Agroécologie appliquée au Cameroun

frangin a écrit:
ligny a écrit:

Bonjour , je reviendrais vers vous un peu plus tard a ce sujet je suis tres bousculé en ce moment Merci de votre comprehension


Pas de soucis ligny, Nous attendrons mais ne nous oubli pas ;)


Bonsoir a tous,

En effet je vais répondre et surtout a Frangin qui semble septique quant a la non utilisation de la chimie en agriculture
Je n'ai pas encore d'exploitation au Cameroun, malgré une envie grandissante, mais par contre  j'ai exploité en France dans le sud (Crau) et centre  exploitation uniquement a production végètale,  blé, colza, mais,luzerne, tomates de conserve, orge de brasserie,betterave sucrière, sans engrais chimique mais en respectant la tete d'assolement, et en intercalant des engrais vert variés mélangés a la terre, des traitements fongicide a base de cuivre a très faible dose (bouillie bordelaise) suivi d'apports de souffre mouillable et comme insecticide des applications de purins d'orties, et systématiquement toute les 2 a 3 semaines. Sans oublier les semis direct sans travail du sol sauf dans des cas bien définis, ni exportation des résidus de culture.
Je suis a la recherche de terre de savane  au Cameroun pour y produire des cultures maraichères (vivrière) dans l'attente,je réalise des essais de variétés.  En quelques mots voila la ligne de conduite a tenir

ligny a écrit:
frangin a écrit:
ligny a écrit:

Bonjour , je reviendrais vers vous un peu plus tard a ce sujet je suis tres bousculé en ce moment Merci de votre comprehension


Pas de soucis ligny, Nous attendrons mais ne nous oubli pas ;)


Bonsoir a tous,

En effet je vais répondre et surtout a Frangin qui semble septique quant a la non utilisation de la chimie en agriculture
Je n'ai pas encore d'exploitation au Cameroun, malgré une envie grandissante, mais par contre  j'ai exploité en France dans le sud (Crau) et centre  exploitation uniquement a production végètale,  blé, colza, mais,luzerne, tomates de conserve, orge de brasserie,betterave sucrière, sans engrais chimique mais en respectant la tete d'assolement, et en intercalant des engrais vert variés mélangés a la terre, des traitements fongicide a base de cuivre a très faible dose (bouillie bordelaise) suivi d'apports de souffre mouillable et comme insecticide des applications de purins d'orties, et systématiquement toute les 2 a 3 semaines. Sans oublier les semis direct sans travail du sol sauf dans des cas bien définis, ni exportation des résidus de culture.
Je suis a la recherche de terre de savane  au Cameroun pour y produire des cultures maraichères (vivrière) dans l'attente,je réalise des essais de variétés.  En quelques mots voila la ligne de conduite a tenir


Bonjour ligny,
je n'ai jamais dit que c'était impossible, ce serait ridicule pour moi de le dire puisque j'achete une bonne partie de ce que je mange ici en France dans des boutiques bio. non j'ai seulement dit que ce n'étais pas facile et que ça nécessite un minimum de savoir faire pour connaitre le type de sol correspond à quelle culture, quelle climat également avant même de discuter quelle engrais et quels dosages. selon moi il faut ensuite parler des cycles de cultures (rotation, intercalaire, cohabitation etc) et je suis certain que j'en oubli. mais s'il suffit de charger le solde des engrais verts (déjà il faudrait détailler), de la bouilli bordelaise et de la purée d'ortie pour que tout pousses on peut se demander pourquoi le bio coute 4 fois le prix des produits avec engrais? et tant mieux, tout le monde peut maintenant devenir planteur car c'est désormais un jeu d'enfant, les ingénieurs nous avait mystifié le truc! Merci ligny!  :top:

non blague à part, tu trouve ça simple parce que tu maitrises, mais avoue que pour quelqu'un qui se lance comme moi, on a quand même besoin de se faire accompagné, conseiller et de faire des tests avant de trop investir non? dommage que t'ai pas de champs au Cameroun, t'aurais pu donner des formations (contre rémunération évidemment!) rien ne vaut la pratique sur le terrain pour bien apprendre!

