Nouvelle vie !

Bonjour,
c'est bien de vouloir, ensuite c'est pouvoir "rester"....dans l'immédiat, sans visa "longue durée", votre séjour se limitera à 3 mois en tant que touriste, le temps de voir si le pays vous convient ou pas..après ces 3 mois, viendra le temps de revenir en France, ceci sera obligatoire car même si par miracle quelqu'un souhaite vous embaucher, la demande de visa de travail est un processus qui mettra en moyenne 5 mois et qui devra être faite par votre futur employeur et qu'en cas d'acceptation de délivrance du visa, vous serez obligé de passer à l'ambassade du Brésil à Paris pour le récupérer et que pendant l'instruction de la demande, vous  ne pourrez pas travailler et serez toujours sous le statut de "touriste" avec un temps de séjour limité à 3 mois...

après si vous décidez de demander un visa d'investisseur pour créer votre emploi, il faudra déposer à titre de garantie 500 000 R$ (140 000€) sur un compte du gouvernement à titre de garantie, durant le temps d'examen de votre demande....

Bonjour
Soit, le projet de venir vivre au Brésil doit être bien réfléchi et bien mûri.
Il est important de venir connaitre le pays sur place comme touriste avant de venir s'expatrier. J'ai déjà connu des gens, qui sont venu la fleur au fusil avec enfants, chien.., maison etc sans jamais avoir mis un pied au Brésil. Il en va s'en dire, que sait souvent un échec qui se dessine.
Le Brésil s'est compliqué, dans tous les domaines. Il faut bien s'informer, avant de faire les valises, et se préparer financièrement.

Savoir, quels sont la ville où vous pensez vivre, ainsi que le quartier.

Au niveau processionnel, les salaires ne sont pas du tout les mêmes, le salaire minimum est de 900 reais ici 245 euros. Brut ! 44 heures par semaines.
Donc, il est important de procéder à des démarches spécifiques pour éventuellement être contracté depuis la France et avoir un salaire qui s'y réfère.

Oui 945 Brl c'est bien assez pour vivre a Rio j'en parlais a mon empregada qui vivait  dans la favela...
Non sans déconner soit on a un projet ficelé, soit une retraite confortable, soit une multinationale au cul...sinon c'est feijoada sans arroz sans rien...