S'expatrier, mais ou?
La France comparé à pas mal de pays a l'avantage de pouvoir envoyer des français travailler à l'étranger avec des gros avantages concernant les salaires, logement et autres que cela soit dans différents zones du monde comme expatriés (stages ou emplois) et certains se plaignent. Dans d'autres pays si tu veux une expatriation c'est démerde toi comme tu peux et à toi de travailler ton projet ou trouver une entreprise à l'étranger qui veuille t'embaucher.
La France comparé à pas mal de pays a l'avantage de pouvoir envoyer des français travailler à l'étranger avec des gros avantages concernant les salaires, logement et autres que cela soit dans différents zones du monde comme expatriés (stages ou emplois) et certains se plaignent.
Tout à fait d'accord, à une réserve près. A 95% ce sont les entreprises françaises et pas "la France".
Et ces entreprises n'envoient que des gens testés, qu'elles connaissent, qui ont su se vendre et faire leurs preuves (ça écarte "ceux qui végèteront avec un Smic jusqu'à leurs 70 ans")
Tu es suisse et je te signale qu'il y a des expatriés de groupes suisses (pharmacie, banque) représentés au Brésil qui ont des avantages tout à fait semblables à ce que les entreprises françaises donnent, tout comme il y a des expatriés français qui n'ont réussi là-bas qu'avec leur niaque et leur travail dès lors qu'ils sont partis de leur propre chef.
Si tu pars sans filet, seul, la France ne te donne absolument rien à l'étranger si ce n'est une couverture consulaire très réduite (pas la meilleure du monde loin s'en faut).
(J'ai cité le Brésil parce que c'est ce que je connais le mieux)
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pourquoi ne pas donner de vrais conseils à Arthur et ses amis sur la marche à suivre
Je vais donner un exemple que je connais bien: le mien en ne le présentant pas comme LE modèle. C'est un parmi des tas d'autres.
Le cas d'un type sans capitaux, donc qui a dû se construire et se vendre. Six ans de préparation méthodique pour mon projet.
Pour des raisons personnelles, j'ai dû stopper mes études tôt, d'où un emploi payé au SMIC plus une toute petite prime. Depuis mon enfance, je rêvais d'Amazonie mais comme emballeur P2, ça ne le faisait pas trop.
Très tôt, quête d'informations sur la législation et les murs brésiliennes. "Tilt" sur la Guyane à côté en quêtant ces informations (je n'y pensais même pas avant).
Cours du soir puis entrée dans l'éducation nationale comme instituteur, apprentissage à mes frais et sur mon temps libre des bases de portugais, voyages (très chers à l'époque par rapport aux revenus: deux mois de salaire pour un aller retour vers Rio, donc très lourds sacrifices financiers toute l'année) en Guyane et au Brésil.
A mes frais (stages payants) et sur mon temps libre toujours, cours pour acquérir un diplôme de Français Langue Étrangère (le sésame pour enseigner à l'étranger, donc y aller avec un filet). Obtention dès que j'ai eu l'ancienneté requise du diplôme permettant d'exercer les fonctions de conseiller pédagogique (autre énorme sésame).
Avec ce bagage, mutation facile pour la Guyane. Premier pas.
De là, prise de contact avec plein de pistes au Brésil (voyages à chaque vacances et pas pour danser en boîte ou draguer sur les plages: pour explorer le terrain économique à 75% de mon temps).
Expatriation après mise en disponibilité de la fonction publique pour une mission d'enseignement (secteur privé) au Brésil grâce à mes compétences de conseiller pédagogique et en FLE (un enseignant de base, sauf piston et encore, a très peu de chances de partir à l'étranger)
Prise de marques pendant deux ans puis en parallèle, montage d'une petite boîte d'import-export.
Six ans après, pour cause de pépin de santé difficilement soignable au Brésil sans payer trop cher, repli sur la Guyane où j'ai travaillé jusqu'à ma retraite avec la possibilité de revenir facilement au Brésil à côté, où j'ai encore passé du temps pendant les congés et en me mettant en disponibilité de mon emploi, un semestre sur quatre, pour suivre l'éducation de deux enfants (précision: en disponibilité, on n'est pas payé. Donc grosse épargne le reste du temps).
