Vos 5 meilleurs conseils pour s’expatrier au Brésil

Mes 5 conseils 

1) Préparer son projet sans précipitation, bâtir un plan d'action et définir un planning, gestion de l'administratif
2) Evaluer ce que l'on perd et ce que l'on gagne : ami, famille, environnement, situation professionnelle,avantage sociaux et médicaux, imposition fiscale, coût de voyage (A/R) etc...
3) S'informer au travers des différents forums au sujet des formalités à accomplir, voir si réalisable selon projet, oublier la carte postale des vacances passées 3 ans plus tôt au village club de Buzio ou ailleurs 
4) Louer un meublé en arrivant, venir avec le nécessaire d'argent ni plus ni moins pour les premières dépenses, ne pas faire confiance à personne sauf à soi.
5) Prendre son temps sur place, pour valider son choix de lieu de résidence et de travail


en respectant ces principes, on devrait pouvoir s'en sortir pas trop mal, en zappant des points, on risque de se faire trés mal pecunierement.....une expatriation est une aventure financière avant tout et pas touristique.

1) Comprendre la culture du pays, regarder l'ancienne puissance colonisatrice.
2) Préparer le projet et si possible ne pas faire la même chose que les autres expats.
3) Essayer d'y aller 3 ou 4 fois avant d'y déménager.
4) Prendre le temps de comprendre les lois du pays et ses coutumes.
5) Choisir un lieu d'habitation bien placé, enfin de limité le déplacement en voiture.

Les expats qui se plaisent le mieux à l'étranger sont ceux qui partent en asie, pourquoi, car ils préparent bien l'expatriation, sur le plan culturelle et économique. Le gros problème c'est que beaucoup de personne pensent que la culture est la même car nous sommes latin et non.

1) apprenez une autre dimension de la patience et de la ponctualité !!!!!
2) partez du principe que les bresiliens font tout au dernier moment en urgence  et qu ils n ont pas la culture du détail !!!!
3) si vous devez faire un déménagement choisissez un déménageur professionnel ayant l habitude du Brésil et un correspondant agent en douane ( dispachante ) régulier ( ceci vous permettra de verifier si c est vraiment  , mettez vous en contact avec celui ci pour connaître et vérifier tous les papiers necessaires a la recette federale , la police fédérale et les douanes bresiliennes !!!! En ce qui concerne les papiers emis en France comme le BL , vérifiez bien les informations y figurant , enfin en fonction du cadre dans lequel vous demenagez demandez au dispachante de chiffrer les impôts a payer et les coûts de contrôle des douanes ainsi que ceux relatifs au port d arriver du container . Pour finir si vous devez demenager le contenu du container a l intérieur du Brésil , demandez au dispachante s il connaît un vrai déménageur professionnel , et n oubliez pas de discuter le prix !!!!
4) pour les bresiliens , vous etes un Gringo qui a les poches remplies d argent car c est bien connu en europe tout le monde a son arbre a euros !!!!!! Discutez tout , pleurez beaucoup et vous obtiendrez entre 5 et 30% de remise en fonction de la grosseur de vos larmes !!!!!!!!
5) faites vous rapidement des relations sur place , cela vous aidera dans vos démarches administratives sur place car souvent ils connaissent mieux les astuces pour gagner du temps que n importe quel consulat ou embassade !!!!!
En conclusion la majeure partie des bresiliens sont adorables mais n oubliez pas que vous devez vous adapter au pays et non l inverse !!!!!

- Apprendre la langue
- Avoir des idées, c'est bien, mais se poser la question: sont elles adaptables au pays! (prospection)
- S'implanter doucement (étude des moeurs, du pays , du lieu)
- Y vivre  entre 3 et 6 mois (avant)
- Evaluation des tenants et  aboutissants ( explication trés constructive de Chico)


Il est évident, que partir à l'étranger comme moi (retraité) ne pose aucun problème , si l'on se trompe, on rentre !
Maintenant, le départ avec charge de famille et obligation de réussite, a besoin d'une énorme préparation !
Il n'y as pas d' EDEN, nulle part, c'est à vous de le créer.

