Idées à succès aux Etats-Unis

Bonjour à tous,

Créer une entreprise aux Etats-Unis est un défi passionnant pour un entrepreneur étranger. Certaines idées rencontreront du succès. D'autres, prometteuses, pourraient ne pas fonctionner aussi bien qu'attendu…

Selon vous, quelle activité devrait-on lancer aux Etats-Unis ? Quel produit ou service répondrait exactement à la demande des Américains ?

A l'inverse, quelles sont les idées les plus populaires parmi les entrepreneurs étrangers qui auraient peu de chance de réussir ?

Merci pour vos éclaircissements.
Christine

Si j'ai une super idee je ne pense pas vouloir la partager ici! LOL

Quant aux idees qui ont peu de chance de reussir (pour NY), c'est l'eternel "coffee shop" a la francaise... importation de produits francais....ou les services de guide touristique (meme hors sentiers battus) pour les francophones... vu, revu et re re vuuuu

les services de guide touristique (meme hors sentiers battus) pour les francophones... vu, revu et re re vuuuu


oui...mais tu serais etonnee de voir le succes qu'ils ont (elles on va dire) et qu'ils ne peuvent meme pas tout assurer la demande (si on a en parle de la meme organisation)

Je doute que la personne qui a une super idee qui peut rapporter va la poster ici ;)

Mais dans ce qui marche pas: tout ce que touche a la restauration par des gens qui n'ont rien a voir avec le milieu mais qui pensent que parce qu'ils ont retourne une crepe sans rater la poele une fois dans leur vie ils peuvent ouvir un business.

Je ne suis pas etonnee car c'est mon domaine :)
Et justement, en etant dedans, je vois les limites et les nouveaux dans ce milieu, meme avec de belles idees, s'essoufflent rapidement. Ce marche focntionne bien mais il n'y a plus vraiment d'idees novatrices, c'est a cela que je me referais.
Pardon, je repondais a Ben ;-)

Sans vouloir rentrer dans l'idée d'un concept de business particulier, sachez bien qu'il n'existe en fait que deux types de business et ça ne sert à rien de vouloir réinventer la roue car ne marche que l'une ou l'autre de ces deux formes.
- business to client ou la vente directe.
- business to business ou la vente indirecte.

Les deux ont leurs avantages et leurs inconvénients mais en premier il faut savoir où se situer, savoir ce que l'on veut faire et surtout avoir les moyens de ses ambitions.

A quelques exceptions pres, les "success stories" ont toujours reuni ces composantes:
1. L'Idee
2. Les resources (financieres ou autres)
3. Les contacts (networking)
4. La chance (le bon moment au bon endroit)

Mais avant tout ca, il faut identifier le besoin. Si la demande n'y est pas, peu importe si l'idee est revolutionaire, le succes ne sera pas au rendez-vous. Donc la demande du marche est LE premier critere a etudier et a definir.
Les exceptions a cette regle sont ceux qui ont reussi a creer une demande qui n'existait pas avant, et ca, c'est pas facile.

Avoir les reins financiers solides dès le départ, bien préparer son projet et s'y connaître dans le domaine ou avoir une équipe compétente. Tout ce qui est lié aux nouvelles technologies peut marcher si on apporte quelque chose (très difficile, mais il faut savoir qu'il y a des centaines de personnes dans le monde qui ont la même idée dans le monde au même moment). Une idée innovante ne se partage pas. Sinon, cela dépend de la localisation. Il faut identifier un besoin non satisfait et comprendre pourquoi il n'a pas été satifait (enquêter).

Bien sûr qu'une idée innovante se partage !
Car ce n'est pas l'idée qui pose problème, mais sa réalisation.

Je me demande si il n'y aurait pas quelque chose à faire dans le domaine des énergies renouvelables ?

Severinguiton a écrit:

Bien sûr qu'une idée innovante se partage !
Car ce n'est pas l'idée qui pose problème, mais sa réalisation.

Je me demande si il n'y aurait pas quelque chose à faire dans le domaine des énergies renouvelables ?


Bien de ton avis Severinguiton, l'idée en elle même c'est une chose mais sa mise en place est bien plus compliquée que simplement avoir l'idée.
Déjà savoir si on est capable de la diffuser en directe ou s'il faut passer par une tiers personne ou un distributeur.

