Droits de garde des enfants,droit de la famille, et la jugendamt
On a gagné ! ... les enfants ont tenu tête à la juge et au jugendamt. Ça à payé . Donc ne désespérez pas, les personnes dans la même situation!
Je reçois mes enfants ce dimanche!
-@Stef kendra
tu vit oú exactement ??tes enfants ont quelle âge ???? quelle as été la position de la jungenamt??? jean Luc
@jean luc1 j'habite en Belgique, l'aide à l'enfance a été appelée par lui mais s'est retournée contre lui. Mon avocat a eu la bonne idée de faire parler les enfants avec une assistante sociale. L'assistante sociale a soutenu les enfants qui ne demordaient pas. Elle a dit à la juge que dans ce cas présent, la volonté des enfants doit primer.
Les enfants sont ados (au-dessus de 14 ans) et donc leurs avis pèsent lourd. J'attends de recevoir la lettre en physique on va dire, pour savoir si la maltraitance psychologique a été retenue mais je m'en fou un peu on a gagné c'est tout ce qui compte.
la procédure a étais respecter , les ados ont été consulté . tu est tomber sur une bonne assistante sociale , si lui il as perdu malgré qu'il soit rester en Allemagne , c'est qu'il doit avoir des choses pas très clair pour lui. jean Luc
Le cri d’alerte de Sylvie Serrano séparée de ses enfants en Allemagne .
Le terme « conjoint suiveur » désigne le conjoint d’une personne expatriée, qui suit son partenaire dans un autre pays pour des raisons professionnelles. Depuis des années, cette réalité sociologique concerne nombre de nos compatriotes de l’étranger. Mais derrière se nichent parfois des drames silencieux. Quand la séparation frappe ces couples, quand vient l’heure du divorce, la situation des enfants peut devenir alors problématique. Voire dramatique. Surtout quand le droit du pays de résidence protège à l’outrance le résident national au détriment du conjoint suiveur. C’est ce que nous raconte
Créé en 1922, cet office allemand de l’aide sociale à l’enfance est régulièrement dénoncé par des parents non allemands comme étant discriminatoire dans ses pratiques. La communication ne se fait qu’en allemand. L’office refuse presque systématiquement que les enfants mineurs quittent le territoire germanique. Et ses avis sont quasi systématiquement suivis par les juridictions familiales allemandes.
Ce problème dépasse les cas individuels : des centaines de dossiers sont en souffrance au Parlement européen, comme l’a rappelé l’ex-eurodéputé Édouard Martin. En 2018, une résolution du Parlement européen exprimait sa « vive inquiétude » quant à la fréquence des discriminations contre les parents étrangers. Le droit européen et les conventions internationales semblent méprisées. En particulier la Convention de La Haye sur les enlèvements d’enfants.
De cette épreuve, Sylvie Serrano a tiré une initiative : le mouvement MeTiny, contraction de Me + Tiny (Moi et mon tout-petit). L’objectif est de donner une voix aux mères séparées de leurs enfants dans un cadre international. Le mouvement milite pour que les systèmes judiciaires prennent mieux en compte le lien mère-enfant dans les procédures de divorce et de garde transfrontalières. « Des milliers de mères sont invisibilisées, réduites au silence par la complexité des systèmes juridiques étrangers et l’opacité des décisions de justice. MeTiny veut porter cette parole et exiger une réforme à l’échelle européenne », explique Sylvie Serrano.
Le 1er juin dernier, nos confrères du quotidien Le Parisien ont consacré un article aux conséquences du système du Jugendamt sur les parents français. Ont été évoqués notamment le cas de Sylvie Serrano et d’autres mères dans la même situation. Des associations comme Ratatouille, Familles Francophones d’Europe, participe aussi à ce travail de sensibilisation, souvent dans une relative indifférence politique.
Nous avons pu échanger avec cette mère courageuse et combative.
Sylvie Serrano : « Mon histoire est contenue entièrement dans mon livre. Vous comprendrez que j’ai été séparée 2 fois d’avec mes enfants : en 2014, mes fils avaient alors 8, 10 et 13 ans, j’ai été séparée pendant 9 mois. Je suis alors retournée à Munich, ne voulant plus être éloignée d’eux. Mais je suis séparée d’eux désormais depuis 2020, mes fils avaient alors 14, 16 et 19 ans, cela fait 5 ans maintenant.
