Allemagne: les nouvelles économiques,et du marché du travail

Compétitivité : l'Allemagne distance toujours plus la France
http://s1.lemde.fr/image/2007/01/24/534x267/858891_3_b436_le-classement-du-world-economic-forum-est_282d9e2b3fd8d2afaf45fde5df0e0a14.jpg
L'Hexagone se range désormais à la 23e place sur 148 (le Tchad), derrière... la Suisse (n° 1), Singapour (n° 2), la Finlande (n° 3), l'Allemagne (n° 4) et les Etats-Unis (n° 5). Quitte à froisser l'orgueil national, notre pays est aussi jugé moins compétitif que le Qatar (n° 13) ou l'Arabie Saoudite (n° 20).

Réalisé à partir de l'analyse d'une centaine d'indicateurs mesurant la qualité des infrastructures, de l'environnement, des institutions politiques, de l'enseignement, du système de santé ou encore le niveau de la productivité et de l'innovation, mais aussi à partir d'éléments subjectifs – le jugement des milieux d'affaires –, ce baromètre est très suivi par la communauté internationale.

Il peut être perçu comme un nouveau rappel à l'ordre, pour la France. Le pays poursuit, de fait, une glissade entamée il y quelques années. A la quinzième place en 2010, il est passé à la dix-huitième en 2011, à la 21e en 2012 avant de tomber, cette année à la 23e.

Si, à long terme, le pays progresse un peu, il n'en reste pas moins qu'il s'est laissé largement distancé par son voisin allemand. Il y a dix ans, en effet, le France était classée 26e quand l'Allemagne, aujourd'hui dans le "Top 5", arrivait à la 13e place.

Interrogé mercredi, le ministre de l'économie et des finances, Pierre Moscovici, a confié au Monde prendre ce type de classement "avec précaution". Le rapport, qui mêle critères objectifs et subjectifs, est souvent considéré comme un outil incitant les dirigeants politiques à engager des réformes structurelles.lire le reste de l'article
jean  luc ;)

SALON-BMW prévoit des ventes stables en Allemagne en 2013

BMW estime que les ventes du groupe sur le marché allemand resteront cette année au même niveau qu'en 2012, a déclaré mardi à Reuters Roland Krüger, patron de BMW Allemagne.

"Nous resterons stables", a-t-il dit.

En 2012, BMW a livré 284.500 véhicules BMW et Mini sur le marché allemand. Sur les huit premiers mois de cette année, ses livraisons ont totalisé près de 180.300 unités, un chiffre en baisse d'environ 3% sur un an.

Grâce au lancement de nouveaux modèles comme la voiture électrique i3 et la troisième génération des 4x4 sportifs X5, BMW espère échapper à la baisse attendue du marché automobile allemand cette année.

Le constructeur bavarois anticipe un recul de 3% de l'ensemble du marché allemand en 2014, à 2,9 millions d'unités.
http://www.lesechos.fr/entreprises-sect … 603515.php jean  luc ;)

:D Tu as oublié de mentionné que BMW faisait de l'espionnage industrielle en matiére d'exellence française concernant la voiture électrique :lol:
Enfin, gentleman les gars, ils ont envoyés leurs excuses

Le sentiment des investisseurs s'améliore en Allemagne
L'indice du sentiment des investisseurs en Allemagne a rebondi plus que prévu en septembre à la faveur d'une amélioration des perspectives pour la zone euro, selon une enquête mensuelle publiée mardi, une bonne nouvelle pour la Chancelière Angela Merkel avant les élections de dimanche.

Selon l'enquête mensuelle de l'institut économique ZEW publié mardi, le sentiment des analystes et investisseurs allemands est remonté à 49,6, à son plus haut niveau depuis avril 2010, contre un 42,0 en août. Les économistes attendaient en moyenne l'indice ZEW à 46,0 pour ce mois-ci.

L'euro a touché un plus haut de 1,3370 dollar juste après l'annonce et se traite à 1,3360 dollar (+0,19%) vers 10h45 GMT.

Les analystes soulignent toutefois que la première économie de la zone euro est encore confrontée à certains vents contraires, comme l'ont montré récemment d'autres indicateurs macro-économiques - production industrielle, exportations - inférieurs aux attentes.

"L'indice ZEW est la preuve que l'économie allemande tire parti de la stabilisation de la zone euro. La bonne dynamique sur le marché boursier, avec le record atteint lundi par l'indice Dax, joue également un rôle", a noté Stefan Schilbe, analyste chez HSBC Trinkaus.

Au deuxième trimestre, la zone euro est sortie d'une récession de 18 mois avec un produit intérieur brut (PIB) en hausse de 0,3%.

L'Allemagne, première économie de la zone euro, a mené le bal avec une progression de 0,7% de son PIB.

"Cette croissance allemande est l'une des principales raisons expliquant la hausse des anticipations pour le pays. L'autre est l'amélioration des perspectives en Europe, évolution qui stimule les exportations", a dit Michael Schroeder, économiste chez ZEW.

"L'économie allemande va de l'avant même si (...) les parties les plus faibles de l'économie de la zone euro jettent encore une ombre menaçante."

La composante des conditions actuelles est elle aussi ressortie en hausse plus marquée que prévu, à 30,6 contre 18,3 en août et un consensus de 20,8.

L'institut ZEW a élaboré son indice à partir d'une enquête menée auprès de 260 analystes et investisseurs entre le 2 et le 16 septembre.

http://www.lesechos.fr/economie-politiq … 606064.php  jean  luc ;)

Allemagne / Eco : un "Ifo" un peu court mais toujours en progression en septembre L'indice Ifo allemand du climat des affaires est ressorti proche des attentes, à 107,7 points en septembre, le consensus étant positionné à 108 points. La composante actuelle est plus faible que prévu (111,4 contre 112,5 projeté), mais la composante des attentes est (légèrement) plus solide que prévu (104,2 contre 104 estimé et 103,3 le mois précédent). La lecture d'août a été révisée à 107,5 contre 107,6. L'indice connaît donc une légère amélioration.

L'indice Ifo est compilé chaque mois à partir des réponses de 7.000 professionnels allemands des différents secteurs économiques concernés. Il représente leur vision à six mois et leur sentiment au moment de l'enquête. Une synthèse des deux indicateurs fournit l'indice principal de climat des affaires. http://www.boursier.com/actualites/macr … 47164.html  jean  luc ;)

Siemens envisage de supprimer 15 000 emplois d'ici 2014
Le conglomérat industriel Siemens envisage de supprimer 15 000 emplois dans le monde d'ici fin 2014, dont un tiers en Allemagne, a affirmé dimanche un porte-parole du groupe. En Allemagne, 2000 postes devraient être supprimés dans son secteur industriel, 1400 dans le secteur énergie, de nouveau 1400 dans son activité infrastructures et enfin 200 dans d'autres secteurs, a détaillé le groupe dans un communiqué.

Le groupe précise être aujourd'hui en mesure de communiquer sur ces réductions d'effectifs car il a pu les évoquer en interne. "Les aménagements ont pu être communiqués sur les sites et discutés avec les représentants du personnel. Ainsi, nous respectons nos engagements: d'abord nous discutons avec les salariés, puis nous communiquons publiquement", a poursuivi le groupe dans son communiqué.

Ces mesures font partie du plan Siemens 2014, un vaste programme qui devrait permettre au groupe d'effectuer des économies de l'ordre de 6 milliards d'euros d'ici 2014. En août, le conglomérat de Munich (sud), qui traverse depuis plusieurs semaines une zone de turbulences, avait limogé son patron Peter Löscher et l'avait remplacé par le directeur financier du groupe, Joe Kaeser.

Arrivé en 2007 du laboratoire américain Merck, Peter Löscher avait accumulé les critiques, entre résultats financiers décevants, stratégie trop floue et ratés industriels, comme le retard de plusieurs années de livraison pour des trains à grande vitesse commandés par la Deutsche Bahn et le laborieux raccordement au réseau des éoliennes off-shore de mer du Nord. jean  luc ;)

En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/entrepris … ExYe8hm.99

L'Allemagne veut reporter de 4 ans la législation sur les voitures vertes .


En marge du Conseil « Compétitivité » du 27 septembre a circulé une proposition allemande. Objectif de ce document : introduire progressivement, à partir de 2020 la norme de 95 grammes de CO2 par kilomètre (g/km) pour les voitures.

Il s'agit d'une proposition « off », qui a circulé dans le monde diplomatique, et que plusieurs sources ont confirmé à EurActiv. Les Allemands tentent d'imposer une contre-proposition qui allège la contrainte carbone pour les voitures. La norme qu'ils défendent s'appliquerait à 80 % du parc automobile en 2020 pour finalement atteindre les 100 % quatre ans plus tard, à raison d'une hausse de 5 % par an.

