Allemagne sa gastronomie, ces vins ,ces vignobles .

Ca donne envie :kiss:

bien ,oui  , en plus c'est un sacrés travail pour vendanger ave de pareille pente . 2020 seras une bonne année pour la qualité , moins bonne pour le rendement .jean luc  ;)

S'il y a une Allemagne inconnue c'est celle des vignobles avec leur sentier de randonnée et ses raisins .https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1606582556-2608-pictures_mosaic-t1606582556.jpg  le vignoble Margaret  á l'Est de Öhringen  a Michelbach  .https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1606582878-6535-pictures_mosaic-t1606582879.jpg riesling auslése   https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1606582729-8907-pictures_mosaic-t1606582730.jpg pinot noir spätburgunder ou Lemberger . https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1606583618-8202-pictures_mosaic-t1606583619.jpg     le verrenberg  verrenberger prés Öhringen -verrenberg  , le restaurant Wiesnerkelter , la cave viticol du Fürts Hohenlohe zu Öhringen .  voilá des endroits óu l'on peut se promener tranquillement . jean luc  ;)

Je vais réserver quelques bouteilles :D

STEFFIFI a écrit:

Je vais réserver quelques bouteilles :D


j'ai fait le plein , encore en plus ,ils fait bon de se promené dans les vignes . jean luc  ;)

Ne me tente pas :kiss:

https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1604700891-9901-pictures_mosaic-t1604700892.jpg   prés de Neuenstein 74632 echelbach  https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1604701165-0455-pictures_mosaic-t1604701165.jpg un trolliger https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1604701458-8627-pictures_mosaic-t1604701459.jpg  .

le wurttemberg fait d'exellent vin rouge , qui peuvent rivaliser avec les meilleurs rouge  de Bourgogne ou de Bordeaux   , quand aux vins blanc allemand ils sont sublime . jean luc  ;)  ps .cliquer ici  https://www.expat.com/forum/profile.php … n=pictures  pour voir d'autre photos

Le champagne et le rôle central des Allemands, une histoire oubliée
https://lepetitjournal.com/sites/default/files/styles/main_article/public/2020-12/champagne%20wine-3080309_640.jpg?itok=iGVi1qPZ  Le champagne fait la fierté des Français et assure le rayonnement de la France à l'étranger. Mais qui se cache vraiment derrière cette success story tricolore ?

Spiritueux exclusivement produit dans la région du Nord-est de la France qui lui a donné son nom, le champagne est essentiellement élaboré à partir de cépages de chardonnay, meunier et pinot noir. Généralement blanc mousseux, 80 à 85 % des vins issus de la production sont des champagnes bruts, plutôt secs. Mais il en existe différents types qui varient selon les étapes de sa production : pressurage, fermentation, assemblage, dosage et maturation : on compte en tout 17 crus, par exemple le blanc des blancs, le champagne rosé ou encore le millésimé si ce n'est pour en citer que quelques-uns. Aujourd'hui, le champagne est réputé dans le monde entier.


Faites sabrer le champagne !

Les premiers vins de Champagne furent consacrés au premier roi de France Clovis au Noël de l'an 496. De 889 à 1825, c'est à Reims, capitale de la région, que les rois de France se firent sacrer. Dès lors, le destin du champagne est lié à la fleur de lys, consacrant à la boisson une valeur de luxe réservée aux grandes occasions. On raconte par exemple qu'une centaine de pintes auraient été écoulées au couronnement du Roi Soleil (Louis XIV) ! Depuis, les bulles pétillent lors des fêtes de famille, grandes réussites ou encore baptêmes de bateaux…. Décidément, pour les Français, toutes les occasions sont bonnes pour festoyer autour du prestigieux vin effervescent.

Qu'en est-il outre-Rhin ?



Au 19e siècle, le chancelier Otto von Bismack, qui disait ne pas supporter le vin mousseux allemand, consommait déjà le vin des rois en cachette, à défaut de faire honneur à son patriotisme. Aujourd'hui, si l'Allemagne est l'un des plus grand marché de vins mousseux au monde, le champagne ne représente qu'une maigre partie des centaines de millions de bouteilles écoulées chaque année... Ce n'est pas pour autant que la prestigieuse boisson n'est pas appréciée, bien au contraire : pour la célèbre actrice allemande Marlene Dietrich, « Le champagne te donne l'impression que chaque jour est un dimanche ! »

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champagne Allemagne
© Pixabay



Mais on dit que les Allemands préfèrent les vins fruités et sucrés, comme le Prosecco italien. Pour la génération de l'après-guerre, marquée par les pénuries mais aussi attachée à la rigueur protestante, se servir une flûte de champagne à n'importe quelle occasion est un luxe exagéré. Le Sekt (vin mousseux) national, s'il est moins prestigieux que le champagne et son appellation d'origine contrôlée, a au moins le mérite d'être moins cher (une bouteille de champagne peut facilement dépasser les 100 euros… tandis que les prix du Sekt sont plus variables et dans tous les cas plus raisonnables)… Mais nous aurons l'occasion de voir que ces deux spiritueux sont intimement liés.

Aujourd'hui, deux tiers des Allemands ignorent que le champagne est produit exclusivement dans la région Champagne en France, selon une étude pour le Comité Champagne pour l'Allemagne et l'Autriche. Décidément, il est grand temps de faire une leçon de rattrapage d'histoire…


Une histoire oubliée : les Allemands aux commandes du marché

Il n'y a effectivement plus une seule maison de vin en Champagne qui ne soit plus au moins contrôlée par un Allemand.

Beaucoup ont oublié que les Allemands ont joué un rôle central dans le succès du champagne. Ces vins existent depuis le Moyen-âge, et on doit l'effervescence au moine bénédictin de l'abbaye de Hautvillers Dom Pierre Pérignon (1668-1715). Mais le champagne n'acquiert son rayonnement international qu'à partir de la fin du 18e siècle, alors que des bourgeois allemands s'installent dans la région.



    Il n'y a effectivement plus une seule maison de vin en Champagne qui ne soit plus au moins contrôlée par un Allemand



Ayant le sens des affaires et un bon niveau en langues étrangères, ces propriétaires de vignes vont révolutionner le marché. Le premier à s'installer est Florenz Ludwig Heidsiek, en 1877. Il sera suivi de nombreux autres compatriotes, les frères Mumm, Johann-Joseph Krug, Joseph Jacob Bollinger, Johann Carl Philipp Koch ou encore William Deutz, si bien qu'en 1857, le consul étasunien de Reims Robert Tomes écrivait « Il n'y a effectivement plus une seule maison de vin en Champagne qui ne soit plus au moins contrôlée par un Allemand. ». Tous ses noms sont bien connus, et la plupart figurent d'ailleurs encore parmi les leaders du marché. De 8 millions en 1850, le champagne passera à 28 millions de bouteilles exportées en 1900.