J’ai été depuis condamnée à une peine de prison de 18 mois pour un différend familial avec mon ex-mari, (peine totalement démesurée par rapport au délit), j’ai connu la fuite, Interpol, la prison en Italie, une évasion… Je me suis rendue alors à la justice française, qui doit appliquer la peine allemande : 9 mois de bracelet électronique à partir du 1er octobre prochain. La demande de grâce a encore été refusée par la justice bavaroise et je souhaite faire intervenir le gouvernement français. Je dénonce dans mon livre la rudesse de la justice allemande avec le parent non-allemand. »
Sylvie Serrano : « Je n’ai pas encore reçu de retour officiel des pouvoirs publics, mais c’est bien mon objectif ultime. Mon livre, tout juste paru, marque le point de départ d’un engagement public fort. Avec la parution d’un article dans Le Parisien, je compte mettre en lumière le mouvement #MeTiny que j’ai fondé.
Je vais mobiliser tous les canaux possibles — réseaux sociaux, médias, presse, émissions télé — pour faire entendre cette cause essentielle : protéger le lien mère-enfant, surtout dans les procédures judiciaires. C’est un combat international. Une pétition internationale, disponible en plusieurs langues, est en cours pour faire entendre la voix des mères et des enfants au-delà des frontières, car elle constitue un levier important pour interpeller les autorités et démontrer l’ampleur du soutien citoyen. J’ai la conviction que les lignes peuvent bouger, à condition que nous soyons nombreux à les pousser ensemble. »
Sylvie Serrano : « Le mouvement #MeTiny est né d’une expérience personnelle douloureuse, mais il porte aujourd’hui une voix collective : celle de toutes les mères (et de leurs enfants) confrontées à une injustice silencieuse. Ce sujet est encore très méconnu, mais il détruit des vies.
MeTiny milite aujourd’hui pour que soit votée une loi imposant la présence obligatoire d’experts indépendants – psychologues, pédopsychiatres, psychiatres – lors des audiences devant les juges aux affaires familiales. Le bien-être psychologique et émotionnel de l’enfant doit être réellement pris en compte dans chaque décision. Il est essentiel que la justice replace la relation mère-enfant au cœur de ses priorités, sans jamais la confondre avec les conflits juridiques ou financiers opposant les parents. L’intérêt supérieur de l’enfant doit redevenir la seule et unique boussole de chaque décision. Ces réalités doivent être portées et reconnues par les plus hautes instances internationales, telles que le Parlement européen, l’ONU et Amnesty International. »
https://lesfrancais.press/le-cri-dalert … ce=Mailjet . jean Luc😉
PS: bien triste affaire , la jungendamt est le troisième parent , il faut savoir que les enfants doivent rester en Allemagne , si vous les ramener de force dans votre pays , c'est un enlèvement . jean Luc😉
Incroyable ! La justice allemande sur ce sujet est vraiment lamentable !
C'est un pays européen, mais sur ce point digne des pays les plus intolérants. Donc pas digne des valeurs européennes.
@Mithié
le droit de la famille ,ne fait pas partie du droit européen , l'Europe n'a pas été fait pour celas . L’Europe s'occupe plus des marchandises que des êtres humains . le problême est politique aucun pays ne veut se mettre á dos l'Allemagne , les affaires avant le reste . et surtout pas la France qui pense toujours couple franco-allemands ,et non partenariat franco-allemand comme le pense les allemands . ex quand un parent français enlève ses enfants et rentre en France , l'Allemagne émet un mandat d’arrêter et la France l’exécute et renvois les enfants et le parent en Allemagne oú il seras juger . et quand c'est la France qui émet un mandat pour faire arrêter le parent allemands et faire rentrer les enfants , l'Allemagne ne fait rien , la justice donne les enfants au parent allemand . tout les pays font pareille . regarde depuis quand cette discutions est ouverte (2011) . A cette époque j'ai beaucoup hésiter car mes enfants étais mineurs donc la jungendamt (office de protection de la jeunesse ) pouvais éventuellement me faire des problèmes , aussi moi et ma femme ont as l'a tenus á l'ecarts loin de nos affaires . quand tu as un problême avec une famille tu dit que si ça continus c'est la jungendamt , tu peut être certains que les parents vont réagir ,car ici on connais ce que peut faire la jungendamt .
jean luc 😉
@jean luc1
Merci pour ces précisions.
