Que sont ils devenus

Bonjour à tous.
Il y a une question que je me pose depuis longtemps : Que sont devenus tous les candidats à l'expatriation ? Tous ceux qui ont visité le site Expat.com et qui étaient en recherche d'informations pour une éventuelle expatriation.
Quels ont été les motifs qui ont fait qu'ils sont venus ou qu'ils ne sont pas venus ?
Parfois, je regarde des messages de 2009 et je trouve des gens qui ne paraissent plus présents aujourd'hui. Sont ils venus et repartis, sont ils toujours présents ?
Si vous avez des infos, je pense que cela pourrait être une piste pour ceux qui désirent venir aussi.
Cordialement

Oui Pierre ça serait sympa d'avoir des nouvelles. J'aimerais bien par exemple savoir ce qu'est devenu Alexandresirieix originaire de Bordeaux il s'est installé avec son père fin 2011 à las Terrenas où il avait le projet de monter un salon de coiffure.....

Oui Pierre, certains sont venus, sont restés un temps et sont repartis pour plusieurs raisons. Les raisons des départs sont aussi variées que les gens mais grosso modo , du moins ceux que j'ai connus, sont repartis car ils n'ont pas trouvé leur bonheur ici, ils préféraient le confort et les avantages de leur pays et s'y sentaient mieux ou bien ils ont préféré passer leur chemin et aller voir autre chose.
Et oui, tout le monde ne tombe pas amoureux de la RD, la Rd c'est vraiment une histoire de cœur je crois et quand le cœur n'y est pas rien ne sert d'insister.
J'en ai connu aussi qui sont partis et qui sont revenus car ils se sont rendus compte une fois partis qu'ils aimaient vivre ici même avec tout ce qui peut les déranger.
Il y a beaucoup de cas de figure, ce sont beaucoup d'aventures humaines.

On a tous des tas d'exemples à donner, en plusieurs années on en voit énormément arriver et repartir mais ce sont les gens du forum qui nous intéressent en l'occurrence ; ils avaient des attentes, des projets, certains d'entre nous ont passé pas mal de temps, surtout en privé, pour donner des infos, aider dans la mesure du possible, alors parfois on se demande comment cela a évolué......

Tinadecastillo a écrit:

On a tous des tas d'exemples à donner, en plusieurs années on en voit énormément arriver et repartir mais ce sont les gens du forum qui nous intéressent en l'occurrence ; ils avaient des attentes, des projets, certains d'entre nous ont passé pas mal de temps, surtout en privé, pour donner des infos, aider dans la mesure du possible, alors parfois on se demande comment cela a évolué......


Oui,Tina, j'entends bien,pas de souci, je parlais bien des gens du forum que j'ai connus, je ne suis pas sortie du sujet, j'ai connu tous ces gens sur le forum.Personnellement je ne donnerai pas plus de détails car je respecte leur vie privée.

Oui Brigitte je conçois parfaitement que tu respectes la vie privée d'autrui, je trouve dommage que les intéressés qui ont su demandé à un moment des avis, des conseils, des infos n'apportent pas à leur tour leurs témoignages  Mais je sais que c'est très commun aux forums C'est pareil sur le routard, voyage forum, les touristes veulent des renseignements complets sur leur futur lieu de vacances mais un sur 100 vient poster ensuite un compte rendu.;)

C'est vrai,je suis d'accord avec toi Tina et je trouve aussi dommage de ne pas savoir leurs impressions. Peut-être que si le blog offrait un espace spécial consacré aux témoignages post expérience , cela motiverait plus les blogueurs à raconter leurs expériences.

