Les gilets jaunes
INFORMATION CITOYENNE
Comme personne ne semble s'en soucier, et que la presse s'en fiche complètement, je vous l'explique aussi simplement que possible :
le Gouvernement a repris le vote de son projet de réforme de la Justice, celui que les magistrats, avocats et greffiers avaient espéré paralyser ou modifier en avril dernier.
C'est un projet qui bousille purement et simplement tous vos droits.
C'est un massacre de vos libertés les plus élémentaires, organisé la nuit, en catimini.
Par exemple, en plein milieu de la nuit de mardi, pendant que tout le monde dormait, 54 députés (sur 577) ont voté la suppression du Tribunal d'Instance.
C'était la Juridiction à portée de votre domicile, qui tranchait les litiges de faible valeur, après vous avoir entendu personnellement.
Autre exemple, désormais, pour faire réviser la pension alimentaire de vos enfants, la décision sera prise par le Directeur de la Caisse d'Allocations Familiales - autant vous dire que vos allocations seront bien vite supprimées....
Autre exemple, qui prolonge la suppression du Tribunal d'Instance, le Gouvernement met en place une plateforme informatique sur laquelle vous devrez, dans les affaires de faible montant, confier votre sort à un logiciel: vous devrez remplir un formulaire, pour exposer votre situation clairement, numéroter et numériser vos documents et un Juge, ou plutôt un serveur informatique doté d'intelligence artificielle, rendra une décision.
ET CETTE NUIT,
le Gouvernement fera voter les derniers articles de son projet de réforme.
Et tout le monde s'en fiche toujours.
Ce projet ne changera rien à ma vie professionnelle en tant qu'avocat.
Je ne plaide pas ma cause ou mon petit pré carré.
J'exercerai ma profession de manière différente.
Comme tous mes confrères, j'intervenais rarement devant le Tribunal d'Instance et le montant de la pension alimentaire pour les enfants était peu débattu devant le Juge aux Affaires Familiales.
La réforme sera pour moi imperceptible, sauf la disparition du Tribunal de Tarascon, de son Président et de son procureur.
En revanche, votre quotidien à vous deviendra un calvaire si votre fournisseur de téléphonie prélève deux fois une facture, si votre voisin refuse de tailler ses arbres, si votre plombier travaille comme un sagouin dans votre salle de bain, si un ami ne vous rembourse pas les 1.500 € que vous lui avez prêtés, ou je ne sais quoi d'autre.
Demain, mercredi 12 décembre 2018,tous les avocatsde France seront dans la rue et les magistrats se sont unis à eux.
Parce que les hommes et les femmes qui défendent, conseillent ou qui jugent, savent que ce projet [large]est une atteinte irréversible à la démocratie et à vos droits fondamentaux.[/large]
Alors écoutez leurs explications, BOUGEZ-VOUS et battez-vous avec nous.
Jean-Louis RICHARD GONTIER
A bas Louis Croix Vé Bâton...
A quand les policiers, gendarmes et militaires en gilets jaunes pour accompagner le mouvement ?
Quand les expatriés auront ils une imposition française (évasion fiscale) ?
Quand les RMIstes seront ils contributeurs de la communauté par de petites tâches quotidiennes ?
Quand tout le monde sera aux mêmes âges à la retraite ?
Quand nos élus se mettront dans la peau d'un chômeur à la fin de leur mandat ?
Quand serons nous capable d’accepter un emploi dans une autre région ?
Quand serons nous capable de faire de "basses besognes" pour ne plus faire appel aux émigrants ?
Quand accepterons nous de pas jeter nos ordures dans la nature alors que les poubelles sont pesées ?
Quand est ce que les Maires décideront de ne plus faire de feux d'artifice pour cacher des malversations ?
Etc...
Finalement, avec un autre regard (même ironique), on vit bien à Madagascar en tant que Français. Et en tant que Français, j'admire notre pays qui est synonyme de liberté...
Cependant, l'age d'or est terminé, vivons en harmonie avec ce que l'on a sans aller voir ce que les autres ont ou n'ont pas...
Passe le balai chez toi au lieu de le passer chez les autres !!!
Gilets Jaunes, sujet passionnel et clivant... Et la ligne de fracture n'est pas dans une direction habituelle. C'est une diagonale disent certains. J'ai des amis d'un bord et d'autre. Et il y a de quoi les perdre dans la minute si on n'est pas du même avis...
Sans prendre parti d'aucune manière, je crois voir au grand galop la fin de la Cinquième République. Et émerger un faisceau de revendications sous-marines et éparpillées auparavant. De grands corps tels que la classe politique ou les syndicats seraient balayés. Et bien entendu remplacés par autre chose. La perestroïka devait être comme çà un peu.
Alors, moi ce que je me dis c'est "Prends ce qui te reste d'oseille et tire toi, à Madagascar par exemple !"...
Peut-être des avis différents existent ?
Une équipe de 70 universitaires mène actuellement une enquête sur le mouvement des Gilets jaunes.
Le Monde en a livré les premiers résultats, et il apparait très clairement qu’il s’agit d’une "révolte des revenus modestes".
La révolte des "classes populaires et des petites classes moyennes, des revenus modestes".
On y remarque une "forte présence des petits employés, des personnes peu diplômées, des primomanifestants.
Et surtout, une grande diversité d’opinions politiques".
Contrairement aux idées reçues, "la gestion de l’immigration" ne fait pas partie des préoccupations exprimées.
"Cela invite à reconsidérer les analyses(
) qui font du mouvement une émanation de l’extrême droite" (Le Monde).
De son côté, Le Figaro s’intéresse à la forte présence des femmes.
"Jeunes ou âgées, rurales ou citadines, salariées ou chômeuses, militantes ou novices, elles occupent les giratoires comme les plateaux de télévision, fabriquent les banderoles et distribuent des bonbons aux automobilistes".
Et pourquoi ?.... s’interroge le quotidien.
"Parce que ce sont toujours les femmes qui ont géré le porte-monnaie" du ménage.
