Bonjour question sur le permis de travail temporaire.

Bonjour

Voila mon ami et moi sommes au Canada depuis 1 an déjà, en tant que travailleur temporaire c'est notre patron qui a effectué les démarches pour nous faire venir ici. 30 jours avant la date de fin de notre permis de travail nous avons fait les papiers pour pouvoir le prolonger d'un an et cette fois ci lancer les démarches pour la résidence permanente . Seulement voila il y a eu des promesses non tenu niveau boulot et salaire donc on avons chercher pour bosser ailleurs ... Moi j'ai trouver un patron qui en plus est prêt a faire les papiers pour m'embaucher ma question est vu que nous avons lancer les papiers pour le renouvellement des permis est il possible d'annuler cette demande et demander un nouveau permis de travail avec mon futur nouveau patron et ai je le droit de mettre mon conjoint sur le permis en tant qu'accompagnateur? Je précise que nous sommes dans le domaine de la restauration moi en cuisine lui salle et administration, j'ai 28 ans lui 37 ans et nous avons 3 enfants et nous sommes au Canada bien implantés...les enfants sont scolarisés etc bref une famille comme une autre ... J'espère que quelqu'un aura compris ma question car perso je suis un peu perdue .....merci encore

bonjour,


tant que tu ne valide pas ton permis de travail avec ton premier patron, cela ne change rien, tu peux lancer un autre permis en silmutanee avec ton deuxieme patron...
c est exactement ce qui est arrive a mon ex conjoint...si tu as des question n hesite pas a me contacter...

Bonsoir

Merci merci merci pour ta réponse cela m'aide énormément ......et saurais tu si je peux mettre mon conjoint de fait en tant qu'accompagnateur? Et pour le permis en renouvellement que dois je faire?? Parce que le truc dont j'ai peur c'est que le permis de travail de mon nouveau patron soit refusé ?? Merci encore pour tes réponses ....

debarqué a écrit:

bonjour,


tant que tu ne valide pas ton permis de travail avec ton premier patron, cela ne change rien, tu peux lancer un autre permis en silmutanee avec ton deuxieme patron...
c est exactement ce qui est arrive a mon ex conjoint...si tu as des question n hesite pas a me contacter...


Ça me paraît correct comme réponse.

Jennifer06 a écrit:

Bonsoir

Merci merci merci pour ta réponse cela m'aide énormément ......et saurais tu si je peux mettre mon conjoint de fait en tant qu'accompagnateur? Et pour le permis en renouvellement que dois je faire?? Parce que le truc dont j'ai peur c'est que le permis de travail de mon nouveau patron soit refusé ?? Merci encore pour tes réponses ....


Quel statut avait votre conjoint dans la 1ère demande ?

Je ne comprends pas trop "tant que tu ne valides pas ton permis de travail avec le premier patron", ...  Normalement, un patron qui engage doit avoir, disons, la permission du gouvernement.  Ou ça suppose travailler au noir.  Et je ne suis pas sur d'un prolongement possible, à moins encore que ce serait pour le même emploi.  Mais je vais em renseigner à ce sujet...

une demande d amt, c est ce que demande un patron au gouvernement federal et provincial, est un papier accordant le droit d embaucher un travailleur temporaire mais reste juste une demande lorsque celle ci n est pas valide par le bureau d immigration...maintenant pour un travailleur temporaire  il y en a un qui a un permis de travail ferme ( attention, 1 permis travail=1 patron) l accompagnateur a un permis de travail ouvert...a vous de voir suivant les domaines de recrutement, et de penser a celui qui aurait le plus de faciltee a retrouver du travail en cas de licenciement...au canada ils aiment bien le changement...lol
mais serieusement faite bien attention, il y a beaucoup de patron vereux qui  profitent de la situation, assurez bien vos arriere, surtout si il y a des enfants on ne sait jamais...

