On aurait pu croire à une paralysie totale du pays, à cause des sirènes qui retentissent. Mais non ! La vie se poursuit, en dépit des vicissitudes. Certes, tous quelque soit sa culture ou sa religion, aurions voulu que le climat de ces dernières 24 heures, s'apaisent. Mais en attendant que les choses se règlent en coulisse, nous continuons de travailler et de vaquer de façon générale à nos occupations. Exceptées les écoles qui sont fermées pour la plupart. Si cela devait se prolonger, l'enseignement à distance reprendrait sans doute comme aux temps des confinements