C'est étonnant qu'un pays démocratique comme l'Allemagne agisse ainsi. En plus, sans respecter la réciprocité avec la France (Et peut-être d'autres pays européens).
C'est incroyable ce que ce "jungendamt " a comme pouvoirs !
"le problême est politique aucun pays ne veut se mettre á dos l'Allemagne , les affaires avant le reste . et surtout pas la France"
Tu as raison, sur ce type de cas c'est évident. Je ne savais pas que ce genre de rapport de force existait encore maintenant.
ce problême concerne toute le monde entier ,mais surtout l#Europe , madame von der leyen présidente de la commission européenne , étais de 2005-2009 ministre de la famille, des retraités ,des jeunes , donc le ministre de tutelle de la jungenamt , donc on auras compris oú se trouve le blocage . Pour la jungendamt les enfants sont allemands point, ils doivent être élever en Allemagne comme des allemands par les allemands ,un point c'est tout , alors ceux qui rentre avec les parents rentre dans ce cadre , les tribunaux donne le droit de garde au parents allemand , et comme elle extrade pas ses nationaux ,le tour est jouer. jean luc 😉
Le cri d’alerte de Sylvie Serrano séparée de ses enfants en Allemagne .
Et ses avis sont quasi systématiquement suivis par les juridictions familiales allemandes.
Sylvie Serrano : « Mon histoire est contenue entièrement dans mon livre. Vous comprendrez que j’ai été séparée 2 fois d’avec mes enfants : en 2014, mes fils avaient alors 8, 10 et 13 ans, j’ai été séparée pendant 9 mois. Je suis alors retournée à Munich, ne voulant plus être éloignée d’eux. Mais je suis séparée d’eux désormais depuis 2020, mes fils avaient alors 14, 16 et 19 ans, cela fait 5 ans maintenant.
J’ai été depuis condamnée à une peine de prison de 18 mois pour un différend familial avec mon ex-mari, (peine totalement démesurée par rapport au délit), j’ai connu la fuite, Interpol, la prison en Italie, une évasion… Je me suis rendue alors à la justice française, qui doit appliquer la peine allemande : 9 mois de bracelet électronique à partir du 1er octobre prochain. La demande de grâce a encore été refusée par la justice bavaroise et je souhaite faire intervenir le gouvernement français. Je dénonce dans mon livre la rudesse de la justice allemande avec le parent non-allemand. »
dans cette histoire il y as eu une suspicion d'enlévement d'enfants par parent .dans ce cas la jungendamt ordonne la procédure d'urgence , qui consiste a provoquer une réunion secrète avec le juge pour lui transmettre ses informations et lui demander une ordonnance de prise de corps des enfants immédiate par la police . Comment elle obtient
ses infos , soit par le conjoint (sur conseilles de son avocats qui lui indique qu'il lui indique qu'il as peut de chance pour la garde des enfants , sauf si il suit les conseils de son avocats 1005 de chance ) alors celui ci fait savoir de son ex veut rentrer en France pour les vacances avec les enfants , et mon avocat me conseille de vous avertir ,sans vraiment apporter de preuves concrète , ou si elle lui as dit qu'elle le feras .
C'est peut être aussi l'école qui aurais entendu quelque chose sur un départ , imminent , une rumeur sans vraiment de preuve , alors l#école avertis la jungendamt .
alors la police vient á l’école prends les enfants , les emmènent dans un lieu tenus secret , pour plusieurs mois , cette procédure peut être engagé sans l'accord du parent allemands qui peut être tenus á l'ecart ,une simple rumeur ,sans preuve établi suffit .
jean luc 😉
C'est vraiment brutal pour les enfants !
Ceci dit, en France, sans être aussi radicale, l'A.S.E. qui est sensée mettre en priorité l'intérêt des enfants, est parfois aussi maltraitante en prenant des décisions qui amènent par exemple à séparer une fratrie.
Attention Bureau de protection de la jeunesse : mise en danger d'un enfant
Soudain et de manière inattendue, un éducateur spécialisé en protection de l'enfance se présente à votre porte et vous demande d'entrer. Cela peut arriver à n'importe quelle famille avec enfants. La situation de ces derniers doit être examinée.