Le groupe de réflexion vert Transport and Environment estime qu'il s'agit d'une forte diminution des ambitions initiales. La proposition correspondrait, selon eux, à une norme de 104 g/km en 2020, de 100 g/km en 2022 et finalement de 95 g/km en 2024.

Selon des sources proches de gouvernement allemand, le pays « soutient la mise en place d'objectifs d'émissions de CO2 dans le secteur du transport et les fabricants de voitures devraient être en mesure d'atteindre l'objectif de 2020 de la manière la plus économique possible. »

Sauf que l'objectif n'est pas du tout contraignant. Si les autres États acceptaient la proposition allemande, l'accord de compromis conclu sous la présidence irlandaise au mois de juin tomberait à l'eau. Cette décision anéantira l'objectif de rendement énergétique pour 2025 préconisé par la Commission et le Parlement.

Un diplomate européen explique à EurActiv que les Allemands « ont simplement copié et collé les rêves les plus fous de leur industrie ».

La nouvelle proposition permettrait à l'Allemagne de tirer profit de sa position de longue date : une extension de système de super-crédits pour les modèles énergivores produits dans le pays.  « Les apparences sont trompeuses », indique le diplomate. « La [proposition] pourrait être une décision intelligente pour tenter de gagner en flexibilité, mais pour ma part, j'en doute. »

Les gouvernements nationaux vont en discuter et même si les capitales restent perplexes vis-à-vis des tactiques allemandes, rien ne laisse présager leur réponse.

L'Allemagne a reporté un voté sur le compromis précédent en utilisant des moyens fallacieux (menaces, chantage et intimidation), d'après des sources diplomatiques. 

Selon les informations d'EurActiv, si la procédure normale est suivie et si les ministres européens donnent leur aval, le compromis négocié sous l'égide de l'Irlande devra certainement être adopté. Mais, si l'Allemagne parvient à placer sa propre proposition à côté du texte officiel lors du vote, les résultats sont incertains. Surtout si Berlin décide de jouer des coudes.

Des sources estiment que la France et le Royaume-Uni ne résisteraient pas à l'Allemagne, alors que l'Autriche et le Portugal pourraient hésiter à donner leur accord.

« Ce qui se passe est un scandale », indique un autre diplomate européen. « Pendant trois mois, nous avions un accord que le Parlement européen attendait. Et pourtant, les Allemands sont parvenus à ne pas le soumettre aux votes lors de chaque COREPER [le comité des représentants permanents des États membres] », ajoute-t-il.

La source précise qu'une seule raison est à l'origine de ce retard : l'Allemagne a peur de ne pas disposer d'une minorité de blocage. « Le Parlement devrait être très en colère envers le Conseil. »

Berlin aurait déclaré que les autres États membres soutenaient sa proposition. Selon les échos recueillis par EurActiv, la situation ne serait pas aussi limpide.http://www.euractiv.fr/transport/lallemagne-veut-reporter-de-4-an-news-530775  jean  luc ;)

PS: jolie partie de pocker menteur ,oú chacun défend les intérets de son industrie ,la France  allier avec les pays faible (P,E,I,GR),histoire de lui faire payer la crise de l'euros qu'il ont eux même provoquer .

Allemagne : hausse inattendue du chômage en septembre
L'Allemagne comptait 25.000 chômeurs de plus en septembre. Une hausse qui surprend et qui tiendrait à une politique de soutien à l'emploi moins active que par le passé.http://www.lesechos.fr/medias/2013/10/01/611981_0203038258221_web_tete.jpg Mauvaise surprise sur le front de l'emploi outre-Rhin et pour Angela Merkel qui vient d'être confirmée par les électeurs.. Même si le marché du travail allemand reste nettement plus solide que dans le reste de l'Europe , celui-ci s'est, contre toute attente dégradé au mois de septembre. Selon les chiffres publiés ce mardi en effet, au mois de septembre le taux de chômage s'est légèrement redressé à 6,9% tandis que le nombre de chômeurs a progressé.

Selon l'Agence pour l'emploi en effet, l'Allemagne comptait 25.000 chômeurs de plus en données corrigés des variations saisonnières. Une hausse que les économistes n'anticipaient pas (ils attendaient au contraire une baisse) et que l'Agence explique par une politique de l'emploi moins active, et notamment de moindres soutiens à la création d'entreprises par exemple. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient ainsi en moyenne une diminution de 5.000, l'estimation la plus pessimiste étant une hausse de 7.000.

Le chiffre d'août des demandeurs d'emploi a en outre été révisé à la hausse : ce sont 9.000 personnes de plus qui ont été recensées et non 7.000 comme initialement annoncé.lire le rete de l'article  jean  luc ;)

Reprise: l'Allemagne en tête, la France au rattrapagehttp://md1.libe.com/photo/555257-le-premier-ministre-francais-jean-marc-ayrault-son-ministre-de-l-economie-pierre-moscovici-et-le-min.jpg?modified_at=1380902412&width=825
Une France qui rattrape le train de la reprise, une Allemagne au-dessus du lot, un Royaume-Uni en embuscade et des pays du Sud à la peine, voilà l'Europe qui se dessine après les dernières publications de l'Insee.

A en croire l'Institut national de la statistique et des études économiques, qui publiait jeudi son point trimestriel sur la conjoncture, le produit intérieur brut (PIB) français devrait rattraper en fin d'année son «niveau d'avant-crise», c'est-à-dire celui du début de l'année 2008.

La France rejoindrait ainsi l'Allemagne, seule autre grande économie européenne dans le même cas, avec une confortable avance toutefois puisqu'elle y était parvenue dès le début de l'année 2011.

Le Royaume-Uni peut espérer rejoindre le tandem prochainement. En revanche, l'Italie et l'Espagne paraissent encore engluées, bien que l'Insee table pour ces deux pays sur un «retour à la croissance» d'ici la fin de l'année.

S'il n'a pas encore refait le chemin perdu depuis 2008, le Royaume-Uni affiche en tous cas des taux de croissance bien plus vigoureux que ceux de la France, et connaît une reprise qualifiée de «spectaculaire» par l'Insee.

Le climat des affaires n'a par exemple jamais été aussi propice depuis la fin des années 1990.

L'Institut estime ainsi que l'économie britannique va croître de 0,8% au troisième trimestre, et de 0,6% au quatrième. Pour la France, l'Insee attend un rythme beaucoup plus modéré: stagnation du PIB au troisième trimestre, et une hausse de 0,4% au quatrième. A comparer avec ses prévisions pour l'Allemagne (+0,3% puis +0,5%) ou la zone euro dans son ensemble (+0,1% puis +0,3%).

De manière générale, et en prenant en compte les Etats-Unis, certes empêtrés dans le blocage budgétaire mais dont la croissance reste jusqu'ici solide, Dorian Roucher, qui a compilé pour l'Insee les données concernant la zone euro, se dit «surpris par l'ampleur de l'accélération (au printemps) dans les économies avancées».
lire le reste de l'article  jean  luc ;)

La croissance va repartir en Allemagne, mais faiblement http://s2.lemde.fr/image/2012/02/24/534x267/1647891_3_74e7_usine-volkwagen-de-dresde-en-allemagne-les_6c682f901ae4136c538a78ab4992563c.jpg
Sans même attendre la formation d'un nouveau gouvernement de coalition à Berlin, deux grands instituts de conjoncture allemands ont présente, lundi 7 octobre, leurs prévisions de croissance pour 2013 et pour 2014. Bien que l'un, l'institut de l'économie allemande de Cologne, soit proche des employeurs, alors que le second, l'institut pour la macroéconomie de la fondation Hans-Böckler, soit proche des syndicats, leurs analyses et leurs prévisions ne sont pas très éloignées. Les deux parient sur une faible reprise de la croissance.

Après une croissance de 0,4 % ou de 0,5 % du produit intérieur brut (PIB) cette année, l'institut patronal mise sur une croissance de 1,5 % en 2014, alors que son homologue mise, lui, sur un faible 1,2 %.

Les deux organismes s'entendent sur deux points : ils tablent sur une nette reprise des exportations en 2014, malgré un euro fort (par rapport au dollar), ainsi que sur une bonne tenue de la consommation, grâce à un niveau de chômage en légère baisse et une légère augmentation du pouvoir d'achat.

AUGMENTER LES INVESTISSEMENTS

De même, les deux organismes s'accordent pour juger désormais prioritaire la reprise des investissements en Allemagne. lire le reste de l'article   jean  luc ;)

Allemagne : l'export recule, mais il n'y pas "destruction du moteur de l'économie"
Le déficit commercial de la France s'est réduit au mois d'août d'environ 200 millions d'euros, à 4,9 milliards d'euros, selon les chiffres publiés mardi 8 octobre.