Des mères qui galèrent pour se faire verser une pension alimentaire et "connaissent mieux que personne le prix d’une chaudière ou d’un lave-linge qui lâche", peuvent se changer en vraies pasionarias.
Depuis que le mouvement se radicalise, elles sont moins présentes sur les barrages.
Mais Christian Jacob, député LR qui a un long passé de syndicaliste à la tête de la FNSEA, remarque :
"Leur présence massive m’a immédiatement frappé.
Cela veut dire que le mouvement est profond, car les femmes ne s’engagent pas pour de l’accessoire" (Le Figaro).
Nan! comme dirait Lys, je ne dixverge pas et je crois que le moment de retirer son argent de France et de le rapatrié à Madagascar est devenu une urgence... mais comment rapatrier des euros à Madagascar sans aller les chercher en France...that is the problem
POUR INFO.
Les organisations internationales (ONU, FMI, OCDE, Banque Mondiale…) ne relèvent pas, par définition, du droit d'un Etat.
Leurs membres bénéficient généralement d'un statut particulier, défini par les textes régissant le fonctionnement de l'organisation.= pas d'impôts!
C'est également le cas de l'Union européenne, dont les fonctionnaires et employés sont soumis à des règles spécifiques, concernant notamment leur régime salarial et fiscal.
Est-ce à dire que les fonctionnaires européens ne paient pas d'impôts ?
https://www.facebook.com/mimidepl/video … 737292586/
Les 56 000 fonctionnaires européens, tout comme la majorité des agents temporaires et contractuels des institutions européennes, ne paient pas d'impôt national.
Mais ils sont soumis à l'impôt européen, auquel s'ajoute désormais un "prélèvement de solidarité" de 6% pour la période 2014 - 2023.
Sources
- Règlement No 31 (C.E.E) 11 (C.E.E.A.) fixant le statut des fonctionnaires et le régime applicable aux autres agents de la Communauté économique européenne et de la Communauté européenne de l'énergie atomique – Journal Officiel de l'Union européenne
- Chiffres clé sur les fonctionnaires européens – Commission européenne
- Travailler à la Commission – Commission européenne
Prélevé à la source (tout comme les cotisations sociales), l'impôt européen est progressif avec plusieurs tranches selon les revenus, comme dans le système fiscal français.
Au sein de la Commission européenne en particulier (un peu plus de la moitié des fonctionnaires européens), chaque tranche est imposée selon un barème qui s'étale de 8% à 45%.
L'impôt est ensuite reversé au budget européen.
Par ailleurs, les fonctionnaires européens paient la TVA, les taxes locales et les impôts régionaux.
Les membres de la Commission européenne bénéficient de certains avantages.
Les traitements de base s'échelonnent d'environ 2 300 € à plus de 18 000 € mensuels, auxquels ajouter diverses indemnités, allocations et prestations non négligeables.
Et le système fiscal des institutions européennes est plus avantageux que dans de nombreux pays européens.
Mais les fonctionnaires européens sont sélectionnés en vertu de leurs compétences.
Il n'existe pas de plafond d'impôt sur la grande fortune, et les retraites des fonctionnaires, qui peuvent atteindre 70% de leur salaire après plus de 10 ans d'ancienneté, sont également soumises à l'impôt européen.
Enfin les commissaires européens, qui bénéficient quant à eux d'un statut spécial (ils ne sont pas fonctionnaires), sont également assujettis à l'impôt européen.
Il bénéficient d'avantages très généreux :
indemnité d'expatriation, une allocation pour enfant à charge et une indemnité de transport....
De très hauts salaires. Quant au président du Commission européenne, il gagne environ 26 000 euros par mois + avantages ...
les salaires des 56 000 fonctionnaires européens représentent en gros 3% du budget européen.
En France, environ la moitié du budget de l’État est consacré aux salaires des 5 millions d'agents publics.
mensuel
[large]A l'heure de l'austérité en Europe, il serait sain de :
- Pouvoir identifier les montants d'impôts payés par les agents et perçus par la Commission.
De tels renseignements sont aujourd'hui inaccessibles.
- Modifier le système d'imposition des agents publics de l'Union Européenne en rendant toutes les primes de dépaysement ainsi que celles liées à la situation de famille, imposables.[/large]

La France comptait 5,5 millions de fonctionnaires au 31 décembre 2012.
So british !
Avec cette délicieuse autodérision insulaire, Sir Norman Bettison, un haut fonctionnaire anglais, confiait en 2010 au Times qu'il ne « valait pas » les 243 000 euros annuels (213 000 livres) que l'Etat lui versait en tant que chef de la police du West Yorkshire.
L'histoire ne dit pas si cette déclaration a débouché sur une baisse de son salaire (Bettison a démissionné de son poste en 2012), mais une chose est sûre : aucun des hauts fonctionnaires français, dont le traitement peut avoisiner les 40000 euros bruts par mois (c'est le cas, par exemple, de Nicolas Dufourcq, le directeur de la Banque publique d'investissement (BPI), n'a embrayé sur le sujet.
Certains espéraient que le
« Groupe des Associations de la haute fonction publique »
LES VRAIS DIRIGEANTS DE LA FRANCE
et ses 8 000 hauts fonctionnaires revendiqués saisiraient la balle au bond.
Motus ! Ils n'ont pas bougé.
Et pour cause : bien payée, inamovible, jalouse de ses privilèges, la haute fonction publique à la française est hors du temps.
C'est ce qui ressort à la lecture de la dernière étude de Contribuables Associés, intitulée « Fonction publique française : le dernier dinosaure », qui fait une analyse comparative de la situation des fonctionnaires dans 16 pays de l'OCDE.
Pour sa part, Samuel Frédéric Servière, chercheur à l'IFRAP observe que si le modèle français « s'est étendu à d'autres nations comme la Belgique, l'Espagne, la Hollande ou l'Italie, depuis, certains de ces pays ont décidé de changer de modèle au tournant des années 2000 pour se tourner vers une fonction publique d'emploi (contractuelle) ».