Cozarys a écrit:
Blaxs a écrit:
Cozarys a écrit:

- Si vous voulez parler de la culture de l'arachide dans un contexte agroécologique, agriculture biologique, ou dans le même esprit, dans ce cas, ce post est le bon.


Absolument !

Le côté bio / agroécologique est même un point cardinal du projet.

Non seulement pour ne pas avoir de résidu chimique dans le produit final, mais surtout pour ne pas empoisonner les cultivateurs.

En tant que consommateur européen lambda, je suis très sensibilisé à ces aspects via les campagnes médiatiques contre l'exploitation à outrance du palmier à huile et des conséquence désastreuses sur la flore, la faune et l'homme.

Je suis bien conscient que tu désires explorer le sujet avec un prisme plus 'idéologique' voire philosophique, et je te rassure, je n'y vois pas uniquement un argument marketing.

Mais je suis persuadé que si l'agroécologie doit se développer en dehors des jardins des adeptes du concept, ll faut que ce soit poussé par également des arguments économique.

Et contrairement à toi, je pense que l'aspect 'commerce équitable' est pas hors sujet, mais au coeur du sujet.

Un cultivateur camerounais, c'est pas un bobo ni un alter-mondialiste,  c'est un entrepreneur ! Si tu lui parles de moins de rendement et plus de travail pour le bien de la planète et de l'écosystème, je suis pas sur que c'est vendeur.

Si par contre on lui fait comprendre que quitte à faire un sacrifice en terme de rendement et d'investissement en main-d'oeuvre, au final son revenu sera supérieur, ce sera plus intéressant.


Bonjour Blaxs,
Permets-moi certaines réactions de ma part sur certains points. Je ne peux en effet ne pas y répondre. Considère les réponses ci-dessous comme étant fermes, non adressées à toi spécialement, et sans appel d'aucune polémique. Je vais m'efforcer d'être circonstancié :
1 / La culture du palmier à huile n'est pas visée particulièrement, c'est sa méthode d'application à grande échelle intensive et chimique en remplacement souvent de forêts primaires qui pose problème. Je considère personnellement (et toute la filière traditionnelle "huile de palme" le considère aussi) que la récente campagne occidentale de dénigrement de l'huile de palme est un arbre qui cache une forêt beaucoup plus liée à un aspect stratégico-commercial qu'éthique. La culture extensive ou semi-intensive a toujours été pratiquée sans problème, de nombreux pays d'Afrique ont consommé son huile depuis des temps immémoriaux sans problème (sans parler des applications pharmaceutiques et sanitaires) et je ne vois pas pourquoi soudainement, ce produit devrait être banni. Voudrait-on nous faire croire que les produits issus du soja et autres huiles sont exemptes de toutes réserves, en cas notamment de surconsommation et/ou de mode de consommation inadapté ? Fermeture de la parenthèse.
2 / Aucune idéologie ne m'habite à cet endroit de l'agriculture. Pour aller plus loin, aucune idéologie ne sous-tend l'agroécologie. Cette précision est ferme et sans appel car aucun aspect religieux ou sectaire ne peut être observé à aucun moment dans ces pratiques qui ne sont que des méthodes simples, économiques, concrètes et pragmatiques visant à la prospérité simple et indépendante dans la filière agricole. Ce ne sont que des pures applications du bon sens et de la connaissance du sol, de la plante, du climat.
3 / Bien que, à certains moments, je puisse employer des termes et expressions clairement philosophiques, je me dédie de toute orientation philosophique. La philosophie est un outil, juste un outil, parfois intéressant pour apporter une lumière différente et à un autre niveau sur des situations générales ou particulières. Et, comme tout outil, il est au service de l'homme, l'homme n'est pas à son service.
4 / Si certains croient que l'agroécologie est une question de bobos ou d'altermondialistes, qu'ils quittent cette discussion. Car ce n'est, en aucune manière, le cas.
5 / Pourquoi la question du commerce dit "équitable" n'est pas à traiter dans cette discussion ? Pour tous ceux et toutes celles qui désirent en parler, je crée aussitôt une discussion dédiée au commerce équitable, pour que ce sujet soit clairement éjecté de cette discussion présente.
6 / L'agriculteur Camerounais, un entrepreneur ? Oui, absolument. Et, en ce qui me concerne, je ne suis pas un technocrate ni un "spécialiste", mais un conseiller agricole de terrain et un entrepreneur, dans différents domaines, notamment agricoles. Je suis bien placé pour connaître les paramètres agricoles, qu'ils soient Africains, Européens, Canadiens. Fermeture de la parenthèse.
7 / Personne ne demande de faire des sacrifices à l'agriculteur. Au contraire, c'est lui qui se sacrifie s'il s'entête à écouter les conseillers technico-commerciaux classiques et les firmes agrochimiques/semencières mondiales qui se moquent éperdument de son rendement, de son bien-être, de sa prospérité.
8 / Personne n'a de commentaires à faire, de questions à poser, par rapport aux liens et aux références suggérés au début de cette discussion ?
Merci à toutes et à tous et bonne journée.