Projet de ré expatriation au Brésil, en suspens (pronostic défavorable).
Rien ne m'a été donné, j'ai tout construit par moi même. Si j'avais eu une mise de fonds correspondant à une base "investisseur", peut être que cela aurait été plus facile, peut être qu'étant plus insouciant, je me serais planté.
Dans tous les cas je ne me suis pas mis en situation de clochardiser au fin fond d'un pays exotique ou quand on clochardise on le fait réellement sans filet (logement, alimentation, soins: c'est la rue, sans tout cela): si j'avais été en échec au Brésil (j'ai frôlé la catastrophe à deux reprises), je pouvais revenir et repartir sur un standard nettement inférieur, mais vivable.
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Le contre exemple.
En marge, un très vieux copain au chômage de longue durée. Je le fais donc venir pour travailler avec moi: l'idée le rendait enthousiaste. Je me défonce pour obtenir sa carte de résident, et ce n'était pas une petite affaire, sans compter ce que ça a coûté et sans compter que j'ai dû truander pour la seule fois de ma vie en bricolant un faux "investissement" pour qu'il ait son VIPER (or je déteste violer les lois).
Échec sur toute la ligne.
Il ne pigeait pas, malgré mes innombrables conseils, puis mises en garde, que pour faire son trou, il lui fallait travailler comme en France (pour ça il était d'accord et même davantage),
PLUS maîtriser au plus vite la langue,
PLUS apprendre à se dépatouiller au plus vite par lui même avec l'administration locale très différente,
PLUS s'adapter à la mentalité de nos clients brésiliens au lieu de vouloir les plier à la notre (de très loin le point le plus important, ce qui posait le plus de problèmes. C'est à l'expatrié de s'adapter, il ne peut pas compter sur le pays qui l'accueille pour qu'il change ses manières de faire et de penser).
A mon grand désespoir, j'ai dû m'en séparer: il me coûtait deux fois ce qu'il me rapportait et il me fâchait avec la clientèle, mettant ma structure en danger, donc cinq emplois en péril, le mien inclus.
Fin d'une longue amitié, et je lui ai pourtant donné sans obligation 40.000F pour rentrer et se refaire en plus du prix du billet de retour.
benj77 a écrit:Qui paiera les pensions, les gens comme nous, les immigrés.
C'est ce que je laissais entendre, mais cela entraînera des mutations profondes de la société allemande nettement moins ouverte, par tradition historique, que d'autres
la société allemande c'est considérablement ouverte depuis 45 ,elle est beaucoup ouverte aux étrangers que vous le pensez,il y a encore des freins notablement avec la doubles nationalité des étrangers hors union européenne ,mais on discute pour changer ça . Ici les contrôles facier sont rare .
Pour ma part les mises en garde ,c'est une bonne choses car quand on est à l'étranger ,on doit oublier la France . En plus je ne parlent pas des expats qui sont envoyer par leurs boites ,ceux lá une fois leurs mission terminer,ils rentrent en France sans avoir vraiment connus le pays surtout si ils ont vécu dans ds zones sécuriser ,le vrais expatrié est celui qui a un contrat local et vit comme les locaux . jean luc 
le vrai expatrié est celui qui a un contrat local et vit comme les locaux. jean luc
Ou qui a monté une entreprise locale.
Pour le reste, je suis d'accord avec toi. Et encore, s'expatrier dans un pays policé et sûr comme presque tous ceux de l'UE et aller au fin fond de l'Afrique, de l'Asie ou de l'Amérique latine, sont deux choses différentes 
Un truc qui me frappe, ce sont les messages de gens qui à peine arrivés dans un pays et des fois partis en vacances pour quelques semaines postent pour "retrouver des compatriotes".
Autant c'est bien compréhensible quand on a des fois la saudade du pays natal après un moment passé à l'étranger, mais quand on vient d'arriver!! Je me dis que ceux-là sont mal partis... 
