Ce que pensent les expatriers de l'allemagne

Une Britannique installée depuis de nombreuses années à Berlin raconte dans les pages de “Die Zeit” comment les parents expatriés s'organisent et quels sont leurs sujets de préoccupation dans un pays qu'ils imaginaient souvent idyllique.

Jacinta Nandi est une écrivaine britannique installée à Berlin, avec sa famille, depuis environ vingt ans. Elle élève son fils dans la capitale allemande et est donc familière des groupes de parents expatriés, qu'elle décrit dans les pages de Die Zeit. Elle remarque tout d'abord que la sociabilité entre parents, et même la communication tout court, se fait principalement sur les réseaux sociaux et sur WhatsApp. C'est d'ailleurs par ce biais qu'elle a rencontré sa meilleure amie, mais aussi des personnages incontournables, comme cette mère allemande qui ne supporte pas la moindre critique venant d'étrangers.

Des groupes de discussion pour tous les profils


Pour les expatriés, d'autant plus quand ils ont des enfants, les groupes de discussion ne manquent pas. “Il existe des groupes d'expatriés pour les étrangers aux revenus élevés qui souhaitent vivre à Zehlendorf ou à Prenzlauer Berg et ont besoin de se renseigner sur les meilleures écoles. Il existe des groupes d'expatriés pour les mères paresseuses, pour les mères socialistes, pour les familles homoparentales, pour les indépendants, pour les parents célibataires, des groupes d'expatriés pour les personnes qui ne sont en ville que pour deux ou trois mois, des groupes d'expatriés pour les personnes qui vont à Berghain, des groupes pour les personnes qui veulent échanger des plantes”, écrit Jacinta Nandi.


Et dans les groupes de l'école, elle a pu constater que le profil des expatriés avait quelque peu changé. Plus confiants, ils arrivent généralement avec un travail et une famille et ont choisi l'Allemagne “pour des raisons morales”, comme les Britanniques fuyant le Brexit ou les Américains fuyant Trump. Ils arrivent dans le pays avec des idées très positives : “Ils se sont retrouvés en Allemagne parce qu'ils ont entendu dire que le niveau de vie y était très élevé : jardins d'enfants gratuits (dans certains États fédéraux), bonne assurance-maladie, grands parcs.”

Un système éducatif loin d'être idyllique


Rapidement, ils déchantent, quitte à fâcher l'irascible mère allemande présente dans leur groupe WhatsApp. Ils critiquent généralement “les équipements numériques désastreux et les toilettes terrifiantes des écoles”, les chansons parfois racistes, “une assurance-maladie coûteuse pour les parents indépendants”, des normes sexistes et une orientation trop précoce, dès l'âge de 10 ans.


Jacinta Nandi leur donne raison, mais observe aussi qu'au fil des années elle-même est devenue une mère allemande, et que l'éducation dans son pays d'origine, le Royaume-Uni, la laisse parfois perplexe. Mais attention à ne pas le dire trop fort sur les groupes de parents expats…  https://www.courrierinternational.com/a … -allemagne  jean luc 1f609.svg

lá quand on parle d'expatrier , il s'agit en générale de blanc , d'Europe, et d'Amérique de la bonne société ,ayant une bonne formation . les autres venant d'ailleurs sont des immigrés ,  me concernant les deux appellations me convienne . le pays est jamais asser bien  pour certains expatriers .  les problème dit plus haut ils existent , mais comment tenir propre toutes les toilettes des écoles avec 12 million d'enfants  , quand aux chansons parfois raciste , je me pose des questions , alors venant de certains groupes oui, c'est possible , venant de la tradition par vraiment ils entendent une musique qui était chanté par les soldats ,mais avec des paroles différentes , rien avoir avec la chanson originelle . quand au numérique , oui le pays as du retard , mais chez eux c'est pareille les écoles anglaises ,ou américaine , ou française sont pareilles. pour la France , si tu as pas les moyens de mettre tes enfants dans les bon lycée ,tu as du tout venant  . je considère que le système allemand est meilleur  , simplement il donne aux pauvres une chance de réussir . alors la sélection scolaire commence á 10ans , mais il existe des passerelles entre les niveaux dans les deux sens qui permet aux enfants de s'adapter en fonction de leur problèmes , celas existe pas en France . quand aux norme sexiste ,je rigole  .En fait beaucoup d'expat ne comprenne pas la langue , donc la culture , le pays .  beaucoup d'expat abaissent le pays d'accueil ,pour ré-hausser  celui d'origine . vous voyais quelque milliers de jeunes tout piller comme en France ou en Angleterre ou USA . la réponse est non . jean Luc1f609.svg