Sur la même période, la balance commerciale allemande, en données brutes, est restée largement positive, mais un peu moins qu'en juillet, l'excédent s'établissant à 13,1 milliards d'euros, contre 16,2 milliards un mois plus tôt.

Cette tendance n'est pas forcément un signal négatif pour la première économie européenne, selon Christophe Blot, directeur adjoint au département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

Faut-il se réjouir des chiffres français ?
Pour la France, ces chiffres s'expliquent par le fait que les importations baissent un peu plus [près de 1,7 %] que ne montent les exportations [hausse de 1,4 %]. La baisse du commerce mondial depuis quatre-cinq mois se traduit par une stagnation côté français.  http://s1.lemde.fr/image/2013/10/08/534x0/3492099_5_7425_evolution-mensuelle-de-la-balance-commerciale_ae415fbd621fe0e703aa355b4e33d301.png
En France, on espère que le CICE [crédit impôt compétitivité emploi] va porter ses fruits, même si, simultanément, on augmente l'impôt sur les sociétés.

Tout va se jouer dans le moyen terme, d'ici à un an et demi à deux ans, pour voir comment les entreprises vont répercuter cette hausse de la fiscalité.

Vont-elles réduire leurs marges ? Mais elles l'ont déjà fait pendant la crise... Vont-elles chercher à baisser leurs coûts pour être plus compétitives et gagner des parts de marché ?

C'est un jeu dangereux vis-à-vis des ménages et donc de la consommation, et vis-à-vis de nos partenaires européens qui ont entamé la même démarche : une stratégie non-coopérative peut nous emmener vers le désastre. Personne n'y gagnera.  lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Allemagne: hausse de 20% de la taxe sur les énergies vertes
Les principaux opérateurs de réseaux électriques en Allemagne ont annoncé mardi un relèvement de près de 20% en 2014 de la taxe payée par les consommateurs pour soutenir le développement des énergies vertes, suite à la décision de Berlin de sortir du nucléaire.

"Cela signifie que les consommateurs vont contribuer au développement des énergies renouvelables dans le secteur de l'électricité à hauteur de 6,240 centimes par kilowattheure", contre 5,277 centimes en 2013, ont annoncé les quatre principaux opérateurs allemands 50Hertz, Amprion, TenneT et TransnetBW dans un communiqué.

Une hausse qui correspond pour un foyer de trois personnes consommant 3500 Kilowattheure par an à une dépense supplémentaire de 35 euros annuels.

Au total, cette taxe, baptisée EEG, rapportera 23,6 milliards d'euros, auxquels s'ajouteront 2,2 milliards au titre des 12 derniers mois et qui constituent la différence entre le chiffre attendu et le montant réellement engrangé durant cette période, souligne le communiqué.

Cette taxe est fixée par la loi qui régit en Allemagne le soutien aux énergies vertes, via de généreux prix garantis aux opérateurs d'éoliennes, de panneaux solaires, etc. alors que le pays a décidé de se passer du nucléaire d'ici 2022.

La différence entre ce prix garanti et celui du marché, plus faible, est reportée sur les factures des consommateurs via l'EEG.

Mais son montant comme sa répartition -certaines entreprises gourmandes en électricité en sont par exemple exemptées- font l'objet de critiques vives. Le gouvernement sortant avait tenté de geler la progression de cette taxe mais avait échoué à faire adopter cette mesure au Parlement.

Le nouveau gouvernement qui sera issu des élections du 22 septembre devrait se pencher sur une réforme de l'EEG.
http://www.romandie.com/news/n/Allemagn … 131232.asp


jean luc ;)

Croissance plus faible que prévu pour l'économie allemande http://s2.lemde.fr/image/2009/06/11/534x267/1205496_3_0fd4_usine-volkswagen-a-wolfsburg-en-allemagne_a58084ac25ef295ea6f396298465de1b.jpg 
Sans même attendre les décisions du futur gouvernement allemand, quatre grands instituts de conjoncture devaient publier, jeudi 17 octobre en fin de matinée, leurs traditionnelles prévisions économiques conjointes. Et, à première vue, la situation de l'Allemagne n'est pas rose. La croissance ne devrait atteindre que 0,4 % cette année, alors que les prévisions initiales misaient sur + 0,8 %.

Pourtant, selon la presse allemande qui publie des extraits des prévisions jeudi, c'est le message inverse que les quatre instituts (l'Ifo de Munich, le RWI d'Essen, l'IWH de Halle, le DIW de Berlin) veulent faire passer. L'Allemagne se trouve "à l'automne 2013 au début d'une reprise", assurent-ils.

Selon eux, la croissance devrait atteindre 1,8 % en 2014. Même s'ils avaient initialement prévu 1,9%, ce chiffre devrait permettre à l'Allemagne de compter 42 millions d'actifs – un record dans l'histoire de la République fédérale – et un niveau de chômage qui devrait légèrement baisser, passant de 6,9 % à 6,8 % de la population active. Au total, 235 000 emplois seraient créés cette année et 260 000 en 2014.

L'inflation devrait rester maîtrisée : 1,9 % en 2014 contre 1,8 % cette année.
Surtout, alors que la CDU d'Angela Merkel consulte une dernière fois ce jeudi le parti social-démocrate afin de former une probable future grande coalition, les économistes estiment que grâce aux bonnes rentrées fiscales, les finances publiques devraient afficher un solde positif de 0,1 % du Produit intérieur brut (PIB) cette année et de 0,3 % en 2014.

Cet excédent de l'ensemble des comptes publics (Etat, régions, communes et comptes sociaux) pourrait même atteindre 1,5 % du PIB en 2018.

Même si la dette publique reste supérieure aux critères de Maastricht (60 % du PIB), elle devrait se réduire, passant de 79,4 % du PIB à 75,1 % en 2014.

PAS DE NÉCESSITÉ D'AUGMENTER LES IMPÔTS

Pour les économistes, le message est clair : l'Allemagne n'a pas besoin d'augmenter les impôts. L'excédent des comptes publics de 1,5 % du PIB en 2018 correspond à 53 milliards d'euros. Que faire de cette somme ? Les économistes conseillent d'en faire bénéficier les contribuables (19 milliards), d'investir dans la formation (16 milliards) et dans les infrastructures (8 milliards).

D'ores et déjà, le parti social-démocrate juge ces prévisions budgétaires trop optimistes. Durant toute la campagne, son candidat, Peer Steinbrück avait expliqué que sans augmentation des impôts des plus aisés, il ne serait pas possible de réaliser les investissements nécessaires sans aggraver les déficits.

Le SPD ne semble plus faire de ce thème impopulaire une condition sine qua non pour conclure un accord de coalition avec la CDU. En revanche, il continue de mettre en avant un salaire minimum légal de 8,50 euros de l'heure.

Dans un entretien à la "Süddeutsche Zeitung", Horst Seehofer, le président de la CSU bavaroise – qui mène les négociations aux côtés d'Angela Merkel – se dit prêt à accepter un salaire minimum à 8,50 euros si, en contrepartie, le SPD accepte de n'augmenter ni les impôts ni l'endettement public. http://www.lemonde.fr/economie/article/ … _3234.html;)  jean luc;)

Pourquoi les entreprises travaillent plus facilement en Allemagne qu'en France .La Banque Mondiale publie son étude Doing Business 2014 examinant les réglementations administratives de 189 pays. La France ne se classe qu'en 38ème rang, alors que l'Allemagne est 21ème et le Danemark 5eme.
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Heureux comme un exportateur allemand. Il lui en coûtera 905 dollars pour affréter un conteneur de 10 tonnes et expédier sa marchandise à Shanghai ou à Boston, quand son concurrent français devra débourser 1335 dollars pour le même service. C'est l'un d'une centaine de facteurs que la Banque mondiale a passés en revue pour classer les 189 économies nationales selon les «facilités pour y réaliser des affaires» (Doing Business 2014).

Dans cette onzième édition annuelle, l'approche se veut particulièrement pragmatique. Il s'agit d'examiner comment une entreprise se développe plus ou moins facilement tout au long de sa vie, de sa naissance à son éventuel décès. En France les formalités administratives de démarrage d'une société nécessitent 5 formulaires et prennent 6 jours et demi, ce qui est très peu. En revanche il faudra attendre 184 jours pour obtenir un permis de construire et cela coûtera l'équivalent de 244 % du revenu annuel moyen d'un Français. De même faudra-t-il patienter 79 jours pour que la nouvelle entreprise ait l'électricité.