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champagne Allemagne
© Pixabay

Il se trouve que les Allemands se portent plutôt bien dans le domaine : lorsqu'ils ne dirigent pas l'entreprise, ils sont associés à un Français, avec qui ils font plutôt bonne équipe. Il est aussi commun d'épouser la fille d'un dirigeant de maison de champagne, afin de reprendre l'affaire une fois ce dernier décédé : Bollinger épousa par exemple en 1837 l'héritière d'un vigneron Louise Charlotte de Villermont, francisant son nom en Jacques-Joseph-Placide Bollinger. Si la plupart de ces familles allemandes s'établissent en France définitivement, certaines retraversent le Rhin pour conquérir le cœur le leurs concitoyens. C'est le cas de Georg Christian Kessler qui retourna en Allemagne après avoir acquis son savoir faire à la maison Clicquot (première maison de champagne a avoir été dirigée par une femme, en l'occurrence la veuve Barbe Nicole Clicquot-Ponsardin, notamment connue pour avoir inventé la « table de remuage », étape clé dans le processus de clarification du champagne). Il fonde alors la première entreprise de « Sekt » en 1826, dans le Wurtemberg.



    Un véritable Allemand ne peut souffrir les Français, mais il boit leurs vins volontiers



« Je veux du vin de Champagne, et qui soit bien mousseux... Un véritable Allemand ne peut souffrir les Français, mais il boit leurs vins volontiers. » - Johann Wolfgang von Goethe dans Faust.

La guerre franco-prussienne de 1870 installa de toute évidence de grandes tensions entre les deux nations. Les récoltes sont mauvaises, 2 millions de bouteilles sont perdues et les vignobles allemands raillés dans la propagande, alors que ces expatriés francisés ont tant donné à l'industrie du champagne. Des décennies plus tard, et plus précisément en 1919, le « paragraphe champagne » du traité de Versailles interdit tout bonnement aux Allemands, grands perdants de la Première Guerre mondiale, d'appeler leur vin mousseux champagne. Cela n'est d'ailleurs qu'un premier pas avant que le champagne ne soit protégé en 1936 par une appellation d'origine contrôlée (AOC). Depuis 2015, les « Coteaux, maisons et caves de Champagne » sont inscrits au patrimoine mondial de l'Humanité de l'UNESCO.

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champagne Allemagne
© Capture d'écran YouTube




Aujourd'hui, bien qu'il ne se consomme qu'aux rares occasions, le champagne continue de séduire les Allemands, quatrièmes importateurs mondiaux avec 12,3 millions de bouteilles de 75 cl en 2018, selon le Comité Champagne.  https://lepetitjournal.com/cologne/le-c … iee-295227  jean luc  ;)

Vivement le vaccin qu'on puisse se mettre à découvrir tout ça!

Le vin acheté jusqu'à présent  au supermarché voisin sur la méthode plouf-plouf (r) est très  limite et il faut que je me mette à lire sur les bières allemandes; merci pour les références citées plus haut.

Nous sommes en Europe aussi pour la gastronomie après tout.

Munich à des caves a vaincu ou vinoteck https://www.google.de/search?source=hp& … ent=psy-ab                    ,   où on trouve d'excellents vins que l'on peut déguster, et à acheter. pour boire une bonne bière il faut jamais aller à l'octoberfeste, mais plutôt dans les bars á bières avec des fauteuils bien dodus, pour les restaurants, il faut éviter les zones touristiques car très chères, le guide Michelin peut être utile, petite astuce dans les villages, on trouve encore des restaurants accolés á une boucherie Là on mange en général plutôt bien, y compris dans les brasseries . la cuisine bavaroise c'est la bière, sauf en basse Franconie (Würzburg) ou c'est plutôt le vin . Quand tu voyages dans une région viticole, prends toujours avec toi un guide des vins, le Gault et millau a des éditions régionales, où on peut dénicher des petits producteurs, dans de minuscules villages, avec aussi quelques bonnes tables .   Chez les producteurs on peut gouter le vin gratuitement . jean luc  ;)

Non pas parce que le vin mousseux est un sujet à la mode, non, les producteurs de vins mousseux allemands - les Krugs, les Bollingers, les Mumms, et quel que soit leur nom - ont jadis donné le ton en Europe et joué un rôle clé dans le développement des vins effervescents en Champagne.

Les VDP.Prädikatsweingüter s'appuient sur cette tradition et avec leur VDP.SEKT.STATUT manifestent la production de vins effervescents de haute qualité fabriqués à la main dans leurs rangs.

Une chose est sûre cependant: les grands vins effervescents prennent du temps - ne serait-ce qu'en raison du long stockage de la levure. Il en va de même pour l'élaboration d'un tel statut. Au cours des deux dernières années, nous avons travaillé intensivement sur l'introduction et le développement de cette offensive - sachant très bien que ce processus nécessite un apprentissage et une mise au point constants. Cependant, la première étape a été franchie.



Le VDP.SEKT.STATUT adopté cette année transfère les standards de qualité élevés que l'association place sur ses vins à la production de vins effervescents. Il permet de reconnaître clairement la qualité et l'importance de la secte dans le VDP. Seuls les vins effervescents qui satisfont aux critères et tests de qualité stricts, similaires à la stricte réglementation champenoise, peuvent se voir attribuer le label VDP.Sekt. Dans le même temps, il continuera à y avoir des sectes avec le VDP.Adler, mais sans le sceau.

La fermentation traditionnelle en bouteille est obligatoire pour VDP.SEKT et VDP.SEKT.PRESTIGE®. Les vins effervescents millésimés doivent être sur la levure depuis au moins 24 mois (VDP.SEKT) ou 36 mois (VDP.SEKT.PRESTIGE®). Les grandes sectes peuvent également mûrir beaucoup plus longtemps. Les directives strictes de production VDP s'appliquent à la production des vins de base de vins effervescents. Les paramètres supplémentaires du vin mousseux sont réglementés dans une fiche technique distincte du VDP. Par exemple, selon le VDP.SEKT.STATUT, les vins effervescents produits ne peuvent provenir que des propres vignobles du domaine qui conviennent à cet effet. Ceux-ci sont correctement soignés de la coupe à la récolte - traditionnellement précoce pour le vin mousseux - et généralement cueillis à la main. Les cépages VDP.SEKT et VDP.SEKT.PRESTIGE® définissent chaque région individuellement, des cépages classiques de Riesling et de Bourgogne, complétés par des classiques régionaux. Partant du principe qu'une classification des vins effervescents basée uniquement sur l'origine, comme pour le vin, ne rend pas toujours justice à l'éventail des meilleures sectes allemandes, les cuvées de cépages et de vignobles enrichissent le spectre des sectes du VDP.



Afin que le VDP.Sektsiegel ne soit récompensé que par la plus haute qualité, des examinateurs de vins mousseux ont été formés au VDP, qui sont responsables des normes de qualité élevées lors du test de reconnaissance. Au cours des derniers mois, ils ont examiné des sectes qui seront bientôt marquées du nouveau sceau et qui seront les premiers exemples marquants du nouveau statut. Dans le cadre du VDP.Weinbörse 2021 à Mayence, le monde du vin international aura l'opportunité de se familiariser avec le statut de manière intensive au cours d'une masterclass de vins effervescents.
"Avec le VDP.SEKT.STATUT, nous lançons une offensive de qualité pour les vins mousseux allemands. Nos critères de qualité stricts répondent aux exigences internationales les plus élevées. Le statut permet à nos caves de se développer en permanence. Nous voulons décerner le sceau de vin mousseux aux vins mousseux phares, qui comptent parmi les grands vins mousseux au monde », a déclaré Steffen Christmann, président de VDP. «Avec notre VDP.SEKT.STATUT, nous voulons offrir aux amateurs de vin en Allemagne et à l'international une boussole de qualité qui les aide à s'orienter sur le rayon des vins au vu de la large gamme de vins effervescents.» texte en allemand , photos , grafique explication,source  jean luc  ;)

dans la région du Spreewald, la culture abondante du cornichon .