Peut-être aussi qu'il y a des coupures d'électricité ne garantissant pas leur accès à internet :-) ?  Enfin, ça c'est pour ceux comme moi, qui se sont finalement installés en Rep Dom et qui n'ont pas d'inverter ( ou inverseur ? je sais jamais)!
Presque 1 an maintenant que je suis là.
Certains me disent  que je suis "aplatanada"...chose qu'on me disait pas avant. Donc c'est que je commence un peu à comprendre le système...et la langue bien sûr. Mais le plus souvent c'est et ce sera toujours je crois "rubia", "gringa"...à mon plus grand désespoir puisque j'ai les cheveux châtains et que je ne viens pas des Etats-Unis. Si seulement c'était "francesa !"
Je me sens toujours en période de découverte...c'est encore l'aventure pour moi. J'aime mon chéri dominicain, la mer, le mangu, les fruits,  la chaleur des dominicains qui m'a d'ailleurs manquée lors de mon séjour en France. J'aime aussi, pour l'instant, le fait de pas travailler et de m'occuper de mon enfant. En France mon conjoint aurait gagné moins d'argent et j'aurais dû déjà bosser...et j'aime surtout le fait qu'il me reste énormément de choses à découvrir. Le plus beau reste à venir. Mais je dois dresser un tableau honnête de mon expérience içi : tout n'est pas à mon goût.
J'ai quand même du mal à m'adapter. La rep dom, j'y suis non pas par amour du pays, mais parce que j'y ai suivi mon conjoint...désolée pour tous ceux qui rêvent d'y vivre et qui ne peuvent pas, c'est le monde  l'envers, hein ?
Je pense que je suis devenue beaucoup plus tolérante depuis que je suis là. En fait j'ai pas vraiment eu le choix, parce sinon j'aurais pété un plomb.
Déjà on habite à la capitale,  même en France j'aime pas trop les villes. Trop bruyant, pas assez de vie "verte". Du coup je suis toujours enchantée de prendre un bon bol d'air loin du béton.
Je suis athée, complètement.  Donc les "dios te bendiga" à tour de bras, après m'avoir fait sourire, et je remercie toujours poliment je traduis ça plutôt par une petite phrase gentille du genre "je souhaite que tout aille bien pour toi". Il faut dire que le champ lexical dominicain tourne beaucoup autour de "dieu", et je ne suis pas sûre de la complète sincérité, dans bien des cas, de ces petites allocutions...je crois que c'est un peu comme notre "salut comment ça va ?" (et tout le monde s'en contrefout). Je vais pas m'étendre, il y a un post "la religion en rep dom", peut être que j'y écrirai quelque chose.
Pas toujours facile non plus le côté village type je te donne des conseils  sans que tu me demandes rien. Le bon côté, c'est que ça change de l'indifférence, même si les conseils sont mauvais, souvent issus de la catégorie "mais de quoi je me mêle, et t'y connais quoi toi d'abord ???"
Beaucoup içi confondent croyance et connaissance. Niveau d'éducation dans l'ensemble très très bas. Peu d'ouverture, voire pas, sur les autres cultures, les autres façons de faire. Sans doute lié à la position insulaire du pays et aux échanges internationaux insuffisants.
A cause de la pauvreté, si proche, prête à engloutir ceux qui ont réussi à se frayer un chemin vers une classe"moyenne", et bien le matériel est devenu pour beaucoup un but et non un moyen.
Mais ça doit être plus fort en ville qu'à la campagne ce côté là.
Partout il y a quelqu'un pour te monnayer un service dont tu  n'as pas besoin...je connaissais pas ça avant, et c'est vrai qu'être européen n'aide pas.
Je trouve beaucoup de paradoxes içi : le dominicain si aimable à l'accoutumée se transforme en une incarnation de l'égoïsme lorqu'il conduit. Et c'est vraiment pire qu'en france, Marseille parait civilisé à côté. Disons qu'en France nous sommes des vaches, içi des chèvres ;-)
Je trouve aussi qu'ils ont peur de beaucoup de choses. Mes amis dominicains me feraient presque devenir parano avec les "ladrones". Il ne m'est rien arrivé de mal. Au contraire mes craintes étaient souvent injustifiées, j'ai rencontré beaucoup de gens très serviables.
Comme dans la plupart des îles qui ne sont pas des îles de pêcheurs au départ, l'omniprésence de l'eau, et le grand désintérêt qu'elle suscite. Incroyable non ?
Concernant le domaine de la santé le pays fait sans doute de gros progrès, mais le niveau n'est pas bon.  Rare sont les bons médecins, et le plus souvent ce sont ceux qui se sont formés à l'étranger. En plus, le problème c'est que en amont comme en aval, le système de santé ne suit pas (urgences mobiles,formations des paramédicaux, hygiène...). Vous pourrez me dire avoir été très bien soigné et je vous  crois, mais il y a trop de failles à tous les niveaux. Beaucoup de risques. Mais le premier acteur de la santé c'est nous même, donc on se responsabilise : on mange bien, on met un casque en moto et la ceinture en voiture (et même les enfants à l'arrière, hein ?). Un bon point pour la santé, le pays est la référence dans les caraïbes pour soigner la dengue. Bravo.
Je crois sincèrement que malgré toutes les difficultées que l'on peut y rencontrer, il est possible de vivre une très jolie vie en république Dominicaine.
Mon point de vue est conditionné par ma situation de jeune mère récemment expatriée du coup un peu cloisonnée quand même, je l'avoue.
Alors, je vais m'adapter ou pas ?
Et les autres ? OOOhééé les petits expat'...qui d'autre essaye ou a essayé ?