Les procédures d'établissement d'une société sont certes légèrement plus lourdes outre Rhin (9 formulaires et 14,5 jours), en revanche elle obtiendra l'électricité en 17 jours. Son permis de construire ne lui prendra que 71 journées d'attente, et les démarches administratives ne coûteront que 46,7 % du revenu annuel moyen d'un Allemand. lire le reste de l'article 

jean  luc ;)

Allemagne: l'emploi au plus haut depuis la réunification
Selon l'Office fédéral des statistiques, 42,1 millions de personnes avaient un emploi en septembre. Un plus haut depuis la réunification en 1990. En octobre le taux de chômage est stable à 6,9 % de la population active, même si le pays comptait 2.000 demandeurs d'emplois annonce par ailleurs l'agence pour l'emploi.
L\'Allemagne comptait 42,1 millions de personnes employées en septembre -

http://www.lesechos.fr/medias/2013/10/30/623918_0203098481045_web_tete.jpg
Le nombre de demandeurs d'emploi a progressé en octobre en Allemagne, pour le troisième mois consécutif. . Selon les chiffres publiés ce mercredi par l'agence nationale pour l'emploi , l'Allemagne comptait en septembre de 2.000 demandeurs d'emplis de plus par rapport au mois d'août. Une hausse minime par rapport aux 24.000 inscriptions qui avaient été annoncées en septembre mais qui auraient en fait été plus proche de 30.000 selon une nouvelle estimation. Mais en tout état de cause, les résultats d'octobre ont surpris les économistes qui, à l'image de ceux interrogés par Dow Jones Newswires, s'attendaient à ce que ces inscriptions demeurent stables.

En dépit de cette progression, le taux de chômage, en données corrigées des variations saisonnières reste inchangé à 6,9 % et demeure très proche de son plus bas niveau, à l'époque de la réunification du pays. CVS, est resté inchangé en octobre par rapport à septembre, à 6,9%, conformément aux attentes.

Après des mois passés à 6,8%, le taux de chômage allemand avait surpris en septembre, en montant à 6,9%, accompagné d'une hausse de 25.000 du nombre de chômeurs. Si le marché du travail du pays reste bien plus solide que dans le reste de l'Europe, l'Agence pour l'emploi avait néanmoins mis en avant "certains problèmes structurels" pour permettre aux personnes sans emploi de retrouver un travail.
42,1 millions de personnes ont un emploi

Cette bonne situation du marché de l'emploi outre-rhin est d'ailleurs souligné par Destatis qui note qu'au mois de septembre, le pays comptait 42,053 millions de personnes au travail en données brutes.). En données corrigées des variations saisonnières ce sont 41,842 millions de personnes qui ont un emploi.

C'est, selon l'Office national des statistiques la première fois depuis la réunification que la barre des 42 millions est dépassée. En fait souligne Destatis, depuis le mois de mars le taux annualisé de progression de la population active s'est stabilisé aux alentours de 0,6 % chaque mois.

Mais dans le même temps, toujours selon Destatis, l'Allemagne compte 42,1 millions de personnes ayant un emploi. Et c'est la première fois depuis la réunification entre les deux Allemagnes que cette barre des 42 millions est de nouveau franchie.
http://www.lesechos.fr/economie-politiq … 623918.php

Le top 10 des paradis fiscaux http://static.lexpansion.com/medias_157/w_1000,h_435,c_crop,x_0,y_143/w_605,h_270,c_fill,g_north/paradis-fiscaux-blanchiment-argent-liquide-billets_80688.jpg
"Les paradis fiscaux, c'est terminé !", déclarait en 2009 Nicolas Sarkozy. Trois ans plus tard, l'ONG Tax Justice Network publie un rapport sur les paradis fiscaux, qui se fonde sur l'étude de 83 pays. La Suisse et le Luxembourg figurent en bonne place dans le classement. A côté de ces "habitués" figurent également des pays qui, depuis la crise financière, n'ont eu de cesse de vilipender les pays adoptant une "juridiction des palmiers". Les Etats-Unis sont mentionnés ainsi que...l'Allemagne. La France, quant à elle, se place en 43ème position.

Se basant sur 15 critères tels que la lutte contre blanchiment d'argent, l'échange automatique de donnés ou bien encore l'efficacité de l'administration fiscale, l'ONG dresse l'état des lieux des paradis fiscaux dans le monde.

    1- La Suisse

L'affaire Cahuzac avait pointé les projecteurs sur le secret bancaire suisse, inscrit dans la loi depuis 1713. L'évasion fiscale de l'ancien ministre du budget apparaît pourtant infinitésimal, par rapport au poids de l'institution bancaire dans l'économie du royaume helvète. L'ONG Tax Justice Network souligne que le total des avoirs bancaires représente 820% du PIB du pays! Ainsi, l'institution bancaire a géré en 2012 pour 2,8 billions de dollars d'actifs, ce qui représente le quart du total mondial, selon les chiffres fournis par l'Association des Banquiers Suisses. Le pays, dont le secteur bancaire emploie directement 30 000 personnes, apparaît également comme une plaque tournante des places offshore.

Près de 250 entreprises ont délocalisé leur siège social vers la Suisse entre 2003 et 2009. La stabilité politique du pays est également un attrait pour de nombreux investisseurs. Le non échange automatique de données ainsi que le secret bancaire font de la Suisse une place financière opaque.

    2- Le Luxembourg

Pays fondateur de la construction européenne en 1957, la petite monarchie constitutionnelle défend ardemment le secret bancaire. Le pays disposait encore récemment d'un porte-voix en la personne de l'ancien premier ministre Jean-Claude Juncker, qui était parallèlement président de l'Eurogroupe.

Selon l'ONG, le Luxembourg n'a pas mis en place de réglementations pour lutter contre le blanchiment d'argent. De nombreuses sociétés y ont également délocalisé leurs sièges sociaux dans l'optique de se soustraire à l'impôt. Les 140 banques qui sont présentes dans le pays ont géré en 2011 pour 800 milliards de dollars d'actifs. Selon l'ONG, le pays apparaît comme une plaque tournante offshore.

    3- Hong Kong

La "Région Spéciale Administrative" de Chine, plus communément appelée Hong Kong, compte seulement 7 millions d'habitants mais représente 4% du marché mondial pour les services offshore. Ancienne colonie britannique, le pays a conservé une identité anglo-saxonne qui prône le laissez-faire et une intervention minimale de l'Etat. La place connaît une forte croissance car c'est la première place offshore pour la Chine. L'ONG considère d'ailleurs le pays comme "l'économie la plus libre du monde". Cela se constate par exemple par l'absence de taxation sur le capital, sur l'héritage ou bien encore sur le dividende.

Le pays gère pour 850 milliards de dollars d'actifs. Pour mettre ce chiffre en perspective, l'ONG souligne que c'est 15 fois plus que l'investissement direct des Etats-Unis en Chine.

    4- Les Iles-Caïmans

Les Iles-Caimans, situées dans les Caraïbes, sont rattachées à la couronne britannique. Elles disposent d'une forte autonomie par rapport à la Grande-Bretagne, malgré la nomination du gouverneur par Londres. Autrefois plaque tournante de la contrebande de drogue, les Iles se sont "reconverties" dans le blanchiment d'argent. Le terme de "fiscalité des palmiers", y prend ici tout son sens car il n'y a pratiquement aucune taxe.

Près de 200 banques ainsi que 90 000 entreprises y ont un siège. L'ONG pointe du doigt la complexification des systèmes de blanchiment d'argent mise en place sur les Iles.

    5- Singapour

Singapour, ancienne colonie britannique, était une plaque tournante des activités de contrebande. Aujourd'hui, le pays bénéficie en grande partie de sa position géographique, en Asie du Sud-Est, de l'émergence des économies de la région. Les institutions financières y gèrent pour environ 1,33 billion de dollars d'actifs.

Le pays fut le théâtre des déboires de la financiarisation de l'économie comme en 1995 avec le trader Nick Leeson qui, du fait de positions risquées, a causé la ruine de l'institution britannique Barrings. Singapour offre également des exemptions d'impôts pour les investissements étrangers d'individus non-résidents.

Néanmoins, l'ONG souligne également des avancées dans la politique de Singapour. Le pays a en effet signé des accords de coopération (quoique modestes), avec les pays de l'OCDE.

    6- Les Etats-Unis

La fiscalité aux Etats-Unis ne se décide pas au niveau fédéral mais au niveau local. Joe Biden, le vice-président américain, est également l'ancien sénateur de l'Etat du Delaware, état connu pour abriter les sièges sociaux des entreprises américaines cotées à la bourse de New York. Le pays accueille également de nombreuses "sociétés coquilles", c'est-à-dire des entreprises qui ne disposent que d'une boîte aux lettres sur le territoire, et qui évitent ainsi de payer des impôts dans le pays d'origine.

En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ … lW7DD4U.99  jean  luc ;)

France et Allemagne face au défi commun du vieillissement
La France est le seul pays d'Europe occidentale où les naissances sont presque assez nombreuses pour maintenir la population : son taux de fertilité atteint plus de 2 enfants par femme.