Le cornichon est cultivé en abondance dans l'est de l'Allemagne, où 30 000 tonnes sont récoltées chaque année dans la région du Spreewald.

On surnomme la région "la Venise allemande". Dans le Spreewald (Allemagne), il y a les canaux, et les touristes qui se pressent dans les gondoles. L'escale obligatoire ? Le stand de légumes marinés, à mi-chemin entre les cornichons consommés en France et les concombres. Ces cucurbitacées sont sélectionnées et préparées par Maik Kilka. Dans sa famille, depuis au moins cinq générations, on met au point l'assaisonnement idéal et la marinade parfaite pour que les cornichons libèrent toutes leurs saveurs. "Le cornichon typique [...] est juste mariné au sel, on le pique, il reste à peu près une semaine dans le tonneau", explique le vendeur, qui produit également un cornichon aux épices.
Une tradition vieille de plus de 400 ans

Dans le Spreewald, la terre est toujours très humide et sablonneuse : parfait pour cultiver les cornichons, dont la récolte se fait toujours à la main. Les travailleurs saisonniers qui récoltent méticuleusement ce légume dans le champ de l'agriculteur Hein-Georg Embach sont surnommés "les aviateurs" : sur un tracteur, ils survolent, à deux km/h, le champ de cornichons. Ces méthodes sont immuables, et cette tradition vieille de plus de 400 ans. Et pourtant, dans le Spreewald, une révolution est en cours : le plus grand fabricant de conserves de ces cornichons allemands vient d'être racheté par une marque française, Andros. Environ 30 000 tonnes de cornichons sont récoltées chaque année dans la région.
source et vidéo a voir  jean luc  ;)

Hier ,j'ai reçus mes vins de la souscription 2021 du furst   Hohenlohe zu Öhringen  ,j'ai eu une grosse déception mon vigneron m'avertit que le lemberger verrenberg grosse gewach gross large 2019 etais retirer de la vente suite à un problème de qualité  :huh: ,le millésime 2019as été retirer ,a la place j'ai choisi le même vin ,mais millésime 2018 aux même condition de suscription 88 points 89 points sur le Vinum, et Eichelman :D , on doit accepter celas . A noter que si la qualités est pas là ,pas de millésime  :one , par contre le riesling grosse gewäch 2020 troken est bien lá  :)https://www.verrenberg.de/               . jean Luc ;)

j'ai deguster quelques vins en famille de chez Baumann https://weingut-dr-baumann.de/

*muskaller 2019 nez roses,citron  , bouche sureau .
vin de dessert ,apéritif , ou avec un munster   

cuvé cab (cabernet) 2016 œil violet profond  nez :minérale ,senteur de sous bois humide bouche cerise ,mûres

cuvé Prolog 2016  vin blanc  œil jaune d'or moyen nez limon ,fin ton de bois ,bouche menthe  avec fromage munster ,volailles , porc
60%weiss burgunder 20%Scheurele 20%Sauvignon

*cuvée épilogue  vin rouge œil violet moyen   nez sous bois humide bouche schocolade,mocca  75% Spätburgunder 25% cabernet sauvignon- cabernet mitos

*cuvée contur  2016 vin rouge œil rouge grenat profond  nez cassis bouche mûre vanille

*muskatrolliger 2019 oeil rubi clair nez cerise  bouche cerise,fraise . Avec la famille on as passer une bonne après midi  jean Luc  ;)

* vin retenus

https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1634493983-7166-full_size-t1634493984.jpg   photos prise dans ma région , on peut remarquer la pourriture noble  qui commence .jean luc  ;)

https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1634493510-9486-pictures_750x560-t1634493511.jpg les vignobles du Wurtemberg  https://www.expat.com/forum/profile.php … n=pictures                    jean Luc  ;)

Superbe photo. Merci

Au pluriel !!!

https://www.expat.com/upload/general_pictures/large/1638223662-0027-pictures_mosaic-t1638223662.jpg vignoble de Meersburg sur le bodensee (lac de Constance) ,avec la tour de garde contre le vol des raisins ,(déjas au moyens âge) comme quoi celas ne date pas d'aujourd'hui . Le vol de raisin étais punis de la peine de mort. jean luc  ;)

Qu'est ce que c'est  beau ce coin.... J'adore le Bodensee mais il faut bien choisir sa saison car pas d'autoroutes  sf celles qui desservent les 2 bouts du lac  à Singen et Lindau et donc circulation  monstre , en oarticulier lirs des premiers beaux WE comme Pâques  fete des meres ou Pentecôte!!!

Pour revenir a la gastronomie et pour les Français nostalgiques de boudin blanc a Noëlä....
Ai découvert l'an passé que certains charcutiers  ( à la campagne  et supermarchés avec rayon viande   TRES bien fourni)  fabriquent  uniquement durant la periode de l'Avent des " Schlesische Weisswürste" ( saucisses blanches de Silésie)  au veau, poulet , lait ,mie de pain  assez comparables à  nos boudins blancs. Diametre inferieur, mais plus longues... En ai fait provision  l'an passé  et ma foi.... avec une compotée  d'oignons  et de pommes et un bon Grauburgunder ( avec modération  n'est-ce pas J. L??😉😉😉) plutôt  satisfaisant.... Bien demander si elles sont au veau ( Kalbfleisch)  car bien sûr,  certains voguent sur la vague de la  demande et la font au porc🐷, bien moins cher pour eux !!! 
Quelqu'un  qui  vivrait dans le Sud aurait déjà  essayé  de faire poêler  des " Weisswürste" bavaroises qui habituellement  se font pocher , bien sûr ????  Je crois que je vais essayer avant de retourner voir non fournisseur  a la campagne....
Bon appetit, j'ai une soupe  sur le feu 🫕!

non j'ai pas essayer de poêler une Weißwurst bavaroise , moi je les fait cuire dans un bouillon a feux doux ,et une bonne bière et une moutarde    sucrés . Au lac je mange du poisson avec un riesling ou un grauburgunder  .  quand au Bodensée , moi j'aime bien y aller , c'est vrais que la circulation est dantesque . jean Luc  ;)

Les vignes de l'extrême en Allemagne
Quelques vignerons travaillent encore entièrement des terroirs escarpés à l'extrême où les ceps s'élancent sur des échalas et où la mécanisation est presqu'impossible.https://www.vitisphere.com/upload/breves/12-2021/gr_1638519072_LQ7100338C.jpg

A

Bremm, village niché dans une boucle emblématique de la Moselle, le vignoble s'est réduit de moitié en un siècle. Et pour cause : les pentes sont si raides que bien des vignerons n'ont plus le courage de les cultiver.