Quand j'ai posé le premier pied au Brésil, je ne pensais pas à y voir tout de suite des Français si je ne les fuyais pas, mais plutôt à lier connaissance avec des Brésiliens (accessoirement, plutôt des Brésiliennes: j'étais jeune
)
Je comprends benj pas tout le monde est fait pour entreprendre et s'expatrier... Pour ma part je le ferais bien chez moi mon projet mais c'est une histoire de coûts et des risques plus grands car obligé de faire un crédit en plus de mes économies pour le monter. Il y a toujours aussi un risque à l'étranger aussi mais pour débuter tu as une plus grande marge de manuvre pour le développer, avec moins de charges que dans mon pays. De plus,aussi l'opportunité sans emprunt d'être propriétaire de ton terrain et infrastructure ce qui serait impossible chez moi au vu des prix.
Pour ma part je le ferais bien chez moi mon projet mais c'est une histoire de coûts et des risques plus grands car obligé de faire un crédit en plus de mes économies pour le monter.
A côté de ça, j'ai vu des fils à papa qui avaient la mise de fonds et qui se plantaient par insouciance ou manque de travail.
Quand on a sué pour accumuler son petit capital ou quand on est sans filet à cause d'un emprunt, en général on est super vigilant et très bosseur... si on ne tombe pas dans le piège tendu par des apporteurs d'affaires, des intermédiaires, et autres personnes de ce genre dont beaucoup (pas tous!), surtout auprès des expatriés, sont des escrocs.
Oui je suis au courant et quand on monte un projet on travaille sans compter ses heures et on a pas le temps d'avoir des contacts avec eux. On prends ses renseignements avant. Je pars pas pour rencontrer des expatriés mais pour entreprendre quelque chose avec mes économies pour lesquelles j'ai dû suer.
Phil66 a écrit:Oui je suis au courant et quand on monte un projet on travaille sans compter ses heures et on a pas le temps d'avoir des contacts avec eux. On prends ses renseignements avant. Je pars pas pour rencontrer des expatriés mais pour entreprendre quelque chose avec mes économies pour lesquelles j'ai dû suer.
En tout cas, je te souhaite une totale réussite! 
benj77 a écrit:pourquoi ne pas donner de vrais conseils à Arthur et ses amis sur la marche à suivre avec tous les avantages et les inconvénients que cela comportent sans être obligé constamment de dire que la France est le nombril du monde et que et qu'il faut surtout pas vivre ailleurs.
Je viens à l'instant de reprendre ma réponse ci-dessus pour l'amender et ajouter des conseils sur la manière de définir un projet,
d'abord pour mieux le formaliser,
ensuite pour le rendre crédible aux yeux des autres.
J'ai appuyé mon argumentation sur des réussites concrètes observées en France et à l'étranger par des entrepreneurs (mais qui savaient ce qu'ils voulaient faire et savaient le faire)
M'étant expatrié plus d'un quart de siècle, rentré pour des raisons de santé et contre mon gré, je ne vais pas censurer l'expatriation! Mais je crois que c'est un devoir de signaler les garde-fous qu'il faut mettre.
(J'ai quand même du mal à considérer le SMIC comme un "avantage dans lequel on se vautre" si pour le reste ça se discute. Tu as vécu avec un Smic? Moi oui, dans ma jeunesse. Le Smicard travaille dur et survit. Et pour sortir de cette situation, je n'ai pas rêvé sur un projet fumeux: j'ai pris des cours du soir après mes 44h passées à l'atelier).
Je cite tous les vrais avantages (que je préfère appeler acquis sociaux) non pas pour les glorifier, mais pour rappeler que dans les pays "low cost" dont on parlait, ils n'existent pas. Si tu perds ton pari et si tu n'as pas de réserves, tu crèves ou tu es à la charge de ta famille et/ou de tes amis.
Il faut le rappeler, hélas. Ça nous semble évident quand on a vécu une expat', mais ça ne l'est pas pour des gens qui exposent un "projet" et qu'au bout de cinq questions/réponses, on ne sait toujours pas où il se déroulera, sur quelle activité, avec quel capital, quelle structure, il fonctionnera.