Ce que les étrangers pensent du travail en Allemagne


Depuis Düsseldorf, le magazine économique “WirtschaftsWoche” a interrogé des expatriés qui travaillent dans des entreprises allemandes. Voici les cinq choses qui les ont le plus surpris.

Le magazine allemand WirtschaftsWoche a interrogé plusieurs expatriés pour recueillir leurs impressions au sujet de la vie professionnelle en Allemagne. Voici ce qui ressort de leurs témoignages.

1. La culture du vouvoiement


Tugce Inel-Özyurt est turque et mariée à un Allemand. Après avoir travaillé aux Pays-Bas et en Turquie, elle vit désormais en Allemagne où elle est responsable marketing dans un cabinet international d'avocats d'affaires. Elle constate qu'en Allemagne, les choses ne se passent pas comme aux Pays-Bas où “on appelle les gens par leur prénom et [qu']on passe rapidement au tutoiement”. Kerli Saar, qui vient d'Estonie, a également été surprise par cette formalité lorsqu'elle était assistante de recherche au Bundestag : “Des collègues se fréquentaient depuis des années et se voyaient encore.”

2. L'humour


On avait dit à Tugce Inel-Özyurt que les Allemands étaient rasoir et n'avait pas le sens de la fête. “J'ai vite découvert qu'on faisait aussi des blagues en Allemagne, même au bureau”, dit-elle aujourd'hui, non sans un certain soulagement. 3. Le formalisme


Le formalisme allemand est un trait qui ressort dans de nombreux témoignages. Il prend plusieurs formes. Kerli Saar a été particulièrement frappée par “l'amour du papier” : “Tout doit être sur papier, tout doit être imprimé et envoyé par la poste. Je ne connaissais pas du tout cela en Estonie.”


Beatrijs Mertens, assistante de direction dans une entreprise industrielle, vient de Belgique. Elle vit et travaille en Allemagne depuis 2008 et pointe du doigt un certain formalisme concernant les horaires mais aussi les tenues de travail :


  En Allemagne, on voit rarement une femme se rendre au travail en robe à fleurs ; en France, par exemple, cela arrive beaucoup plus souvent.”


Selon Iga Kuczaj, ingénieure outillage senior au sein du groupe de biotechnologie Qiagen qui vient de Pologne, le formalisme allemand se traduit aussi par un grand nombre de règles qui peuvent freiner le changement. 4. L'équilibre vie personnelle-vie professionnelle


Maria García, une Espagnole dont le nom a été modifié à sa demande, remarque que les Allemands valorisent les pauses. “Ils me disent très clairement : ‘Nous ne voulons pas faire de burn-out.'” Par ailleurs, il est très mal vu, voire interdit, de contacter des collègues quand ils sont en congés.

5. Des objectifs réalistes


Maria García note enfin que les Allemands aiment se fixer des objectifs raisonnables qu'ils pourront atteindre. Pas de plans sur la comète ! “En Allemagne, les employés ne s'engagent pas à créer quelque chose qu'ils ne pourront pas réaliser ou évaluer. Ils sont très réalistes.”  jean luc 1f609.svg source https://www.courrierinternational.com/a … -allemagne


Ps: il y auras d'autre articles dans le genre sympas et pas sympa a vous de reagir

L'Allemagne, un pays fermé et raciste selon les expats

Le magazine allemand “Der Spiegel” a pu consulter la dernière étude de l'association InterNations. Les étrangers qui travaillent en Allemagne n'ont qu'un rêve : quitter un pays qu'ils jugent froid et discriminant. Explications. 