Pas Angelina et Kilian Franzen. Au contraire, après le décès du père de Kilian, le couple agrandit le domaine et passe de 6,5 à 10,5 ha, dont 9,5 en coteaux et 1 ha à plat. « Ici, les vignes en coteaux sont les moins chères d'Allemagne : 50 000 € par hectare alors qu'elles valent dix fois plus en plaine, explique Angelina. Chaque hectare exige 1 200 à 2 000 h de travail par an, contre 200 en plaine, et les murs doivent être consolidés tous les 3 ou 4 ans, car la montagne bouge. Nous avons 4 employés à l'année et 5 en renfort pour les vendanges ».
Tout est fait à la main

Les Franzen ont un tracteur et une remorque pour s'approcher de leurs vignes, mais la mécanisation s'arrête au bord du chemin. Aucune machine pour cultiver ou vendanger dans les coteaux. Tout est fait à la main, comme autrefois. Le désherbage s'effectue à la binette ou à la débroussailleuse lors de trois ou quatre passages par an.

Pour circuler dans leurs parcelles, les Franzen ont installé un rail à crémaillère, un onéreux système Monorack, avec deux « locomotives » qui tirent des petits plateaux pour emporter des outils ou les caisses de vendange. Des vendanges épiques où les vendangeurs s'appuient sur les ceps pour tenir dans les pentes.

A ce train-là, sur ces sols rugueux de quartzite et de schiste, les chaussures sont mises à rude : « Regardez-les... », sourit Angelina nous montrant leur piteux état.


Les rangs sont serrés, comme autrefois. Les traitements s'effectuent à l'hélicoptère, mutualisé avec d'autres exploitants. « Cette année nous avons dépensé près de 13 000 € pour les 7,5 ha que nous protégeons par voie aérienne, rapporte Angelina. Il a fallu huit passages pour lutter contre le mildiou, l'oïdium et le black-rot. La pression était forte. Par contre, on ne fait pas grand-chose en cave ; certaines fermentations durent près de deux ans ! »

Les rendements sont très variables : le domaine produit 40 000 à 100 000 cols par an. Les prix démarrent à 8 €/col pour l'Elbling 2020 et grimpent jusqu'à 59 € pour les deux rieslings les plus haut de gamme. Les affaires semblent marcher : Angelina et Kilian viennent d'acquérir un ancien chai qu'ils vont transformer en « wine hôtel et restaurant. »

Sur les rives de la Nahe, moins touristiques que celles de la Moselle, d'autres coteaux vertigineux sont couverts de vignes. Ce sont les Alps Rotenfels. La société Gut Hermannsberg y exploite 35 ha dont 6 en pente raide. Le paysage vertigineux s'apprécie de la maison d'hôtes – l'ancienne résidence du directeur. Les dégustations s'effectuent sur une terrasse idéalement située pour contempler les coteaux.
"Du vin servi au mariage de Diana"

Située à l'emplacement d'une mine de cuivre et de l'ancienne frontière avec la Bavière, cette propriété fut un prestigieux domaine royal prussien. Le cuivre qui embellit les étiquettes des cuvées spéciales à 80 € et les portes du chai rappelle cette époque glorieuse. Son logo aussi, avec son aigle couronné dont les ailes déployées figurent des rangs de vigne en pente.

« On a fourni du vin pour le mariage de la princesse Diana et le président Mitterrand a acheté une bouteille de 1916, son année de naissance, rappelle Achim Kirchner, le directeur exécutif. Nous sommes sur l'un des meilleurs sites pour le riesling en Allemagne ». Pour cette raison, le domaine se voue à ce cépage mais aussi parce que, « tout le reste est ennuyeux pour un winemaker ! »
"On n'utilise pas l'hélicoptère"

Plantés à 12 000 pieds/ha, les 6 ha en pente raide sont entièrement cultivés à la main, y compris les traitements. « On n'utilise pas l'hélicoptère, qui consomme trop de produit », précise Achim Kirchner. Ce dernier emploie 10 salariés permanents, moitié Roumains et Allemands, plus 25 vendangeurs, des familles qui se déplacent de Roumanie et qui savent réparer les murs de pierre sèche.

Les rendements sont faibles. « Ici, un hectare donne 30 hl au lieu de 45 en moyenne dans la région, soit 270 000 bouteilles par an, à 95 % du vin sec. » Gut Hermannsberg, comme Franzen, intervient le moins possible sur le vin. Pas de collage ni de filtration. « Ne rien ajouter, ne rien prendre », est la devise d'Achim Kirchner. Véritable ambassade de l'ancienne Prusse, 40 % de la production du domaine part dans 26 pays, jusqu'à la Chine.

Achim Kirchner constate le réchauffement climatique : « En 1970, on vendangeait en novembre pour les vins tranquilles, maintenant en octobre, et on est les derniers. Mais on reste au frais grâce à la rivière Nahe. »
"Les ouvriers s'attachent en rappel comme des alpinistes"

A 200 km au sud de là, dans la Forêt Noire, la coopérative de Durbach, se présente comme un autre spécialiste des pentes raides. Forte de 231 membres qui cultivent 330 ha, elle produit près de 30 000 hl par an. « Ces vignes en coteaux sont notre identité, annonce Daniel Kirchner, le directeur de la communication. Pour travailler les parcelles les plus raides, les ouvriers s'attachent en rappel, comme des alpinistes. Il faut beaucoup d'idéalisme et de passion pour cela. Mais nous avons le sentiment de produire des vins exceptionnels et de préserver un paysage culturel ».

Malgré cela, les prix restent modestes : « Notre vin le plus cher est à 19 €, un rouge qui serait vendu le double ailleurs. On veut démocratiser l'accès aux vins de qualité. »

Une parcelle hors du temps

A Rhodt unter Rietburg, en Rhénanie-Palatinat, une vigne bénéficie d'une plaque annonçant « le plus vieux vignoble au monde en production ». Son âge : plus de 400 ans ! Ces 270 pieds de traminer et de sylvaner auraient été plantés avant la Guerre de Trente ans. Pascal Oberhofer, 27 ans, le vigneron en charge de la parcelle, évoque « de vieux livres à l'église » qui prouvent l'âge de ces ceps bas, épais et noueux qui donnent un blanc sec vendu dans une bouteille de 37,5 cl présentée dans un spectaculaire emballage de bois et carton. Des vignes situées dans le Rhodter Rosengarten, le jardin de roses de Rodht.
https://www.vitisphere.com/actualite-95 … magne.html  jean luc  ;)

Des vins légers aux arômes prononcés : le millésime 2021 dans les régions viticoles allemandes
13/12/2021

Pour les viticulteurs, le traditionnel « joli mois de mai » édition 2021 s'est en réalité déroulé en septembre. En plusieurs endroits, l'alternance entre journées ensoleillées et nuits fraîches a marqué une fin de saison aux antipodes des trois années précédentes, rappelant les conditions météorologiques d'avant le changement climatique.