Modifications réglementaires apportées au Programme des travailleurs étrangers temporaires à compter du 1er avril 2011

Bonjour.  Il y a des gens vereux partout de toute façon, peu importe où l'on se trouve.  En Afrique par exemple (Côte d'ivoire, Nigéria...), des filles m'ayant abordées, m'offraient le "monde de rêve" de par leur charme.  Belles femmes, bien cotées vestimentairement à en faire rêver, se faire offrir de nombreux enfants et la promesse d'une durabilité "fidèle" de couple, etc. etc., c'est bien beau le dire aussi loin pour de ces filles (ou de ces hommes) pour, une fois acceptée au pays après trois ans, et même après s'être trouvé un autre gars et bye bye le gars avec une pension à payer (pour chaque enfant)en plus d'elles, ça il y en a.  Il faut savoir où on se mettre les pieds et encore, donc mettre sur papier des formalités de départ bien établies pour ne pas se faire piéger.  Et même ne pas embarquer dans ces invitations éblouissantes vu de loin. 

Plusieurs se cherchent des portes d'entrée.  Qu'est-ce qui se passera après ?  C'est à ses risques et périls. Et ici, obligation de donner une pension à une femme plus pour chaque enfant, ça coûte cher au gars à son portefeuille au pays.

L'inverse est aussi vrai de homme à femme.  Ce n'est pas parce qu'on vit au Canada que les hommes sont des saints; faut-il être bien renseigné sur le gars et savoir avec qui on s'embarque et plus que des promesses écrites sur des conversations web.

Attention de ce côté là également. Mieux vaut être sûr sûr de ce que l'on fait bien bien d'avance. Et savoir qui les le "gars".  Un violent ?  Alcoolique ?  Et quoi encore ?

Même chose du côté travail.  Un employeur emploi un mais plus particulièrement une immigrée.  On lui offre un emploi alléchant et intéressant.  Qui dit qu'une fois engagée il tiendra promesse de ses engagements et sa tenue privilégié d'employeur de départ ?

En bonne partie, pour ne pas dire généralement, des employeurs corrects respecteront leur engagement d'employeurs.  En supposant que l'on sait à quoi s'attendre en terme d'emploi et le rôle qu'on assumera à son emploi, les conditions de travail, etc. etc. 

Les conditions de travail ici sont toutes autres de celles d'ailleurs (dans le monde)et faudrait-il accepter de considérer ces différences en devenant très à l'écoute du patron, autre que de servir de "jouet" à leur besoin "d'homme".  Il faut se faire respecter peu importe où nous sommes.

Ça ne fonctionne pas avec un employeur ?  Bien là (si) on quitte, il faudra se trouver un autre emploi ?  Mais là, est-ce que le contrat de travail se termine ?  Je pense fortement que oui.  Mais est-ce que le contrat de travail est toujours valide ?  Je pense que non sans être sûr.

Et là, faudrait-il savoir si, dans ce cas, on pourrait se  trouver un autre emploi alors que la demande de travail était pour l'emploi qu'on avait postulé.  Si oui, il y a toujours la notion du travail qui dit "ne pouvant pas être fait par n'importe qui".  Si ça peut être fait par "n'importe qui", les chances de se trouver un emploi sont minces.  Et dans ce cas, ça veut dire "retour au pays d'origine".  Car, "travail ne pouvant pas être fait par n'importe qui" relève des hautes professions d'où nos gouvernement sont en manquent.  Ou encore de ceux qui viennent investir au pays qui par conséquent ont de meilleurs chances de prolonger leur séjour par ici (Canada, et j'imagine que ça doit être le cas pour ailleurs).

Il reste qu'une demande de travailler au Canada a une durabilité de six mois, renouvelable.  À savoir si elle sera accepté...

Le seul moyen possible de persister dans le travail au pays, dans le même travail qu'on faisait est que, après ou pendant les six mois tirant à sa fin, l'employeur demande de conserver cet (cette) employé (e) dont il est satisfait et qui ne peut toujours pas être fait "par n'importe qui ?", et par conséquent c'est lui qui prend les procédures d'immigration et de stabilisation dans le travail qui, au départ, nous fut offert.

Rien ne nous empêche cependant, une fois acceptée et établie au pays comme citoyen (e) permanent (e) soit de suivre des cours pour plus se performer, ou trouver un autre emploi mais pas tout de suite comme cela au terme des six mois accomplis.  Ça pourrait éveiller des soupçons auprès des gouvernements et qui sait à quoi s'attendre après.