Cela ne peut pas vous arriver ? Vous n'avez rien fait de mal et, bien sûr, vous n'avez jamais rien fait de mal à vos enfants ? Vous avez entendu dans les médias que les services de protection de l'enfance n'interviennent qu'en cas de maltraitance ou de violence ?
Ne vous laissez pas berner par un faux sentiment de sécurité ! Dès que les services de protection de l'enfance interviennent, toutes les sonnettes d'alarme doivent retentir. Si vous n'agissez pas avec une extrême prudence dès maintenant, vous risquez la peine la plus sévère, même si vous êtes totalement innocent : vos enfants vous seront retirés. Ils seront placés dans une famille d'accueil ou dans un foyer.
Contexte juridique : L'État a la fonction de tutelle pour protéger nos enfants contre les maltraitances, la violence et la prétendue « mise en danger du bien-être des enfants ». Bien sûr, tout le monde est généralement d'accord sur ce point.
Pourtant, dans moins de 20 % des cas de prise en charge d'enfants par les services de protection de l'enfance, on soupçonne même des violences ou des abus. Au contraire, dans l'immense majorité des cas, les enfants sont retirés à leur famille car, de l'avis des services de protection de l'enfance, les parents sont débordés ou tout simplement inaptes à les élever. L'expression anodine « mise en danger du bien-être de l'enfant » peut servir à tout justifier. Avec une formulation aussi contraignante, notre État de droit abandonne la voie de la sécurité juridique prévisible et s'enfonce dans le bourbier de l'arbitraire potentiel !
Il est donc clair que même les parents les plus attentionnés ont absolument besoin d'une assistance professionnelle dès le premier contact avec les services de protection de l'enfance afin de clarifier la situation et de protéger leur famille des dangers.
Soyez extrêmement vigilants : chaque mot, chaque déclaration, chaque blague anodine, chaque petite blessure subie par votre enfant en jouant, même chaque anecdote de votre propre enfance, peut désormais représenter un risque incalculable pour vous.
Si le parquet souhaite placer un citoyen suspect en détention, les soupçons doivent être présentés à un juge. Ce dernier décide ensuite, après avoir soigneusement étudié les faits qui lui sont présentés et éventuellement entendu la personne concernée, d'émettre ou non un mandat d'arrêt.
La prise en charge d'un enfant en vertu de l'article 42 du Code social allemand (SGB VIII) est une procédure totalement différente. Comme par magie, le service de protection de l'enfance a la possibilité, à tout moment et sans qu'un juge n'ait à examiner ni à évaluer les soupçons, de vous retirer vos enfants et de les placer en famille d'accueil. Cette mesure, profondément dramatique pour les enfants et leurs parents, peut toujours être prise lorsque le service de protection de l'enfance estime que le bien-être de l'enfant est menacé par quelqu'un ou quelque chose. Souvent, des raisons insignifiantes suffisent à justifier le soupçon et la mesure.
Si vous êtes soupçonné d'être débordé par l'éducation de vos enfants, tout ce que vous faites ou dites – ou ne faites ou ne dites pas – peut être utilisé contre vous par l'Aide sociale à l'enfance. Vous vous retrouvez alors dans une situation kafkaïenne où vous ne pouvez pratiquement rien faire de bien. Chacun de vos propos peut être déformé. Si vous reconnaissez des difficultés, l'Aide sociale à l'enfance peut supposer que la situation est bien pire. Si vous niez les difficultés, cela peut être interprété comme une preuve de votre refus de respecter les droits de vos enfants et de coopérer de manière autocritique avec l'Aide sociale.
Ce n'est qu'après avoir établi les faits et retiré les enfants à leur famille que l'Aide sociale à l'enfance dépose une demande de retrait total ou partiel de l'autorité parentale auprès du tribunal des affaires familiales compétent.
À ce stade, les enfants sont profondément perturbés, voire traumatisés, par la mesure coercitive et le changement global de leur environnement.
N'espérez pas que le tribunal prenne une décision rapide. Généralement, après avoir entendu toutes les parties concernées, le tribunal désigne un expert. Le rapport vise à déterminer s'il y a ou non « mise en danger d'un enfant ».