La France, quant à elle, n'a pas fait son aggiornamento.
En 2002, la Suisse a réformé la législation régissant le personnel de la Confédération.
Elle a permis de remplacer les contrats publics des fonctionnaires par un modèle proche du droit privé.
Honnie par les syndicats, cette réforme a finalement été approuvée par voie référendaire.
Cette abrogation a permis d'adapter la haute fonction publique d'Etat à l'évolution du marché du travail.
« Il a été possible de faire partir des agents et de réorganiser les services afin d'accroître l'efficacité de la fonction publique tout en améliorant sa flexibilité, tout particulièrement à l'issue de sa récente modification effective au 1er juillet 2013 », reprend Samuel Frédéric Servière.
D'autres pays européens ont choisi de réformer leur fonction publique.
Entre 1996 et 2001, l'Italie a, par exemple, supprimé le statut de la fonction publique, avec l'introduction d'un contrat de droit privé concernant une majorité de hauts fonctionnaires et d'agents.
Le statut de droit public a été réservé aux fonctions régaliennes de l'Etat :
justice, diplomatie, armée, police, finances.
En 2014, Rome a choisi de passer la surmultipliée et de dégager 500 millions d'euros en diminuant les salaires des hauts fonctionnaires placés à la tête d'une entreprise publique.
Objectif : aligner la rémunération maximale des patrons du secteur public sur celle du chef de l'Etat (239 181 euros annuels). « Il n'est pas possible que le patron d'une entreprise publique gagne 1 000 fois ce que gagne un ouvrier », a prévenu Matteo Renzi, le nouveau président du Conseil italien.
Avant lui, Mario Monti s'était déjà attaqué aux salaires pharaoniques de la classe politique.
Le salaire des ministres a été rogné d'environ 10 % et la rémunération des hauts fonc tionnaires de 5 % (entre 90 000 et 130 000 euros annuels) et de 10 % audelà de 130 000 euros annuels.
En France, Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique, a annoncé en avril que les fonctionnaires encaissant plus de 9940 euros bruts par mois témoigneraient d'un « geste de solidarité » avec le reste de la population.
Depuis, la population attend et ne voit rien venir...
L'Espagne et le Portugal ont également choisi de mettre leurs hauts fonctionnaires au régime.
Sous le gouvernement Rajoy, 350 000 ronds decuir ont été remerciés entre 2011 et 2013, ce qui a permis au pays de Cervantès d'améliorer ses comptes publics.
Même logique au Portugal, où 53 000 postes ont été supprimés entre 2011 et 2013.
Lisbonne a aussi tenté de modifier le statut de sa fonction publique.
Mais, cette tentative a été retoquée par le Conseil constitutionnel, ce qui a créé une jurisprudence défavorable.
Même la Suède, longtemps vantée par les sociauxdémocrates pour son modèle social protectionniste, a fini par revoir le statut de ses agents publics.
Selon l'OCDE, les fonctionnaires suédois sont aujourd'hui employés avec des contrats équivalents à ceux du privé et peuvent être licenciés comme un salarié lambda.
De l'autre côté de la Manche, le conservateur David Cameron a mis les bouchées doubles en annonçant la suppression de 500 000 postes de fonctionnaires d'ici à 2015. « Même si une partie de ces annonces s'apparente à du marketing politique, reste que les Britanniques ont une fonction publique statutaire beaucoup plus faible qu'en France », indique Samuel Frédéric Servière.
Contrairement à la France, le RoyaumeUni n'a pas une filière de formation dédiée à ses hauts fonctionnaires.
Les cadres du privé et du public sont tous formés dans les mêmes écoles.
Par ailleurs, les cadres dirigeants de l'Etat sont évalués périodiquement et le montant de leur rémunération est fixé au « mérite ».
Outre les résultats individuels, cette évaluation peut intégrer la flexibilité, l'aptitude à travailler en équipe et la capacité à atteindre les objectifs.
Contrairement à la France et à l'Allemagne où la nomination des hauts dirigeants est politique, c'est au mérite que les candidats britanniques sont sélectionnés, souvent après avoir été débauchés du privé.
Bien rémunérés, leurs postes sont assortis de lourdes responsabilités budgétaires et les allersretours entre privé et public, sont fréquents.
Article rédigé par Fabrice Durtal, pour "les Enquêtes du Contribuable volume 7", édité par Contribuables associés
A mon avis la réforme écologique de Macron est due a des raisons tactiques électorales. Le ministre Hulot a démissionné parce que le gouvernement a rien fait du coté de l'environnement et Macron voulait protéger son aile écologiste, donc il a issu un plan de taxer les carburants et investir dans l'infrastructure des transports de masse. Cela aurait eu aussi un avantage macroéconomique de taxer la consommation au profit des investissements et donc accéder a une croissance soutenue.
Macron a sousestimé la souffrance de certaines couches de la population et le tout a explosé aussi parce que presque tous les secteurs de la société sont insatisfaits avec le régime et sa performance.
Beaucoup de forumeurs se sont déja exprimés que la situation économique actuelle est le résultat d'un procès durant des décennies où on a versé trop de subventions et de bénefices sociaux au dépit des investissement dans l'appareil productif. Le haut niveau des impôts a pénalisé encore plus l'investissement. Dans le contexte de la globalisation ce système est tout-à-fait insoutenable. Les Chinois ont des trémendes injustices sociales, mais ont eu une croissance phénoménale aux dépens des pays occidentaux industrialisés.
Pour la France je vois une solution dans la mise en valeurs du potentiel intellectuel
existant dans la recherche scientifique et l'esprit travailleur de certaines couches de la population. Cela fonctionne seulement si on taxe la consommation, réduit les dépenses dans la consommation et on canalise les ressources dans la production génératrice de richesse et surtout d'emploi DURABLE ET BIEN PAYé.