En Allemagne, ce taux reste compris entre 1,3 et 1,4 enfant par femme. " Nous avons un vrai handicap démographique en Allemagne, il n'y a aucune question là-dessus ", reconnaît le démographe Guido Friebel, qui ne note aucun changement de tendance.
Pour l'instant, l'évolution est cependant économiquement favorable à l'Allemagne, à qui elle épargne des coûts d'entretien et d'éducation de jeunes. " Si l'on parle de la démographie allemande d'aujourd'hui, il n'y a pas lieu d'être catastrophiste. Mais les simulations à long terme sont inquiétantes ", résume M. Friebel.

Celles de l'office des statistiques Destatis montrent que, en 2030, la part de la population en âge actif dans la population allemande - de 22 ans à 64 ans - sera tombée de 59 % à 53 %, tandis que 29 % de la population aura plus de 65 ans (21 % aujourd'hui) et 19 % moins de 22 ans (21 % aujourd'hui). De plus en plus de personnes âgées seront donc à la charge des personnes actives.

TAUX D'ACTIVITÉ DE LA POPULATION SUPÉRIEUR EN ALLEMAGNE

" Je ne suis pas très convaincu par les projections à long terme, même en démographie, tempère son confrère français Hippolyte d'Albis. Ce qui est certain, c'est que nous vivons une rupture avec l'arrivée à l'âge de la retraite des générations nombreuses de l'après-guerre, où l'on a connu 900 00 naissances par an, soit une augmentation de près de 50 % par rapport à ce qui prévalait auparavant. Au-delà de la démographie, il faut voir le taux d'activité, qui est faible en France, même si cela s'améliore. "

Ce taux d'activité de la population reste supérieur en Allemagne car on y compte moins d'écoliers, mais aussi en raison de l'insertion récente des femmes sur le marché du travail. La proportion de femmes actives " atteint maintenant à peu près le même taux que la France. Le problème, c'est que ce ne sont pas des emplois à plein temps, typiquement trois jours sur cinq, par exemple, et que ce sont souvent les emplois les plus précaires, tels que les minijobs, qui ne garantissent pas une retraite à l'avenir ", note M. Friebel.

Même si ce ne sont pas pour des emplois comparables en durée et en statut, 80 % des femmes de 25 ans à 49 ans participeraient ainsi au marché du travail, de part et d'autre du Rhin (et plus de 90 % des hommes).

Pour contrecarrer les effets du vieillissement sur le taux d'activité, il reste donc un potentiel inexploité : " Faire converger le taux d'activité des femmes avec celui des hommes - à l'image de la Scandinavie - serait un choc énorme sur le marché de l'emploi. Il existe donc une réserve [de main-d'oeuvre] d'âge actif ", souligne M. d'Albis.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Pourquoi les excédents de l'Allemagne ne sont pas viables à long terme
La Commission européenne reproche à l'Allemagne son excédent commercial. Ce déséquilibre positif pose réellement problème à l'Europe, et pourrait aussi finir par gêner l'Allemagne elle-même. Explications.
  http://static.lexpansion.com/medias_8844/w_605,h_270,c_fill,g_north/mur-de-berlin-2_4528592.jpg
La Commission européenne vient de lancer une enquête sur les déséquilibres économiques de l'Allemagne. Son excédent commercial est supérieur à 6% de son PIB depuis 2007, ce qui signifie pour la Commission qu'elle exporte trop et ne consomme pas assez, portant préjudice à ses partenaires européens. L'Allemagne "peut faire plus pour aider à rééquilibrer l'économie européenne. C'est pour cela que nous lui avons demandé de soutenir sa demande intérieure", a expliqué José Manuel Barroso. L'Europe peut-elle vraiment sanctionner l'Allemagne parce qu'elle se porte trop bien? Laurence Nayman, économiste spécialiste de l'Allemagne au CEPII, répond aux questions de Lexpansion.
Cette enquête de la Commission sur les déséquilibres allemands est-elle une surprise?

Non, pas du tout, c'est assez normal. Cette enquête est lancé en vertu du dispositif dit "six-pack", un ensemble de six règles qui prévoit de sanctionner les déséquilibres excessifs dans le cadre du pacte de stabilité budgétaire. Le dispositif permet de sanctionner les pays en déséquilibre par des amendes. L'Allemagne a déjà fait des efforts, l'excédent de sa balance courante n'est pas aussi important qu'en 2007, mais elle reste un pays très exportateur. Un retournement de sa balance prendra du temps. Elle pourrait donc être amenée à payer ces amendes.
Peut-on dire que l'Allemagne va trop bien?

L'Allemagne connaît ces excédents depuis le début des années 2000, grâce à des mesures qui lui ont permis d'avoir une excellente compétitivité, comme le plan Hartz sur le marché du travail. Elle a surtout bénéficié d'une conjoncture très favorable dans les pays émergents, notamment en Chine. Mais la croissance chinoise s'est tassée, et les déséquilibres pointés par la Commission peuvent poser de réels problèmes. L'Allemagne a fait sa compétitivité sur le dos des salariés des services, qui sont moins bien payés que ceux de l'industrie manufacturière. Il va falloir corriger ce décalage. Les services représentent tout de même 70% du PIB allemand.
lire le reste de l'articlejean luc ;)

Smic en Allemagne : le patronat se rebiffe
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/11/20/PHO2f413d3c-51f8-11e3-9aa7-6c8f409a8ec5-805x453.jpg
La chancelière allemande Angela Merkel a affirmé que l'Allemagne allait se doter d'un salaire minimum généralisé, une concession qu'elle doit faire à ses futurs partenaires de gouvernement sociaux-démocrates.
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Dès le début, ils étaient contre. Les patrons allemands se méfient du salaire minimum généralisé que les sociaux-démocrates veulent introduire. À l'heure où les négociations entre la CDU/CSU et le SPD se terminent et que la perspective d'un accord se rapproche, la mise en garde est encore forte. Lundi soir, le nouveau patron du BDA (l'Union des employeurs allemands), Ingo Kramer, a invité la chancelière et ses partenaires de négociations à ne pas se tromper d'objectif. «Celui qui promet 8,50 euros pour tous devrait avoir l'honnêteté de dire que le plein-emploi ne pourra pas être atteint», a-t-il déclaré lors de son discours d'intronisation. À ce prix-là, les chômeurs de longue durée ne pourraient «guère retrouver un travail», a-t-il ajouté.

Huit euros cinquante, c'est le niveau du salaire minimum généralisé et fixé par la loi que demande le SPD. Les sociaux-démocrates en ont fait une condition sine qua non de leur accord de gouvernement. Angela Merkel n'a pas les moyens de le refuser, tout au plus est-elle en mesure d'aménager sa mise en œuvre. Les négociations doivent se poursuivre jusqu'au 26 novembre.
Différences régionales

Pour le patronat allemand, le succès économique du pays serait en danger. Selon l'institut d'analyse économique Ifo, un million d'emplois seraient menacés par l'introduction d'un salaire minimum. Les entrepreneurs mettent en avant les différences de secteurs et les différences régionales. «La productivité n'est pas la même partout», explique un responsable de la Chambre de commerce. Dans l'ancienne Allemagne de l'Est, les salaires sont moins élevés qu'à l'Ouest: 25 % des salariés gagnent moins de 8,50 euros, tandis qu'à l'Ouest ils ne sont que 15 %. Dans les secteurs des services, comme l'hôtellerie ou la coiffure, les «mini-jobs» (environ 450 euros par mois) sont la norme. Un salaire fixé par la loi ne pourrait que déstabiliser ces secteurs, dit-on. «Est-ce que les politiques savent ce que serait le bon salaire minimum pour un coiffeur?», ajoute cet économiste. lire le reste de l'article  jean  luc ;)

La restructuration d'EADS touchera la région de Munich.
http://s1.lemde.fr/image/2013/11/25/534x267/3519622_3_71e7_des-annonces-sont-attendues-le-9-decembre_1cce8039b193b0c4bc2ee059550aa40e.jpg
Le groupe d'aéronautique et de défense EADS prévoit de fermer un site de sa branche de défense Cassidian au nord de Munich et de regrouper des activités sur un autre site au sud de la ville bavaroise, affirme lundi le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung.

Parallèlement à la fermeture du site Cassidian d'Unterschleissheim, qui emploie 1 400 personnes, "doit être formé à Ottobrunn [au sud de Munich], le nouveau centre du groupe d'aéronautique et de défense, où doivent se regrouper les filiales d'EADS, Astrium et Cassidian", écrit le quotidien allemand, ajoutant que les conséquences en matière d'emploi sont encore inconnues.