Jean Louis

1) Avoir du fric
2) Avoir du fric
3) Avoir du fric
4) Avoir du fric
5) Avoir du fric

Et, accessoirement, parler un peu de portugais brésilien, ça aide.

1) Préparer très très longtemps sur le fait que vous allez rencontrer une bureaucratie effroyable de complexité. Avec une certaine habitude des petits cadeaux pour faciliter l'avancement de votre dossier.
2) Au fait que toutes vos décisions/ mouvements devront être acceptés par le clan familial si votre compagne/compagnon est brésilien(ne)
3) A avoir envie de mordre quand on vous répond que si vous n'avez pas de CPF, vous ne pouvez pas acheter ou louer certaines choses...
4) A être transparent dans les discussions sauf quand il s'agit de vous soutirer de l'argent
5) Au fait que vous ne saviez rien prévoir à l'avance car la planification est quelque chose d'abstrait

D'un autre coté, c'est un pays magnifique pour les vacances mais pour s'y installer. En tout cas dans l'état d'Amapa...

phipiemar a raison. Et on insistera jamais trop sur cet aphorisme : quelque soit l'impression merveilleuse que vous donne un pays en tant que touriste même si vous y êtes venu à de multiples reprises ça n'aura rien à voir si vous voulez y vivre en expatrié. J'y ai vécu six mois au Brésil (rappelons que la règle est la suivante : autorisation de séjour de 6 mois sur 12 par périodes maximales de 3 mois, donc pas comme la plupart des autres pays d'Amérique du sud où il suffit de passer la frontière au bout de 3 mois, passer une journée dehors et revenir avec un visa de 3 mois de nouveau et ce indéfiniment).

En fait il apparaît, vu les tracasseries administratives, qu'ils ne souhaitent pas que des expatriés s'installent s'ils ne sont pas les représentants de multinationales. Mêmes les retraités ne peuvent s'y installer à moins qu'ils soient pétés de tunes. Ajouté à cela que la corruption atteint un niveau pas triste et, pire, s'aggrave à tous les niveaux de l'Etat. Mes discussions avec quelques français qui s'y sont établis montrent à quel point leur parcours fut une galère et une pompe à fric.

Dans les expatriations on retrouve souvent le schéma suivant : l'expatrié, avant son expatriation, s'est trouvé une âme soeur dans le pays. Et, comme l'amour rend aveugle, il est prêt à subir toutes les tracasseries et les pompes à fric du pays de sa dulcinée. Ce que Jean-François Lyotard (in "Economie libidinale") appelle "investir dans les conditions du manque".

Vous avez vu la bureaucratie française, je peux faire le comparatif, entre ouvrir une entreprise en France et au Brésil et les différents papiers.

Au Final je trouve, le Brésil plus facile que la France au niveau immigration, concernant les entreprises tout va dépendre du statut, micro et petite entreprise c'est pratiquement pareil, par contre SAS avantage à la France .

Après dans le Minas Gerais, je crois que la PF n'a pas beaucoup d'étranger et les autres établissements aussi, donc je pense qu'ils prennent plaisir.

ps: les petits cadeaux, si tu fais ça dans une administration à MG tu risques d'avoir de problèmes.

Ayant été à mon compte en France je ne peux que confirmer tes propos. C'est même pire qu'administratif : le but étant de racketter le maximum de pognon. Ce sont des vampires qui se fichent pas mal que leur victime meure exsangue (ils ont inventé un impôt, IFA, qu'on doit payer même si on est en déficit). Même en tant que particulier j'ai eu à faire à ces zozos qui se sont même permis de se servir sur mon compte pour un impôt que je n'avais pas à payer. Lettre furibarde avec menace de plainte si je n'étais pas remboursé dans les 8 jours (ce qu'ils ont fait, on a l'impression que leur logique c'est "jusqu'où peut-on aller trop loin"). Rebelote avec une taxe d'habitation que je n'avais pas à payer vu mon âge et mes ressources (ce qui est pourtant inscrit dans leur base de donnée). Avec "redevance sur l'audio visuel publique" de surcroit alors que j'ai pourtant coché la case ad hoc : pas de télécran de Big Brother. Re lettre furibarde. Résultat : nouvelle lettre de leur part avec cette taxe majorée de 10 %. J'ai tout transmis à mon avocate en lui précisant que, si jamais ils avaient le culot de se servir, à nouveau, sur mon compte on les attaquait au pénal (extorsion de fonds).

