogation possible accordée par ces services),
s'inscrire comme demandeur d'emploi en France dans les 7 jours qui suivent sa radiation par les services de l'emploi de l'autre État membre,
présenter à l'Assédic le formulaire ad hoc (E 303) délivré par l'organisme qui l'indemnisait.
Ce qui veut dire, si je comprends bien, qu'il faut mettre fin à mon contrat ici en Belgique, de sorte à avoir droit au chômage en Belgique, pour ensuite transférer ces droits en France... N'est-ce pas ?
Si j'explique à mon employeur que c'est pour se rapprocher de ma compagne et de mon fils qui repartent en France, je ne devrais pas avoir de soucis, moyennant un préavis, et d'avoir droit comme ça au chômage...
C'est par ailleurs principalement à propos de ce chômage que je suis inquiet, de sa durée comme je le disais.
@Debarqué Pourquoi 2 ans maximum si j'ai travaillé 4 ans ? C'est là que le bât blesse, je n'ai pas d'explications concretes à ce sujet, j'ai lu un peu partout que mes droits aux allocations étaient transferables 3 mois, mais nulle part, j'ai lu que c'était davantage prolongé selon le nombre d'années passées à travailler en Belgique.
De plus pour ma part, je pars pour rejoindre ma compagne qui souhaite se rapprocher de ses parents qui deviennent âgés, mais je ne compte pas "glander", si je peux travailler ans mon domaine de prédilection, je le ferai, mais il y a peu de débouchés, donc s'il est possible de faire une formation sur place, je la ferai avec joie à condition d'avoir des rentrées d'argent, sinon je prendrai malheureusement le premier emploi que je trouve, mais je n'ai pas envie de tomber dans le piège à l'emploi.
Merci pour les allocations au logement, je vais prendre ceci en compte, j'avais déjà commencé à me renseigner.