La semaine dernière, l'agence allemande DPA avait dévoilé qu'EADS était sur le point d'annoncer une réorganisation drastique de sa filiale défense et espace, qui pourrait se solder par 8 000 suppressions de postes dans le monde, soit jusqu'à 20 % des effectifs totaux de Cassidian, du groupe spatial Astrium et d'Airbus Military. Un porte-parole d'EADS avait alors déclaré qu'aucun chiffre n'avait été décidé. lire le reste de l'article

jean  luc ;)

L'Allemagne a dévoyé la directive»
Gilbert Cette, professeur à Université de la Méditerranée Aix-Marseille II, spécialiste du marché du travail
http://static.ladepeche.fr/content/media/image/350/2013/12/03/201312032394-full.jpgQui est responsable des abus liés au statut des travailleurs détachés ?

La procédure engagée auprès de Bruxelles provient des Pays-Bas, de la Belgique et de la France avec un pays cible : l'Allemagne. Par une utilisation forcenée de la directive sur les travailleurs détachés, les entreprises d'outre-Rhin ont fait s'effondrer des pans entiers des industries agroalimentaires notamment en Bretagne. Dans le secteur de l'abattage par exemple, où la présence syndicale est quasiment absente, les rapports conventionnels très faibles et le dialogue social déplorable, nous assistons à un véritable dumping social. Les ouvriers sont payés 4 à 5 euros de l'heure. C'est clairement un dévoiement de l'esprit de la directive européenne.

Quel était le but originel de ce texte ?

Le but était de faciliter la mobilité de la main-d'œuvre. C'était une bonne idée à l'origine mais il ne faut pas que l'esprit des textes soit détourné. Aujourd'hui, les conditions d'exercice des prêts de main-d'œuvre ne sont plus tolérables, surtout quand ces méthodes proviennent du pays européen qui affiche déjà six points de PIB d'excédent courant du commerce extérieur !

Que peut faire la France pour rétablir plus d'équité ?

L'instauration d'un Smic européen, réglerait bien des disparités entre les pays. L'Allemagne vient de s'engager à en créer un sur son territoire. Une petite révolution qui risque de faire changer petit à petit la donne. Il faudra toutefois attendre 2015. Ensuite, sur le prix de la main-d'œuvre, les conditions d'application de la directive devront être beaucoup plus restrictives.

Que faire pour les salariés d'Europe de l'Est par exemple qui travaillent sur des chantiers français ?

La directive est claire sur ce point : ils doivent être rémunérés à hauteur du salaire minimum du pays où ils travaillent. En l'espèce, ils doivent toucher le Smic français. Seules les charges sociales liées à ce salaire sont payées selon le barème de leur pays d'origine. En revanche, s'ils touchent moins que le Smic, l'employeur est en infraction et doit être sanctionné après un contrôle de l'inspection du travail. http://www.ladepeche.fr/article/2013/12 … ctive.html  jean  luc ;)

Allemagne : l'économie est en phase d'accélération, affirme la Bundesbank.
La Banque centrale allemande a légèrement relevé sa prévision de croissance pour 2014 estimant que la première économie européenne était désormais en phase d'accélération, dopée par la vigueur de son marché intérieur.  http://www.lesechos.fr/medias/2013/12/06/635309_0203173773831_web_tete.jpg
La croissance allemande est sur la bonne voie estime désormais la Bundesbank qui annonce ce vendredi relever légèrement sa prévision pour l'année 2014 . Elle table désormais sur une croissance du PIB allemand de 1,7% en 2014 contre 1,5% annoncé en juin. Et le redressement devrait se poursuivre puisqu'en 2015, la croissance devrait atteindre un rythme de 2%, selon les projections de la la banque centrale allemande.

Cette accélération en cours aura également quelques effets sur l'année en cours puisque selon la Bundesbank, la croissance atteindra finalement « pas plus » de 0,5%. Elle prévoyait jusqu'à maintenant une progression de 0,3%.
les forces qui tirent la croissance « changent »

« L'économie allemande a repris de l'élan. (...) Mais les forces qui la tirent changent », explique la Bundesbank dans son rapport mensuel. Comme l'ont déjà montré les chiffres de la croissance au troisième trimestre, l'activité économique domestique prend désormais le pas sur les exportations, auparavant principal moteur de l'Allemagne .

« L'économie allemande est en bonne forme: le taux de chômage est bas, l'emploi progresse et la croissance des salaires revient à la normale. Ces facteurs soutiennent la consommation privée et tire la construction immobilière », a commenté le président de la Buba, Jens Weidmann. Sur les années qui viennent, l'emploi devrait d'ailleurs continuer à augmenter, prévoit la Bundesbank.

Le commerce extérieur de l'Allemagne souffre toujours des difficultés économiques de ses voisins, mais la reprise qui commence à pointer dans la zone euro devrait aider à freiner cette tendance .lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Allemagne : Première baisse des salaires réels en quatre ans
http://bourse.lesechos.fr/medias/2013/12/19/938458_1387453071_935351-1386592122-935345-1386591300-927691-1383895522-913126-1379428972-907017-1377595295-894995-1373271851-886414-1370726181-857242-1361528161-298990-1290594810-drapeau-allemagne.jpg Les salaires réels en Allemagne devraient avoir baissé cette année pour la première fois depuis 2009, a annoncé jeudi le Bureau fédéral de la statistique, se fondant sur les données des neuf premiers mois de 2013.

Ce repli des salaires pourrait doucher les espoirs de ceux qui espèrent voir la consommation des ménages être le principal moteur de croissance de la première économie de la zone euro.

Les exportations sont traditionnellement un point fort de l'Allemagne mais celles-ci ont souffert de l'atonie de la demande en provenance de ses voisins européens et d'un ralentissement économique dans nombre de pays émergents.

Ceci étant dit, le pays se porte mieux que la plupart des autres membres de la zone euro et les derniers indicateurs macroéconomiques en date laissent entrevoir une accélération de la croissance allemande dans les mois à venir. (voir et )

D'après le Bureau fédéral de la statistique, le troisième trimestre 2013 s'est caractérisé par un recul, après inflation, de 0,3% des salaires par rapport à la même période de 2012.

"Les résultats des trois premiers trimestres laissent entrevoir une légère baisse des salaires réels en 2013", précise le Bureau, notant que les salaires nominaux étaient en hausse de 1,4% contre une augmentation de 1,6% des prix à la consommation.

En 2012, les salaires réels avaient progressé de 0,5%. lire le reste del'article jean luc ;)

Le «bazooka» de la BCE qui secoue l'Allemagne http://s2.lemde.fr/image/2013/12/19/534x267/4336939_3_6d45_meeting-de-bernd-lucke-chef-de-file-du-parti_1616863f3bf3b968b1b6e6bee24f5c5e.jpg
Il y a trois ans, c'étaient la Grèce en quasi-faillite et la solidarité dont il fallait, ou non, faire preuve à son égard qui divisaient l'Allemagne. Aujourd'hui, c'est la Banque centrale européenne (BCE), qui est devenue « le » sujet de discorde outre-Rhin. Et, encore une fois, c'est de solidarité qu'il s'agit. D'une certaine façon.



C'est en effet sur la politique, dite « non orthodoxe », de soutien aux pays de la zone euro en crise, affichée par l'institution de Francfort – et tout particulièrement son plan de rachat de dettes publiques, dit « OMT », annoncé à l'été 2012 et détaillé à l'automne de la même année – que se cristallisent désormais les tensions.

Le paysage politique allemand renvoie pourtant une image de relatif unanimisme. Ce que traduit la large majorité dont bénéficie Angela Merkel : à la tête de sa « grande coalition », formée par la CDU, la CSU bavaroise et le Parti social-démocrate, la chancelière est quasiment assurée du soutien de plus de 500 députés sur les 631 que compte le Bundestag. Les Verts, bien qu'étant dans l'opposition, approuvent par ailleurs généralement sa politique européenne.

Mais cela ne reflète qu'imparfaitement les débats dans l'opinion allemande. En l'occurrence, dans ce pays si policé, ce sont surtout les économistes qui se sont lancés dans des échanges enflammés ces derniers mois. L'heure n'est plus à la confrontation entre personnes mais entre écoles de pensées.

RACHETER DES OBLIGATIONS SOUVERAINES D'UN PAYS

Les « pro-BCE » sont les premiers à s'être mobilisés. Ils l'ont fait après que des personnalités allemandes ont porté plainte devant la Cour de Karlsruhe : elles contestent la légalité du programme OMT à l'aune de la Constitution allemande et de ses prescriptions en matière de contrôle des questions budgétaires par le Parlement. lire le reste de l'article   jean luc ;)

En Allemagne, Thales a de grandes ambitions
http://static.latribune.fr/article_page/64107/thales-logo-outside-thales-stand-during-the-international-paris-air-show-at-paris-le-bourget-on-june-15-2009-br-le-bourget-br-france.png
Le directeur général de la filiale allemande de l'équipementier pour la défense, l'aérospatiale et la sécurité annonce dans une interview parue ce vendredi que Thales veut doubler d'ici 10 ans le chiffre d'affaires qu'il réalise en Allemagne.