Bonne interprétation de cette situation par Les Inconnus - Les frères qui rappent tout
https://www.youtube.com/watch?v=fy5ewMwLvMc

Ceci pour expliquer l'une des multiples raisons pour lesquelles j'ai quitté (rompu pourrais je dire) avec la France. Mais ce n'est pas une raison pour échanger la peste française contre le choléra exotique.

Je suis un "expatrié" professionnel car cela fait plus de 20 ans que je me promène un peu partout. Et la bureaucratie française, c'est de l'enfantillage par rapport à celle du Brésil.
Concernant les petits cadeaux, c'est une réalité car dans beaucoup de secteurs tu auras besoin de "facilitador" comme ils se désignent.
J'ai essayé pendant quatre ans avec ma compagne et sa famille qui vivent à Macapa-AP. Même ma compagne a abandonné.
Exemples parmi beaucoup d'autres:
- elle n'a jamais réussi à obtenir ses coordonnées IBAN / BIC / SWIFT
- Nous avions voulu louer une villa via une agence ayant pignon sur rue. Vu que moi, je ne travaillais pas au Brésil (donc pas de CPF) et que mon épouse avec CPF était femme au foyer, ils ont refusé. Alors que je leur avais même proposer de payer en plus de la caution six mois de loyer d'un coup. Réponse de leur part, non ce n'est pas le système...
Donc comme nous disons en Belgique, tu as peut-être trouvé le filon dans ton coin ou sinon tu as le cul bordé de nouilles......
J'ai vu également une augmentation des couts de la vie plutôt conséquente. de 2002 à nos jours.

Finalement, le racket de la fonction publique est le même au Brésil qu'en France ...

Attention chaque Etat Brésilien est différent, les Etats du nord, c'est un peu la jungle.

Par contre coût de la vie, à MG, les prix restent relativement stable, par contre Rio de Janeiro entre novembre et mars j'ai vu 10% d'augmentation et ne parlons pas de l'essence pratiquement 1r$ de différence avec BH.

Un aperçu en image par TF1, émission Reportages couvre quelque français partir au Brésil :
http://www.tf1.fr/reportages/ -  "Nouvelle vies au Brésil"

Bonjour Paulo Perreira, j´ai regardé votre reportage de TF1, et je trouve qu´il enjolive beaucoup la réalité des expatriés français au Brésil.

Je comprends que ce couple de retraités français ai une vie agréable au soleil, il a su tirer parti de son patrimoine français (relativement important), et reçoit une retraite conséquente qui lui permet de vivre décemment à Bahia.

En revanche, le charcutier français va devoir affronter la concurrence brésilienne de plein fouet, lourdeurs administratives, pots de vin etc.

Il aurait été selon moi bien plus facile et rentable pour lui de continuer à vendre sa charcuterie en France et de voyager parfois au Brésil. Pour vendre au mieux ce genre de produit, il faut investir dans les quartiers "chics", et croyez moi la concurrence est féroce, bien plus qu´en Europe.

Quant à cette jeune femme qui cherche à trouver du travail à Sao Paulo, elle va devoir faire preuve de courage, le racisme ici est récurrent.

Au Brésil, pour un poste à responsabilité, entre plusieurs personnes ayant les mêmes compétences, on choisira toujours la plus blanche, et les blancs compétents ne manquent pas ici.

-Pardonnez-moi d´être aussi réaliste.

Je lui aurait plutôt conseillé de profiter des beautés naturelles du Brésil avant de revenir en Europe...

