Que pensez vous des transports au Brésil?

OLA,

Pour vous déplacer domestiquement(dans le Brésil) et personnellement au Brésil, inter-Etats, entre villes, dans votre ville, que pensez vous des transports et options proposées?

Sujet général,Route, fer, mer, air,  tant sur les prix, les options, la qualité, la sécurité, les facilités, les difficultés, les temps de trajets,rodizio de plaques, etc...

Pour aller de SAO à RIO (450 km) 6 heures de voiture ou plus....

Ou l'avion (entre se rendre à l'aéroport, embarquer, le trajet(voiture, taxi ou bus pour certains), l'arrivée, puis aller à destination parfois c'est le même temps mais plus cher et quand votre vol n'est pas annulé derechef)
ou le bus.....moins cher mais long.

Pas de train pour l'instant, un TGV était prévu en 2014 pour la COPA, mais visiblement ce sera en 2020 si projet maintenu car pas de candidat à ce jour), avec un prix de 200 BRL le trajet (prévision).

Le Rodizio, aujourd'hui ne sert plus à grand chose,surtout dans les quartiers déjà saturés, où les constructions foisonnent, à part avoir une multa de 90 BRL si on ne respecte pas!et qu'on a pas le choix.

Je pense que tous les résidents au Brésil ont déjà une idée du colapse qui atteint les transports dans ce pays.Ce thème ne devrait pas apporter grand chose de positif pour les participants.

A São Paulo, il faut utiliser le plus possible le métro qui est rapide et efficace ainsi que les trains et les couloirs d'autobus et de trolleybus.
Le plan de ces principales lignes de transport en commun (non compris les lignes d'autobus !) est disponible ici:
http://www.cptm.sp.gov.br/e_images/geral/mapa_popup.asp

Pour les transports entre villes distantes, soit l'avion, soit l'autobus (pas de trains !).
Il y a une option intéressante: l'autobus couchettes.(onibus leito)
Par exemple, je me suis rendu à Itajai SC, départ le soir de São Paulo, arrivée le matin à Itajai, réunion toute la journée dans une entreprise de la région, retour le soir même, arrivée à São Paulo le lendemain matin.
Une bonne douche et on est prêt pour une nouvelle journée de travail !
On dort très bien dans l'autobus, les sièges couchettes sont très confortables.
L'autobus fait un bref arrêt à Curitiba, sans couper le moteur, le temps de faire le plein de diesel et de changer de chauffeur.
Coût du billet aller simple: environ 160R$.

Par contre, en province, l'auto est quasiment indispensable car les transports en commun sont très déficients.

Entre Rio et São Paulo, il y a des autobus partant en moyenne toutes les 10 minutes. Le voyage dure environ 6 heures, c'est quand même assez fatigant en autobus conventionnel.
Pour les horaires et prix d'autobus entre villes, vous pouvez obtenir toutes les informations possibles sur ce site:
http://www.buscaonibus.com.br/
Les autobus pour des voyages entre villes sont modernes, confortables, avec ceintures de sécurité pour les passagers (obligatoire).

D'une manière générale c'est catastrophique, à part les quelques métros.
Transports urbains en bus longs, inconfortables, peu sûrs.
Aéroports congestionnés (augmentation du trafic de 50% en 5 ans avec la classe moyenne émergente)
Les transports par bus interurbains, ça va pour un dilettante comme moi: long mais confortable, ambiance sympa (moyen de lier connaissance), pas chers. Mais pour qui a encore une vie active... ça le fait pas.
Transports fluviaux: j'ai connu l'ENASA qui était une merveille, et qui a été dissoute pour cause de (faible) déficit. Sur le bassin amazonien, à la place, myriade de compagnies qu'il est difficile de repérer, de comparer, et service aléatoire.
Les routes: ça s'arrange, mais on part de si bas... Avec l'augmentation du nombre de voitures, les entrées de métropoles sont sursaturés: Belém, Recife, etc.... aux heures de pointe, des fois trois heures pour faire les vingt derniers kilomètres.