A titre d'exemple, il y a quelques années j'avais un projet de e-commerce (ça c'était l'idée) mais pour la réaliser, il y avait un marketing indispensable à faire et rien que ça, il fallait compter entre $150000 et $200000.

Pour en revenir aux énergies solaires, c'est un très bon exemple de collaboration entre la réalisation et la distribution.
Il y a deux mois, j'ai fait monter le solaire chez moi. Le contrat je l'ai signé avec une société du nom de Solar Revolution et le jour où ils sont venus m'installer les panneaux solaires sur la maison, c'est un installateur du nom de Sun Up qui est venu réaliser l'installation.
Dans ce cas on a Sun Up (le technicien et l'installateur) qui fait du business to business avec Solar Revolution qui lui, a fait du business to client avec moi.
C'est Solar Revolution qui s'est occupé de tout l'administratif comme les autorisations et du technique comme l'évaluation du système à installer.
En fait il n'y a rien de bien nouveau, ce n'est que du Taylorisme appliqué aux temps modernes. Toujours la séparation entre la conception d'un projet et sa réalisation.

Toute activité adaptée au marché devrait fonctionner. L'important c'est de ne pas arriver  avec ses gros souliers en disant "je vais faire tel ou tel truc comme dans mon pays d'origine et les Américains vont adorer", car ce sera rarement le cas.

Le marché US n'est pas si simple car il faut vraiment faire l'effort de le connaitre et de s'y adapter, et c'est la raison pour laquelle, par exemple, aucun constructeur automobile Français n'y est présent...

alcfeoh a écrit:

Le marché US n'est pas si simple car il faut vraiment faire l'effort de le connaitre et de s'y adapter, et c'est la raison pour laquelle, par exemple, aucun constructeur automobile Français n'y est présent...


Loin de moi de vouloir defendre l'industrie automobile Française, mais sur ce coup là le choix de ne pas y être directement présent est plutôt judicieux et ce pour au moins deux raisons.
La première est pourquoi être présent sur un marché qui fait déjà ses propres autos qui sont de plus de la même gamme que celles que nous fabriquons, pourquoi mettre Renault en compétition avec Chevrolet qui est déjà leader sur son propre marché? Renault c'est pas Mercedes...
La seconde est que Renault, plutôt que de s'implanter directement sur le marché US va s'y implanter indirectement en passant par Nissan et que aujourd'hui, chaque Nissan de vendue aux USA c'est un peu une Renault qui se vend.

Pescaraplace a écrit:

La première est pourquoi être présent sur un marché qui fait déjà ses propres autos qui sont de plus de la même gamme que celles que nous fabriquons, pourquoi mettre Renault en compétition avec Chevrolet qui est déjà leader sur son propre marché? Renault c'est pas Mercedes...
La seconde est que Renault, plutôt que de s'implanter directement sur le marché US va s'y implanter indirectement en passant par Nissan et que aujourd'hui, chaque Nissan de vendue aux USA c'est un peu une Renault qui se vend.


Peut être parce que c'est le premier marché auto mondial ? Toyota et Kia ne sont pas Mercedes non plus, et ils vendent beaucoup de véhicules aux US. Ce que je voulais avant tout souligner, pour avoir bossé pour une boite française qui essayait de "conquérir" le marché US, c'est qu'il faut vraiment s'adapter, et pas arriver en disant "ce qu'on fait c'est mieux que ce que les ricains ont, donc on va leur apprendre comment faire".

Je vois chaque semaine des Français avec cette approche et c'est la raison pour laquelle il me semble important de les mettre en garde : L'aura de la France, en dehors du vin et de la haute couture, c'est rien du tout ici.

alcfeoh a écrit:
Pescaraplace a écrit:

La première est pourquoi être présent sur un marché qui fait déjà ses propres autos qui sont de plus de la même gamme que celles que nous fabriquons, pourquoi mettre Renault en compétition avec Chevrolet qui est déjà leader sur son propre marché? Renault c'est pas Mercedes...
La seconde est que Renault, plutôt que de s'implanter directement sur le marché US va s'y implanter indirectement en passant par Nissan et que aujourd'hui, chaque Nissan de vendue aux USA c'est un peu une Renault qui se vend.


