Construction de deux cases traditionnelles. Qui peut me le faire?

Bonjour
J'ai comme projet, de faire construire deux cases traditionnelles, en terre battue et toit en paille.

Seulement, je les voudrais modernes.
A savoir : fondation cyclopéenne
Mur en terre battue mélangée avec des végetaux
toit en paille mais, traitée et plafond en matériaux locaux (bambou, rotin...)
toilette interne avec évacuation vers la fosse septique
plomberie interne
Etc...

Qui peut me faire une proposition?

Fondation cyclopéenne :

Les fouilles doivent être bien faite afin d'avoir une assise impeccable, vous avez besoin de grosses pierres bien lavé.
Deux sceau et demi de sable 0,4 pour un sceau de chaux hydraulique nhl 3.5 pour lier les pierres. Le coffrage n'est pas nécessaire si il s'agit d'un bon sol.

Murs :

Mélanger la terre humide et de la paille (feuille de sissongo séché), c'est simple vous l'étalez de la terre sur un contreplaqué,  vous mettez de la paille au-dessus et vous marcher dessus jusqu'à ce que ce soit plus ou moins homogène n'attendez pas que ca sèche pour la mise en œuvre.  Pour que ce soit beau et bien lisse à la fin, vous avez besoin d'un coffrage grimpant, ce qui est différent de la méthode traditionnelle qu'on utilise au Cameroun.

Toitures :

Vous avez le choix entre tressé des feuilles de palmier ou faire en chaume en utilisant une plante appelé sissongo, le toit doit avoir une pende d'environ 45° pour que l'eau puisse circuler sans soucis. Ces feuilles se déposeront sur des bambous qui auront été préalablement fixé.

Sanitaire (toilette etc):

La méthode est la même que pour les maisons modernes pour un meilleur environnement enfin ca dépend sur quel type de site vous êtes
Le prix et la main d'ouvre des différent matériaux notamment  les feuilles de palmier, de sissongo et autres dépendront de la ville ou vous êtes situé, pour plus d'information détaillé envoyez moi un message, il n'est pas évident de détailler tout cela ici

j'espère avoir pu vous apporter assez d'information

Balepa Julien a écrit:

Fondation cyclopéenne :

Les fouilles doivent être bien faite afin d'avoir une assise impeccable, vous avez besoin de grosses pierres bien lavé.
Deux sceau et demi de sable 0,4 pour un sceau de chaux hydraulique nhl 3.5 pour lier les pierres. Le coffrage n'est pas nécessaire si il s'agit d'un bon sol.

Murs :

Mélanger la terre humide et de la paille (feuille de sissongo séché), c'est simple vous l'étalez de la terre sur un contreplaqué,  vous mettez de la paille au-dessus et vous marcher dessus jusqu'à ce que ce soit plus ou moins homogène n'attendez pas que ca sèche pour la mise en œuvre.  Pour que ce soit beau et bien lisse à la fin, vous avez besoin d'un coffrage grimpant, ce qui est différent de la méthode traditionnelle qu'on utilise au Cameroun.

Toitures :

Vous avez le choix entre tressé des feuilles de palmier ou faire en chaume en utilisant une plante appelé sissongo, le toit doit avoir une pende d'environ 45° pour que l'eau puisse circuler sans soucis. Ces feuilles se déposeront sur des bambous qui auront été préalablement fixé.

Sanitaire (toilette etc):

La méthode est la même que pour les maisons modernes pour un meilleur environnement enfin ca dépend sur quel type de site vous êtes
Le prix et la main d'ouvre des différent matériaux notamment  les feuilles de palmier, de sissongo et autres dépendront de la ville ou vous êtes situé, pour plus d'information détaillé envoyez moi un message, il n'est pas évident de détailler tout cela ici

j'espère avoir pu vous apporter assez d'information


Interessant
Vous en avez déja  realisé?

Balepa Julien a écrit:

Fondation cyclopéenne :

Les fouilles doivent être bien faite afin d'avoir une assise impeccable, vous avez besoin de grosses pierres bien lavé.
Deux sceau et demi de sable 0,4 pour un sceau de chaux hydraulique nhl 3.5 pour lier les pierres. Le coffrage n'est pas nécessaire si il s'agit d'un bon sol.

Murs :

Mélanger la terre humide et de la paille (feuille de sissongo séché), c'est simple vous l'étalez de la terre sur un contreplaqué,  vous mettez de la paille au-dessus et vous marcher dessus jusqu'à ce que ce soit plus ou moins homogène n'attendez pas que ca sèche pour la mise en œuvre.  Pour que ce soit beau et bien lisse à la fin, vous avez besoin d'un coffrage grimpant, ce qui est différent de la méthode traditionnelle qu'on utilise au Cameroun.

Toitures :

Vous avez le choix entre tressé des feuilles de palmier ou faire en chaume en utilisant une plante appelé sissongo, le toit doit avoir une pende d'environ 45° pour que l'eau puisse circuler sans soucis. Ces feuilles se déposeront sur des bambous qui auront été préalablement fixé.

Sanitaire (toilette etc):

La méthode est la même que pour les maisons modernes pour un meilleur environnement enfin ca dépend sur quel type de site vous êtes
Le prix et la main d'ouvre des différent matériaux notamment  les feuilles de palmier, de sissongo et autres dépendront de la ville ou vous êtes situé, pour plus d'information détaillé envoyez moi un message, il n'est pas évident de détailler tout cela ici

j'espère avoir pu vous apporter assez d'information


Le terrain est pentu. La fosse septique, je le crains, va être en amont des cases
J'ai envie d'utiliser du raphia local, pour le toit, comme jadis. Le plafond en nattes haoussa. Il y a la présence des sissongho sur le terrain : mon cauchemar, autant l'utiliser à bon escient...
Le site se trouve à 23 km d'Ebolowa...
Pour une case d'une surface de 60 m2, on peut budgéter combien?

de quel de type de toilette vous parlez, traditionnelles ou modernes ? parce que si c'est moderne construire en amont ne sera pas évident il faudra creuser profond. Budgétiser le projet sans etre sur le site n'est pas évident. quel type de fentre vous voulez, porte etc

Balepa Julien a écrit:

de quel de type de toilette vous parlez, traditionnelles ou modernes ? parce que si c'est moderne construire en amont ne sera pas évident il faudra creuser profond. Budgétiser le projet sans etre sur le site n'est pas évident. quel type de fentre vous voulez, porte etc


Oui, je comprends. Le mieux serait d'être sur place...