A quand des sujets qui nous permettront de dire enfin du bien du Brésil? :(:)

Je trouve les bus en ville ok, pas eu de problème (utilise quotidiennement depuis 6 semaines) sauf les chauffeurs qui conduisent comme des fous, faut s'accrocher et rester loin des portes (qui ouvrent avant l'arrêt...pas super sécuritaires!!)

Les bus inter-villes, attention une amie de mon mari a eu un passager entre Rio et SP qui a volé tout le monde en se déplacant de siège en siège et menacant avec une arme. Chauffeur complice? innocent? Bref, tout le monde a donné argent et cellulaire. Cela fait qq années quand même. Personnellement, heureusement jamais eu de problème avec ces bus.

Le problème des chauffeurs d'autobus urbains qui conduisent comme des fous est dû au nombre de rotations que leur compagnie leur impose parfois. De temps en temps, ils s'arrêtent devant une pointeuse dans laquelle ils introduisent une carte/mouchard. Et bien entendu si une rotation a été retardée par un embouteillage ou quelque autre problème sur la voie publique, il vaut mieux ne pas être dans la rotation suivante qui tentera de rattraper le temps perdu...

Les habitants de certains quartiers de Belém ont résolu le problème: chaque fois qu'un bus renverse un gosse, ils font des cendre les gens, laissent le machiniste et le receveur se réfugier dans un local religieux (église ou temple) et brûlent le bus.

Du coup les compagnies mettent des mouchards pour... vérifier que les conducteurs ne se prennent pas pour Senna aux rares heures où ils ne sont pas bloqués par les encombrements.

Ce qui est dur, c'est neuf fois sur dix de voyager debout et pressé comme un citron

Rien n'est 100% sûr au Brésil, en voiture, on risque aussi gros.
Une des pratiques courantes est de laisser pendre la nuit une pierre attachée à une corde à partir d'une passerelle ou d'un pont au dessus d'une autoroute...votre pare-brise explose sous l'impact et vous vous arrêtez sur l'accotement un peu plus loin où on vous attend dissimulé dans des buissons et armés !

Il est aussi plus risqué de se déplacer en voiture en ville qu'en autobus car les attaques à main armée sont fréquentes aux croisements, lorsque vous arrêtez votre véhicule à un feu rouge.

Lorsqu'il s'agit d'une attaque à main armée dans un autobus, c'est surtout le contrôleur/caissier (cobrador) qui est visé, donc moins risqué pour les passagers que s'ils se trouvaient dans une voiture dans les mêmes conditions.

Certains autobus ne prennent pas de passager en cours de route (exemple, autobus reliant l'aéroport de Guarulhos et Barra Funda et Rodoviaria Tiete São Paulo) car la plupart de ces attaques à main armée sont pratiquées par des individus qui prennent l'autobus en bord de route.

En ce qui concerne les transports interurbains, je ne vois pas en quoi on pourrait leur reprocher d'être "longs": les autobus respectent les limitations de vitesse, tout comme les voitures, on met le même temps en voiture qu'en bus.

Remarquons que le transport interurbain et inter-états avait été copié à l'origine sur le système d'autobus américain. (voir viação Cometa avec ses anciens autobus carrosserie en aluminium et mécanique surpuissante SCANIA Turbo).

Que pourrait-on vouloir de plus rapide et de plus confortable?
Des TGV's ?
Celui qui croit cela possible fait une erreur fondamentale:
En effet, cette technologie nécessite une voie parfaite, ce qui non seulement n'est pas possible dans certaines régions du Brésil en raison du climat équatorial qui détruit les voies par érosion (pluies torrentielles), mais aussi en raison des investissements colossaux nécessaires  (lignes rectilignes et planes qui nécessitent de gigantesques travaux de génie civil).
De plus, la vitesse coute très cher sur le plan gaspillage d'énergie, c'est une technologie très belle, comme le Concorde, mais irréaliste sur le plan du futur en fonction de l'augmentation certaine du coût de l'énergie.
Un TGV consomme environ 3x plus d'énergie qu'un train ordinaire sur le même trajet.