De 2018 à 2020, la chaleur et la sécheresse avaient régné sans partage et hâté les vendanges. Cette année par contre, le froid a ralenti la croissance et les précipitations se sont multipliées, obligeant les viticulteurs à redoubler d'efforts pour préserver leurs vignes du mildiou. Mais le mois de septembre a volé à leur rescousse, et les fruits ont suffisamment mûri pour livrer un moût à la densité optimale. Le raisin a ainsi pu être récolté, les producteurs sont satisfaits de sa qualité et une bonne cuvée s'annonce, moins alcoolisée que les précédentes sans toutefois perdre en saveur.
D'après de récentes estimations, le rendement devrait avoisiner les 8 733 000 hectolitres pour l'ensemble du pays, ce qui représente une hausse de 3 % par rapport à 2020 et n'est que légèrement inférieur à la moyenne de la décennie écoulée. Cependant, les volumes varient considérablement d'une région viticole à l'autre. L'Institut du Vin Allemand (Deutsches Weininstitut, DWI) a demandé aux 13 régions viticoles d'Allemagne comment elles avaient vécu l'année 2021.

Ahr
563 hectares
Après la crue dévastatrice de la rivière Ahr dans la nuit du 15 juillet, une seule certitude pour les viticulteurs : il fallait absolument protéger les vignes encore intactes poussant sur les pentes et terrasses du « paradis allemand du vin rouge ». En effet, « les liquidités des exploitations de la région n'étaient plus dans les caves, mais dans les vignobles » explique le Dr Knut Schubert, directeur général de l'association des viticulteurs de l'Ahr. Le bilan de la récolte, pour laquelle de nombreux volontaires sont venus prêter main-forte, s'est révélé variable : ceux qui avaient pu terminer les travaux en vert titanesques avant les inondations ont obtenu « un résultat relativement bon », à peine inférieur à celui de l'an dernier, relate Knut Schubert au sujet des exploitants qui commercialisent eux-mêmes leurs produits. D'autres ont enregistré jusqu'à 50 % de pertes. Car les maladies cryptogamiques n'ont pas épargné les rives de l'Ahr. Le climat favorable de septembre a néanmoins eu une influence positive sur la qualité de la cuvée, qui devrait tourner autour de 35 000 hectolitres (contre 39 000 en 2020) malgré les 60 hectares inexploitables en raison de la crue. Le seul cépage ayant tiré son épingle du jeu, selon Knut Schubert, est le pinot noir, qui représente 85 % des principales surfaces cultivées. Les vignerons, qui avaient œuvré sans relâche à l'aménagement de leurs caves, ont été séduits par sa qualité. « Les viticulteurs de la région misent sur un vin à la fois fruité et corsé, avec une acidité plaisante. En outre, il sera moins alcoolisé que lors des trois précédentes années, quand le degré d'alcool posait systématiquement problème » a-t-il précisé. On s'attend « à une cuvée exceptionnelle, y compris en termes de plaisir de dégustation ».

Pays de Bade
15 812 hectares
En dépit de sa diversité, le pays de Bade est considéré comme la zone cultivée la plus chaude d'Allemagne. Pourtant, il n'en était rien à Pâques dans les régions du sud comme le Markgräflerland, le Kaiserstuhl, le Tuniberg, le Brisgau et l'Ortenau : des gelées tardives et un vent glacial ont endommagé à certains endroits jusqu'à 80 % des bourgeons encore humides. Ensuite, des pluies persistantes parfois accompagnées de grêle ont favorisé la prolifération des champignons dans certaines localités du Markgräflerland. Heureusement, après un travail de longue haleine, les vignerons ont pu profiter d'une belle fin d'été entrecoupée de nuits fraîches ; des conditions optimales pour développer les arômes du vin blanc. Le volume total de moût est estimé à 977 000 hectolitres, ce qui représente 11 % de moins que l'an passé et 20 % de moins que la moyenne des dix dernières années. « Cette année a été très éprouvante pour les vignerons, mais le résultat est bon lorsqu'on tient compte de la qualité, surtout là où des sélections ont été effectuées » a déclaré Holger Klein, directeur adjoint de l'association des viticulteurs du pays de Bade. Comme d'autres, il ne peut s'empêcher d'établir un parallèle avec l'ère précédant le changement climatique, et s'attend à ce que ces conditions soient propices aux vins blancs. « Nous comptons sur des vins blancs frais et fruités, assez légers », modérément alcoolisés et « généralement plus vifs que les récents millésimes ». Quant aux vins rouges, les quantités sont encore plus faibles, notamment en raison d'une sélection rigoureuse. Il sera certes possible de répondre aux besoins du marché, « mais en puisant plutôt dans les réserves des excellentes années qui ont précédé » indique Holger Klein.

Franconie
6163 hectares
« Une année qui a nécessité énormément d'efforts durant la phase végétative, avec un automne indulgent et un mois de septembre idéal » : c'est en ces termes que l'expert en vins Hermann Mengler décrit la saison franconienne. Après un mois de mai frais et humide, les vignes ont entamé leur renouveau en juin et se sont empressées de rattraper leur retard, y compris au niveau de la croissance foliaire. La fréquence des précipitations a favorisé le développement du mildiou et compliqué la tâche des vignerons. En revanche, le temps sec et ensoleillé de septembre leur a permis de récupérer près de 80 % du raisin destiné à la fabrication du vin blanc. Tous les cépages ont bien mûri et, contrairement aux années précédentes plombées par la canicule, les vendanges se sont déroulées sans accroc sur une période prolongée, explique Beate Leopold, de l'association viticole Weinbauring Franken. Environ 480 000 hectolitres de moût en ont été extraits – 79 % de plus que la cuvée 2020 malmenée par le gel, et 12 % de plus que la moyenne de la décennie. La densité du moût tourne autour de 84 degrés Oechsle, un résultat que Beate Leopold juge satisfaisant pour une année comme celle-ci. Et bien que les vendanges aient été accompagnées d'une baisse des températures, les arômes n'ont rien perdu de leur puissance et l'acidité s'est renforcée. C'est un millésime taillé sur mesure pour les vins de base des mousseux, les rosés et les blancs – avec moins d'alcool mais plus de goût, souligne Hermann Mengler, qui dirige le département de conseils en vinification et techniques vinicoles du district de Basse-Franconie. D'après ses informations, de nombreuses exploitations spéculent également sur le vin de glace.

Bergstraße hessoise
463 hectares
« Tout est bien qui finit bien », c'est ce qui pourrait résumer l'année vécue par la Bergstraße hessoise. Dans la plus petite région viticole d'Allemagne, autour de Bensheim, le temps froid et variable en vigueur au printemps a ralenti la formation des bourgeons et au début de la floraison mi-juin, les vignes affichaient 16 à 20 jours de retard par rapport à 2020. Les abondantes pluies qui sont tombées jusqu'au mois d'août ont permis au mildiou de prospérer, suscitant « l'inquiétude quant à l'état des raisins » déplore le président de l'association des viticulteurs de la Bergstraße hessoise, Otto Guthier. La tendance s'est ensuite inversée pour le riesling, le pinot gris et leurs semblables avec l'arrivée d'un septembre sec : la véraison a pu poursuivre sa progression et lors des grandes vendanges d'octobre, les vignerons ont pu obtenir « un moût d'une très bonne densité » : 83 degrés Oechsle en moyenne. La récolte équivaut à 32 000 hectolitres, en baisse de 8 % par rapport à l'excellente cuvée précédente mais 5 % plus élevée que la moyenne des dix dernières années. Globalement, « la qualité et la quantité sont tout à fait convenables » se réjouit Otto Guthier. « Les premiers vins blancs dégustés ont révélé de puissants arômes et des accents fruités, soutenus par une belle acidité pleine de vivacité ». Sans oublier leur teneur modérée en alcool. Vu les caprices de la météo, les vignerons peuvent se montrer « extrêmement satisfaits » de la cuvée 2021.

