Annonce pourvoir poste professeur non titulaire dans le privé

@Steve J Tahiti

ATTENTION avant de donner de faux espoirs.

Je parle en connaissance de cause.

J'habite actuellement sur Tahiti pour suivre mon conjoint qui a un travail.

Je suis  titulaire de l'EN, certifiée en anglais. DEUX demandes de mutation refusées (ils ne prennent que des polynesiens)

Il n'est ABSOLUMENT pas possible de faire des remplacements ou autre. La DGEE refuse. Ou alors, il faut abandonner notre concours = démissionner pour être contractuel.

Privé ou public , c'est l'état qui paye.

Seule possibilité, travailler dans des établissements HORS CONTRAT.

Et même si vous répondez à ces annonces, ils ne répondront même pas :

1- si vous n'habitez pas sur le fenua

2- si vous n'êtes pas originaire d'ci (protection de l'emploi local)

3- si vous êtes en dispo EN

@Geraldyne11

Bonjour !

je ne fais que partager

je sais pas comment ça fonctionne dans le privée

je sais que :

• Si ils ne trouvent pas de "Polynésien", ils prendront des "expats" (mais comme tu dis qui habite en Polynésie +6mois ou 1an)
• parfois ils prennent des "patentés" ou comme dit des "vacataire" (les structures privée) (et même ils me semblent au début de l'université, faute d'avoir des "professeurs" ils prenaient des "patentés" pour aller faire cours (exemple : Journalisme)

Je sais que il y a des RAD qui ont tenté, et ils enseignent dans le privée, pour pouvoir rester encore en POlynésie (mais comme tu dis, ils ont démissionné peut être pour avoir accès à ça)

Il y a 5ans, les professeurs de Mandarin, il y avait pas de "locaux" (uniquement 2 ou 3)

Ils ont pris des "chinois" "lambda" (pour certains à peine 3 mois de résidence et ne connaissant que quelques most de français) pour pouvoir enseigner, qui pour certains n'avait aucune pédagogie ou se référer aux "programmes" ou livres de "l'éducation"

idem, professeur non titulaire

certains ont passé le concours par la suite pour être titulaire

Si il y a une forte demande et aucun Polynésien qui postulent, ils seront obligés de prendre des "expats"