     
Il y a un peu plus d'une semaine, Thales Alenia Space signait au Brésil en présence de François Hollande un beau succès commercial portant sur la fourniture d'un satellite civil et militaire. Mais ce succès de sa filiale spatiale n'en fait pas pour autant oublier ses ambitions européenne au groupe français Thales, dont l'Etat détient 27% du capital et Dassault Aviation 26%.

Dans une interview accordée aux Echos, Peter Obermark, le directeur général de la filiale allemande de l'équipementier pour l'aérospatiale, la sécurité et la défense, indique que Thales entend doubler d'ici dix ans son chiffre d'affaires outre Rhin.

L'Allemagne est déjà son quatrième marché dans le monde: le groupe y réalise actuellement 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires, dont 20% dans la défense et le reste dans le civil. Selon Peter Obermark, les principaux débouchés potentiels appartiennent aux domaines de l'automobile, de l'énergie mais aussi de la défense. "L'Allemagne a un budget de défense stable, alors que les autres pays européens le réduisent considérablement", déclare le directeur général.lire le reste de l'article  jean luc  ;) 1

Allemagne / Eco : indice de confiance des consommateurs sur un sommet de près de 7 ans .
Encore un indice de très bonne facture outre-Rhin. L'indice de confiance GfK des ménages allemands a atteint 7,6 pour janvier contre 7,4 en décembre, soit un plus haut de près de six ans et demi. Le consensus tablait sur un indice proche de 7,4. "Le moral des consommateurs en Allemagne est encore une fois remarquablement bon à l'approche de la fin de l'année 2013", indique GfK dans un communiqué. "Les consommateurs pensent que la reprise de l'économie allemande s'accélère", dit-il, ajoutant qu'ils sont plus positifs en ce qui concerne les perspectives économiques du pays qu'ils ne l'ont été depuis juillet 2011.  http://www.boursier.com/actualites/macr … 59730.html jean luc ;)

L'activité industrielle française décroche face à l'Allemagne
L'indice PMI pour le secteur manufacturier, dont la dernière estimation a été publiée ce jeudi 2 janvier par Markit, a atteint un plus bas de 7 mois en décembre. L'Allemagne,elle, enregistre son meilleur chiffre en deux ans et demi.http://www.bfmtv.com/i/580/290/867628.jpg L'activité industrielle française a terminé l'année 2013 au plus mal. L'indicateur PMI (Purchase Manager Index) , qui mesure l'activité du secteur manufacturier, est ainsi ressorti à 47 points pour décembre, contre 48,4 points en novembre, selon une estimation définitive publiée par la société Markit ce jeudi 2 janvier.

Il s'agit du niveau le plus faible atteint par l'indicateur depuis sept mois. De plus, ce chiffre accentue le recul du secteur puisqu'un indicateur inférieur à 50 points signale une contraction de l'activité manufacturière.

Pour Jack Kennedy, économiste chez Markit, cette contre-performance s'explique notamment par "le renforcement des reculs de la production et des nouvelles commandes".

Il explique, par ailleurs, que "les fabricants [signalent] de nouveau un environnement peu favorable à la demande" et que "les entreprises interrogées mentionnent un climat d'incertitude persistant qui incite les clients à limiter les dépenses et les investissements pourtant nécessaires à la reprise du secteur".

Exception française

La France semble faire figure d'exception au sein de la zone euro où l'indice affiche 52,7 points. Surtout, elle soutient de moins en moins la comparaison avec l'Allemagne.

Cette dernière a tout simplement connu son meilleur chiffre depuis deux ans et demi, à 54,3 points au mois de décembre, avec une production en très forte hausse.

Selon Tim Moore, économiste chez Markit, l'Allemagne montre ainsi "des signaux positifs en terme de perspective de croissance pour 2014".http://www.bfmtv.com/economie/lactivite-industrielle-francaise-decroche-face-a-lallemagne-677550.html  jean  luc  ;)

L'activité manufacturière progresse en zone euro, sauf en Francehttp://fr.news.yahoo.com/photos/lindice-pmi-manufacturier-en-france-photo-154910730.html
L'activité manufacturière en zone euro a progressé en décembre à son rythme le plus élevé en plus de deux ans et demi, portée par une croissance soutenue en Allemagne et en Italie, tandis que la situation s'est dégradée en France, montrent jeudi les résultats définitifs de l'enquête Markit auprès des directeurs d'achats.

L'indice PMI établi par Markit de la zone euro a été confirmé à 52,7 pour le mois dernier, son plus haut niveau depuis mai 2011, après un indice à 51,6 au mois de novembre.

La composante de la production a progressé à 54,9, également au plus haut depuis mai 2011. Les commandes nouvelles ont connu leur meilleur rythme de croissance depuis avril 2011 - à 54,1 - et les réductions d'emplois ont été quasi interrompues.

Le sentiment est positif dans l'ensemble des pays de la zone euro à l'exception de la France, où l'activité manufacturière s'est contractée à son rythme le plus fort en sept mois avec un indice PMI à 47,0 contre 48,4 en novembre et 47,1 en première estimation.

"Le renforcement de la croissance du secteur manufacturier favorise une consolidation de la reprise au sein de la zone euro", commente Chris Williamson, responsable de la recherche économique chez Markit.

"Les fabricants faisant état d'une nouvelle hausse du volume global des nouvelles commandes, des ventes à l'export et des arriérés de production, le décor semble posé pour un bon début d'année 2014", ajoute-t-il. "Le secteur manufacturier devrait en effet pouvoir soutenir une reprise notable, bien que modérée, de l'économie mondiale."

L'économiste salue également une légère progression des prix enregistrée en décembre dans la zone euro, témoignant selon lui d'une amélioration du pouvoir de tarification des entreprises.lire le rste de l'article  jean  luc  ;)

PS: ça va mieux pour tout le monde sauf en France .

Les Etats-Unis accusent (encore) l'Allemagne de ne pas jouer le jeu européenhttp://static.latribune.fr/article_page/115422/jack-lew.png
L'Allemagne sera sommée de faire un effort pour développer sa demande lors de la visite du secrétaire au Trésor américain la semaine prochaine. Et la BCE de faire attention à une possible déflation.

Jacob Lew est un habitué des remontrances à l'Allemagne dans sa gestion de la crise européenne. Lors de son prochain déplacement officiel en Europe, son troisième depuis sa prise de fonctions en janvier 2013, il ne devrait pas changer de version.
L'Allemagne sommée de développer sa demande intérieure

Ainsi l'Allemagne se verra-t-elle encore accuser de ne pas jouer le jeu de la demande intérieure pour créer des débouchés pour ses partenaires en crise. La dernière fois, Berlin avait très mal réagi aux propos de l'américain qui considérait que la faiblesse de la demande allemande était responsables de déséquilibres dans la zone euro.

Mais "en dépit des progrès accomplis par les dirigeants européens, la demande intérieure dans la zone euro reste inférieure à son faible niveau de 2009", c'est à dire au plus fort de la crie financière, constate pour justifier la position des Etats-Unis un haut responsable du Trésor cité par l'AFP.

Selon lui, la mauvaise volonté allemande aurait même freiné la sortie de crise des pays de la périphérie de la zone euro. La position de Jacob Lew et des Etats-Unis n'a pas changé assure-t-il. lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

PS:petit appel  , ce sont bien les américains qui sont responsable de la crise actuelle ,investir oui dans les infrastrutures ,mais pas directement dans les salaires pour acheter ensuite chinois ,le probléme est que l'europe ne produit plus nos télés ,machine á laver,et autre mixeur .

Bonjour,

La BCE a epongee les dettes des banques europennes  qui desormais affichent des bilans plus souriant...
Le bon cote est que l econoñie repart doucement et plus surement, mais ce sont les etats qui ont repris en partie les dettes comme celle de dexia

Il serait temps que les banques soient responsables et que leurs dirigeants donnent des explications et repondent devant la justice....  Mais il ya toujours un tour de passe passe  et les impots , les etats prenent parfois a leur charge uen dette pour eviter le pire...

Regardont plus serieusement ce que les banques et certaines institutions vont encore faire...

Bien , je ne vais pas refaire le monde mais si on refuse la guerre , nous pouvons sussi refuser d etre etouffer par les banques , leur pourvoir et la mauvaise gestion de notre Pays et l europe





Jean Pierre

eurolive a écrit:

Bonjour,

La BCE a epongee les dettes des banques europennes  qui desormais affichent des bilans plus souriant...
Le bon cote est que l econoñie repart doucement et plus surement, mais ce sont les etats qui ont repris en partie les dettes comme celle de dexia

Il serait temps que les banques soient responsables et que leurs dirigeants donnent des explications et repondent devant la justice....  Mais il ya toujours un tour de passe passe  et les impots , les etats prenent parfois a leur charge uen dette pour eviter le pire...