Rhin moyen
465 hectares
Le Rhin moyen et ses terrains en pente ont permis à de nombreux vignerons d'accroître considérablement leur récolte. Certes, la région n'a pas été épargnée par la fraîcheur du printemps, ni par son impact sur la croissance des vignes et la propagation des maladies cryptogamiques. Mais ce haut lieu du riesling est parvenu à engranger 36 000 hectolitres dans ses caves – 35 % de plus qu'en 2020 et 30 % de plus que la moyenne décennale –, même si le rendement varie grandement d'une exploitation à l'autre. En termes de pourcentage de croissance global, le Rhin moyen se classe à la deuxième place du pays, derrière la Franconie. Outre le travail intensif des vignerons, il a pu compter en septembre sur 45 % d'ensoleillement supplémentaire par rapport à la moyenne. « À vrai dire, septembre et octobre ont permis de sauver les récoltes après les intempéries » reconnaît Gerd Knebel, directeur général de l'association des viticulteurs du Rhin moyen. Le riesling, capable de mûrir par temps froid, a donné un moût d'une densité comprise entre 80 et 90 degrés Oechsle. Résultat : des vins blancs qui s'annoncent élégants et aromatiques avec une trame acide marquée. « Des vins fruités d'une grande fraîcheur » et « très agréables en bouche », plutôt modérément alcoolisés, « conformes aux attentes du marché » se réjouit Gerd Knebel. La plupart des viticulteurs sont ravis du rendement et de la qualité.

Moselle
8689 hectares
Les grands crus exposés plein sud le long de la Moselle ont pu renouer avec le succès d'antan. Ces dernières années, il faisait souvent trop chaud et trop sec ; le retour d'un temps nettement plus frais et humide en 2021 « leur a été bénéfique », selon l'association Moselwein. Des conditions favorables qui se répercutent sur la densité du moût : le riesling, cépage prédominant dans la région, a atteint 95 degrés Oechsle dans les meilleurs cas, la majorité de la récolte oscillant entre 70 et 90 degrés Oechsle. Sur les terrains en pente, où 90 % de la surface est dédiée au vin blanc, un grand nombre de vignerons se déclarent très satisfaits des arômes présents dans le raisin et comptent essentiellement sur des vins vifs et fruités. « Dans l'ensemble, nous obtiendrons un millésime typiquement mosellan, fin et limpide, avec une forte minéralité » indique le président de Moselwein, Henning Seibert. La teneur en alcool est également plus faible qu'à l'accoutumée. Les récoltes ont livré des résultats variables : certaines ont été très réussies, d'autres ont été décimées par les maladies cryptogamiques. Et la différence ne s'arrête pas là. Les cépages de riesling, de pinot noir et de dornfelder ont été moins productifs, tandis que l'elbling, l'auxerrois et le pinot blanc ont fourni de bons rendements. Grâce à la pourriture noble, quelques producteurs ont même pu procéder à une récolte tardive de grains sélectionnés. Le volume total est estimé à 781 000 hectolitres – 6 % de moins qu'en 2020, mais 5 % de plus que la moyenne de la décennie.

Nahe
4230 hectares
Même s'il a souvent plu à maints endroits cette année, ça n'a parfois pas suffi le long de la Nahe, du moins en octobre. Certains exploitants ont recommencé à arroser leurs vignes durant cette période car la sécheresse a fait son grand retour dans la région, relate le directeur général de l'association des viticulteurs de la Nahe, Harald Sperling. Or les réserves d'eau s'amenuisent après les sécheresses consécutives de 2018, 2019 et 2020. À l'aube de 2021 pourtant, tout indiquait le contraire : le froid et les précipitations laissaient présager une maturité tardive, raconte Harald Sperling, et ici aussi les vignerons ont dû lutter contre les invasions fongiques. D'après l'association, « certaines exploitations ont été anéanties par le mildiou tandis que d'autres ont été presque totalement épargnées, sans oublier tous les stades intermédiaires ». Puis septembre est arrivé, accompagné d'un temps chaud et sec qui a favorisé la véraison, ralenti le pourrissement et donné le coup d'envoi des vendanges. Évaluée à quelque 288 000 hectolitres, la récolte est 10 % inférieure à celle de l'an passé et à la moyenne décennale. Et en matière de vin, à quoi doit-on s'attendre ? « Pour le blanc, à des vins fruités au goût agréable, avec une acidité prononcée mais bien équilibrée » explique Harald Sperling. La densité du moût est bonne et le résultat ne devrait pas être trop alcoolisé. « Des vins à savourer » conclut-il.

Palatinat
23 721 hectares
Le Palatinat est la deuxième plus grande région viticole d'Allemagne et cette année, la récolte s'est là aussi distinguée par sa singularité. « L'expression "automne envieux", qui fait référence à la répartition très différente des rendements et de la qualité au sein de la région, a rarement été plus à propos qu'en 2021 » admet le spécialiste de la viticulture Jürgen Oberhofer, du Centre de services de l'espace rural de Rhénanie-Palatinat. D'un côté, il y a ceux qui ont obtenu un rendement correct, voire excellent et de l'autre, ceux qui ont tout perdu à cause du mildiou. En juin, la chaleur et les précipitations ont entraîné une surcharge de travail dans les vignobles. « Les exploitants qui n'ont pas réussi à procéder de façon systématique ont parfois dû assumer un manque à gagner considérable » indique Reinhold Hörner, président des viticulteurs palatins. À partir d'août, les conditions météorologiques sont revenues à la normale et « la récolte a connu une évolution positive ». Le volume de moût devrait avoisiner les 2 230 000 hectolitres, ce qui représente une baisse de 3 % par rapport à l'an dernier et une hausse de 1 % par rapport à la moyenne des dix dernières années. Aux dires de Boris Kranz, premier président de l'association Pfalzwein, il faut s'attendre à « d'excellents vins ». Pour lui, la cuvée se caractérisera par « une faible teneur en alcool, une acidité bien intégrée et des arômes primaires évoquant les fruits », ce qui devrait donner des vins frais, vifs et légers. Le riesling sera « le grand gagnant cette année », selon Jürgen Oberhofer. C'est ce cépage prédominant dans le Palatinat, principal fournisseur de riesling d'Allemagne, qui a le plus profité de la situation – « surtout des conditions climatiques, qui rappelaient celles d'avant le réchauffement climatique ».

