À Tokyo, les parkings sont très souvent payants, et chers. Évitez de garer votre voiture au bord de la rue. Les amendes tombent très vite.
Le plus souvent, vous verrez des parkings « à la pièce », ou en « self-service ». Ce sont de très petits parkings d'1 à 3 places. Vous payez en fonction de votre temps d'occupation. Une fois garée, votre voiture est immobilisée grâce à une installation au sol. Tant que vous n'avez pas payé, la voiture restera bloquée.
Les parkings souterrains et les tours de parking sont plus grands. Vous en trouverez aux abords des grands centres commerciaux et en centre-ville. Les tours de parking ressemblent à des immeubles, dont chaque étage est un parking. Le système est entièrement automatisé, et « empile » les voitures les unes au-dessus des autres. Des employés sont là pour vous aider en cas de besoin.
En japonais, covoiturage se dit « ainori ». Pour rouler à Tokyo tout en faisant des économies, pensez au covoiturage. Notteco, ou NearMe se sont imposés sur le marché.
Les Japonais utilisent énormément le vélo. Moyen de transport économique et pratique, il fait partie intégrante du paysage tokyoïte. Lors de votre enregistrement à la mairie, vous recevrez un guide pratique précisant la bonne conduite à avoir en vélo à Tokyo. Renseignez-vous sur les parkings à vélo de votre quartier. Certaines mairies ont des listes traduites en anglais.
Parking à vélo se dit « chûrinjô » en japonais. On en trouve près des gares, aux abords de magasins, des logements... On trouve aussi des parkings souterrains. Ces parkings sont souvent payants.
Qu'il soit neuf ou d'occasion, vous devrez faire immatriculer votre vélo. Si vous ne le faites pas, vous risquez une amende. Rendez-vous dans un magasin de vélo et demandez s'il propose l'immatriculation (certaines enseignes le font).
Avec plus de 200 compagnies, le transport ferroviaire est le mode de transport privilégié au Japon. La première ligne de train a ouvert en 1872. Depuis, le réseau n'a cessé de se développer. Tokyo dispose d'un réseau de transports à la pointe de la technologie. D'une ponctualité impressionnante, il dessert toutes les zones de Tokyo. Les trains (densha) et métros (chikatetsu) sont bien entretenus, propres, confortables, et silencieux.
Informations pratiques :
Une gare s'appelle « eki ». Par exemple, « Shinjuku eki » pour « gare de Shinjuku ». Une ligne de métro se nomme « sen ». Par exemple « Marunouchi sen », pour « ligne Marunouchi ».
Il existe deux grandes compagnies de métro : Tokyo metro et Toei Subways. Côté train, on trouve la société Japan Railways (JR), la Tobu, la Seibu, l'Odakyu, la Keio ou la Keisei. Les célèbres Shinkansen et Yamanote appartiennent à Japan Railways. Plus précisement, la Yamanote à la JR East. La JR East gère également les lignes Sobu (JR Sobu), Chuo (JR Chuo). La Tobu relie, entre autres, Saitama et Tokyo.
On fait la queue en respectant la file. Pour attendre à un arrêt de bus, par exemple, on fait la queue parallèlement à la rue pour laisser les passants circuler. On laisse les passagers sortir avant d'entrer.
On ne mange pas. On évite de parler au téléphone. On n'encombre pas les sièges prioritaires (réservés aux femmes enceintes, personnes âgées, malades…). Si personne ne les utilise, vous pouvez vous asseoir. Mais libérez le siège dès que vous voyez un passager prioritaire.
Il existe trois types de bus à Tokyo :
À Tokyo, on voit beaucoup de bus à forfait unique.
La qualité à un coût. Au Japon, les transports coûtent cher. Si vous travaillez, votre entreprise peut prendre en charge tout ou partie de vos frais de transport. La mesure marche même pour les petits boulots (baito). Les écoliers et étudiants bénéficient également de réductions tarifaires. Pour faire des économies, investissez dans un bon vélo ou une bonne paire de chaussures de marche. Un bon moyen de faire son sport au quotidien et de découvrir Tokyo autrement.
Liens utiles :
Notteco – site de covoiturage (en anglais)
Tokyo metro (en français)