Il est du devoir des gens sérieux de dire non pas qu'il faut renoncer, mais qu'il faut approfondir la copie...
Dire que ce n'est pas sérieux de réfléchir dans le vide sur une expat' dans un pays qu'on ne connaît pas (voire dont on ne parle pas la langue!) autrement que détaché par une entreprise qui nous fait confiance (donc, on a déjà une situation) ou dans le cadre d'une union familiale (si on se marie avec un ressortissant de ce pays qui le connaît bien) me paraît le plus élémentaire bon sens. Sauf si on a une montagne de thunes pour vivre sur place sans rien faire le temps de tout appréhender.
Pour le pessimisme français, il est logique. Nous avions le meilleur modèle social au monde avec le suédois, il ne cesse (et ne peut) que se dégrader. De ce fait l'avenir nous apparaît gris...
il faut m'expliquer là. j'ai dit que j'étais plutôt en accord avec ton analyse sur les mises en gardes et je ne les remets pas en questions. oui je partage leur enthousiasmes, oui j'adhère à leur projet d'expatriation et je n'ai jamais dit que ça serait simple mais ils ont un projet !
en ce qui me concerne j'ai travaillé au SMIC et vécut avec moins que ça mais j'ai aussi crée 2 entreprises en France, j'ai aussi beaucoup voyagé et vécut dans des pays low cost en côtoyant au quotidien la misère, la famine, la pauvreté et le dénuement des gens de ces pays.
je suis tout à fait d'accord une expatriation ça se prépare ça s'étudie. Encore une fois je ne remet pas en cause ça et je crois q'Arthur la bien compris aussi ! notre rôle n'est pas de lui expliquer comment fonctionne sont pays, mais plutôt comment un Français peut réussir sa vie à l'étranger.
en ce qui concerne la dernière phrase de mon post précédent que tu as citer. j'ai assisté à des comportements de Français à l'étranger peu reluisant qui laissait penser que ces gens là était convaincus que notre cher, grand et beau pays était le centre du monde. 
Phil66 a écrit:La France comparé à pas mal de pays a l'avantage de pouvoir envoyer des français travailler à l'étranger avec des gros avantages concernant les salaires, logement et autres que cela soit dans différents zones du monde comme expatriés (stages ou emplois) et certains se plaignent. Dans d'autres pays si tu veux une expatriation c'est démerde toi comme tu peux et à toi de travailler ton projet ou trouver une entreprise à l'étranger qui veuille t'embaucher.
salut comment vas tu
et j'en ai même vu à Dakar qui râlait et s'ennuyait à mourir d'être là. je te parle de cadres français qui travaillent dans les entreprises implantés au Sénégal bien sur !
en ce qui concerne la dernière phrase de mon post précédent que tu as citer. j'ai assisté à des comportements de Français à l'étranger peu reluisant qui laissait penser que ces gens là était convaincus que notre cher, grand et beau pays était le centre du monde.
Oui et on se demande même pourquoi ils l'ont quitté! 
Pour ma part, je suis autant exaspéré par les expatriés qui crachent sur leur pays d'accueil (des fois ça fait frémir), sur leur pays d'origine, que par ceux qui chantent les louanges de leur pays d'origine qu'ils ont quitté on ne sait trop pourquoi.
Chaque situation est différente, chaque expérience aussi, pas forcément transposable. J'ai donné deux cas, il y en a une infinité d'autres.
J'ai tenté en amendant mon commentaire plus haut de dire à Arthur comment formaliser son projet sur un plan concret.
L'enthousiasme (nécessaire) ne suffit pas: il faut une bonne dose de cartésianisme et pour le moment, je ne l'ai pas vue dans le pré-projet d'Arthur... parce que ce n'est pas un projet: pas d'activité définie, pas de financement prévu, pas de pays retenu, etc., ce qui ne veut pas dire que ça ne viendra pas.
