Gérer le stress d'une expatriation au Gabon

Bonjour à toutes et à tous,

Partir à l'étranger peut être source de stress : quitter son environnement pour débuter une nouvelle vie au Gabon est à la fois excitant et angoissant ! Pour s'y préparer au mieux, nous vous proposons de partager quelques conseils pour bien vivre cette expérience.

Comment bien se préparer pour une expatriation sereine au Gabon ?

Quels sont les principaux points à prendre en compte dans le cas d'une expatriation et qui peuvent être stressants ?

Qu'est-ce qui a constitué ou constitue une source de stress pour vous ?

Comment l'avez-vous surmonté ?

Quels sont vos conseils pour appréhender ce changement de vie en douceur et vos astuces pour bien gérer son stress ?

Merci de partager votre expérience,

Priscilla

Cette question est mal posée.
De surcroît, elle est discutable.

Associer l'expatriation au stress, sur un site consacré à ceux qui ont eu ou ont envie de "bouger", n'engage que celui qui l'évoque.

En outre, pourquoi spécifier "Gabon", alors que ce soi disant stress est lié, comme précisé dans l'exposé, à la rupture avec des habitudes sociétales et environnementales en l'occurrence en France.

Pour autant, le stress éventuel d'un expatrié me semble plus naître au moment du retour qu'au moment du départ.

Imagine-t-on le stress des diplomates en poste à l'étranger, condamnés à des amitiés nouvelles éphémères de par la durée contractuelle de leur mission?

Restons simples. tout expatrié à une bonne année pour prendre ses nouvelles marques.

Et pour juger de la qualité de son nouvel environnement.

Inutile de stresser, il ne fallait pas partir.

Il sera toujours temps de revenir.

Car s'expatrier, c'est accepter la différence, tout simplement.

Pour autant qu'on s'intègre au pays et à ses habitants, sans chercher à reconstituer un microcosme artificiel, en s'imaginant au Club Méditerranée, alors qu'on est en m'as-tu-vu à la Pointe Denis.

oui bon, le mot "stress" est un peu fort, il est vrai, on pouvait dire "gérer les doutes sur...."

mais j'aime vraiment votre commentaire Jaquin-Boaz

Merci Cynan