Avait-il imaginé combien leur amour était brûlant.

Encore un!   Lire les aventures d'un vazaha, benêt amoureux sur la presse de ce jour.
Personne ne précise si ce candide aimait les grillades, mais il y a gouté.
Un vazaha rencontre sur les réseaux sociaux une charmante dame d'un âge qui rassure... Plus de 40balais....ça donne confiance. Monsieur vend ses biens, ramasse son pécule ,formalise son rêve par un mariage non fécond, s'installe à Madagascar pour jouir d'un climat chaud...même très chaud, tellement chaud que madame aidée de ses proches ,l'a drogué, tué, découpé, cuit, et  a jeté les cendres dans un canal quelconque..
Brassens chantait: mourir pour des idées..

Pour que les gens comprennent :

Marié à une Malgache dont il a fait la rencontre sur facebook, un Français est assassiné chez lui par des tueurs à gages après que sa fortune ait été dilapidée par ses proches. Dix suspects sont arrêtés.

Il a vendu tout son patrimoine en France, pour aménager à Madagascar avec une femme dont il a fait la connaissance sur facebook, lorsque cette dernière engage trois tueurs à gages, pour l'assassiner. Après le meurtre, son corps est incinéré dans le jardin de sa villa à Morondava Ambohibao. Les cendres sont ensuite chargées dans une brouette, puis jetées dans un canal d'évacuation d'eaux usées à environ 400 mètres de sa propriété. Depuis, plus aucune trace de lui. La victime est un Français de cinquante-trois ans. Inculpés dans cette affaire, dix suspects sont placés en garde à vue.
L'épouse du défunt est la prétendue cerveau de ce crime. Cette femme de quarante-sept ans, est soupçonnée d'être de mèche avec son fils de vingt-et-un ans qu'elle a eu d'une première union, deux gérants de restaurant lui appartenant, un individu engagé pour recruter les tueurs et les trois « bourreaux » eux-mêmes. Inculpées pour complicité, deux filles de l'instigatrice présumée, âgées de seize et de dix-neuf ans sont également mises dans le même sac qu'eux. La victime commence à fréquenter la présumée commanditaire en 2013.
Drogué avec du somnifère
Celle-ci lui cache sciemment l'existence de son fils. Un an plus tard, le Français tombé sous son charmes vend sa maison et ses voiture pour refaire sa vie avec elle à Mada­gascar. Il débarque tout qu'il a de plus personnel, comme l'album photos de son enfance.
En juillet 2014, le couple officialise son union. Conquis, le Français s'achète une villa à cent soixante-dix millions d'ariary à Morondava Ambo­hibao, au nom de son épouse. Trois véhicules, une moto ainsi que des appareils électroménagers accompagnent l'acquisition immobilière. La femme ouvre, dans la foulée, deux hôtels restaurants avec la fortune de son mari.
Au bout de cinq mois, alors que le Français, ruiné, tente de se reprendre en main,  le plan machiavélique est mis au point. «Dans la nuit du 23 au 24 décembre, il est drogué avec du somnifère versé dans sa  bière. Vers 2h30 du matin, les tueurs à gages font irruption dans sa maison pour l'étrangler avec une corde, avant de l'achever à coups de  marteau en pleine tête», explique une source auprès de Service des Recherches Criminelles de la gendarmerie à Fiadanana, qui a élucidé cette affaire. Le 24 décembre, la dépouille est brulée dans la cour avec de l'essence, des pneus et des bûches, et les cendres sont jetées. «Ce crime a été commis pour neuf cent mille ariary en numéraires, des téléphones portables, et une télévision à écran plat », poursuit le même interlocuteur.
Après le crime, le silence radio du Français  inquiète la sœur ainsi que les amis d'enfance du défunt restés en France. Ils essayent d'entrer en contact avec lui sur Skype, mais, c'est la femme qui répond. Ne manquant pas d'audace, celle-ci se permet de leur demander de l'argent en faisant croire qu'elle en a besoin pour soigner le quadragénaire, rongé par une soi-disant grave maladie qu'elle invente. Menés en bateau, quatre proches du Français décident de se rendre à Madagascar. La femme incriminée les accueille à l'aéroport d'Ivato et les emmène à la villa à Morondava Antehiroka, pour y rester une nuit. Voulant absolument cacher le meurtre, elle amène à Manakara ces étrangers dès le lendemain, pour y rester pendant une dizaine de jours.
Faute d'avoir des nouvelles de leur proche, ces derniers se posent des questions. Interrogée, la présumée cerveau se cache derrière un tissu de mensonge, en faisant croire que celui-ci est tantôt à Mahajanga pour conclure l'achat d'un bateau, tantôt à Mantasoa, pour régler des affaires. Sitôt de retour à Tana, les quatre proches du défunt portent plainte à la gendarmerie. Les dix suspects se font alors coincés en l'espace de quatre jours. .


http://www.lexpressmada.com/blog/actual … illa-30313

Ça me choque mais ne m étonne pas, et les séries diffusées sur les chaînes nationales donnent à ces criminels encore plus d idées pour leurs malfrats, en même temps ça arrive dans tous les pays du monde ce genre d histoires.

Je trouve plutôt indécent d'étaler ce fait divers sur ce blog.

Désirez vous devenir "webmaster" ? Voulez vous qu'on soumette à votre appréciation le thème des messages... La prochaine fois  je demanderai votre agrément pour ne point vous choquer

Bon ben un fait divers quoi !
Le fait qu'il se passe à Madagascar ne le rend pas plus atroce qu'ailleurs dans le monde !

En autres atrocités, sachez tout de même qu'une femme décède sous les coups de son conjoint tous les 3 jours en France... 148 femmes en 2012... pour seulement 26 hommes tués par leur conjointe...
C'était juste une info en passant.. çà permet de relativiser...

Je ne vois pas le rapport avec cette "tradition" qui consiste à chasser le vazaha sur Badoo ou Facebook afin de le faire venir, de le dépouiller et de s'en débarrasser une fois que le monsieur se rebiffe.

Souvent il n'y a pas mort d'homme, juste un tour à la case prison et expulsion du territoire, mais bon, c'est du classique. Mais ce n'est pas un cas isolé dans le fond, juste extrème dans la forme.

Rien à voir avec une histoire de violence conjugale.

Tourner tous les sujets autour de la guerre des sexes devient lassant.

...

Bonjour,

ce genre de fil a tendance à transformer Expat.com en "site poubelle". J'ai prévenu à plusieurs reprises que cela ne passerait plus.

-fil fermé-

Fermé