Il reste aussi que, pour être accepté comme résident (e) permanent (e), la loi reste.  Au bout de 6 mois avec des sorties et retours au pays à tous les 6 mois moins un jour entrecoupés de demandes de prolongation de séjour par tranches de trois mois à l'intérieur de chaque période de six mois.  Et ce pendant deux ans et demi; ce dernier 3 mois devant servir à une demande de séjour comme citoyen permanent.  Il y a des frais bien sur pour chaque étape de 3 mois.

Je ne sais pas ce que ça veut dire AMT.  Préciser...

J'ai lu les modification apportées au programmes des travailleurs autonomes étrangers temporaires à compter du 1ier avril 2011.  On parle bien de travailleurs autonomes étrangers.  Qui suppose qu'on s'adresse à des emplois saisonniers, entre-autres.  Qu'en est-il pour les emplois devant être ou qui sont ou qui seront permanents.  I

l y a toujours l'étape du celui qui veut venir s'établir au Canada sur une base permanente pour y travailler et jouir de nos avantages. Et, une fois engagée, il est possible que, pour les premiers six mois, le travail reste saisonnier ou temporaire.  Je vais me renseigner.

En attendant, si au terme de 6 mois le travail était "temporaire ou occasionnel" au départ avec intention d'offir ultérieurement une permanence éventuelle à l'employé (e), ce sera à l'employeur lui même de faire la demande de permanence (prolongative) du dit employé (es) de façon permanent dont il est satisfait, et d'offrir les mêmes conditions de travail comme dit dans la modification du CIC apporté ce 1ier avril 2011.  Jusqu'à preuve du contraire...  L'employeur a des obligations à respecter dans ce sens.  Et il appartient à nos gouvernements de palier ou autres instances de déterminer si "employeur" respecte et remplis les conditions telles qu'on le dit...

C'est très rigide en effet au pays... pour travailler.  Le taux de chômage est tellement élevé, comme partout ailleurs j'imagine, qu'on va commencer d'abord par offrir du travail à nos gens d'ici en premier lieu.

Pour répondre à Jennifer06, pour voyager au Canada, le plus simple des choses c'est de toujours faire une demande de visiteur d'abord, c'est plus facile d'y entrer que dire venir habiter au pays. 

Une fois entrée au pays, au bout de trois mois, on fait une demande de prolongation de séjour, répétitive, à chaque trois mois après avoir séjournée pendant 6 mois.  Les frais sont, à moins de changement, 75 dollars Can. Donc, le conjoint de fait se déclare visiteur et fait une demande de prolongation 3 mois après y être entré.  Et, toujours, 3 mois plus tard sortir du pays moins un jour et revenir le lendemain après que sa demande de prolongation sera acceptée.

La seule frontière ici sont les États-Unis.  Il faut avoir un dossier judiciaire parfaitement vierge pour la traverser. S'assurer d'avoir TOUS LES DOCUMENTS PROUVANT SON DOSSIER VIERGE COMPLÈTEMENT NET.  Le ministère de la justice du pays quitté peut fournir une attestation à cet effet, moyennant des coûts...

Pour la personne qui vient travailler au pays, elle doit avoir appliquer sur un emploi qui l'intéresse à partir d'où elle est, et avoir été accepté par l'employeur qui, normalement peut, je dis bien, lui défrayer ses frais de voyage - cela s'applique particulièrement pour des emplois saisonniers, ou temporaires ?  Ou à défaut assurer ses propres frais de transport.

Bien sûr, l'employeur doit 1- s'assurer que le travail offert ne peut pas "être fait par n'importe qui", des gens sur le chomage il y en a au kilo ici donc on priorise ceux-là d'abord.  Et 2-faire une demande à un pallier de gouvernement pour engager cette personne.

C'est en essayant qu'on peut le savoir.  Mais, au préalable, après avoir fait ta demande de travail à un employeur, il faut absolument que l'employeur ait fait une demande au gouvernement après avoir accepté ta candidature par une invitation écrite en spécifiant que la candidature xyz (toi par exemple) correspond à ce qu'il cherchait et qu'il n'a pas trouvé ici.