Malheuresement on France se sont des forces parasitaires dans l'administration et la politique, grassement huilées et des rêveurs/idéologues fainéants et dangereux aux facultés science po etc. qui mènent le débat.
Je conçois parfaitement qu'il y a un mal vivre en France dont la cause principale sont les réseaux sociaux qui osent de plus en plus informer le public de l'oligarchie qui est en place depuis des décennies contrairement aux médias à la solde du pouvoir qui sont outrageusement subventionnés. Quand on se rend compte de tout l'argent qui est distribué aux hommes politiques de tous bords qui finalement en faisant semblant de diverger sur tous les projets de loi sont comme cul et chemise car ils mangent tous dans la même gamelle en faisant de la démagogie à outrance pour certains.
Mais après les gilets jones voici le premier cyclone qui va aider à fêter Noël:
Une île comme les Kerguelen, par exemple où ils pourraient vivre en compète liberté, y compris celle de tout casser !!!
ça c'est s'en se préoccuper de la vengeance du pingouin masqué...
Et puis zut, laissez tranquille le pauvre gendarme qui compte le passage des bateaux sur cette île sans arbre...
La taxation du kerosene et du fuel lourd (bateaux) fait effectivement déjà partie des revendications des gilets jaunes !
Malheureusement, ce texte est celui d'une pièce de théatre écrite en ... 2007, et il n'y a aucun preuve de telles citations de Colbert ou Mazarin... Ceci dit, ce dialogue qui n'a pas eu lieu, pourrait fort bien avoir lieu entre hauts fonctionnaires depuis des lustres...
Je me demande si l'aurtograffe n'est pas aussi un vrai problème...
Yann jean louis a écrit:Là, je ne sais pas où notre Gaston a déniché ça, mais de mon ressenti de simple citoyen
navré de tous le gâchi que je vois sur ma télé, c'est une perle à encadrer !
Quand bien même, " pour que ça aille réellement mieux ", selon le panel prévisionnel à dispo, le choix d'un remplaçant idéal et en capacité à ce trop jeune président me laisse dans une incertitude profonde : le doute m'h....., euh , me tenaille ...
Lequel aura l'assentiment de la majorité de mes compatriotes, qui voient le plus souvent à gauche ou à droite mais jamais au centre tels des poissons ?
Lequel , ( sans démagogie et sans faire de la cavalerie avec l'argent public ) serait capable d'expliquer en toute sincérité et en toute transparence son modus opérandi à tous - aux lobbys de pauvres comme aux lobbys de riches - et tout en obtenant leur compréhension et leur consentement se retrouverait ainsi en capacité de satisfaire légitiment et sans délai ces besoins et désirs criants - tout en respectant bien entendu les obligatoires paliers liés à notre attachement au processus républicain ?
Lequel, ce faisant ( non je ne parle pas du volatile ), ne mettra pas notre pays en danger à l'international avec nos amis, nos compétiteurs et nos adversaires qui sont le plus souvent 3 en 1 ? ( suivre l'évolution des transesAlpines et le poker menteur des grands bretons )
Quand on songe que pour mettre en place ses grands desseins pour la Fronce de mon enfonce, même le général de Gaulle devait raconter des carabistouilles aux français de France et d'ailleurs !
j'en viens donc à croire que pour trouver de telles qualités chez un candidat, sauver la fin du moi - du mois - ( pardon ) mais aussi la fin du monde, un seul nom me vient à l'esprit : James Bond !
- " Appelez moi BOND " ! de suite ( le bond age compte : ni trop jeune ni trop vieux, surtout sans connerie et plutôt bien mûr toujours en compagnie de chair fraiche ; bref tout à l'opposé de notre actuel monarque avec sa Brigitte )
Autant le savoir sans tourner autour du pot plus longtemps ( déjà 35 ans qu'on tourne ): il n'y aura pas d'avenir possible sans taxe carbone, reste à savoir comment et par qui elle sera payée ?
Y a de forte chance que la fameuse " dette publique " ne puisse jamais être honnorée ; pourquoi ne pas mettre dès à présent le sujet sur la table et passer d'un libéralisme sauvage à un capitalisme de raison et " durable " ?
Les resources ne sont pas inépuisable, la décroissance aménagée sera notre seul recours ; le temps des privilèges accordés aux grands pollueurs doit cesser.
Dans l'histoire aucun pays - à ma connaissance - n'a jamais battu monnaie avant d'être constitué en puissance politique et militaire : allons nous nous rendre compte qu'il faudrait constituer un euro du sud et un euro du nord pour que nos différences puisse devenir supportables dans cette europe qui reste à construire pour en finir avec la rétrogradation vers les états-nations, leurs frontières tant mentales que physiques. ( 1 euro du nord valant 2 euros du sud )
Nostalgie ?
Le retour du nain ?
[img align=c]https://i.pinimg.com/236x/98/f7/49/98f749a8a20900dcc0bf2bdf4225779c--nicolas-sarkozy-carla-bruni.jpg[/url]
Jusqu'au dernier paragraphe, c'était très bien... Ensuite ca délire, dommage ! 1/2 est absurde et ne repose sur aucune analyse sérieuse, la seule analyse sérieuse étant de commencer avec la parité et de voir venir... Quand aux deux appendices finals...
joelQuébec a écrit:http://www.economiematin.fr/images/imag … uables.png
La France comptait 5,5 millions de fonctionnaires au 31 décembre 2012.
So british !
Pour sa part, Samuel Frédéric Servière, chercheur à l'IFRAP observe que si le modèle français « s'est étendu à d'autres nations comme la Belgique, l'Espagne, la Hollande ou l'Italie, depuis, certains de ces pays ont décidé de changer de modèle au tournant des années 2000 pour se tourner vers une fonction publique d'emploi (contractuelle) ».
La France, quant à elle, n'a pas fait son aggiornamento.
« Il a été possible de faire partir des agents et de réorganiser les services afin d'accroître l'efficacité de la fonction publique tout en améliorant sa flexibilité, tout particulièrement à l'issue de sa récente modification effective au 1er juillet 2013 », reprend Samuel Frédéric Servière.