Je me demande aussi comment peut-on faire à l'encontre du Brésil les mêmes reproches que l'on peut faire à tout pays développé: encombrement à l'entrée des métropoles, saturation des aéroports, ...

Enfin, quand on veut mener une vie professionnelle active au Brésil, il est évident que choisir les régions équatoriales du pays n'est pas très recommandé. Il faut assumer les conséquences de ses choix erronés.

Quand on veut vendre ou distribuer des breloques aux indiens d'Amazonie ou devenir chercheur d'or, il ne faut pas se plaindre d'avoir à se déplacer en pirogue ou à dos de mulet !  :D

Pour ma part j ai connus 2 situations bien distincte sur são paulo:

Pendant 1 an je fais des aller retours perif-centre en partant du perif, c'etait l'enfer, 2h debout par voyage,  pas de place,  sans conter les jours de greve on j ai decouvert pire que l enfer hehehe

Maintenant ça fait 2 que je fais la meme distance, mais depuis le centre jusqu au centre-sud, ma vie a changé :) je suis toujours assis, ça me permet de lire,  ça va vite grace au 'corredor' bref j ai gagner 2h de temps libre par jour...

Pour ma part je pense que le TGV est une solution possible dans certaines régions du Brésil, mais évidemment pas en Amazonie.

Emilien, je ne conteste pas tes chiffres, mais je voudrais connaître leurs sources sur le coût énergétique d'un TGV qui serait trois fois celui d'un train classique (ces trains étant profilés de façon extraordinaire)
En outre, je suis d'accord avec toi pour estimer que la recherche de la vitesse maximale est parfois une aberration: le mieux est l'ennemi du bien! Le "pendular" portugais (voire des trains allemands) qui se "contentent" de rouler à 280-300 kmh au lieu de plus de 400 comme les TGV français ont de ce fait coûté infiniment moins cher sur le plan de la voirie: on a pu diminuer les ouvrages d'art et prévoir des courbes plus serrées. En outre c'est une loi physique que l'effort de pénétration atmosphérique à 300 n'a rien à voir avec celui qui est demandé pour rouler à 450... puisque là on doit limiter l'aérodynamisme pour empêcher les rames de décoller en les "clouant" sur les rails! Un "pendular" entre Rio et SP, ce serait le trajet en deux heures soit infiniment moins qu'en avion si on compte le temps de se rendre à l'aéroport et dans sortir, avec l'enregistrement et la récupération des bagages et les formalités de sécurité. Et je crois avoir que ce trajet c'est 25% des vols domestiques brésiliens, entre des aéroports sursaturés.

Pour les transports en bus... il y a un monde entre rouler dans sa voiture climatisée (en général) et en écoutant de la musique, et, quand c'est le cas, se taper le même chemin debout entassé dans des bus. Quand c'est assis, et d'une durée raisonnable, entre la musique et la lecture, ça va (la situation que décrit Hopla)

J'ai apprécié les métros que j'ai empruntés, tant à Recife que Rio. Je ne parlerai pas de São Paulo que j'ignore.

Pour un professeur à la retraite, tu m'étonnes !
Tu ne t'es jamais demandé pourquoi une voiture "profilée de façon extraordinaire" comme la Bugatti Veyron 16.4 a besoin d'utiliser la totalité de la puissance de son moteur de 1200CV pour atteindre sur terrain horizontal la vitesse de 400Km/h?

Ni pourquoi les avions (pourtant encore mieux profilés que le TGV) sont obligés à voler à 10.000 mètres d'altitude où l'air est très raréfié pour ne pas consommer des quantités astronomiques de kérosène?

Les TGV's français sont alimentés par de l'énergie électrique bon marché produite par des centrales nucléaires, ce qui explique le peu de souci concernant le gaspillage d'énergie.

Mais plusieurs pays européens ont décidé de sortir du nucléaire à cause des risques écologiques, notamment telle décision a déjà été prise en Allemagne et en Belgique.