Wouahhhh! Ca c'est dit!

Bonjour
j'ai finalement pris la peine de chercher sur le site de terre humanis et je ne trouve pas les sites Camerounais partenaires. Est-ce que je cherche mal ou ils ont étés supprimés? (ce qui serait dommage).

Comme j'ai un peu plus de temps devant moi j'ai parcouru plusieurs vidéos sur youtube afin de me renseigner sur la permaculture dont nous parlait Daliakris et je me rend compte que c'est très intéressant. Malgré les réserves émises par COZARYS il semble que ce soit c'est très intéressant.

effectivement il faut l'adapter à chaque environnement, il faut de très bonne connaissance dans la chimie des plantes (plantes tropicales dans notre contexte Camerounais) afin de connaitre les bonnes combinaisons des plantes qui peuvent être complémentaires, de plus il semble que la permaculture implique un grande variété de plante diverses afin de créer un réel écosystème, ça implique des plantes comestibles mais que nous n'avons pas ou plus l'habitude de consommer et il faut donc reprendre de nouvelles habitudes alimentaires et la plupart n'ont donc pas de marché donc aucune valeur financière, suelement une valeur nutritive.

De ce fait je crois que c'est un mode éventuellement trop austère pour en faire un mode exclusif d'agriculture car la plupart des produits n'auraient pas de débouché commerciaux donc pas de revenu pour les villageois et il faut être honnête, ils (tout comme nous) ont besoin de faire plus que manger d'ailleurs le cameroun n'est pas de crise alimentaire contrairement à l'inde ou d'autres pays africains. reste que ça reste intéressant dans la mesure ou on apprend beaucoup et ça peut leur permettre sans effort de produire leur alimentation et mettre le reste de leur efforts vers une culture plus commerciable.

cher Cozarys, est-ce que l'agroécologie est un mix entre l'agriculture classique et la permaculture? Elle combinerait les avantages de la permaculture en créant un écosystème équilibré tout en permettant une agriculture plus commercial par une intervention humaine plus forte mais exempte de produits chimiques industriels car ceux-ci seraient remplacé par des apports naturel végétaux et/ou animaux. On aurait donc la notion de création de micro systems comme dans la permaculture  pour "aider" le paysan, mais une production plus dirigée par plus d'intervention humaine qu'en permaculture?

si j'ai bien compris cette approche me correspond mieux car je ne suis pas prêt a abondonner ma connexion internet mon écran plat et ma voiture mais je veux faire de l'agriculture en harmonie avec la nature surtout si en plus ça me permet de maximiser les rendements de mon exploitation tout en la rendant pérène.

évidemment je suis peut-être à côté de la plaque et auquel cas il faut me le dire car en fait j'essai de cadrer la différence en termes concret entre permaculture, agriculture biologique, agriculture classique et agrobiologie.

frangin a écrit:

Bonjour
j'ai finalement pris la peine de chercher sur le site de terre humanis et je ne trouve pas les sites Camerounais partenaires. Est-ce que je cherche mal ou ils ont étés supprimés? (ce qui serait dommage).