Article rédigé par Fabrice Durtal, pour "les Enquêtes du Contribuable volume 7", édité par Contribuables associés
L'IFRAP est un institut de lobbying ultralibéral dont les analyses sont à vomir de bêtise ! Le qualifier de centre de recherche relève de la manipulation langagière classique du néolibéralisme. Encore à vomir !
Les contribuables associés, c'est la même chose, mais ne se cache pas derrière un pseudo "centre de recherche"
Voilà une idée issue de mon cortex (possible que je l'ai lu un jour) :
Et si on créez un réseau protégé pour faire voter nos Maires pour une meilleure représentativité sur toutes les mesures proposées ?
- Dans un premier temps, le vote devrait être obligatoire.
- Puis dans une commune, en même temps que l'élection, chaque électeur se définit en tant qu'électeur (démocrate, libérale, anarchiste, conservationniste, etc...).
- Ensuite, quand le Maire s'exprime dans un vote national, il représente plus une voie mais un % d'électeurs qui le tout cumulé donne 1 point (0,15 de socialiste + 0,35 de centraux + 0,25 de communiste + 0,25 etc...).
- En conséquence, un certain nombre d'institution serait obsolète (l'assemblée nationale par exemple) et il existerai un rapprochement entre l'exécutif et le législatif.
Au final, nos élus les plus proches permettraient de mieux représenter qui nous sommes en tant que Français.
La Ve république est morte, vive la VI république...
Je ne crois pas RIC, en revanche j'ai confiance en mon Maire.
Pour ceux qui ignorent comme moi ce que c'est le RIC (Référendum d'Initiative Citoyenne), je crois que c'est une pratique de la confédération suisse qui est une fédération de cantons et que cela ne fonctionne pas trop mal... mais serait-ce applicable à la France, j'en doute fort.
En effet les seules fois de ma vie où j'ai été voter c'est pour élire le maire de mon village et depuis que je suis à Madagascar, je n'ai plus l'occasion de voter car j'ai acquis le statut de SDF (Sans Domicile Fixe en France), c'est ma belle-soeur qui a été élue pour la seconde fois mairesse du village.
Je ne fais pas de politique car cela m'a toujours hérissé le poil de constater que les élites de la nations vivaient sur une autre planète que la plèbe.
Voici ce que je viens de lire et qui peut vous intéresser (je ne vous livre que la fin du document):
Si la France ne dispose plus de la capacité à augmenter les impôts sans déclencher une révolution, si la France ne peut plus battre monnaie puisque ce pouvoir a été confié à la Banque centrale européenne, et que la France ne peut pas baisser ses dépenses sans déclencher le mécontentement de tous les bénéficiaires de la dépense publique, alors il n’y a plus qu’à s’installer confortablement, un verre de bon vin à la main, et contempler notre faillite se faire.
Il ne faut jamais acheter de la dette d’un pays qui ne dispose plus de la capacité de battre monnaie. C’est assez simple à comprendre. Un pays qui peut imprimer autant de billets qu’il le souhaite ne peut pas faire faillite. Sa monnaie peut perdre de la valeur (relativement aux autres), mais il ne peut pas faire faillite !!
Enfin, surtout ne disons rien et refourguons tous nos fonds euros et autres bonnes obligations du Trésor directement aux Japonais qui pensent que l’on va les rembourser hahahahahahahahahahahahahahaha… Pauvres nippons ! L’État français vient de trouver un pigeon pour remplacer les gilets jaunes. Pas sûr que cela dure aussi longtemps avec les Japonais.
Les investisseurs japonais viennent tout de même d’acheter pour près de 3 600 milliards de yens sur les 10 premiers mois de l’année, soit environ 28 milliards d’euros, un montant qui ne représente rien de moins que la moitié des émissions nettes de dettes de cette année. Cela va sans doute baisser sur les deux derniers mois de l’année.
Bercy aura peut-être même du mal à boucler les fins de mois.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT[/color]
Nook369 a écrit:Voilà une idée issue de mon cortex (possible que je l'ai lu un jour) :
Et si on créez un réseau protégé pour faire voter nos Maires pour une meilleure représentativité sur toutes les mesures proposées ?
- Dans un premier temps, le vote devrait être obligatoire.
- Puis dans une commune, en même temps que l'élection, chaque électeur se définit en tant qu'électeur (démocrate, libérale, anarchiste, conservationniste, etc...).
- Ensuite, quand le Maire s'exprime dans un vote national, il représente plus une voie mais un % d'électeurs qui le tout cumulé donne 1 point (0,15 de socialiste + 0,35 de centraux + 0,25 de communiste + 0,25 etc...).
- En conséquence, un certain nombre d'institution serait obsolète (l'assemblée nationale par exemple) et il existerai un rapprochement entre l'exécutif et le législatif.
Au final, nos élus les plus proches permettraient de mieux représenter qui nous sommes en tant que Français.
La Ve république est morte, vive la VI république...
Je ne crois pas RIC, en revanche j'ai confiance en mon Maire.
Recevable pour les petites communes ! Quid des groosses ?
La proposition d'un point en plus par tranche de 100 000 habitants en faveur du Maire me parait raisonnable.
Après on peut aussi parler de superficie communale qui pourrait être une autre piste.
Ou bien adapté le point du Maire en fonction du sujet (Mer, Industrie, Haute montagne, Outre Mer, Stratégie de Défense, Ressources, Agriculture, etc...)
Je pense que ça doit être creusé pour être exploité correctement.
