Projet d'expatriation

Bon ! on ne va pas en faire tout un fromage tout de même de cette insécurité à la malgache car il m'est arrivé ce que j'appelle un incident avec ma première voiture toute neuve que j'avais acheté à Madagascar, un Mazda pick-up 4x4 et que je n'ai pas réussi à garer dans le parking sécurisé car j'avais été chercher quelqu'un à l'aéroport de soir vers vint deux heures et comme j'ai garé ce véhicule en bord de route, le matin j'ai constaté qu'on avait cassé le carreau et qu'on avait arraché le poste ainsi que les boutons de la clim.
Mais quelques années auparavant quand je travaillais encore en France j'avais pour habitude de faire un saut de quelques secondes dans une boulangerie pâtisserie pour y acheter mon croissant du matin et comme j'ai laissé le moteur de mon véhicule tourner et la porte entre-ouverte un individu c'est glissé derrière le volant et sans que je me rende compte, il était déjà parti avec le véhicule que j'ai retrouvé quelques centaines de mètres plus loin embouti dans l'arrière d'un autre véhicule qui s'était immobilisé à un feu rouge. Tout ceci pour dire qu'au monde il existe une insécurité et on ne va pas mettre dans la balance ni le nombre ni le degré d'insécurité d'un pays ou d'un autre sachant que vous tous et moi-même nous appartenons que nous le voulions ou pas à la pire espèce de prédateurs que la terre ait connue car nous détruisons la faune et la flore et même si nous ne sommes pas directement concerné en créant de l'insécurité les membres de notre espèce génèrent de l'insécurité et nul n'a besoin de pousser des cris d'effraies car il faut regarder et admettre l'évidence... en effet si chacun veut tirer la couverture à soi, ce qui nous semble légitime, nous sommes tous dans le même bain et seule la nature reprendra le dessus quand l'homme aura disparu et je défie quiconque de me prouver le contraire car rien ne sert de se voiler la face, le bonheur des uns fait le malheur des autres car l'égalité n'existe pas sur cette terre.

madagaston a écrit:

Bon ! on ne va pas en faire tout un fromage tout de même de cette insécurité à la malgache.

Vous êtes proprement "impayable".

Vous vous répandez en d'interminables posts sur des sujets aussi variés qu'une "usine à gaz" ou les champignons qui, certes, enrichissent peut-être notre culture générale mais qui, au bout du compte, n'ont qu'un lointain rapport avec l'expatriation à MADAGASCAR et, lorsqu'un membre intervient - dans des termes qui ne rejoignent pas votre façon de pensée -, vous déclarez, de manière péremptoire, "on ne va pas en faire tout un fromage tout de même de cette insécurité".

Je réalise, jours après jours, que vous êtes, en fait, assez "déconnecté" de ce qui touche à l'expatriation à MADAGASCAR et que vous vivez une réalité toute différente de celle des expatriés.

Un expatrié est, à la base, un travailleur "déplacé" et, dans la grande majorité des cas, à MADAGASCAR, il vit à ANTANANARIVO.

Ses préoccupations quotidiennes tournent ainsi, principalement, autour de problématiques telles que se loger, où scolariser ses enfants, la vie quotidienne à ANTANANARIVO et ses vicissitudes - trafic routier, insécurité, ….. -, les infrastructures médicales, où faire ses courses, les loisirs accessibles, où sortir, …….

Autant de sujets qui, on l'a bien compris, apparaissent très éloignés de votre quotidien à MAHANORO.

En conclusion vous avez, je pense, plus le profil d'un "retraité" à MAHANORO plutôt que d'un "expatrié" à MADAGASCAR.

Crusaders veut absolument nous persuader qu'un expatrié est selon lui:"à la base, un travailleur "déplacé" et, dans la grande majorité des cas, à MADAGASCAR, il vit à ANTANANARIVO."
Mais malheureusement pour lui un expatrié est selon la définition du dictionnaire:
En premier quelqu'un qui a quitté sa patrie volontairement ou qui en a été chassé.
et seulement en second une personne qui travaille à l'étranger pour le compte d'une entreprise de son pays d'origine.
Et on pourra dire ce qu'on voudra, un expatrié n'a pas seulement comme souci principal de s'occuper de la paperasserie et de sa petite vie cloisonnée avec ses enfants son travail mais il a également des passions, des occupations et d'autres actions qui ne vous déplaise occupent autant ses journées à l'étranger que dans le pays d'où il vient et qu'il soit retraité ou travailleur français à l'étranger, ses occupations n'entrent nullement dans la définition du mot expatrié.

Bonjour,

Bah j'avoue que comme partout. Ne pas être au mauvais endroit, au mauvais moment...

Mais il y a plus de "risques" dans les capitales. Même à Paris... (En plus ils ont des caméras en de nombreux endroits !).

Aux Philippines par exemple, à Manille dans les zones commerciales il y a de la protection avec gardes armés non approvisionnés. En fait presque partout dans le centre ville, il y avait 5 ans. Maintenant je ne sais pas. Avec en plus des contrôles !

Le plus sûr est surement Abou Dabi avec ses caméras à chaque coin de rues. Ils peuvent arrêter un voleur ou un bandit en quelques heures ! Et çà ne rigole pas la bas si on se fait prendre...

En tout cas les organismes de protection privé à Madagascar (supervision centrale à Tana avec groupes d'intervention dans les grandes villes) ont beaucoup d'avenir. De plus ils sont très efficaces de ce que certains clients m'ont dit. Je ne connais pas le coût.

Faut faire attention quand même dans des pays qui sont de grosses poudrière. Il ne faut pas allumer le feu...

Coxpapi a écrit:

En tout cas les organismes de protection privé à Madagascar (supervision centrale à Tana avec groupes d'intervention dans les grandes villes) ont beaucoup d'avenir. De plus ils sont très efficaces de ce que certains clients m'ont dit. Je ne connais pas le coût.

Je pense, tout comme vous, que ce genre de "business" sont appelés à se développer dans les prochaines années.

madagaston a écrit:

En premier[/b] quelqu'un qui a quitté sa patrie volontairement ou qui en a été chassé.

Chassé ?

Comme certains retraités, apparemment !!!!!

Je ne pense pas que la France ait déjà chassé un français dernièrement et qu'en même temps elle fasse des pieds et des mains pour rapatrier des djihadistes de nationalité française qui étaient en Syrie ou des prisonniers qui traficotaient avec de la drogue et qui sont emprisonnés et risquent la mort dans un autre pays.