J'ajoute que le projet de cinq jeunes copains partant ensemble me semble très risqué. Les célibataires peuvent se mettre en couple, les couples peuvent se dissocier et les désaccords surviennent toujours par les nouveaux conjoints.
Un gars qui est une cheville ouvrière indispensable dans un projet collectif et qui tombe réellement amoureux... Il choisira quoi entre ce projet et sa copine si elle ne veut ou ne peut pas partir ou partir ailleurs, ou faire autre chose? Ce n'est pas le projet qui l'emportera sur l'amour.
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Je reste persuadé que pour réussir une expatriation (ça ne veut pas forcément dire devenir milliardaire), il faut être lucide: si on n'a pas les aptitudes pour réussir chez soi, il n'y a pas de raison qu'on les ait ailleurs. En revanche si on les a, il est possible que dans d'autre pays elles soient valorisées.
Un loser sera toujours un loser si un gagnant pourra se transcender davantage ailleurs, tout comme des étrangers réussissent mieux chez nous que chez eux dans certains secteurs.
Karl Lagerfeld, dans le pays de la mode, a eu mille fois plus d'opportunités qu'en Allemagne et pourtant l'Allemagne est économiquement efficace... 
Dire que ce n'est pas sérieux de réfléchir dans le vide sur une expat' dans un pays qu'on ne connaît pas (voire dont on ne parle pas la langue!) autrement que détaché par une entreprise qui nous fait confiance (donc, on a déjà une situation) ou dans le cadre d'une union familiale (si on se marie avec un ressortissant de ce pays qui le connaît bien) me paraît le plus élémentaire bon sens. Sauf si on a une montagne de thunes pour vivre sur place sans rien faire le temps de tout appréhender.
Juste pour dévellopper: Il existe aussi un autre type d'expatriation, qui se rapproche du "détaché" sans l'être tout a fait: l'expatriation "d'opportunité".
cad un immigré "de travail" pour un chantier, pour 6 mois ou quelques années, pour un besoin ponctuel dans le pays pour lequel il débarque avec un contrat déjà en poche ou quasi.
La plupart repartirons à la fin du chantier, les poches pleines. Mais quelques-uns resterons, soit pour poursuivre le travail engagé dont le gros-oeuvre est terminé, soit par conviction/amour soudain pour ce nouveau pays, ect.
C'est une "expatriation" un peu particulière, surtout si l'on est logé "en chantier". Mais là encore, on se rapproche des comportements des expats, qui soit se retrouvent entre eux, soit se plongent tête la première dans cette nouvelle société, c'est du ressort et du caractère de chacun.
Et de là, elle pose les mêmes problématiques qu'une expatriation classique, avec son choc culturel, son acceptation ou non, ses difficultés et aventures, ect.
benj77 a écrit:en ce qui concerne la dernière phrase de mon post précédent que tu as citer. j'ai assisté à des comportements de Français à l'étranger peu reluisant qui laissait penser que ces gens là était convaincus que notre cher, grand et beau pays était le centre du monde.
Oui et on se demande même pourquoi ils l'ont quitté!
Pour ma part, je suis autant exaspéré par les expatriés qui crachent sur leur pays d'accueil (des fois ça fait frémir), sur leur pays d'origine, que par ceux qui chantent les louanges de leur pays d'origine qu'ils ont quitté on ne sait trop pourquoi.
humm oui je suis d'accord j'ai même du intervenir une fois la pauvre victime était en pleure elle se faisait insulté par un touriste Français ! et la scène se déroulait à Miami en Floride
tu te rend compte.
bon pour notre ami Arthur je crois que les cartes sont entrent ses mains.
baggers a écrit:Dire que ce n'est pas sérieux de réfléchir dans le vide sur une expat' dans un pays qu'on ne connaît pas (voire dont on ne parle pas la langue!) autrement que détaché par une entreprise qui nous fait confiance (donc, on a déjà une situation) ou dans le cadre d'une union familiale (si on se marie avec un ressortissant de ce pays qui le connaît bien) me paraît le plus élémentaire bon sens. Sauf si on a une montagne de thunes pour vivre sur place sans rien faire le temps de tout appréhender.