Et qu'en serait-il si on se passait du mille-feuille politique beaucoup trop onéreux pour un confetti comme la France et que ce soient les communes qui prendraient leur destin en main avec les taxes d'habitation et autres et que les grandes villes soient transformées comme à Madagascar en quartiers régies par de petits sous-maires avec une autonomie dans chaque quartier respectif car on voit bien que les différents gouvernements en voulant trop embrasser mal étreignent... au moins dans les petites communes on peut parler avec le maire qui est disponible et à l'écoute de ses concitoyens alors que les gouvernements gouvernent à partir d'une autre planète. Quant au machin qu'on appelle l'Europe, il est juste là pour empêcher de tourner en rond. Il peut y avoir une entente entre les différentes régions de la planète sans des machins onéreux qui servent entre autres à dimensionner le couvercle des WC ou le nombre de litres qu'on peut verser dans les toilettes après usage...
https://www.lesechos.fr/31/10/2013/lese … vos-wc.htm
Tout ce qui bouge on taxe, ce qui bouge encore on réglemente, ce qui ne bouge plus on subventionne !
Voilà une excellente remarque qui résume parfaitement les aberrations du système économique français qui est, au fil des ans, devenu totalement fou et délirant.
D’ailleurs, notre pauvre gouvernement s’arrache les cheveux en ce qui concerne les modifications à apporter suite aux mouvements des gilets jaunes.
Pour lire la suite c'est ci-dessous:
https://insolentiae.com/tout-ce-qui-bou … ventionne/
Info, retraite... !!!
Cette loi devrait être invalidée, comment est-il possible que 56 députés seulement, puissent faire adopter une loi qui impacte les revenus de plusieurs millions de Français ?
le 4 décembre 2017 : adoption définitive par le Parlement par 43 voix pour, et 13 voix contre !!!
C'est tout simplement scandaleux !!
Notre pays part à la dérive , de scandale en scandale
Le « Parlement » adopte par 43 voix contre 13 la ponction sur les retraites !
Mais où étaient les députés qui auraient pu faire pencher la balance contre la hausse de la CSG pour les retraités ?
OUI, le lundi 4 décembre, à 17 heures, le "Parlement" a adopté le PLFSS 2018 ( projet de loi de financement de la sécurité sociale), en rétablissant la hausse de CSG pour les retraités (qui avait été supprimée par le Sénat) dans un hémicycle qui était incroyablement vide :
56 députés présents sur ….. 577 !
même pas 1/10 ème, soit moins de 10 % de l''effectif qui nous coûte 5 millions, frais compris, tous les mois...
Cela prouve, si besoin était, que ces gens-là n'en ont rien à foutre des problèmes des Français moyens, du moment qu'eux peuvent continuer de se gaver !
Si 56 députés suffisent à voter les lois, pourquoi faut-il en payer (grassement) 577 ???
Quand je ne travaillais pas, je n'étais pas payé en dehors des congés et des maladies.
Où est l'égalité qui est inscrite sur les frontons des bâtiments administratifs?
Bon il est vrai qu'avec les gilets jaunes cette loi a été quelque peu modifiée puis re-modifiée... enfin on n'y comprend plus rien.
Quelques conseils judicieux pour ne pas gâcher les fêtes de fin d'année avec des questions politiques.
Voilà que le site d’En Marche a mis en ligne un simulateur de question auxquelles un « militant » LREM (il doit en rester encore quelques-uns) pourrait être confronté lors des agapes de Noël et du jour de l’An.
C’est assez truculent à lire.
Le problème c’est la langue de bois énarchique qui suinte et dégouline de ces
« conseils ».
Mon conseil à moi, si vous êtes, lors d’un repas de Noël, en province avec une partie de votre famille gilets jaunes, donc particulièrement fâchée et très en colère, laissez tomber les discours de bobos parisiens à trottinette. Laissez tomber les « Autorités organisatrices de mobilités », les AOM, anciennement appelées « maires ». Laissez tomber les « nouveaux modes de mobilité périurbaine » et préférez le vocable « prendre ta bagnole » qui était utilisé autrefois en ancien « françois »…
Bref, laissez tomber les bons « conseils » d’En Marche, vous risqueriez d’avoir à courir … pour devenir En Fuite !!!
Charles SANNAT
En marche
Vous avez aimé les fables de la Fontaine, alors vous allez aimer encore plus cette fable qui s'intitule: Le paon, l'autruche et les poulets.
https://youtu.be/VY6wi19RJVM
Entendu ça et là par les gilets qui rient jaune.
On a l’habitude depuis 50 ans de crier à la destruction de la Sécurité sociale : autant de coups de boutoir contre cette formidable institution révolutionnaire arrachée à la Libération.
Mais force est de constater que malgré ces attaques répétées, de la Sécu, il en reste. Près de 500 milliards d’euros échappent encore chaque année à la gestion purement capitaliste . Un pactole. Comment ce bastion assiégé a-t-il résisté envers et contre tout ? Grâce à une invention modeste et parfaitement géniale : la cotisation, principe fondateur de la Sécu, « seule création de richesse sans capital. La seule qui ne va pas dans la poche des actionnaires mais est directement investie pour le bien-être des citoyens », disait Croizat. C’est bien grâce à ce mécanisme de cotisations dans des « caisses » abondées et gérées par les travailleurs – et sur lesquelles l’État n’a donc pas la main – que les plans successifs n’ont pas pu rogner la Sécu au-delà de ce qu’ils ont déjà fait.
C’est à cela que s’attaque Macron aujourd’hui en supprimant les cotisations salariales chômage et maladie, en transférant le financement de la Sécu à l’impôt et aux patrons . À leur bon vouloir, donc. Après l’avoir affaiblie pendant 50 ans, ils tentent aujourd’hui de tuer la Sécu en l’« étatisant ».
Il est temps de se relever, et de réclamer plutôt l’extension du principe simple de la cotisation à d’autres domaines.
La suppression des cotisations par le gouvernement Philippe en trois étapes :
1er janvier 2018 :
– suppression totale de la cotisation salariale d’assurance maladie
– baisse de la cotisation salariale d’assurance chômage de 2,40 % à 0,95 %
– hausse de la CSG de 1,7 %, passant de 7,5 % à 9,2 %
1er octobre 2018 :
– suppression totale de la cotisation salariale d’assurance chômage
1er octobre 2019 :
transformation du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) en baisse de cotisations patronales
Déficit de la Sécurité Sociale : un trou creusé par des entreprises « indélicates » ?