Peut être parce que c'est le premier marché auto mondial ? Toyota et Kia ne sont pas Mercedes non plus, et ils vendent beaucoup de véhicules aux US. Ce que je voulais avant tout souligner, pour avoir bossé pour une boite française qui essayait de "conquérir" le marché US, c'est qu'il faut vraiment s'adapter, et pas arriver en disant "ce qu'on fait c'est mieux que ce que les ricains ont, donc on va leur apprendre comment faire".

Je vois chaque semaine des Français avec cette approche et c'est la raison pour laquelle il me semble important de les mettre en garde : L'aura de la France, en dehors du vin et de la haute couture, c'est rien du tout ici.


Tout a fait d'accord avec toi.
Dans le cas de Renault, on est plus dans une stratégie d'entreprise différente. J'ai lu ces derniers jours que le groupe Renault Nissan venant d'acquérir Mitsubischi ce qui en fait un des plus gros, si ce n'est le plus gros constructeur mondial.

alcfeoh a écrit:

Je vois chaque semaine des Français avec cette approche et c'est la raison pour laquelle il me semble important de les mettre en garde : L'aura de la France, en dehors du vin et de la haute couture, c'est rien du tout ici.


Pas forcément, La France a une très bonne réputation aux US. Deux exemples dont j'ai beaucoup entendu parler ici:
- Facebook a installé un centre de recherche en intelligence artificielle en France. Pourquoi? Parce que les français sont considérés comme des gens intelligents, logiques et créatifs. Sûrement grâce à notre système d'éducation. Les boites aux US aiment bien embaucher des français dans tout ce qui est technique.
- Le Flyboard Air. C'est créé par un français:
     https://youtu.be/wObBrd9wB6M
Il est venu voler en Floride en Septembre. Ca représente l'innovation à la française.

Ce sont juste deux exemples, il y en a d'autres.

GoyaveEtChocolat a écrit:
alcfeoh a écrit:

Je vois chaque semaine des Français avec cette approche et c'est la raison pour laquelle il me semble important de les mettre en garde : L'aura de la France, en dehors du vin et de la haute couture, c'est rien du tout ici.


Pas forcément, La France a une très bonne réputation aux US. Deux exemples dont j'ai beaucoup entendu parler ici:
- Facebook a installé un centre de recherche en intelligence artificielle en France. Pourquoi? Parce que les français sont considérés comme des gens intelligents, logiques et créatifs. Sûrement grâce à notre système d'éducation. Les boites aux US aiment bien embaucher des français dans tout ce qui est technique.
- Le Flyboard Air. C'est créé par un français:
     https://youtu.be/wObBrd9wB6M
Il est venu voler en Floride en Septembre. Ca représente l'innovation à la française.

Ce sont juste deux exemples, il y en a d'autres.


Tout a fait, dans le secteur de mon épouse qui est l'interim', le numéro un mondial c'est pas l'américain ManPower, c'est Adecco une multi nationale Franco Suisse.

imo, la "bonne idee" n'est pas si importante, tout est dans l'execution (aux US, comme ailleurs...) 

Donc, choisisez un secteur qui vous passionne d'abord (meme si vous n'avez pas trop d'experience.) Car, invariablement, vous passerez par de gros moments de doute... et la, ca aide enormement "d'y croire."  Le reste n'est que de details a resoudre un par un.

L'exécution est importante, mais c'est à chacun de trouver sespropres idées basées sur ce que l'on sait faire. Un projet Internet ne conviendra pas à un restaurateur, tout comme un projet dans la restauration aura de faibles chances  de convenir à un Informaticien.

GoyaveEtChocolat a écrit:

Les boites aux US aiment bien embaucher des français dans tout ce qui est technique.


J'en suis effectivement un et je ne peux qu'approuver. Je parlais plus de l'aura que l'on pense avoir  avec nos technos et sociétés (TGV, Freebox, etc.) mais qui a zéro impact ou presque en Amérique du Nord.

Après, n'importe quel être humain, Français ou pas, si il est bon dans son domaine, se verra les portes grandes ouvertes aux USA, c' est une cetitude !

oui et non... je travaille regulierement pour de jeunes clients qui n'ont aucune formation technique mais qui ont enormement de success avec leurs produits.  Leur vision et capacite a networker, gerer, marketer, vendre, etc..  est bien plus importante.  Le "technique" de nos jours est plutot facile a trouver & negocier.  Pour moi, un jeune entrepreneur ne doit surtout pas se limiter a ce qu'il connait mais a ce qu'il croit.  C'est bien plus important pour les jours pluvieux...