Tout cela prend des mois, voire des années si le tribunal régional supérieur est saisi.
Pendant ce temps, les services de protection de l'enfance décident de la fréquence et des modalités (seul ou sous surveillance) des visites que vous pouvez effectuer. À votre grande horreur, vos demandes de contacts courts et réguliers avec vos enfants sont rejetées avec un langage standardisé. On entend des phrases comme : « Les enfants ont besoin de se calmer ou simplement de s'habituer à leur famille d'accueil.» Les enfants sont traumatisés (pas par la séparation soudaine et la perte de leur environnement supposé sûr, oh non, bien sûr, seulement par vous, les parents !). Les enfants ne sont pas des cobayes ; le risque qu'ils représentent est bien trop grand. Si la visite ou le rapatriement échoue, le préjudice subi par les enfants ne pourra jamais être réparé ; et puis, bien sûr, les enfants ne sont pas un cirque ambulant.
De nombreux parents désespèrent de notre système constitutionnel dans cette situation. Les criminels et les délinquants bénéficient de plus de droits en vertu du droit pénal et sont mieux protégés contre l'intervention de l'État que les citoyens innocents avec leurs enfants, pour qui un simple soupçon de « mise en danger d'enfants » suffit souvent.
Si vous rencontrez ensuite des difficultés avec l'expert, voire refusez de coopérer, vous serez à nouveau pris en otage. On pensera volontiers que vous cherchez manifestement à cacher quelque chose. Si vous souhaitez coopérer avec l'expert, ne croyez jamais qu'il a été engagé pour vous aider. Il vous posera d'abord des questions très amicales, puis souvent des questions inquiétantes et gênantes.
Parfois, vous ne pouvez pas ignorer le sens et l'objectif des questions pièges. Des informations seront également souvent recueillies sur votre propre développement psychologique, enfant et adulte, vos relations, votre vie professionnelle et même vos éventuels troubles alimentaires. Attention, l'évaluateur pourrait vous demander de suivre une longue thérapie en milieu hospitalier avant même d'envisager de vous rendre vos enfants pendant quelques semaines pendant les vacances, après des années.
Je le répète, si l'Aide sociale à l'enfance vous appelle et si une prise en charge est même envisagée, vous avez un besoin urgent de professionnels pour vous conseiller, vous soutenir et vous accompagner. Si vous agissez seul par naïveté, vous vous mettez en grand danger, vous, votre famille et surtout vos enfants.
N'êtes-vous pas affecté par tout cela ? Vous préférez traverser un lac gelé à la nage plutôt que de mettre en danger le bien-être de vos enfants ? Vous n'avez rien à craindre de l'Aide sociale à l'enfance, car vous préférez être crucifié plutôt que de maltraiter ou de commettre des violences envers vos enfants ?
Les parents d'environ 48 000 enfants arrachés à leur famille par l'Aide sociale à l'enfance l'année dernière ont ressenti la même chose.
Dans 80 % des cas, il n'y avait même pas de soupçon de violence. Près de 40 000 enfants ont été placés en famille d'accueil ou en institution par l'Aide sociale à l'enfance, car leurs parents étaient jugés débordés ou incapables de les élever. La clause générale « mettant en danger le bien-être de l’enfant », que je considère inadmissible, est l’arme avec laquelle n’importe quelle famille peut être détruite, dans certaines circonstances, de manière injustifiée ou même malveillante.
https://www.anwalt.de/rechtstipps/vorsi … 31253.html
le texte est traduit de l'allemand donc il faut se rapporter au texte allemands voir la source , l'auteur est un avocat allemand droit de la famille ,donc il confirme ce que j'avance depuis des années
jean luc 😉
Merci pour ces infos.
Je n'imaginais pas que l'Allemagne pouvait agir de cette façon. Ce n'est pas digne d'une démocratie européenne.
Pour ceux qui ont des problèmes il doivent lire ce texte https://jugendamt0.blogspot.com/2019/08/ .jean luc 😉
Wir fahren in die Region Evros, 800 Kilometer entfernt von Athen Richtung türkischer Grenze, eine dünn besiedelte, abgelegene Gegend. Hier sollen minderjährige Kinder aus Deutschland untergebracht sein. Das erzählen die Leute vor Ort, aber sie wissen nicht, was das für Kinder sind.
