Conseils pour trouver votre premier emploi à Madagascar

Bonjour à tous,

Quels sont vos conseils pour trouver un premier emploi à Madagascar ?

Comment organiser ses recherches ? Quels sont les canaux de diffusion des offres : journaux, Internet, agences de recrutement, bouche-à-oreille ?

Quels sont les secteurs vers lesquels se tourner ?

Que recommanderiez-vous aux jeunes professionnels qui souhaitent débuter leur carrière à Madagascar ?

Merci d'avance pour votre participation !

A Tuléar, ce sont les affiches qu'il faut consulter, les annonces des journaux publiées par les ONG concernent peu les malgaches. Il y a aussi des annonces faites à la radio et la télévision.
Un conseil : écrire des candidatures spontanées bien argumentées aux entreprises où vous souhaiteriez travailler, de préférence en adressant votre courrier à une personne précise.
Les grands secteurs : l'alimentaire - pêche et transformation, produits laitiers, boissons, fruits et légumes - ; les mines, l'agriculture et le tourisme.
Pour les ONG, les jeunes doivent parler Français et Anglais.
Malheureusement, sur le marché du travail, là aussi, sévit la corruption.
Des jeunes malgaches de Tuléar, bacheliers ou universitaires m'ont expliqué qu'il fallait payer pour avoir un poste et pour les filles en plus "coucher" avec le responsable sans être certains d'avoir le poste. Pour les concours administratifs les sommes à donner sont très importantes : 10 à 20 millions d'ariary.

ici plus qu'ailleurs il n'y a pas de travail seul les investisseurs ou createurs d'entreprises ont une petite chance il faut garder a l'espris qu'aux vues de la monnaie a valeurs faibles aux niveaux mondiale on ne peu que travailler dans le pays avec comme revenues de l'ariary  3000 Ar pour 1 euro de la perte du tourisme et de l'efondrement des valeurs minières ect ect ... seul les retraités  profites du climat .....(...)  :-)

Vous pouvez mettre une annonce dans la presse, ça ne coûte pas cher.

ce lever est un travail (...) faire travailler
est un travail  (...)  s'occuper pour le plaisir n'est pas un travail (...)