Je vous cache pas que je suis fier d'avoir été choisi comme homonyme par la benjamine de mes belles-soeurs pour son premier enfant.
En fait cet honneur devais échoir à mon épouse, mais comme c'est un garçon, on a trouvé une solution hybride avec mon prénom et le patronyme camerounais de mon épouse (qui ne le porte plus vu qu'elle a pris mon nom).
En supplément, le nouveau-né a un second prénom ainsi que le nom de son père.
En fait fait les parents étaient prêt à appliquer la coutume à la lettre et à donner également mon nom de famille, mais j'ai mis mon véto pour le bien de l'enfant. Imaginer les railleries à l'école avec un nom suisse-allemand en plus difficile à prononcer.
J'ai ouvert cette file également pour disserter non seulement sur cette coutume de l'homonyme, mais également sur la formation des noms au Cameroun qui et est tout de même pour le moins particulier.