Rheingau
3200 hectares
Une année certes difficile, mais en fin de compte pas autant qu'on le craignait : c'est ainsi qu'Andrea Engelmann, directrice générale de l'association des viticulteurs de la région, qualifie 2021. Ici aussi, le mildiou a fait des ravages, exerçant une pression continue jusqu'en septembre. « Jamais nous n'avions connu des circonstances aussi extrêmes ces dernières années » a-t-elle déploré. C'est surtout le merlot qui a souffert, bien qu'il ne représente que 0,5 % des vignes cultivées entre Hochheim am Main et Lorch. Les vignerons ont en outre été confrontés à un autre problème : le niveau d'acidité des baies est resté haut pendant longtemps, alors qu'une grande partie du feuillage avait été détruite par les champignons. Or le feuillage contribue à la véraison du raisin et à la dégradation des acides. Dans le Rheingau comme ailleurs, c'est finalement le soleil de septembre qui a inversé la tendance. Aujourd'hui, les caves contiennent un nectar de qualité et « dans l'ensemble », le millésime s'avère assez satisfaisant. Le riesling, qui occupe 80 % des terres viticoles, a été récolté trois à quatre semaines plus tard que les années précédentes. Les vins présenteront « un nez fin », affirme la directrice. Approximativement 220 000 hectolitres de moût ont été recueillis – c'est 4 % de moins qu'en 2020, et 3 % de plus que la moyenne décennale. Quelques vignerons ont également ajouté des variétés liquoreuses à leur gamme, et d'autres ont laissé des grappes en place afin de fabriquer du vin de glace, confie Andrea Engelmann.

Hesse rhénane
26 943 hectares
En Hesse rhénane, les vignerons considèrent l'apparition tardive des bourgeons sur les vignes comme une véritable aubaine, car cela les a préservés des gelées nocturnes d'avril qui ont sévi dans la plus grande région viticole d'Allemagne. « Ces températures avaient déjà entraîné d'importantes pertes les trois années précédentes, car les vignes bourgeonnaient déjà en avril » explique Andreas Köhr, de l'association d'agriculteurs et de viticulteurs de Rhénanie-Palatinat Sud. À l'instar du reste du pays, cette cuvée se démarque des trois années précédentes, où chaleur et sécheresse régnaient sans partage. Notamment en raison de l'humidité persistante ayant favorisé la prolifération de champignons qui, dans certaines localités et parcelles, ont causé « des dégâts considérables » en dépit des efforts déployés. Mais de manière générale, la Hesse rhénane s'en est bien sortie, estime Andreas Köhr. Par une heureuse coïncidence, les vendanges ont elles aussi commencé avec du retard, mi-septembre, au moment où les beaux jours ont pu apporter leur pierre à l'édifice d'un « millésime de très bonne qualité ». D'après Andreas Köhr, la véraison par temps froid donnera des vins fruités modérément alcoolisés, avec une large palette aromatique. Sans oublier une vive acidité, « l'une des caractéristiques typiques des vins blancs allemands, qui cette année ressortira davantage que par le passé ». Quelque 2 590 000 hectolitres de moût ont pu être recueillis, ce qui représente une hausse de 1 % par rapport à 2020, et de 4 % par rapport à la moyenne de la décennie.

Saale-Unstrut
819 hectares
Si de nombreux vignobles ont pu prendre leur temps pour vendanger cette année, la Saale-Unstrut a dû au contraire agir dans l'urgence, les fortes précipitations d'août ayant fait éclater le raisin par endroits. Pour garantir une matière première de qualité, les vendanges ont donc été avancées de sept à dix jours, indique Hans Albrecht Zieger, président des viticulteurs de la région viticole la plus septentrionale d'Allemagne. « Nous aurions bien attendu une semaine de plus, mais nous aurions alors risqué de plus lourdes pertes ». Et les vignes avaient déjà souffert du gel en février, quand les températures étaient descendues jusqu'à -27 degrés, causant des dommages considérables dans les vignobles des environs de Freyburg. Le rendement s'est révélé relativement bon dans les zones épargnées par le gel, grâce entre autres à la pluie d'août qui a ajouté du poids aux raisins. Selon les estimations, 38 000 hectolitres de moût ont pu être produits, 27 % de plus que durant une année 2020 éprouvée par le gel, mais 15 % de moins que la moyenne décennale. Qualitativement, le millésime se situe généralement dans la catégorie des vins de qualité, les variétés plus tardives comme le pinot et le riesling pouvant même prétendre à un label (Prädikatsweine). « L'année fait aussi la part belle aux crus prestigieux » souligne Hans Albrecht Zieger. Les vins devraient évoquer les fruits, être bien typés et exprimer clairement leurs arômes dominants. « Ce sont des vins fins, légers et raffinés, avec une belle fraîcheur renforcée par une acidité tonique » dit-il concernant le blanc et le rosé.

Saxe
496 hectares
« Je pense que nous nous en sommes tirés à bon compte » estime Felix Hößelbarth, vice-président de l'association des viticulteurs de Saxe, lorsqu'on lui demande de dresser le bilan de l'année écoulée. Dans cette région viticole à l'extrême est de l'Allemagne, les conditions pluvieuses ont amené avec elles le mildiou et l'oïdium ; par la suite, le pourrissement des raisins s'est ajouté à la liste déjà longue des problèmes rencontrés. Aux dires de Felix Hößelbarth, certains ont même craint de perdre l'intégralité de leur récolte à cause des champignons. Les cépages résistant aux maladies fongiques – cabernet blanc, souvignier gris, johanniter et solaris – sont les seuls à avoir livré des résultats normaux, voire satisfaisants. Ils ont d'ailleurs apporté leur petite contribution aux 22 000 hectolitres de moût obtenu, 5 % de plus qu'une année 2020 meurtrie par le gel, et il ne manquait que 2 % pour atteindre la moyenne décennale. Malgré les conditions climatiques défavorables, les caves sont relativement bien remplies, se réjouit Felix Hößelbarth, qui qualifie ce millésime de « plutôt bon finalement ». Les amateurs apprécieront sans nul doute les vins de qualité qui en sortiront. « Nous avons une fois encore des arômes intéressants. Des vins plus frais élevés en cave, moins opulents donc plus élégants » – contrairement à ceux issus des trois dernières années de canicule.

Wurtemberg
11 424 hectares
Dans le Wurtemberg, le temps froid et humide a permis de retarder les vendanges et, par conséquent, de revoir à la hausse la quantité de vin blanc récoltée, indique le Dr Hermann Morast, directeur général de l'association des viticulteurs du Wurtemberg. Le volume de moût blanc a augmenté de 44 % par rapport à l'année précédente, près du double donc, tout comme la quantité de vin rouge récoltée. Au total, pas moins d'un million d'hectolitres ont rejoint les cuves – une hausse de 34 % si on compare avec une année 2020 marquée par la sécheresse. Pour les vins blancs, les vignerons se montrent particulièrement satisfaits de la qualité du riesling, le principal cépage de la région. Les consommateurs peuvent s'attendre à des rieslings typiques, différents des précédents millésimes car modérément alcoolisés, et avec une acidité de fruit pleine de fraîcheur, affirme Hermann Morast. Globalement, les vins blancs seront très fruités, gouleyants, et présenteront des profils aromatiques très intéressants. La cuvée 2021 s'est également distinguée par ses rouges, qui recouvrent les deux tiers de la surface cultivée. Les cépages trollinger et lemberger contiendront eux aussi moins d'alcool et seront dès lors plus légers, tout en gardant un bon niveau de complexité. De l'avis d'Hermann Morast, « les vins rouges devraient être assez fruités, raffinés, avec une trame acide discrète ». Durant les vendanges, les journées sèches et nuits fraîches ont en outre conféré aux rouges un profil aromatique sophistiqué.

https://www.vinallemand.be/actualites/d … llemandes/
   jean luc  ;)

@jean luc1  voici un exellent restaurant dans la région d'Öhringen sinzingers-krone.de/menue-speisekarte/ . il est super bien .jean luc 1f609.svg

Le 25 août 2022, l'Allemagne a indiqué vouloir soutenir l'inscription du bretzel au patrimoine immatériel de l'Unesco. Si l'initiative est portée outre-Rhin, elle devrait inclure l'Alsace.