Pour quelqu'un qui a moins d'un an au pays je trouve ta vision très pertinente. Merci à toi d'avoir partagé ton point de vue :)

Ton message Anaïs est très bien et reflète bien tous les ressentis que nous pouvons avoir nous français de Saint Domingue. Si tu es sur la capitale on peut se connaître si tu veux comme ça on pourra discuter de tout ça.Pour le "dios te bendiga" je te précise que ça veut dire qu'ils te trouvent jolie tout simplement et moi aussi, comme toi je me contrefous qu'on me le dise. Quand au "rubia' n'en parlons pas...Alors fais-moi signe si tu veux qu'on se voie. Si tu es de Marseille (parce que tu mentionne la ville),on est de pas loin, je suis de Toulouse.

Beau témoignage , Anaîs , et bien écrit ! merci !

Pierre69190 a écrit:

Pour Anaisgothere.
Pour du vécu, ça, c'est du vécu. Des choses du quotidien que tu décrit très bien.
C'est vrai que la vie est faite de choses simples.
Je me souviens d'avoir questionné des dominicaines vivants en  Europe il y a plusieurs années de ça. Elles me répondaient toute avoir le " spleen ", le mal du pays. Et chacune avait un remède. L'une buvait un verre d'alcool, l'autre priait, l'autre ....
A force de toujours vouloir ce que l'on n'a pas, en fait, on recherche toujours quelque chose.
Très joli témoignage.
Viens tu à la journée prévue à Nizao ?
Cordialement