Stop avec la loudeur administrative, en France on n'est pas mieux. Pour ouvrir une EURL ou auto entrepreneur au Brésil c'est plus rapide qu'en France et moins chère. Contrairement au Brésilien il a plus de chance, car il connait son métier. Ne pas oublier un rapport sur la compétitivité au Brésil, un brésilien même cadre travail 6 fois moins qu'un américain.

Pour la jeune fille le problème c'est le visa, sans visa c'est mort pour trouver un travail. Les pots de vin stop, si vous avez enfin d'avoir un problème, faite un pot de vin et votre visa sera annulé rapidement.

Le reportage a été filmé, pour TF1, un montage horrible qui ne montre pas la réalité des choses, un beau jeu de caméra, quand les personnes non rien à dire on fait de superbe image.

Mais Stop avec pots de vin et lourdeurs administratives, en 2 ans j'ai trouvé des améliorations. Rien que dans les aéroports, je trouve que je suis mieux servi que paris

Effectivement il n'y rien à regretter de la France à ce niveau-là. Rien que pour liquider l'héritage de ma mère qui était pourtant ultra simple puisque cela concernait juste des liquidités bancaires et que je suis héritier unique il a fallu des mois ! Et pour finir la Société Générale ne voulait pas cracher l'argent qu'elle me devait malgré les injonctions du notaire. Il a fallu faire un référé (donc ça m'a coûté du pognon pour récupérer mon du). Et tout est comme ça ! Un impôt foncier que je n'avais pas à payer, ils se sont servis sur mon compte sans avertissement. Lettre fumasse de ma part et menace de procédure, ils ont fait marche arrière. La logique de la France n'est plus que de te piquer du fric, même du fric que tu ne leur dois pas ou aussi de ne pas te verser celui auquel on a droit. Pour les retraites des expatriés le nouveau gag concernant les "attestations d'existence" (tous les trois mois) : le faire remplir par le commissariat du quartier ne suffit pas, il faut aller au consulat. Dans mon cas c'est déjà très ch**nt d'aller à Asunción qui est à 55 km de mon patelin avec des conditions de circulation dignes de la région parisienne. De plus ce consulat n'est accessible que le matin et un jour sur trois. Evitez donc de vous installer en Patagonie chilienne si vous devez aller à Santiago tous les trois mois.

Conclusion : On ne perd rien à vivre ailleurs !

Si ! Ma Freebox, mon Castorama et Leroy-Merlin (et la crème de marrons vanillée Clément Faugier)

Bonjour arnaudbh,

Je peux vous dire que le Bresil EST UN DES PIRES SINON LE PIRE AU MONDE questions administratives drastiques dans la forme, moins le fond…j ai trouve au Vietnam encore pire sur le fond et la forme..…

Essayez de faire une petite rature sur un doc officiel, juste pour voir 

un aéroport ce n est pas le reflet de l administration…c est n importe quoi comme exemple!!

Moi je vous parle de Receita Fédéral, d impôts, de taxes, de LOIS, de douane, de justice, et des applications, de formalités, de démarches, avec de la corruption au passage!!….OUI C EST DU LOURD ! la France a cote c est plus simple nettement.

vous n avez juste pas été confronte "encore" a des situations du genre….on en reparlera un jour ou l autre... votre analyse est complètement erronée et non professionnelle, vous n avez juste pas l expérience..et ça ne veut donc pas dire que c est formidable ici…ça c est votre notion.

Bien le bonjour,

un exemple de bureaucratie à la brésilienne. Lors de mon dernier passage à Macapa-AP, j'avais regardé le cout des documents officiels. Et surprise, si vous vouliez faire rectifier un document mal rédigé par les services officiels, il fallait payer. En conclusion, ils se plantent mais c'est vous qui payez...

Et lors de mes visites datant de cette période à l'aéroport de Brasília, à part des touristes, je n'ai trouvé aucun employé ou commerçant parlant anglais. Car bien que parlant portugais, j'aimais bien parler en anglais pour voir leurs réactions...

J'ai travaillé trois ans en Angola où les méandres administratifs sont "costauds" également. Mais ce n'est RIEN du tout par rapport au Brésil...