Bonjour,

Etant dans l'enseignement (Prof, conseiller pedagogique et directeur), c'est vers cette branche que j'orienterai de futurs entrepreneurs et investisseurs. En effet, les grands operateurs habituels (MLF et AEFE, couvrent une bonne partie des USA et en particulier les grandes villes. J'ai remarque qu'une tres grande zone du sud est americain n'etait pas couverte. Du Nord de Miami a Washington, il n'y pas de lycee francais, a part a Atlanta mais il ne couvre pas toute la scolarite, Greenville, mais c'est une ecole Michelin avec peu de places disponibles, Aiken, ecole Areva mais sans veritables structures. Or il y a dans cette zone, beaucoup de succursales d'entreprises francaise (Saint Gobain, Benetteau...). Les expattries cherchent desesperement un moyen de scolariser leur(s) enfant(s). Si j'etais entrepreneur, je me lancerai donc dans un projet d'etablissement situe a mi chemin entre Miami et Washington (Charleston ou Charlotte par exemple), avec internat. D'un point de vue pedagogique, je me lierai avec le CNED afin d'obtenir une homologation mais resterait un etablissement d'enseignement prive francais afin d'eviter d'avoir un board US. J'avais commence a me renseigner en arrivant, mais ayant obtenu un poste, j'ai lache cette idee qui me semblait etre interessante.
Elle ne repond pas a une demande americaine cependant elle repond a une forte demande francaise aux USA. J'ai connu cela aux Emirats arabes unis. Un ancien directeur d'ecole primaire y ouvre un 4 ou 5 eme lycee francais et le filon n'est toujours pas epuise...

A+

Fred

Entièrement d'accord avec toi. Par contre, tout le monde n'est pas capable d'ouvrir une école (moi le premier). Il faut bien connaitre le secteur d'activité.

une entreprise de déguisements, en utilisant la filière recyclage !

MarieheleneP a écrit:

une entreprise de déguisements, en utilisant la filière recyclage !


Sauf que les déguisements ne vont se vendre que durant les deux dernières semaines d'Octobre ;-)

... et pour Santa con, et pour la nouvelle année et sur les festivals ou vont travailler déguiser... cela n a pas pu t échapper que les Américains adorent se déguiser a  l'inverse des Francais :)

MarieheleneP a écrit:

... et pour Santa con, et pour la nouvelle année et sur les festivals ou vont travailler déguiser... cela n a pas pu t échapper que les Américains adorent se déguiser a  l'inverse des Francais :)


Certes mais dela à faire tourner toute une industrie 12 mois de l'année... de plus que passé middle school, il y en a deja beaucoup moins qui se déguisent.

Une école de coiffure...

Tout depend surtout de la ville...et on ne parle pas d'industrie...

Je suis entierement d'accord avec FredBR. Un etablissement scolaire francais ou meme international rencontrerait un grand succes. J'ai des enfants qui ne sont plus dans le systeme francais et c'est un grand manque ici dans le 'Triangle' (Raleigh, Durham, Chapel Hill en Caroline du Nord) ou il y a une population expat importante (francaise et etrangere mais friande de francais) avec des besoins en education non remplis.... Il y a des places a Greenville (en tous les cas au lycee) mais le directeur ne veut pas d'eleves qui ont quitte le systeme scolaire depuis 'trop longtemps'.....
Si je prevoyais de passer ma vie ici, je m'orienterai probablement dans cette voie.

MarieheleneP a écrit:

Tout depend surtout de la ville...et on ne parle pas d'industrie...


Industrie est un synonyme pour "secteur d'activité"... si en plus tu te limites à une ville, ton marché potentiel est de fait encore plus restraint.

Comme ça et sans avoir étudié ce marché, je vois des limites difficilement évitables telles que la saisonnalité du déguisement, le prix modique des déguisements et la faiblesse du marché du déguisement car il ne concerne tout de même pas grand monde...
Pour moi il y a un cumul de faiblesses qui sont la saisonnalité, un faible volume qui va générer un chiffre d'affaires bien trop faible et des marges bénéficiaires qui ne seront pas au rdv.