Dédaigneux, racistes, condescendants, distants. Voici comment les travailleurs étrangers installés en Allemagne perçoivent les Allemands, selon la dernière enquête 2023 de l'association InterNations – qui regroupe 4,8 millions de membres dans le monde –, que Der Spiegel a pu consulter en avant-première. L'enquête est fondée sur les réponses de 979 expatriés, dont la moitié sont des femmes, d'une moyenne d'âge de 42 ans, très majoritairement titulaires d'un diplôme universitaire et installés dans 53 pays. En 2022, l'Allemagne arrivait en dernière position pour les catégories du logement, des infrastructures numériques, de la langue et de l'administration. En 2023, le bilan est le même.

Lire aussi : Classement. Les meilleurs pays pour les expats


Le magazine résume ainsi la situation : “Trois répondants sur dix ne se sentent pas chez eux ici et n'ont pas de réseau amical. Une personne sur deux dit qu'il est difficile de se faire des amis dans ce pays. Un sur trois est d'accord avec l'affirmation selon laquelle les Allemands sont hostiles aux concitoyens étrangers.” Désolant et inquiétant pour un pays qui a besoin d'attirer et de conserver 1,5 million de travailleurs qualifiés pour faire face à une pénurie aggravée par la démographie vieillissante du pays.


Un sondé de nationalité roumaine résume ainsi son problème avec l'Allemagne :


    “Les gens ici sont trop froids pour moi, directs et antipathiques. En tant qu'étranger, je ne me suis jamais vraiment senti à l'aise ici. J'ai aussi remarqué un certain manque de flexibilité, de sensibilité interculturelle et de respect des autres cultures.”


Un autre, originaire du Népal, confie : “Les différences culturelles et la barrière de la langue ont eu des répercussions majeures sur ma vie sociale. Les habitants ont déjà leur propre cercle d'amis allemands et ne montrent aucun intérêt pour les amitiés internationales. Il y a aussi eu plusieurs incidents racistes ici, auxquels je ne m'attendais pas.”

Lire aussi : Témoignages. Ce que les étrangers pensent du travail en Allemagne


Une autre enquête, menée par l'Institut de recherche économique appliquée de Tübingen, conclut également que la discrimination raciste est courante.


Raymund Guevara, 37 ans et originaire des Philippines, était infirmier dans un hôpital de Basse-Saxe pendant cinq ans. Il a finalement déménagé en Floride, où il a pu obtenir des aides pour acheter une maison. Même l'obtention de son permis de séjour et celle de son permis de conduire ont été plus faciles qu'en Allemagne, où il a lui aussi été confronté au racisme.


Selon Alexander Kritikos, chercheur à l'Institut allemand de recherche économique (DIW), à Berlin, “les cours de formation interculturelle, dans lesquels les anciens et les nouveaux employés sont sensibilisés aux différences, sont utiles”. Mais, comme le souligne le Spiegel, avoir un accompagnement au travail est nécessaire mais pas suffisant : il faut également être entouré dans sa vie privée afin de ne pas être complètement isolé.

https://www.courrierinternational.com/a … les-expats     jean luc 1f609.svg

suite au post 4 voici mes réactions . le problème est simple , il faut pas s'attendre que les allemands sautent de joie, vous embrasse , fasse la fête avec vous. ils sont pas comme celas ,les démonstrations sont réservé á la famille , aux amis intimes , pas aux premiers venus. En plus beaucoup d'expats restent 3-4 ans et repartent après vers d'autres cieux . ici on fait pas la bise ,c'est pas dans la culture ,pourquoi ils devrais la faire??? quand au racisme dit moi quelle pays oú celas existe pas , moi je connais pas , le pays n'est pas raciste ,il y as pas de loi raciale comme USA ,mais simplement des gens raciste ,moi aussi j'ai vu des actes racistes , mais je dit pas que tous les allemands sont raciste . pour le logement c'est vrais que c'est dur de trouver il y as un manque de logement ,celas est vrais aussi pour les locaux . pour le numérique , oui on est en retard car les opérateurs ne sont pas subventionner comme en France .  Pour la culture , alors lá je rigole les allemands ont une très riche culture ,et il manque pas de flexibilité , en quoi la culture des autres auraient un intérêt pour moi en Allemagne , au départ j'ai eu une culture française, maintenant elle est franco-allemande , comme les africains auront une culture afro-allemande . bon 956 expats sur 8 millions d'étranger , on va pas en faire un plat .  jean luc 1f609.svg