La France devra suivre tôt ou tard, le gaspillage d'énergie ne sera alors plus possible et le TGV ira rejoindre le Concorde dans un musée.

D'ailleurs, au Brésil, le problème du transport ferroviaire est bien plus compliqué que cela:
- il y a trois écartements (bitolas) différents de rails au Brésil, le métrique, l'étroit et le large.
Certaines lignes ont 3 rails de manière à être compatible avec 2 standarts différents de matériel roulant.
- l'électrification a été faite à 3000V courant continu, ce qui est incompatible avec les trains à grande vitesse dont le pantographe doit être léger. Il faut électrifier en haute tension courant alternatif, 15KV en Allemagne, 25KV en France.
- le vol des câbles de signalisation pour récupérer le cuivre: c'est un problème vraiment catastrophique qui atteint de grandes proportions.

Pour le métro de São Paulo, il transporte 4 millions de personnes par jour....il est propre, efficace (même s'il est saturé), sûr, et dessert très bien la ville.
Comparé au métro de Bruxelles, il est 100 x mieux.

Quant aux autobus urbains (pas les interurbains), dans toutes les grandes villes du monde entier, on voyage debout "entassés" dans les bus aux heures de pointe.
Alors pourquoi venir le reprocher aux transports brésiliens si c'est un problème général?

Et tu oublies un petit détail: rouler dans sa voiture climatisée (en général) et en écoutant de la musique, c'est plutôt être bloqué dans des embouteillages au lieu de rouler, et quand on arrive à destination, il faut encore perdre une demi-heure pour trouver une place de stationnement.

Certains ne se déplacent qu'en hélicoptère, mais ce n'est pas à la portée de tout un chacun.

"La France devra suivre tôt ou tard, le gaspillage d'énergie ne sera alors plus possible et le TGV ira rejoindre le Concorde dans un musée."

Emilien, je suis pas dans les services geopolitique, mais permet moi d'emettre un gros doute sur cette suposition.

On developpe du nucleaire, et pour longtemps..

@ Emilien...

Je ne reproche absolument rien aux métros brésiliens, incomparablement plus confortables et sûrs que certains de nos RER!
Pour les bus, je pense quand même que ceux que je connais en Europe sont plus supportables aux heures de pointe. Déjà, nous avons peu de métropoles sursaturées (je ne parle pas de SP, bis repetita, je connais très peu et c'est vieux, mais pour la fluidité des transports, ça n'a pas une bonne réputation. Mais BH, Rio, Fortaleza, Recife hors le trajet du métro... je m'arrange toujours pour ne pas me déplacer aux heures de pointe... je le peux, n'étant pas actif). N'oublions pas que Belém est une "petite" capitale estadual et elle a la même population ou peu s'en faut que... Paris. Trois heures, de 6h à 9h, pour arriver de la périphérie au centre et ça à Paris, dans les pires jours ça n'arrive jamais. BH, idem, Fortaleza, nettement moins mais ça coince. Il n'y a dans pas mal de villes brésiliennes que le bus en TC, quand ailleurs dans le monde le bus est en concurrence avec les métros, RER, etc.

Une chose que j'apprécie par dessus tout au Brésil, dont on n'a pas parlé, c'est la facilité incroyable d'obtenir un taxi et si leur prix a beaucoup monté, il reste raisonnable par rapport à ce que je connais en Europe. Cela dit, maintenant, peu de gens peuvent s'en payer un deux fois par jour.
Je le faisais à Belém il y a vingt ans : j'en prenais même un à la journée au forfait... ça me revenait moins cher qu'une voiture à acheter, entretenir, garder, etc., et j'avais un chauffeur; je bossais où je me détendais pendant les trajets - équivalent 100F par jour, je me souviens d'avoir fait le calcul.