Il n'y aurai donc qu'une seule personne qui a des choses intéressantes à dire sur son intégration ( ou non ) dans ce magnifique pays ? Merci Anais.
Mon exemple à moi ne vaut que pour les 3 mois de ma présence ici.
Je suis venu plusieurs fois auparavant ici, pour des périodes de congés payés n'excédant pas un mois. Cela n'a en fait rien à voir, de savoir que l'on va repartir, et le fait que l'on va vivre définitivement ici. Il y a un certain bien être de savoir que si cela ne va pas, on va repartir. On ne s'attache pas de la même façon aux choses simples de la vie. Dès l'instant que c'est pour la vie, on voit différemment. Dans mon cas, je vis mieux, mis à part la bronchite qui m'atteint en ce moment.
Plus de stress, plus de boulot, plus ces soucis au quotidien de partir travailler à 6h00 le matin et de revenir chez soi à 21h00. C'est pas vivre ça. Ma femme disait toujours : " Tu vis pour travailler alors que tu devrais travailler pour vivre ". C'est bien une attitude antillaise. Demain est un autre jour. Ma belle mère a vu un gringo s'énerver au téléphone , à notre première rencontre, alors que j'essayai de retrouver mes bagages perdus pendant mon trajet. La vie est cool ici comme disent mes enfants. Jean de La Fontaine disait : " Rien ne sert de courir, il faut partir à point ". C'est comme ça ici.
C'est ainsi que des candidats à l'expatriation de ma famille n'ont pas tenus le coup ici.
Par contre toutes les personnes qui ont émmigré vers les Etats Unis, la Suisse, l'Italie, l'Espagne ou la France ont réussi, plus ou moins bien, à s'intégrer dans une nouvelle culture, une nouvelle vie. Tous ont trouvé un travail et un confort qu'ils n'avaient pas ici.
Par contre, un beau frère Suisse n'a pas résisté plus de 3 ans à cette attitude désinvolte. ( pour nous européens ). D'autant plus qu'il était fondé de pouvoir dans une grande banque genevoise, et   pour qui une parole donnée est sacrée. Ici on dit toujours oui et on ne voit toujours rien venir. Comme notre électricien que l'on attend depuis plus d'un an malgré un départ de feu dans la maison. Comment travailler dans ces conditions ? Il est retourné en Suisse. Il était à Bavaro.
Pour nous c'est posé cette question : Doit on venir pour travailler ou pour profiter des bienfaits de la vie ? Nous avons finalement choisis la deuxième solution, bien que, à un moment, on a hésité. On avait acheté un Colmado dans le quartier Herrera de la capitale. Les affaires étaient suivies par mon épouse Angelita et par un de ses amis d'enfance. Il aurait fallu que je sois présent moi même ici pour que cela fonctionne mieux ( c'est mon métier ), mais cela nous a servi d'exemple.
On a pensé aussi faire chambres d'hôtes dans notre ( nos) maison (s ) de Villa Mella. 7 chambres en tout. Et puis, les circonstances de la vie en ont décidé autrement. Notre fils veut s'en occuper. Grand bien lui fasse.
Nous essayons de profiter des bienfaits de la vie, des mangues qui commencent à donner, des fleurs et de la nature. Angélita croit au paradis sur terre ; elle l'a créé ici à Villa Mella.
Nous sommes paisibles et loin du bruit de la ville, même si parfois.....
Mon grand bonheur, c'est quelque chose de tout simple : Couché sur mon transat, sous un manguier, en écoutant une  symphonie de gustav Mahler. C'est rien mais tellement grisant.
Nous nous intégrons au voisinage, nous avons des amis de tout bord, des riches, des pauvres, des blancs, des noirs, des étrangers et des dominicains. C'est la vie paisible dont nous rêvions. Moi depuis Saint Fons, banlieu lyonnaise aux usines pétro- chimiques et Angélita qui s'est expatriée en  Suisse en 1980 pour trouver une vie meilleure.
Il n'y a rien d'exceptionnelle dans tout cela, mais, je crois, l'essentiel, c'est que tout doit être réfléchi dans les moindres détails.
Pour ceux qui auront eu le courage d'aller jusqu'au bout :
Cordialement

Merci Pierre pour ce super témoignage. C'est bien d'avoir l'expérience et le ressenti de chacun. Je me rend compte que c'est difficile de faire un choix et souvent pas facile de savoir exactement ce que l'on veut vraiment.

Merci encore.