Au vietnam je confirme, quand j'y suis allé il y a 6 ans j'ai du refaire mon visa à l'aéroport car l'ambassade n'avait transmis mon dossier!

Je parlais d'amélioration en matière de logistique et infrastructure.

En terme d'importation avec la licence et des produits classique matière première c'est 17pourcents de taxe et tu récupérés 7 pourcents. Ensuite les lois d'imposition, on n'est dans un système aussi absurbe quand france.

Par contre je t'invite à essayer de donner de l'argent à Minas à un fonctionnaire! Cela ne va pas du tout passer! En France niveau corruption on n'est pas mieux!

@ abaporou,

oui, les émissions télé sur les expats sont trés souvent bisounours, et donne l´idée erroné d´un "paradis de l´expatriation". En revanche, j´entends parfois en France les mêmes argument que vous presenter au niveaux candidats à l´emplois, comme quois c´est pas exclusiv de certe société.

"toute Epices" décripte et donne des aperçu de connaisseur sur la réalité Brésillienne.

Je ne sais pas quand cela a été filmé mais cela serait intéressant de voir le resultat quelques mois après. Le charcutier a le temps de voir venir car sa femme à un travail. Avoir le temps avec soi est une bonne chose; lancer un business prend du temps..enfin de le rendre rentable.
Ophélie, je ne sais pas comment elle arrivée la-bas mais ne maitrise pas le portugais et comme elle n'a pas de travail cela veut dire qu'elle est venu sur un visa touristique/étudiant donc je ne vois pas comment elle pourra resté et trouvé un travail. Soyons honnête, les Brésiliens sont relativement racistes et ils vont être surpris de voir une Français noire (les Françaises sont toutes blondes n'est ce pas?) et cela va lui fermer des portes au lieu de lui en ouvrir. J'espère que ses entretiens avec les grandes entreprise se sont bien passés. J'aimerais bien voir le résultat.

Oui vraiment je suis d´accord avec ce qu´a écrit Bardamu, si vous êtes noir ou métisse, évitez d´aller au Brésil pour chercher un travail à responsabilité, tournez vous plutôt vers des pays au passé colonial différent.

Voici un documentaire brésilien que je trouve assez bien réalisé, sur la question du racisme au Brésil:

https://www.youtube.com/watch?v=vqZIriXBeEw

Evitez aussi le Paraguay ! Parce que dans ce pays qui vit recroquevillé sur son Histoire, à l'époque de la guerre de la Triple Alliance, les noirs du Brésil se sont comportés comme des soudards sur le peuple et les femmes en particulier. Donc ils ne sont pas bien vus (mais on ne leur fera rien, juste quelques grimaces). Un peu comme les japonais, pas très appréciés dans certains coins de la Chine.

Je pense qu'il est très important que l'étranger qui vient à Brail est très attentif au thème de la sécurité . Sachant que ne devrait pas marche circulaire début , éviter la passe dans les zones de taudis , pas entrer dans les taxis qui ne sont pas coopérative, donner la préférence pour la marche en groupe la nuit et les femmes étrangères devraient être particulièrement prudent avec séduisante brésilienne qui peut être seulement une figure fictive de la romance à la recherche d' une proie facile pour voler

Hahahaha, Bien le bonjour Dritta,

Pourquoi seulement les femmes brésiliennes? Les femmes d'Argentine sont aussi très belles...

Bonjour Phipiemar!
Je pense que je ne me suis pas bien exprimé ... Je ai dit que les femmes étrangères doivent être prudents avec les hommes brésiliens ... rien dire sur les femmes brésiliennes ....

ps. Mais je suis d'accord avec vous: les femmes argentines sont très belles!

Ouarf ! A une époque les "brésiliennes" que l'on rencontrait au bois de Boulogne (à côté de Paris) étaient, en fait, assez masculines. Mais très belles aussi il faut dire.

je n'en sais rien car je ne suis jamais allé chasser de ce coté. Mais j'ai gardé d'excellents souvenir de mon passage à Bueno Aires....

