Fideicommis

Bonjour à tous;

Sauriez vous si il est possible d'acheter une maison ET un terrain par le biais d'une banque à Madagascar dans le cadre d'un Fideicommis?

C'est un système ou l'on utilise la banque comme prête nom dans le cadre d'un achat immobilier.

Merci de me renseigner.

En ce qui concerne le fideicommis, c'est plutôt en cas de décès qu'une personne est nommée par testament et reçois l'héritage en la chargeant de transmettre ces biens à une tierce personne désignée dans le testament.
En exemple: J'avais une tantine qui possédait plusieurs maisons ainsi qu'une propriété comportant 36 logement à Paris. Elle n'a jamais été mariée et n'avait pas de frères ni de soeurs. Quand j'allais en vacances chez elle en Normandie elle me disais qu'elle avait fait don de son patrimoine à l'église. Et elle m'avait confié également qu'un de mes cousins avait eu l'audace de lui demander s'il pouvait hériter d'une maison après le décès de la tantine, ce qui l'avait profondément choqué.
Donc quand elle est décédée nous avons eu la surprise mes frères et soeurs d'avoir été contacté par un notaire qui nous a appris que notre tantine avait ouvert des assurances vie à nos noms respectifs et que c'est le cousin qui avait demandé une maison à la tantine qui avait été désigné dans le testament comme mandataire successoral sans recevoir en héritage le moindre kopek...(oui la tantine avait la rancune sévère)
En fait je ne comprend pas pourquoi offrir une maison à une banque qui va se frotter les mains et faire en sorte que le généreux donateur ait une bonne raison de devoir quitter le pays sans espoir de retour...
Donc à mon humble avis il vaut mieux offrir une maison ou tout autre bien à une personne qui vous veut du bien en échange...
:/

Le fideicommis auquel je fais référence n'est pas un don mais la "location" du nom de la banque pour la Possession d'un titre de propriété d'un terrain et/ou d'une maison.
A l'époque ou je vivais au Mexique, la maison et son terrain, dans laquelle je vivais, en tant qu' étranger, ne pouvait pas être directement mien, mais par le biais d'une banque, j'en étais quand même le propriétaire, moyennant un versement annuel d'une somme minime.
Au Mexique aussi, à l'époque en tout cas, un étranger ne pouvait être propriétaire.
Le seul devoir que j'avais, le jour ou je voulais vendre, c'était de vendre à une personne soit par le biais d'un autre fideicommis, soit à un "national"...

Pour cela il faudrait poser la question directement à la banque car les banques ont tellement de clauses et surtout écrites en si petit qu'une personne normale aurait du mal à les lire sans loupe... Et en plus ils ont des conseillers bancaires qui savent mentir sans rougir et parlent la langue de bois mieux encore que les hommes politiques... (Non qui a dit que je n'aimais pas les banquiers... vous savez, j'ai encore l'ouie fine) :o