Bonjour,
Merci Frangin pour cette remarque concernant le lien défectueux. En effet, depuis quelques mois, toute activité de Terre et Humanisme a cessé au Cameroun. Cet organisme poursuit ses coopérations envers différents pays du monde (Indonésie, Burkina Faso, Mali, Côte d'Ivoire, Inde, Maroc, Roumanie, etc.) mais plus au Cameroun. Les raisons effectives ne seront pas développées ici. Il ne s'agit pas, cependant, d'un souci technique ou d'ordre d'adaptation de la technique agroécologique.
En revanche, les projets divers (3 principaux), lancés et propulsés au Cameroun ne sont pas du tout morts pour autant : l'un des principaux, au Noun (conservatoire de semences paysannes locales), le projet se poursuit. Ce programme permet de conserver la biodiversité cultivée, dassurer la reproductibilité des semences par lutilisateur et de devenir un lieu représentatif des conditions de culture de lAfrique Centrale.
De plus, plusieurs éléments isolés ayant reçu des formations en agroécologie sont toujours en circulation/activité au Cameroun.

Pour toutes les personnes désireuses d'informations sur ces sujets du développement de l'agroécologie au Cameroun, étant donné que, d'une part, il s'agit d'une de mes activités professionnelles, d'autre part que je suis en collaboration étroite avec Terre et Humanisme et Pierre Rabhi, vous pouvez me contacter par message privé ou éventuellement en réponse sur ce post (visibilité publique). Je remplis ainsi le rôle de relais d'informations.
Merci.

Je répondrai plus tard aux autres questions concernant les définitions de la permaculture, agrobiologie (= agriculture biologique), agriculture classique, agriculture biodynamique, anthroposophie agraire, agroécologie, agroforesterie, etc.
Mais, encore une fois, je précise que ces "tiroirs" ne sont pas étanches entre eux et que les buts essentiels à atteindre (normalement) pour un agriculteur sont d'assurer :
1 - la pérennité de sa production
2 - la viabilité économique de son exploitation
3 - le respect de l'environnement et de la vie en général (dont les êtres humains)
4 - la moindre dépendance aux aléas climatiques, aux fluctuations des cours mondiaux, aux firmes agrochimiques et agrosemencières, aux super-systèmes mécanisés
5 - l'adaptabilité de son exploitation face aux exigences du marché local ou non local
6 - le maintien de bonnes conditions de vie pour lui et sa famille
7 - l'expérimentation individuelle et collective ainsi que le rehaussement de ses connaissances.

Si l'agriculteur parvient à assurer tout ça à la fois, je crois qu'il peut de soucis à se faire.

Cozarys a écrit:
frangin a écrit:

Bonjour
j'ai finalement pris la peine de chercher sur le site de terre humanis et je ne trouve pas les sites Camerounais partenaires. Est-ce que je cherche mal ou ils ont étés supprimés? (ce qui serait dommage).


Bonjour,
Merci Frangin pour cette remarque concernant le lien défectueux. En effet, depuis quelques mois, toute activité de Terre et Humanisme a cessé au Cameroun. Cet organisme poursuit ses coopérations envers différents pays du monde (Indonésie, Burkina Faso, Mali, Côte d'Ivoire, Inde, Maroc, Roumanie, etc.) mais plus au Cameroun. Les raisons effectives ne seront pas développées ici. Il ne s'agit pas, cependant, d'un souci technique ou d'ordre d'adaptation de la technique agroécologique.
En revanche, les projets divers (3 principaux), lancés et propulsés au Cameroun ne sont pas du tout morts pour autant : l'un des principaux, au Noun (conservatoire de semences paysannes locales), le projet se poursuit. Ce programme permet de conserver la biodiversité cultivée, dassurer la reproductibilité des semences par lutilisateur et de devenir un lieu représentatif des conditions de culture de lAfrique Centrale.
De plus, plusieurs éléments isolés ayant reçu des formations en agroécologie sont toujours en circulation/activité au Cameroun.

