Que diriez vous de l'ouverture d'un vrai kebab à Montreal

Bonjour,

Ce que vous me décrivez existe déjà dans le Petit Maghreb, il y a aussi la section restaurant de La Belle bleue qui fait ça, et le resto-kebbab La ligne rouge sur Jean Talon....

Bonjour !

Ça peut être une bonne idée. C'est toujours la façon de faire les choses qui est à mon avis  plus importante que la chose elle-même selon mon expérience en tant que coach d'affaires. Le choix de l'emplacement est également vital. Le POSITIONNEMENT c'est ce qui compte le plus. Il faut être bien positionné. Pas d'erreurs sur ce plan !  À mon avis c'est presque toujours le mauvais positionnement qui est une es causes majeures des échecs. Et puis, il faut bien sûr des STRATÉGIES COMMERCIALES PUISSANTES pour faire face à la concurrence et surtout à un climat économique qui est difficile. Mais c'est dans des économies difficiles que les bons restent et réussissent. Les impatients, et ceux qui sont mal positionnés avec des stratégies molles ne peuvent pas durer.

Bonjour !

Ca semble être une très bonne idée. Toutefois, ce que vous décrivez là existe déjà à Montréal, il faudrait trouver l'élément en plus qui fera la différence Peu être viser les centres commerciaux ou encore les places ou il y a beaucoup de bureau.

Je vous souhaite bonne chance dans vos démarches !

le probléme n'est pas d'ouvrir mais savoir rester plus longtemps..un restarateur c'est comme un medein il ne doit pas quiter son poste..faire du kabae sur 1 années ça passe mais le faire sur 20 ans ça m'etonne..un chef d'enteprise belge m'avait repondu un jour sur un mail
''mon cher camarade,  le probléme ce n'est pas d'etre riche mais de le rester''
donc il faut affronter la routine qui va s'installer tres vite..malade ou souffrant ou dégouter tu dois ouvrir les clients attendent et n'aiment pas rester debout au froids..et nesuite ne jmais accepter d'etre livrer en produit chez soit

Ce que je vois dans ton projet, ce sont 2 paramètres à prendre en compte :

- Tu t'installes dans un quartier ou secteur touchant des "vrais"mangeurs de kébabs : Il y a de la concurrence et il faudra fournir un super serviceauprès d'une clientèle qu'on ne trompe pas.

- Les quartier étudiants : Pointe de pizza, McDo, menus asiatiques ou kebab, du moment que ça se mange, ils sont contents. Beaucoup d'enthousiasme pour une clientèle volatile difficile à fidéliser.

- Le Plateau : Loyer élevé, pas de porte obligatoire, plus tous les frais de main d'oeuvre et de marchandise.

MAIS

Une tendance possible: les repas populaires version plus ou moins cuisine fusion, donc opportunités si les compromis sont acceptés.

Qui vises tu ? Le chic qui paye ponctuellement ou le populaire qui revient souvent ?

Un exemple : le restaurant Ermitage dans Côte-des-Neiges. Cuisine d'Europe de l'Est, tenu par des russe blancs ( = appellation politique pour les fidèles au Tsar Nicolas 2. C'est anachronique mais oui ça existe encore).

Tarifs assez élevés en apparence, mais service impeccable, qualité irréprochable des plats,  couverts plaqués argent, parfois concerts, forfaits spéciaux pour les mariages, bref toutes les prestations possibles pour un resto et plus.
Et pour l'anecdote, un chef assez observateur pour remarquer que je suis droitier. Mon café (tasse en porcelaine avec bordures dorées juste ce qu'il faut pour ne pas être kitsch ) avec poignée orientée à droite, et variété de sucres dans un sucrier en argent. Formules TTC à 80 $ sans l'alcool, mais pour une St Valentin, ça fait l'affaire sans exploser le budget.

Clientèle principalement d'Europe de l'Est. Ils se trouvent dans un quartier étudiant, qui n'est pas leur cible, mais surtout ils jouxtent la communauté russophone de Montréal.

louisqc
chez nous manger quebec c'est manger plat resistance generalement les citadins ne mangent pas ce genre de plat
ceux qui mangent ce genre de plat ce sont les voyageurs et les militaires..Chez nous le kabae se concetre tout pres des caserne ou tous pres des adminustrations qui font des heures continue ils n'ont pas le temps dd'aller a leurs foyer surtout si la ville est grande et circulation est insuportable..devant les gars et station d'autobus ou dans les quatiers a commerce de gros ou viennent s'appriviosoner les commerçants des villages et petite ville avoisinantes..
en ville les citadins circulent beaucoup donc il preferent casser la croute en prenant n sandwich rapide en le mengeant debout..

il ya un creaneau plus interessant enville c'est café discussion 4 ou 6 par table apres le travail les amis se rencontre autour de boissons et un plat de grillades au alentours de 22 heures..ils commencet la discussion vers 19 et la termine tards..
et le matin le café est reservé pour les passants..
en algerie dns la periode coloniales les europeens se rencontre dans les bars resto alors la midi c'est le poisson grillé  c'est les escargots..ils s'amusent en mangeant de l'escargot..
a defaut de l'escargot il faut le fournir une chsoe qui est dificle d'acces comme les crusacés marins

les musulmans eux se rencontre autour de la grillade brochette
malfouf c'est des cubes de foie entouré par le film gras et grillés sous forme d'une brochette..lorsqu'ils commencent il ne s'arretent pas..

mais si vous offrez cela au canadien c'est exotique ils goutent une fois pour gouter..mais ne compter pas sur leurs retour car manger c'est une culture comme les habits..
il faut aussi inover créer de nouvelle recette agir le prix, offrer de petit cadeaux en sortie reserver une piece de repos si jamis une personne se sent malaise suite a une grosse buverie etc..c'est acompagné le clients de soin entrée jusqu'a sa sortie lui apeler un taxi

Tout-à fait d'accord pepsicola !

L'approche de la nourriture est culturelle et d'un pays à l'autre (en tout cas tant que McDonald n'aura pas tout détruit façon bulldozer) même la notion de restauration rapide et/ou populaire est différente.

Comme vous le signalez justement, même l'approche du café est différente. Prendre un café en France, en Algérie ou au Québec n'a pas la même signification, même symbolique (ni le même gout d'ailleurs... )

Oui il faudra un service supplémentaire, pour que la clientèle visée ne se dise plus "On prend un kebab ?" mais " Ce soir à va au restaurant X prendre un kebab". En marketing, on appelle cela "l'expérience client".

Donc savoir ce qui existe, pourquoi ça existe, où, qu'est-ce qui peut être amélioré...Bref une étude de marché.

Vous m'avez donné faim avec vos poissons grillés... Je vais faire mon épicerie !