MarieheleneP a écrit:

... et pour Santa con, et pour la nouvelle année et sur les festivals ou vont travailler déguiser... cela n a pas pu t échapper que les Américains adorent se déguiser a  l'inverse des Francais :)


oui et non.
car c'est vraiment qu'a Halloween ou les deguisements sont prises....le reste, pas tant que ca! le Santa Con: well c'est souvent un bonnet rouge qu'ils resortent tous les ans.
ici, il y a plein de magasins de deguisements qui n'ouvrent que pendant Halloween car ils ne pourraient pas survivre les autres mois (le loyer, les employes etc pour 3 moustaches et 2 masques).

Le plus simple et le plus sur, c'est d'acheter des propriétés en "Foreclosure", de les rénover, et de les revendre ou les mettre a louer. Il y a des maisons a vendre a moins de $50000 que tu peux facilement revendre $150000, etc. Les français qui s'installent aux Etats-Unis pensent tout de suite a faire un truc de français dans la cuisine, le vin, ou la mode. Mais il y plein d'autres plans beaucoup plus lucratifs comme celui que je viens de citer plus haut.

Une entreprise de fenêtres qui souvrent a la française (a deux ouvrants). Je détestes leurs fenêtres qui souvrent verticalement, mdr.

Cela reste de petits businee. Bien si tu connais le marché local sur lequel tu investis et que tu n'es pas ambitieux. Il y a d'ailleurs des émissions de télé réalité sur le sujet comme Flipping out sur Bravo TV.

Ce qui est rassurant c'est que le savoir faire Américains n'est pas terrible compare au savoir faire français ou Allemand. En tout cas c'est mon opinion. Les français travaillent mieux, plus efficacement, et la qualité est meilleure. Parcontre ils ne sont pas aussi bons que les Américains en affaires et marketing. C'est en tout cas vrai au début, mais les français apprennent vite et rattrapent leur retard dans ce domaine après avoir passe quelque temps aux US.

300% de plus-value. Combien de temps pour vendre le bien en sachant que l'acheteur peut trouver facilement l'historique des transactions sur le bien. Combien de frais sur la plus-value (taxes, rénovations, frais d'agences,...). As-tu déjà fait 300% de plus-value? Pour cela, combien de temps as-tu du conserver le bien et payer les taxes? Un exemple concret, please.

Exactement 200-300% de plus value. Si tu revends la maison tout de suite tu dois payer des taxes, mais si tu la revends après deux ans tu n'as pas besoin de payer ces taxes. Enfin, cela dépend des Etats. La preuve c'est que ma mère a acheté une maison a $41000 il y a 3 ans, et elle l'a revendu $90000 l'année dernière, moins 8% de frais d'agence, sans aucune taxes. Ensuite elle a acheté une autre maison a $75000 et maintenant cette maison vaut $150000. C'est véridique. Tu peux trouver des maisons en "Foreclosure" sur www.zillow.com par example (les Foreclosures sont des maisons qui sont a vendre parceque les propriétaires n'ont pas pu payer certaines factures ou des trucs comme ça, donc ils sont obligés de vendre a 50-65% moins chère bien que la valeur de la maison soit plus élevé. Donc sur zillow.com tu peux voir le prix de vente et la valeur réelle a laquelle tu peux potentiellement espérer pouvoir la revendre).

Ce que dit Billy est vrai. La seule condition pour ne pas payer de taxes sur la plus-value est qu'il faille habiter la maison pendant deux ans minimum. C'est un détail important a savoir

Oui, donc on est bien sur du moyen terme. On ne peux pas acheter, puis revendre immédiatement. $50000 de plus value au bout de 2 ans, c'est uniquement $25000/an et il faut avoir des revenus entre temps.

stevenmika a écrit:

Oui, donc on est bien sur du moyen terme. On ne peux pas acheter, puis revendre immédiatement. $50000 de plus value au bout de 2 ans, c'est uniquement $25000/an et il faut avoir des revenus entre temps.


Le truc pour en vivre correctement est 2 choses:
- vendre quite a payer des taxes, parce qu'au final c'est un business et que les taxes seront déductibles car elles font parties des frais généraux.
- l'autre truc c'est d'avoir plusieurs biens immobiliers et de les louer le temps que les deux ans soient passés.

Dans les deux cas, cela sous-entend que l'on soit assez riche car tout ça, c'est énormément de capital d'immobilisé.