Bonjour à tous et à toutes ,
Inscrit sur ce forum, afin de valider un souhait latent, depuis quelques dizaines de mois, suite à des sollicitations d'employeurs Guyanais, qui cherchent du personnel sur différents sites où je suis adhérent.
Je suis préparateur en pharmacie depuis 42 ans et j'ai toujours effectué des remplacements plus ou moins longs dans des officines de ville, de campagne et plus brièvement en hôpital. L'intérêt de ce métier est qu'il facilite les contacts humains au-delà du superficiel. Cela demande de la retenue, une vigilance constante, et de la présence. En travaillant au comptoir, il nous arrive de servir entre quarante et quatre-vingt clients par jour, parfois bien plus et après la journée de travail, je ne suis pas forcément disponible pour de la discussion.
Donc, des pharmaciens titulaires m'ont directement contacté sur des sites locaux,(je vis en Finistère) pour me proposer des emplois sur la Guyane!
Hé bien voilà, maintenant que je suis dégagé de toutes implications conjugales et éducatives; pourquoi pas...
J'ai cinquante sept ans, bonne santé et de l'audace.
J'ai pris quelques mois sabbatiques, depuis mars dernier, afin de faire une pause pour y réfléchir plus tranquillement et poser les bases du projet, puis, peut-être réaliser ce projet. Une phase de transition en quelque sorte et c'est pourquoi je suis sur ce site.
Le mode de vie en Guyane est-il conditionné par de la méfiance, de l'hostilité, de la part des Guyanais d'origine?
Pour s'intégrer dans ce mode de vie sur quel comportement faut-il s'appuyer? Réservé, empathique, autre.
Le logement? apparemment c'est un problème partout sur le département.
La nourriture est bien entendu très différente qu'en métropole, m'en parler, SVP.
Les distractions, la forêt voisine, les descentes sur le Maroni, les virées aussi, les soirées (restau, bars).
Les voisins, Surinam, Brésil, autres...
Les abeilles, je suis apiculteur très expérimenté, 60 ruches.
Les illusions, surtout les clichés dont il faut se méfier.
Autres suggestions, bienvenues.
Et franchement, le mauvais comme le bon, je suis preneur.
A bientôt de vous lire...
Sympathies, Bernard.