William, en effet il y a quelques années les parisiens ne connaissait les "Brésiliennes" que par le Bois de Boulogne. D'où la grosse blague, "alors ta femme elle joue au PSG?". Depuis les Brésiliennes (les vrais) sont devenus la reférence de la beauté et nous sommes jalousés...

Il y a quelques années j'avais rencontré un joli muchacho brésilien (indubitablement garçon, lui) qui résultait d'un curieux mélange (réussi) : son père était un ancien nazi ayant des crimes de guerre à son actif (toutes les dictatures d'Amérique du sud, à l'époque, protégeaient les nazis ayant à rendre des comptes en Europe) et sa mère une authentique brésilienne. Ca se passait très mal avec son père car, de surcroît, ce garçon était gay. Finalement il avait préféré venir travailler en France (mais PAS au bois de Boulogne).

Bonjour à tous,

Nous nous éloignons complètement du sujet là.
Pourrions-nous nous recentrer et partager "Vos 5 meilleurs conseils pour s'expatrier au Brésil" ?

Merci

Priscilla 

Hahahaha, Ouiiiiiii, promis, nous arrêtons........ 

1. apprendre la langue
2. être diplomé d'une grande école
3. aller au Brésil 3 mois pour voir et établir des contacts
4. économiser suffisamment ....
5. découvrir la musique !

Bien le bonjour Gipet,
Bon courage si tu espères que cela va te suffire pour vivre au Brésil...

Je tique sur le point 2 : une "grande école" consiste surtout à inculquer un conformisme de pensée propre au pays où elle est. L'ENA étant l'exemple suprême. C'est bien pour faire des hauts fonctionnaires franchouillards qui ne savent qu'inventer des taxes, mais ce n'est pas très exportable. La débrouillardise, la capacité à s'adapter à des situations, des opportunités, qu'on n'avait absolument pas prévues, sont, à mon avis, les qualités majeures pour un expatrié qui est autre chose qu'un prof nommé en Guyane (nous parlons bien du Brésil, ici). C'est là où le vécu personnel est appréciable.
Sinon je n'ai rien à objecter aux autres points. Effectivement y aller 3 mois. De toute façon on ne peut pas y séjourner plus. On a toutefois droit à une autre période de 3 mois maxi, mais pas plus dans un intervalle de 12 mois. Spécificité du Brésil (avec la langue) quand on peut faire un aller-retour sans-souci tous les trois mois dans presque tous les pays d'Amérique du sud.
La musique ? Faut pas rêver ! Ce que nous connaissons, nous, de la musique brésilienne c'est le haut de gamme, pas du tout ce qu'écoutent les brésiliens actuels. Un peu comme si des francophiles étrangers ne connaissaient de la musique que Ferré, Brassens, Brel, Edith Piaf et... découvraient ce qu'entendent les français sur leur radio.

Quand je parle de grande école, je parle d'école d'ingénieur, de commerce et autres écoles formatrices de profession utiles....
La musique, c'est le détail amusant ! Il n'empêche qu'elle favorise les contacts locaux. C'est vrai qu'on ne la connait pas en France. Gilberto Gil, et encore... Pourtant elle mériterait d'être connue.
Abraço

Boff école d'ingénieur, de commerce, ça peut aider seulement si on rentre par la grande porte du "contrat d'expat" classique. Si on arrive au Brésil d'une autre façon: je dirais plutôt: de l'experience professionnelle, "de la bouteille", du courage, de la patience, bon niveau de portugais, connaissance de la culture/ "how to" brésilienne, un réseau (si on en pas avant, première chose á faire en arrivant), assez d'argent pour tenir 1-2 ans sans travail, une solution de retour ou cas ou (garder quelque chose en France).

Williamhoustra a écrit:

Si ! Ma Freebox, mon Castorama et Leroy-Merlin (et la crème de marrons vanillée Clément Faugier)

[img align=C]http://images.lesechos.sdv.fr/archives/2005/LesEchos/19451/ECH19451077_1.jpg[/url]

Leroy-Merlin y'en a ici ! Par contre la FreeBox