Depuis sa création en 1945, le régime général de la Sécurité sociale subit le feu des « réformateurs » de tout poil. Comment expliquer cet acharnement ?
On devrait envoyer certain gilet jaune ici histoire qu'ils voient de leurs propres yeux ce que c'est de ne réellement rien avoir... Et pour ceux qui n'ont que du racisme anti israélien ou autres comme réponse à leurs maux d'existence de les envoyer là-bas, ainsi que ceux qui crachent sur la police de les envoyer en stage chez ceux-ci, etc etc..., pleurer et cracher ça commence à bien faire, quand on tend la main et qu'on veut le bras on se retrouve à ne rien recevoir à force...
madagaston a écrit:Déficit de la Sécurité Sociale : un trou creusé par des entreprises « indélicates » ?
Depuis sa création en 1945, le régime général de la Sécurité Sociale subit le feu des « réformateurs » de tout poil. Comment expliquer cet acharnement ?
De mémoire toujours, il existe plusieurs branches au niveau de la Sécurité sociale : maladie, accidents du travail et maladies professionnelles, retraite, famille. Dans les années 2000 (peut être cela a changé depuis mais j'en doute), la seule branche déficitaire de la Sécu est la branche maladie.
Jamais au grand jamais la branche "entreprises" a été déficitaire mais toujours à l'équilibre. Quand un salarié a un arrêt de travail pour maladie, c'est toujours l'entreprise qui paye la facture qui est échelonnée sur 3 années.
En revanche, celle qui pose problème c'est la branche maladie. Pourquoi pose t-elle problème ? Tout simplement que tout le monde en profite soit en trichant soit en ne jouant pas le jeu, je cite : " je cotise donc j'en abuse".
Alors l'acharnement de nos dirigeants pour réduire ce phénomène est dû à notre incivilité...
Pour moi, la Sécurité Sociale est une des plus belle invention et réussite en terme de démocratie, mais cela ne peut fonctionner que si tout le monde joue le jeu de la communauté.
Notre société n’a pas fini de tourner en rond sur ses milliers de ronds-points en se demandant comment trouver un emploi digne de ce nom à chacun de ses citoyens.
Mais là, les amis, on est mal, plus que mal. Car la déformation des emplois va se poursuivre, sous les forces conjointes de la mondialisation, du « progrès » technologique et de nos choix de consommation. Et parce que notre honteux système éducatif fait que des centaines de milliers de jeunes ne peuvent disposer des compétences leur permettant d’occuper les bons emplois. 
DROIT DE MANIFESTER EN FRANCE ???
Depuis près d’un an, nous avons enquêté sur le respect du droit de manifestation en France.
Le constat est sans appel : l’application de l’état d’urgence et un usage disproportionné de la force ont restreint ce droit fondamental de manière préoccupante dans ce pays.
https://www.amnesty.fr/liberte-d-expres … festations
Liberté de la presse en France ???
La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion et la liberté d'expression.
Ainsi, l'article 11 de la Déclaration française des droits de l'homme et du citoyen de 1789 dispose :
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. » L'article 19 de Déclaration universelle des droits de l'homme aussi dispose la protection de la liberté de la presse.
Liberté de la presse en France: «La situation n’a jamais été aussi mauvaise depuis 2013»
L’ONG Reporters Sans Frontières, qui soutient la liberté de la presse et les journalistes dans le monde entier, a publié son rapport annuel sur la liberté de la presse dans le monde, qu’il est possible de consulter en ligne.
Les pays les mieux classés sont dans le nord de l’Europe, notamment en Scandinavie. La France est loin derrière. derrière l’Afrique du Sud, et loin derrière beaucoup de ses partenaires de l’Union européenne.
[large]le mediabashing s’est généralisé aux autres bords politiques. [/large]
Jean-Luc Mélenchon multiplie les saillies contre le « parti médiatique ».
Laurent Wauquiez a dénoncé « le « déchaînement médiatique surréaliste », le violent « défouloir » et le « travail de démolition » dont il s’estime « la cible » ».
RSF épingle également le président de la République, en évoquant les refus d’accréditation de certains journalistes par l’Elysée.
Ne sont retenus que ceux qui sont spécialisés dans le thème de la visite du président.
Plus grave encore, les journalistes d’opposition ne sont même plus considérés comme des journalistes, il leur est donc interdit de suivre et d’interroger Emmanuel Macron.
Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, principal organe de censure en France
Le rapport termine sur un projet de loi gravissime, visant à interdire les « fake news », qui menace dangereusement la liberté de la presse.
Non content d’obliger les acteurs du numérique à un « devoir de coopération », il leur imposera des obligations de transparence concernant leurs contenus sponsorisés, pour vérifier que certains n’émanent pas de campagnes de déstabilisation, et permettra aux internautes de connaître l’identité des émetteurs.
Cette loi renforcera les pouvoirs du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, le sinistre CSA. Rappelons qu’il bénéficie déjà de privilèges exorbitants.
Il peut infliger de lourdes amendes à des chaînes de télévision et suspendre une émission si son « code de déontologie » est violé.
Il peut s’autosaisir, ou l’être par des signalements de téléspectateurs : une forme de délation.
Tout ce qui va à l’encontre d’un progressisme bon teint et du politiquement correct est dans son viseur.
Bientôt, ses pouvoirs, actuellement limités à la télévision, s’étendront à Internet, ouvrant la voie à sa censure comme dans beaucoup de régimes autoritaires...
La ligne éditoriale même des journaux télévisés est scrutée : Jean-Pierre Pernaut a été « rappelé à l’ordre » l’année dernière, pour avoir dit : « Plus de place pour les sans-abris, mais en même temps les centres pour les migrants continuent d’ouvrir partout en France ».
Si la logique est discutable et le populisme des propos indéniable, le fait qu’un journaliste n’ait plus le droit d’exprimer cette opinion en France en 2018, parce qu’un organisme de censure peut le « rappeler à l’ordre », est inacceptable.