In dem kleinen Ort Makri treffen wir eine Frau auf der Straße: "Die deutschen Kinder wohnen hier, in diesem Haus, wo eine alte Dame wohnt. Sie sind hier."
Ein abgelegener Ort
Nur eine Sandpiste führt nach Koila. Im Winter ist der Ort durch Schnee von der Außenwelt abgegrenzt. Abgeschieden vom problematischen Umfeld, oft ist eine solche Unterbringung im Ausland die letzte Chance. In diesem Anwesen sollen die Jugendlichen wohnen. Nach längerer Diskussion lässt uns der Betreuer, Nikos, rein. Auf dem Hof sehen wir die deutschen Kinder. Der Betreuer sagt: "Die Kinder kommen über das deutsche Jungendamt. Das Jugendamt aus Deutschland entscheidet, wann, welche Kinder, wieso und wohin kommen werden. Denn wie Sie sagten, gibt es auch andere Heime, wir sind nicht das einzige. Der Antrag auf Betriebsgenehmigung wurde schon seit vielen Jahren bei der Gemeinde gestellt. Die Tatsache, dass die Gemeinde mit der Sache nicht vorankommt und die Verantwortung dem einen und dem anderen gibt, ist nicht ein Problem der Einrichtung. Dies ist eine Sache der Gemeinde selbst."
Die Betriebsgenehmigung ist aber entscheidend dafür, dass die griechischen Behörden der Unterbringung von Jugendlichen zustimmen.
Nachfragen in Deutschland
Wir fragen bei dem Träger der Einrichtung nach, der Firma Coccius mit Sitz in Leimen. Wir wollen wissen, ob und warum in Koila deutsche Jugendliche untergebracht sind und mit welcher rechtlichen Grundlage – eine vage Antwort. Fehlt der Unterbringung etwa sowohl die Betriebserlaubnis, als auch die Zustimmung zur Unterbringung von Jugendlichen durch die griechischen Behörden?
Wir wollen von der Gemeindeverwaltung in Alexandroupoli wissen, unter welchen rechtlichen Rahmenbedingungen dieses Heim betrieben wird. Niemand steht für ein Interview zur Verfügung, aber schriftlich gibt der Bürgermeister Auskunft: "Die Einrichtung wurde ohne die Lizenz für die Unterbringung von Minderjährigen betrieben."
Keine Genehmigung durch Griechenland
Die zuständige griechische Stelle gibt auf unserer Nachfrage, ob einer Unterbringung von deutschen Jugendlichen in Evros zugestimmt worden ist, die überraschende schriftliche Auskunft: "Bis dato erhielt keiner der eingereichten Anträge die Genehmigung des zuständigen Staatsanwalts für Minderjährige in Athen."
Warum bringen deutsche Jugendämter Minderjährige nach Griechenland, womöglich, ohne dass die nötigen Genehmigungen vorliegen? Wir haben bei zahlreichen Jugendämtern nachgefragt, können aber nicht herausfinden, von welchen Jugendämtern die Kinder geschickt wurden.
Ob es den Kindern gut oder schlecht geht können wir nicht sagen. Auch, weil die Einzelfälle strengen Datenschutzbestimmungen unterliegen. Vieles deutet darauf hin, dass in Griechenland Jugendliche aus Deutschland ohne nachprüfbare Rahmenbedingungen untergebracht werden – ausgerechnet gefährdete Jugendliche.
Autorin: Anja Miller, ARD Rom / Mitarbeit: Angie Saltampasi
traduction en français
Nous roulons jusqu'à la région d'Évros, à 800 kilomètres d'Athènes, en direction de la frontière turque. C'est une région isolée et peu peuplée. Des mineurs allemands seraient hébergés ici. C'est ce que disent les habitants, mais ils ignorent de quel genre d'enfants il s'agit.
Dans la petite ville de Makri, nous rencontrons une femme dans la rue : « Les enfants allemands vivent ici, dans cette maison où vit une vieille dame. Ils sont ici.»
