Travail et venue

Bonjour et bienvenu Gaston Michel
Ravi de savoir que tous les Gaston ne comptent pas comme moi se dorer pas la pilule au soleil de Madagascar ... sauf qu'il y a un tout petit problème. En effet si vous venez à Madagascar avec un visa de deux mois vous n'aurez pas le droit légalement de travailler. Mais bien entendu si vous venez en tant qu'investisseur on vous attendra à bras ouverts et si vous apportez avec vous quelques centaines de milliers d'euros que vous voulez investir, il est fort probable que vous retournerez en France avec quelques dizaines d'euros. En effet beaucoup se sont cassés les dents en voulant investir à Madagascar mais je n'ai jamais dis qu'il était impossible de tirer son épingle du jeu... pourtant il faut savoir que Madagascar est un pays où la plus grande majorité de la population possède moins d'un euro par jour pour se nourrir donc il est inutile de vouloir concocter des plats gastronomiques qui ne trouveront pas acquéreurs.
D'autre part si on compte sur les touristes, là encore il faut savoir que Madagascar attire très peu de touristes et que la plupart font trois p'tits tours et s'en vont voir si l'herbe est plus verte ailleurs.
Mais ne prenez pas mes propos au pied de la lettre car ce n'est que mon opinion personnelle qui n'engage que moi-même.

Bjr, les emplois n'existent quasi pas en tant que cuisto étranger à Mada, soit vous montez votre propre resto qui ne marchera qu'à Tana vu la communauté expat ainsi que pouvoir d'achat plus élevé des locaux, soit vous trouvez un contrat expat pour un grand hôtel, du genre le grand Novotel qui ouvrira cette année du côté d'Alarobia-Tana, ou alors une collectivité dans une société comme Ambatovy.

Il y a toujours du travail pour qui s'investit...

Tout d'abord, il ne faut pas déconner avec les visas sous peine d'avoir un retour de bâton fort déplaisant.

En ce qui concerne Madagascar, je suis toujours surpris que ce ne soit pas une destination culinaire, car qu'est ce qu'on y mange bien !!! Donc attention, la concurrence est rude.

Par rapport au tarif, on trouve de tout, et ce n'est pas parce que c'est cher qu'il n'y aura personne. Par exemple, à Nosy be, le baobab fait un malheur alors qu'il est un des plus cher !!!

Si la cuisine est votre dada, que vous aimez l'enseignement et que l'expatriation ne vous fait pas peur : je vous conseille de monter une école de cuisine.

merci beaucoup pour vos renseignements meilleurs voeux et bonne journée à vous