A propos de ce journal, dont certes on peut discuter la qualité et la ligne éditoriale, la présidente du groupe de travail Cohésion Sociale au CSA, Mémona Hintermann, a lâché : « On critique beaucoup le journal de Pernaut.
C’est un peu la France des sabots et des forgerons, mais il faut aussi qu’elle soit vue. ».
Heureusement, elle a estimé que cette France-là avait le droit d’être vue.
Ça aurait pu être pire.
Elle aurait pu estimer que non, elle n’était pas montrable, parce qu’elle contrevenait aux « valeurs de la République ».
Les menaces contre la liberté de la presse en Chine sont à relativiser...
Il est vrai qu’on n’incarcère pas et on ne tue pas les journalistes.
Mais les sanctions financières sont un frein puissant à la liberté d’exercice du métier...
Si on ne peut plus aborder ni moquer certains sujets, le journalisme est menacé.
La dérision, même méchante et stupide, n’a pas seulement sa place dans un journal à petit tirage comme Charlie Hebdo.
Elle est encore plus importante à la télévision, média de masse.
Ok mais qu'en pense l'opposition ???
Droit de manifestation :
1 / Pour manifester en France depuis la 5eme république, il faut la déclarer (point de départ, itinéraire et point d'arrivée).
2 / Si j'étais un vilain méchant comme il y en a eu un certain nombre depuis quelques temps, je mettrais tout mon potentiel à faire un maximum de victime lors de ce genre de manifestation.
3 / A t-on les moyens d'encadrer plusieurs manifestations simultanées ?
Imaginons le pire, un kamikaze qui se fait exploser dans une foule dense après avoir imaginé tout un dispositif meurtrier, et qu'il y ait une centaine de victime voire plus. Que dirait le français ? C'est la faute du gouvernement... Au final, il n'y a plus de gentil !!!
Liberté de la presse :
1 / Ne dit on pas que la liberté individuelle s'arrête quand celle des autres commencent ? Où sont les limites de certains journalistes ?
2 / Plus ça fait le buzz plus ça vend...
3 / Qui est vraiment journaliste aujourd'hui ?
4 / Combien gagne un journaliste ? Aie là ça va faire mal aux gilets jaunes...
5 / Combien y a t-il de places réservées dans les 2 avions présidentiels aux journalistes lors des déplacements du président ? Et combien ça couterai d'en mettre un troisième ?
Ne pas laisser dire n'importe quoi par n'importe qui est la base de notre démocratie. Oui on mérite nos" journalistes" vu nos "élus" mais pour autant, il n'y aura jamais de gilets rouges pour manifester contre ces "journalistes" qui nous manipulent afin de vendre plus de torchons...
Que faire ?
Je pense qu'il faut adapter l'encadrement de notre liberté d'opinion en fonction des moyens de communication actuels par des lois (juste ou injuste selon où l'on se place) comme le fait le gouvernement afin d'éviter l'effet boule de neige, l'effet papillon ou l'effet boomerang...
Je n'ai envie ni de défendre mon ex profession, ni de la lyncher... en tout cas aujourd'hui !!!
Je crois effectivement qu'on a les journalistes et la presse qu'on mérite ! Il n'y a qu'à lire certaines contributions de certains contributeurs ici par le passé... qui réfutent, par exemple, le journalisme dit "d'opinion"... reléguant les journalistes à des rôles de "présentateurs d'informations" !!!
Pour info, en tous cas tant que je l'ai moi-même exercé... il n'y pas obligation pour un journaliste de livrer ses sources... sauf si l'Etat est "en danger"...ce qui est assez large et assez imprécis pour voir des RG arriver dans une rédaction pour saisir les documents à leur portée... au moindre débordement civil... !
On peut donc dire que durant cette crise des gilets jaunes... des juges peuvent tout à fait, sous la pression politique, délivrer des commissions rogatoires pour que la police déboule dans les rédactions et réduise, de fait, la liberté de la presse... qui n'en a guère besoin vu son empressement à l'auto censure ambiante !!!
J'ai personnellement arrêté de croire à la libre expression journalistique le jour où une de mes directions a demandé à un grand reporter de mes amis qui avait et du métier et de la bouteille de demander "pardon" au peuple chilien, suite à un de ses reportages...
Bon, c'était du temps de Pinochet il est vrai... et mon groupe n'était pas du genre à se fâcher avec les grands dictateurs !!!
A 2 petits jours de l'anniversaire de l'attentat contre Charlie Hebdo qui a vu l'assassinat de grands amis et collègues à moi, qui en plus étaient de très belles personnes... je n'ai pas envie d'en dire davantage !!!
Simplifiez votre installation avec le Guide de l'expatrié à Madagascar

Les impôts à Madagascar
Créer une entreprise ou partir travailler à Madagascar fait de vous un contribuable dans le pays. Voici ...

Se loger à Tamatave
Que faut-il savoir du logement à Tamatave ? Si vous envisagez de vous y expatrier, voici quelques ...

Voyager avec son animal de compagnie à Madagascar
Vous partez pour Madagascar et souhaitez voyager avec votre animal de compagnie ? Voici ce qu'il faut savoir ...

Ouvrir un compte en banque à Madagascar
L'ouverture de compte en banque à Madagascar est plutôt simple. Cet article vous explique la ...

Créer une entreprise à Madagascar
Vous souhaitez montrer votre société à Madagascar ? Découvrez dans cet article la ...

Ecoles françaises à Madagascar
L'établissement propose l'enseignement de la Pré-scolarisation au CM2.

Se loger à Tulear
Comment faire pour se loger à Tuléar ? La question se pose chez les futurs expatriés dans ...

Travailler à Madagascar
Vous envisagez de poursuivre votre carrière sur la Grande Île ? Voici un certain nombre ...
Vos questions et expériences sur la fiscalité à Madagascar




[/img]