Là, ce n'est plus dans mon budget, ce serait beaucoup plus cher bien que quand on connaît les prix de base, on obtient des tarifs incroyables: le "motorista" préfère une course d'un jour que des heures d'attente et des courses qui le déposeront dans un coin d'où il devra s'extraire, faute de recharger: exemple... 200R$ pour faire J Pessoa - Pipa et retour, avec le tour de toutes les plages. L'excursion en car aurait coûté 120 R$, horaires imposés, pas de haltes pour prendre des photos, etc. La proposition était si sympa que je n'ai pas cherché à marchander comme un rat)

Pour le TGV, je ne doute pas qu'allant plus vite, il "frotte" forcément davantage qu'un train conventionnel, mais si on compare à l'avion ou à la somme de bus et de voitures qu'il remplace, ça reste plus économique. Évidemment et comme en Europe, il lui faut des lignes dédiées ou du moins "arrangées": sur une ligne conventionnelle il roule quand même à 220 km-h, sur une "arrangée", à 250 environ, sur une dédiée, à plus de 300.

Je demeure persuadé que c'est l'avion qui va céder du terrain en Europe et pas les TGV! D'ailleurs, les compagnies aériennes étudient des partages de code avec des compagnies ferroviaires, les TGV devant plus tard amener les passagers vers les "hubs" pour charger les long-courriers. Il y avait même un projet de rames "Air-France" abandonné sur pression des syndicats. Après les TGV, devant la désaffection de la clientèle, Air-France a fermé ses lignes Paris Strasbourg, et réduit au maximum Paris-Lyon (pour alimenter le hub de Roissy). Paris-Marseille a perdu 60% des passagers "air"

A mon avis, un TGV Rio-SP décongestionnerait le transit le plus terrible du Brésil.

Bonjour tout le monde

Je dirai que effectivement que si on préfère un peu de confort le taxi est une bonne option. Car il y a des pontos partout, que même si les prix ont nettement augmenté ces 10 dernières années, on s'évite pas mal de prises de tête. Le budget reste néanmoins abordable contre celui d' avoir son propre véhicule. Et les motoristes sont toujours très serviables.

La voiture : les contraintes de circulation à SAO (rodizio, les rues à sens unique, le stationnement, la fatigue de conduire dans des embouteillages monstres, l'entretien du véhicule, la gazoline, l'assurance, et j'en passe.

le bus, métro : les bus sont surchargés sur certaines lignes, à certaines heures, l'entretien assez aléatoire, la flotte n'est plus adaptée. Le métro à Sao à très bonne réputation, sur la sécurité, la propreté, mais par contre je ne trouve pas qu'il desserve encore correctement la Ville. Faire un trajet Morumbi Palacio/Villa Mariana lycée c'est assez impressionant comme montage. Cela dit, c'est mieux que rien. Mais ils s'emploient à améliorer le réseau.

Le train : je comprend bien les points de vues de tout le monde, mais je suis aussi persuadée que cela allègerait considérablement les aéroports. La complication vient des consortiums et des Etats. Ils leur faut aussi tenir compte de la topographie et de l'écologie. Sans aller jusqu'à faire un TGV, un réseau férovière desservant dans les grandes lignes tout le pays(les capitales) serait déjà un bon début.

L'avion : il faut avouer que c'est quand même un sacré b.....De A à Z. Mais j'ajouterai que dans d'autres pays ce n'est guère mieux voire pire (France). Si je compare à CDG, je crois que Guarulhos n'a rien à leur envier.(même si ce n'est pas la même taille), mais ça reste quand même un aéroport international. Je ne parle même pas de Congonhas, là c'est une hallu.

Par contre un point positif, je ne sais pas si c'est encore d'actualité, et je trouvais cela très bien dans l'idée, je parle de la vérification à la sortie après récupération des bagages que les numéros bagages correspondent bien aux vôtres. Je n'ai vu ça qu'au Brésil.

Je dirai alors que si le Brésil veut se passer de trains, qu'au moins il mette les fonds nécessaires pour faire de leurs aéroports des plateformes de voyages organisées, et respectueuses des passagers, et cesser de tergiverser et de se relever les manches une bonne fois pour toute.

De revoir un peu le système de Rodizio à Sao qui devient franchement inutile en l'état.

Pour finir, il est assez simple de circuler au Brésil, si on est patient, et qu'on en a les moyens.