C'est un régal de te lire Pierre et de partager ta façon de voir les choses. Pour moi, parmi tous les moments de bonheur que je peux grappiller ici et là, il y a aussi ceux passés dans mon transat, face à la mer en écoutant le concerto pour violon de Max Bruch.( mais j'écoute du Mahler aussi ;))
L'expatriation pour moi fut entachée de très mauvais moments,un drame perso puisque mon compagnon fut victime d'une tentative de meurtre, des mensonges, des vols, des arnaques que j'aurais pu en partie éviter si j'avais été plus attentive à la différence de mentalité, et sans vouloir faire du cirage de pompes, si un forum tel que celui ci avait existé quand je suis venue la première fois en 2003. J'aurais sans doute été alertée sur certaines pratiques, ainsi par exemple, j'avais voulu ma maison sans alarme, sans grillages, sans arme; j'ai été cambriolée 3 fois, maintenant je dis "bon courage" au prochain qui tente ;-)
Ce que je n'avais pas mesuré non plus c'est le potentiel de nuisance de mes compatriotes, on se dit : on partage un rêve commun, on devrait s'entraider, se soutenir, se donner des infos et  finalement on tombe sur un maximum d'aigris, de jaloux, des haineux qui passent leur temps à balancer leur venin. Mes plus beaux arnaqueurs sont made in france, une commission sur une vente qui ne m'est pas versée car le vendeur et l'acheteur finalement se partage le butin, un commerce que je convoite et qu'une "amie" va vendre à quelqu'un d'autre, des menaces de mort car j'ai osé retirer mes enfants d'une école que je jugeais nulle...Si je suis encore ici c'est qu'en fait je me fous de ce que pensent les gens, ma plus belle réussite est de voir mes enfants, que j'ai entraîné dans ce choix de vie, heureux d'être dans ce pays ,il y a quelques jours mon fils a posté sur son facebook ; " Petite phrase pas méchante du tout, voir même un peu vraie: En République Dominicaine les gens se rassemblent pour ne rien faire, mais le font si bien. ;)(j'aime ce pays qui est devenu le mien)" il a 19 ans, il va partir bientôt vivre au canada pour avoir une autre vision du monde, mais il est a 2000% intégré , je ne parle pas de ma fille 13 ans c'est une dominicaine "de pura cepa".
Tout comme toi Pierre ma vie est métissée :P noirs, blancs, riches, pauvres.
J'ai eu la chance d'avoir un passé assez sympa en France, de pouvoir visiter le monde entier de part ma profession, de faire des rencontres de gens passionnants, en fait cela me sert de socle aujourd'hui pour apprécier à sa juste valeur  un dimanche dans le campo, dans une famille dominicaine, un pique nique au bord du rio, le café du matin chez mes voisins haïtiens, les soirées à danser la bachata, mes nouvelles passions pour les coqs de combat ou les cours de salsa.  Asi es:)

je trouve ca jolie depeint

Merci Tina aussi pour nous faire partager ton ressenti, cela me remonte le moral quand j' ai envie de tout plaquer et partir....
J' aime ce pays mais depuis que je suis a Saint Domingue, rien ne va plus. Le bruit en premier, la chaleur, la pollution.
Je suis dans une maison mais j' entend la tele du voisin toute la journée de 6h du matin a 11h le soir, les chiens, les alarmes de maisons et de voitures, les jeunes a cote et leur musique infernale, enfin bref, je deviens folle. Je pensais trouver plus de travail a la capitale mais c' est le contraire qui se passe.
Malgré tout, je m' accroche pour l' amour de mon compagnon et la scolarité de mes enfants.
Je rêve de vivre en dehors de la ville et je fais tout pour y arriver. Ici, je suis bien loin des plages et cocotiers....
Mais je suis contente d'avoir eu l'idée de génie de refaire surface sur le forum et de rencontrer des gens biens avec qui on peut partager.
Ma famille me dit de revenir en France car j'aurai toutes les aides possibles en tant que célibataire avec deux enfants, mais non, je préfère galérer un peu ici car au bout du compte, je sais qu'en me battant je réussirai a vivre en dehors de la ville et faire ma place au soleil, pardon á l'ombre des cocotiers.
Je suis passée par toutes les étapes, des bons travails avec des bons salaires a rien du tout.
Je me suis aussi faite arnaquer par certains dominicains mais heureusement, cela n'a jamais été bien méchant.
Enfin bref, Tina, Pierre et les autres, on est quand même bien dans ce pays malgré les inconvénients.

Bonjour Anais,
Viendrez-vous le 19 à la journée organisée par Yann ? Cela me ferait plaisir de vous rencontrer.

A très bientôt peut-être.
Catherine