Juste pour dévellopper: Il existe aussi un autre type d'expatriation, qui se rapproche du "détaché" sans l'être tout a fait: l'expatriation "d'opportunité".
cad un immigré "de travail" pour un chantier, pour 6 mois ou quelques années, pour un besoin ponctuel dans le pays pour lequel il débarque avec un contrat déjà en poche ou quasi.
La plupart repartirons à la fin du chantier, les poches pleines. Mais quelques-uns resterons, soit pour poursuivre le travail engagé dont le gros-oeuvre est terminé, soit par conviction/amour soudain pour ce nouveau pays, ect.
C'est une "expatriation" un peu particulière, surtout si l'on est logé "en chantier". Mais là encore, on se rapproche des comportements des expats, qui soit se retrouvent entre eux, soit se plongent tête la première dans cette nouvelle société, c'est du ressort et du caractère de chacun.
Et de là, elle pose les mêmes problématiques qu'une expatriation classique, avec son choc culturel, son acceptation ou non, ses difficultés et aventures, ect.
oui j'ai déjà vu ça aussi à Ziguinchor au Sénégal 
De toute façon les gens réellement bien dans leur peau n'ont pas besoin de ressasser sans qu'on le leur demande qu'ils le sont. Pour eux c'est naturel, ça ne se dit pas.
En réalité ceux qui nous le serinent appliquent la méthode Coué pour tenter de s'auto-persuader
Quant à ceux qui sont mal dans un pays d'expatriation où on les a détachés (avec 99 fois sur 100, des avantages énormes à la clé), qui ne rêvent qu'à leur pays d'origine: mais qu'ils dégagent, qu'ils rentrent chez eux, qu'ils laissent leur place à d'autres qui rêveraient d'y être!
Je parle bien des détachés. Pas de ceux qui ont fait leur trou seuls.
J'ai vu ça à Kourou. Le technicien dont l'épouse aurait fait des ménages chez eux pour arrondir les fins de mois et qui, en Guyane, se payait une bonne, couple logé dans une grande villa meublée, qui ne cessaient de râler et de se prendre pour des aristos.
A noter que sauf exception, plus le "saut" qualitatif est élevé entre la situation d'avant et celle qu'implique le détachement, plus les gens sont imbuvables. Les cadres supérieurs ne se la pétaient en général pas, eux.
benj77 a écrit:De toute façon les gens réellement bien dans leur peau n'ont pas besoin de ressasser sans qu'on le leur demande qu'ils le sont. Pour eux c'est naturel, ça ne se dit pas.
En réalité ceux qui nous le serinent appliquent la méthode Coué pour tenter de s'auto-persuader
Quant à ceux qui sont mal dans un pays d'expatriation où on les a détachés (avec 99 fois sur 100, des avantages énormes à la clé), qui ne rêvent qu'à leur pays d'origine: mais qu'ils dégagent, qu'ils rentrent chez eux, qu'ils laissent leur place à d'autres qui rêveraient d'y être!
Je parle bien des détachés. Pas de ceux qui ont fait leur trou seuls.
J'ai vu ça à Kourou. Le technicien dont l'épouse aurait fait des ménages chez eux pour arrondir les fins de mois et qui, en Guyane, se payait une bonne, couple logé dans une grande villa meublée, qui ne cessaient de râler et de se prendre pour des aristos.
A noter que sauf exception, plus le "saut" qualitatif est élevé entre la situation d'avant et celle qu'implique le détachement, plus les gens sont imbuvables. Les cadres supérieurs ne se la pétaient en général pas, eux.
Phil66 a écrit:Oui je suis au courant et quand on monte un projet on travaille sans compter ses heures et on a pas le temps d'avoir des contacts avec eux. On prends ses renseignements avant. Je pars pas pour rencontrer des expatriés mais pour entreprendre quelque chose avec mes économies pour lesquelles j'ai dû suer.
voila tout est dit ! tu vois phil c'est pour ça que je souhaite que ton projet sur la petite côte soit une réussite ! 
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