salut a tous les apprentis Kreol en herbe ainsi qu' a ceux qui le sont déjà.
Je voulais donner une petite infos que certainement beaucoup d'entre vous connaissent déjà mais bon une petite piqûre de rappel fait du bien et moi....ça me déstresse d'en parler
J'ai du faire expédier de France 2 colis de 6 et 8 kg contenant du matériel de sport. Je suis passé par notre bonne vieille poste. 10 jours plus tard je reçu a mon domicile Mauricien une lettre de IKS compagnie de transport de colis, une petite lettre me demandant de venir récupérer mes biens. Première surprise : les frais de "garde" de mes biens est payant de rs 25 par jour et par colis. Bon, c'est plus la France me dis-je, alors vas, joue donc local.
Je me présente donc hier au comptoir IKS au Nord de Port Louis. Le douanier me demande si ceux sont des biens personnels ou professionnels. Pensant avoir bien appris ma leçon a cette éventuelle question qui change tout tarifairement, je répond personnel bien sur et hooo surprise, après 10 mn de pianotage intempestif sur sa calculette ou je voyais défiler des formules mathématiques a faire frémir d'incompétence mon ancien prof de maths, le gentil douanier kreol me lance sans rire" Ou capav réglé rs 7000 a la caisse " C'te bonne blague, touzour le mot pour rire ces Mauriciens me dis-je. Sauf que le douanier lui, semblait continuer la blague...d'ailleurs il est allé jusqu'au bout de sa blague. Pour infos les frais de douanes/taxes/raquet correspondent quasiment a la valeur réel de mes biens en Euros. Le douanier s'est bien sur basé sur le montant en euros inscris sur le papier de douane que l'on remplit a la poste en France pour soit disant vous rembourser en cas de problèmes, ce qui est faut puisque pour l'international la poste rembourse au poids du colis et non a sa valeur. J'ai du débourser rs 7000 pour récupérer mes bien (et du coup les racheter une deuxième fois). On peut refuser de prendre les biens au comptoir de la douane mais le retour est payant et vaut en gros presque un bras en fonction du poids.
Voila, si quelques uns se sentent de partager ou de me reprendre sur une erreur que j'aurais commise, 1, 2, 3, tous a vos claviers