En 2014, le site Bretzel Airlines lançait cette information comme un poisson avril. Mais ce qui était une blague il y a huit ans pourrait bien devenir réalité. L'Allemagne pousse pour que le bretzel entre au patrimoine immatériel de l'Unesco, sans oublier son voisin alsacien.

C'est lors d'une visite dans son village natal de Bad Urach que le ministre de Bade-Wurtemberg de l'agriculture et de l'alimentation Cem Özdemir a soutenu cette idée, qu'il dit "vouloir encourager à chaque étape". Le lieu choisi ne relève pas du hasard. C'est à Bad Urach que le bretzel aurait été inventé, en 1477.


On dit bien "aurait" car plusieurs régions se disputent l'origine de la pâtisserie salée. Mais d'où vient le bretzel ? De Bavière, de Souabe, d'Alsace ? Une question qu'il faudra régler pour pouvoir l'inscrire au patrimoine immatériel de l'Unesco.

Concernant le produit en lui-même, la guéguerre se joue surtout outre-Rhin. D'après la

Bietigheimer Zeitung, le bretzel bavarois a des petits bras épais, contrairement à celui souabe, dont le boudin est plus fin "de sorte que le biscuit garde un ventre épais, mais avec des petites manches fines et croustillantes". Aussi, en Bavière, on n'incise pas la pâtisserie avant la cuisson. Ailleurs, on le fait.

Des discussions qui sont bien loin des préoccupations alsaciennes : "Forcément, chacun a sa recette. Certains mettent un peu de beurre pour que ça soit plus moelleux, mais la base reste la même", répond Alain Rebert, le président de la fédération des boulangers du Haut-Rhin.

Ce dernier se réjouit tout de même de cette nouvelle : "Si on est sollicités, bien sûr qu'on donnera suite. C'est toujours important de protéger un produit. Mais il reste à savoir ce que les Allemands veulent mettre en avant. La forme ? La recette ? Ça reste à voir. Il faudra qu'on creuse aussi de notre côté pour déterminer son origine."

Car Cem Özdemir ne veut pas restreindre la candidature à l'Allemagne : "Je m'engage à ce que cette initiative soit transnationale". La France, l'Autriche et la Suisse doivent être impliquées. Dans un communiqué, le ministère fédéral de l'Agriculture et de l'alimentation précise que le bretzel doit être conservé en raison de sa fabrication artisanale, marquée par "le bouclage avec sa technique de lancer spéciale".   6308e3fcbee80_dpaphotosfive983383.jpg


Pourtant, en 2022, la plupart des bretzels sont fabriqués de manière industrielle ou semi-industrielle. On estime à 2% le nombre de boulangers alsaciens qui confectionnent eux-mêmes les leurs. Quoiqu'il en soit, les Français espèrent d'abord que la baguette soit inscrite dans ce patrimoine : "Chaque chose en son temps, conclut Alain Rebert. Ça fait des années qu'on attend pour la baguette."

En effet, ce genre de procédures est très long et très complexe, de l'ordre de plusieurs années. Alors quand plusieurs pays s'en mêlent...                       https://france3-regions.francetvinfo.fr … 01924.html      @jean luc1

un peu de culture dans un monde de brutes

aujourd'huit j'ai déguster un grand cru 2018 un spätburgunder gross gewach troken verenberger verenberg du furst hohenlohe zu Öhringen. couleur rouge clair rubis, arôme cerise ,senteur des bois légers, goût cerise, fruit rouge, vin de garde. avec rôti de porc avec feta , pomme de terre rôti . le cépage en français pino noir 1f603.svg jean Luc 1f609.svg

@jean luc1  En visite à Hambourg mardi 10 octobre, Emmanuel Macron a dégusté avec le chancelier allemand un sandwich au poisson typique de la cuisine populaire du nord de l'Allemagne. Un mets qui n'a pas manqué de faire grimacer le locataire de l'Élysée.

Face à une relation franco-allemande au point mort, et à une multitude de points d'achoppement (défense, industrie, énergie...), Olaf Scholz, le chancelier allemand, a invité Emmanuel Macron à un séminaire de rabibochage à Hambourg, les 9 et 10 octobre. À l'agenda, deux sessions de travail sur la cohésion sociale et l'intelligence artificielle, une visite de l'usine Airbus, une balade en bateau et pour finir une dégustation d'un sandwich allemand traditionnel au poisson fumé. Après tout, quoi de mieux pour relancer le tandem que la diplomatie du sandwich ?

Une stratégie réussie sur le plan diplomatique mais pas tant sur le plan gustatif selon nos confrères de Libération. En effet, sur les clichés on aperçoit le visage grimaçant du président mettant en bouche le traditionnel fischbrötchen. Mais une question se pose sur toutes les lèvres : que contient ce sandwich qui mécontente les papilles du chef d'État ? On vous en dit plus sur ce mets traditionnel.  AA1i9Fir.img?w=768&h=512&m=6&x=2&y=57&s=990&d=359Les ingrédients du fischbrötchen

Au regard de la grimace d'Emmanuel Macron, on suppose que le fischbrötchen ne fait pas l'unanimité auprès de tous les palais. Mais de quoi est composé ce mets traditionnel du nord de l'Allemagne ? Dans un petit pain ovale type tradition, on glisse traditionnellement du hareng frais ou fumé (ou bien du sprat, du saumon, du maquereau, ou encore du cabillaud) avec des oignons blancs, des cornichons, de la mayonnaise, un sauce façon rémoulade, des herbes et parfois du raifort. Cette spécialité de la street food allemande semble bien plus controversée que certains mets que l'on retrouve sur les tables allemandes tels que le currywurst, une saucisse grillée accompagnée de frites et d'une sauce curry, le strudel, la célèbre pâtisserie aux pommes parfumée à la cannelle ou encore les bretzels, pâtisserie salée en forme de nœud recouverte d'éclats de gros sel. https://www.msn.com/fr-fr/divertissemen … r-AA1i9wAn  jean luc 1f609.svg

ce n'est pas l'aspect politique qui m'intéresse dans cette article , mais simplement les préjugés sur la gastronomie allemande ,je lit cette phrase suivante mais que contient ce sandwich qui mécontent les papilles du chef de l'état.

jean Luc 1f609.svg


commentaire: moi j'en est marre des journalistes qui donnent des commentaires toujours négatif sur la gastronomie allemande . Alors on aime ou pas ,mais on goûte . la photos prise montre Macron face au soleil ,et comme tout les participants il cligne des yeux . je ne voit pas Macron être en difficulté pour manger le sandwich .D'ailleurs je me demande si ce journaleux était à Hambourg ou à Paris. quand on connais pas un plat ,on goûte et seulement après on donne son avis . jean luc 1f609.svg