Un lieu isolé
Seul un chemin sablonneux mène à Koila. En hiver, la ville est coupée du monde extérieur par la neige. Isolés de cet environnement problématique, un tel hébergement à l'étranger est souvent la dernière chance. Les jeunes sont censés vivre dans cette propriété. Après une longue discussion, le responsable, Nikos, nous ouvre l'entrée. Nous apercevons les enfants allemands dans la cour. Le responsable explique : « Les enfants passent par l'Office allemand de protection de la jeunesse. C'est l'Office allemand de protection de la jeunesse qui décide quand, quels enfants, pourquoi et où ils seront placés. Car, comme vous l'avez dit, il existe d'autres foyers ; nous ne sommes pas les seuls. La demande d'autorisation d'exploitation est déposée auprès de la municipalité depuis de nombreuses années. Le fait que la municipalité n'avance pas dans ce dossier et qu'elle transfère la responsabilité à une personne après l'autre n'est pas le problème du foyer. C'est une question qui relève de la municipalité elle-même. »
L'autorisation d'exploitation est cependant cruciale pour que les autorités grecques approuvent le placement des jeunes.
Demandes de renseignements en Allemagne
Nous nous renseignons auprès de l'exploitant du foyer, l'entreprise Coccius, basée à Leimen. Nous souhaitons savoir si et pourquoi des jeunes allemands sont hébergés à Koila, et sur quelle base juridique ; la réponse est vague. Le foyer ne dispose-t-il pas à la fois d'une autorisation d'exploitation et d'une autorisation des autorités grecques pour accueillir des jeunes ?
Nous souhaitons savoir auprès de l'administration municipale d'Alexandroúpoli dans quel cadre juridique ce foyer fonctionne. Personne n'était disponible pour un entretien, mais le maire a fourni une information écrite : « L'établissement était exploité sans autorisation d'accueil de mineurs.»
Absence d'autorisation de la Grèce
Lorsque nous avons demandé si le placement de jeunes Allemands à Evros avait été approuvé, l'autorité grecque compétente a fourni une réponse écrite surprenante : « À ce jour, aucune des demandes soumises n'a reçu l'autorisation du parquet compétent pour les mineurs à Athènes.»
Pourquoi les services allemands de protection de l'enfance font-ils venir des mineurs en Grèce, peut-être sans les autorisations nécessaires ? Nous avons contacté de nombreux services de protection de l'enfance, mais nous ne parvenons pas à déterminer lesquels ont envoyé les enfants.
Nous ne pouvons pas dire si les enfants se portent bien ou mal. Cela s'explique également par le fait que chaque cas est soumis à une réglementation stricte en matière de protection des données. De nombreux éléments indiquent que des jeunes Allemands sont hébergés en Grèce sans conditions vérifiables, en particulier les jeunes à risque.
Auteur : Anja Miller, ARD Rome / Collaborateur : Angie Saltampasi
voir la vidéo ici https://www.daserste.de/information/pol … n-102.html
jean Luc 😉
Tes informations sont inquiétantes. Jusqu'ici, je voyais l'Allemagne comme une démocratie responsable qui prenait soin de sa population.
Si j'osais, je dirais que ça évoque des "heures sombres"...
Je dirais que je savait quelque chose , mais ce que j#ai découvert lá me choque ,car en plus c'est illégale . les lois sur la famille sont rester en vigueur depuis 1933 pour l'essentielle . celas dit on vit très bien quand même , le pays est beau, démographique , mais il as comme tout les pays une face sombre . C'est vraiment sous Angela Merkel que le système as commencer as vraiment déraper . peut de gens apprécie la jungendamt . en fait si les parents ne disent rien , c'est qu'ils veulent pas attirer l'attention sur eux , aucun partis politique intervient contre la jungendamt . jean Luc😉
Tes informations sont inquiétantes. Jusqu'ici, je voyais l'Allemagne comme une démocratie responsable qui prenait soin de sa population.
Si j'osais, je dirais que ça évoque des "heures sombres"... - @Mithi�
On est dans les cas extrémes , mais celas peut arriver , moi j'ai jamais eu de problême , moi et ma femme on as toujours privilégier le dialogue , c'est quand les parents se font la guerre que celas dérape , les avocat jouent un grands rôle dans ces histoires et peuvent encourager l'un des parents a porter des accusations sans preuves , histoire pour l'avocat de gagner la partie ,et les enfants dans tout celas!!!! eux ils compte pas . jean Luc 😉
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