Pour toutes les personnes désireuses d'informations sur ces sujets du développement de l'agroécologie au Cameroun, étant donné que, d'une part, il s'agit d'une de mes activités professionnelles, d'autre part que je suis en collaboration étroite avec Terre et Humanisme et Pierre Rabhi, vous pouvez me contacter par message privé ou éventuellement en réponse sur ce post (visibilité publique). Je remplis ainsi le rôle de relais d'informations.
Merci.

Je répondrai plus tard aux autres questions concernant les définitions de la permaculture, agrobiologie (= agriculture biologique), agriculture classique, agriculture biodynamique, anthroposophie agraire, agroécologie, agroforesterie, etc.
Mais, encore une fois, je précise que ces "tiroirs" ne sont pas étanches entre eux et que les buts essentiels à atteindre (normalement) pour un agriculteur sont d'assurer :
1 - la pérennité de sa production
2 - la viabilité économique de son exploitation
3 - le respect de l'environnement et de la vie en général (dont les êtres humains)
4 - la moindre dépendance aux aléas climatiques, aux fluctuations des cours mondiaux, aux firmes agrochimiques et agrosemencières, aux super-systèmes mécanisés
5 - l'adaptabilité de son exploitation face aux exigences du marché local ou non local
6 - le maintien de bonnes conditions de vie pour lui et sa famille
7 - l'expérimentation individuelle et collective ainsi que le rehaussement de ses connaissances.

Si l'agriculteur parvient à assurer tout ça à la fois, je crois qu'il peut de soucis à se faire.


Bonjour,

Je confirme être toujours autant intéressé par tout cela et si pour l'instant, je reste silencieux, c'est simplement que face à quelque chose que je ne connaissais, j'ai besoin de temps pour assimiler un minimum et ce d'autant plus que FRANGIN par son dernier post, m'incite inconsciemment à élargir encore le domaine de mes recherches :-)
Cordialement

Bonjour, je suis camerounais. Je viens de faire une faire connaissance de l'agro écologie à travers une formation sur MOOC de FUN.
J'avoue que cette formation a renforcé la passion et la motivation que j'avais pour la production agricole.
Je suis retraité et propriétaire d'un champ de 25 hectares à l'ouest Cameroun que j'ai prévu pour ma retraite et sur lequel j'attends monter un projet pour une exploitation agro pastorale et particulière avec l'utilisation des processus écologiques.
Il s'agit plus précisément du département du noun, ville de Magba.
Je suis à la recherche d'un  ou des partenaires qui puisse s'associer avec moi depuis l'étape élaboration du projet jusqu'à la mise en œuvre.
Il s'agit bien sûr d'un partenariat sous toutes ses formes.

DAVEHAKOUA a écrit:

Bonjour, je suis camerounais. Je viens de faire une faire connaissance de l'agro écologie à travers une formation sur MOOC de FUN.
J'avoue que cette formation a renforcé la passion et la motivation que j'avais pour la production agricole.
Je suis retraité et propriétaire d'un champ de 25 hectares à l'ouest Cameroun que j'ai prévu pour ma retraite et sur lequel j'attends monter un projet pour une exploitation agro pastorale et particulière avec l'utilisation des processus écologiques.
Il s'agit plus précisément du département du noun, ville de Magba.
Je suis à la recherche d'un  ou des partenaires qui puisse s'associer avec moi depuis l'étape élaboration du projet jusqu'à la mise en œuvre.
Il s'agit bien sûr d'un partenariat sous toutes ses formes.


Bonjour,
Vous démontrez le côté positif de l'Internet : les mooc (support collectif de diffusion à distance des connaissances), ce forum (merci au fondateur Julien).
Comme indiqué hors forum, vous avez pris une bonne direction, celle de l'Agroécologie. Et le fait d'avoir pour ce faire 25 ha d'un seul tenant est un atout supplémentaire.
Si vous le souhaitez, au fur et à mesure, vous êtes libre de partager le parcours sur ce forum public. Bien sûr, il ne s'agit pas de "trahir" des secrets professionnels mais de favoriser des émules par l'exemple : donner l'envie aux agriculteurs de se lancer dans l'Agroécologie.
Bien à vous.