C'est le gouvernement qui aura le dernier mot, qui dira si c'est accepté ou pas toujours sur la norme de "peut ou ne peut pas être fait par n'importe qui".  Mais aussi normalement, si le gouvernement convient que les raisons invoquées par l'employeur sont jugées raisonnables, tu es sauvé.  Ça se fait et c'est justifiable et faisable à l'endroit d'un employeur.

Tente ta chance, qui ne s'essaie pas ne sait pas. Mais, très important, obtient une lettre d'invitation confirmée de l'employeur, d'abord, pour le poste de travail qu'il (t) offre...

Pour Jennifer06 encore, un petit détail oublié.  Cela concerne le mode de voyagement et c'est très important de le mentionner; vital.

Chaque personne voyageuse a le choix d'organiser son voyage comme cela lui convient.

Donc, soit qu'une personne décide d'organiser personnellement son voyage en tout et tout, c'est-à-dire de tout le planifier (outre les coûts de voyage): choix d'hotel, des intérêts de sa visite, de son alimentation, etc., etc. Ou encore de choisir d'aller vivre chez quelqu'un qu'elle connaît et qui l'aurait inviter à séjourner chez lui.

Il faut cependant peser les deux choix car un peut-être très très dispendieux par rapport à l'autre qui l'est moins.

Un exemple:  vous décidez de faire vos propres choix et de déterminer le temps que vous voudriez y passer.  ATTENTION:  SI VOUS NE LE SAVEZ PAS.

Votre agence de voyage ou plus le transporteur par avion au préalable, j'imagine bien, vous demandera combien de temps vous voulez y séjourner.  Plus longtemps que vous y resterez plus cher que cela vous coûtera.

Parce que votre agence de voyage ou transporteur calculera vos dépenses de séjour par rapport à la durée de votre voyage en incluant tout et tout.  Ce qui revient à dire qu'un votre voyage pourrait vous coûter plus que 5 milles dollars par mois (c'est peut-être forcé mais mieux vaut donner un exemple concret)(conversion en argent canadienne...) parce que il aura déterminé que votre séjour vous reviendra à 1250 dollars par semaine tout compris, un exemple.  Donc si vous décidez de rester un mois, il vous faudra avoir une somme de 5 milles dollars dans vos poches, en chèques de voyage bien sûr.  Sinon vous ne partez pas.

Autre truc le plus simple, vous déterminez le séjour LE PLUS COURT (une semaine ?  Quinze jour?).  Parce que, en tant que visiteur, ou autre statut ?, vous êtes autorisés à séjourner sur le territoire du pays (le Canada dans ce cas-ci) de toute façon pour une période maximame de 6 mois.  Donc, vous n'aurez pas à vous procurer par obligation une super grosse somme.   

Il vous faudra quand même avoir votre propre argent pour vivre, loger et quoi encore si vous décidez de rester plus longtemps que la durée initiale déclarée et choisi.  Mais ce ne sera pas une obligation d'avoir une plus grosse somme plus que la durée du séjour que vous auriez choisi.

L'autre option:  si une personne que vous connaissez vous invite chez lui; encore là vos dépenses seraient réduites car vous n'auriez pas à défrayer le coût du logement ou de l'alimentation total, mais partagée sur des ententes en commun et pour autres détails.  Ce dont vous ne pourriez pas vous sauver en organisant votre propre voyage totalement.

Pour la durée et les (demande de) prolongations, j'en ai déjà parlé...

CONVERSION D'ARGENT: http://www.xe.com/ucc/convert.cgi

Attention quand même aux A-R Canada-USA-Canada.
Ne pas le répéter pas trop souvent de 6 mois en 6 mois.
Le douanier pourrait vous interdir l'accès au territoire canadien.
Ça c'est déjà vu !
Mieux vaut le savoir...

Ah oui ?  Tu me l'apprends !  Comment sais-tu cela ?  Est-ce pour le même poste de douanier ?  Ou pour tous les différents postes ?

Merci du signal. Je vais me renseigner pour voir