Regardont plus serieusement ce que les banques et certaines institutions vont encore faire...

Bien , je ne vais pas refaire le monde mais si on refuse la guerre , nous pouvons sussi refuser d etre etouffer par les banques , leur pourvoir et la mauvaise gestion de notre Pays et l europe





Jean Pierre


avis peso:il est permit de rever ,aucun responsable ne seras juger ,aucun politique aura le courage de s'attaquer a ces sponsor . ilfut financer les campagne electrorales  jean luc  ;)

Le marché de la dette reprend sa respiration, l'Allemagne en profite
Le marché de la dette a repris sa respiration lundi, les investisseurs prenant des bénéfices après le mouvement d'engouement pour l'Espagne et l'Italie en fin de semaine dernière, ce qui a joué en faveur de l'Allemagne.
Le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne a fini la journée sur une belle détente, à 1,907% à 18H00 (17H00 GMT). Il avait terminé vendredi à 1,944% sur le marché secondaire où s'échange la dette déjà émise.
Le mouvement a été similaire mais bien plus léger pour la France à 2,526%, contre 2,549% vendredi.
Les dettes de l'Espagne et de l'Italie, qui ont démarré en beauté l'année 2014, se sont à l'inverse légèrement tendues.
Le rendement à 10 ans de l'Espagne a ainsi progressé à 3,905% contre 3,874% vendredi, tout comme celui de l'Italie à 3,940% contre 3,916%.
"Les dettes italiennes et espagnoles ont déjà réalisé une belle performance" en fin de semaine dernière. "Elles connaissent donc une phase "de consolidation et de respiration" dans une séance "calme", a souligné Nordine Naam, un stratégiste obligataire de Natixis.
"Il y a également des petites prises de profits au démarrage d'une semaine chargée en rendez-vous importants comme la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) ou l'emploi aux Etats-Unis" et tout ceci "profite aux dettes des pays" les plus solides de la zone euro, Allemagne en tête, a-t-il poursuivi.
Jeudi, le taux à 10 ans de l'Espagne est repassé sous 4%, après avoir déjà évolué sous ce seuil en décembre. En juin 2013, il était au-dessus de 5%. Celui de l'Italie est aussi passé jeudi sous les 4% pour la première fois depuis le 23 mai.
Hors zone euro, le taux britannique à 10 ans a baissé à 2,972% contre 3,024% vendredi.
Aux États-Unis, le taux à 10 ans reculait également à 2,958% contre 2,995% vendredi, tout comme celui à 30 ans à 3,891% contre 3,925%. Le taux à trois mois était en baisse à 0,05% contre 0,06% vendredi.
Sur le marché interbancaire, l'Euribor est resté stable à 0,280%, le Libor reculant quant à lui à 0,239% contre 0,240% vendredi.http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/afp-00575003-le-marche-de-la-dette-reprend-sa-respiration-l-allemagne-en-profite-640839.php?xtor=RSS-2009  jean  luc  ;)

L'Allemagne est plus riche que jamais http://www.lefigaro.fr/medias/2014/01/13/PHO7f37db9a-7c1c-11e3-89b5-127f77cabfb0-805x453.jpg  Le modèle allemand a l'air de bien se porter. Première puissance économique d'Europe, l'Allemagne d'Angela Merkel commence l'année 2014 comme elle a terminé 2013: en position de force. Sa compétitivité n'est pas remise en cause et ses exportations se maintiennent à un haut niveau, permettant à sa balance commerciale d'être largement excédentaire (17,8 milliards d'euros sur le seul mois de novembre). Et même si la croissance a été faible et décevante en 2013, avec 0,4 %, les perspectives de reprise sont là pour 2014. Les économistes misent sur un taux de 1,4 %. L'Allemagne est plus riche que jamais, en témoigne son PIB par tête, bien plus élevé qu'en France.

Le tissu industriel résistant, notamment grâce à son réseau de PME compétitives, et l'assouplissement du marché du travail grâce aux réformes Schröder ont permis à l'Allemagne de surmonter la crise plus rapidement que les autres pays d'Europe. Le pays peut se féliciter de toujours conserver le «AAA» de l'agence de notation Standard & Poor's que la France a perdu.

En Allemagne, la courbe du chômage s'est inversée il y a longtemps. Depuis 2004 et un pic à 4,86 millions de chômeurs, le nombre de sans-emploi décroît dans le pays. Après la crise de 2008, la baisse s'était enrayée et le nombre de chômeurs avait atteint 3,41 millions. Puis très rapidement la décrue s'était poursuivie pour descendre sous le seuil des 3 millions. Le chômage touchait 2,95 millions de personnes à la fin de l'année 2013, soit 6,9 % de la population. C'est à peine plus qu'en 2012, avec 6,8 %. Le mouvement s'est-il arrêté? Plus que le chômage qui réduit, c'est en réalité l'emploi qui progresse en Allemagne. Avec 41,8 millions d'emplois, le pays n'a jamais compté autant d'actifs. Par rapport à 2012, le pays compte 233.000 actifs supplémentaires.  lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

L'Allemagne introduit la retraite à 63 anshttp://static.latribune.fr/article_page/108083/vieux.png
La grande coalition a présenté ce jeudi sa réforme des retraites avec plusieurs assouplissement de celle de 2007. Mais le financement pourrait manquer rapidement.


 
La grande coalition allemande veut aller vite. Le nouveau gouvernement allemand a présenté ce jeudi son projet de loi sur les retraites. Un projet directement inspiré du contrat de coalition signé le mois dernier et qui devait répondre aux promesses de la SPD et de la CDU et qui détricote en partie la réforme portée en 2007 par la SPD qui instaurait en 2030 la retraite à 67 ans.
Un départ sans décote dès 63 ans

Cette nouvelle réforme créée d'abord une possibilité de partir en retraite à 63 ans sans décote si la personne a cotisé 45 ans, une demande de la SPD. Jusqu'à présent, une décote était appliquée pour un départ anticipé à hauteur de 0,3 % par mois d'écart entre l'âge de départ effectif et l'âge légal de départ à la retraite (aujourd'hui 65 ans et 4 mois).

Cet âge de départ anticipé sans décote sera néanmoins progressivement remonté de deux mois à partir de l'an prochain jusqu'à atteindre 65 ans pour les personnes nées en 1964. Il est vrai que, parallèlement, l'âge légal de départ à la retraite va remonter pour atteindre 67 ans en 2030… Le coût total de cette mesure va progressivement s'alourdir : de 900 millions d'euros cette année, il va passer à 3,1 milliards par an en 2030.lire lereste del'article       jean luc  ;)
PS .tout simplement irréaliste ,dans 4 ans tout seras démonter lors des prochaines elections  ,faire du sociale avec l'argent      qu'on  a pas ça fonctionne pas

Nouvelle faillite dans les énergies renouvelables en Allemagnehttp://s1.lemde.fr/image/2013/09/11/534x267/3475605_3_ca23_un-champ-d-eoliennes-a-husum-dans-le-nord-de_6004382690d779c507fa9ed7c0fe9d5f.jpg    L'installateur allemand de champs d'éoliennes Prokon a déposé le bilan, indique-t-il sur son site Internet. C'est une nouvelle faillite dans le secteur des énergies renouvelables allemand, affaibli depuis plusieurs mois. Créé en 1995, Prokon a la particularité d'avoir été financé par 75 000 petits investisseurs privés, l'entreprise les alléchant avec un investissement présenté comme « éthique » et accompagné d'intérêts très élevés, de 6 % à 8 %.

D'après le quotidien Süddeutsche Zeitung jeudi 23 janvier, le cas Prokon, qui va se solder par de grosses pertes pour nombre d'épargnants, pousse le gouvernement allemand à demander aux autorités des marchés financiers (Bafin) un contrôle plus strict de ce type de produit financier à haut risque, voire carrément une interdiction.
MULTIPLICATION DES FAILLITES EN ALLEMAGNE

Avertissant de ses difficultés il y a une dizaine de jours, Prokon, qui compte environ 1 300 employés, avait demandé à ses investisseurs de ne pas retirer leur argent. Un peu plus de la moitié avaient accepté de continuer à soutenir l'entreprise, un niveau cependant insuffisant pour éviter la mise en redressement judiciaire.

Ce dépôt de bilan, dont la demande doit encore être examinée par le tribunal, « ne signifie en aucun cas la fin de Prokon. (...) Nous sommes toujours bien positionnés opérationnellement et nous sommes sûrs que nous surmonterons ces difficultés », assure le groupe. Prokon a financé et réalisé plus de cinquante champs d'éoliennes surtout dans le nord de l'Allemagne, mais aussi en Pologne, et est également présent dans la biomasse.

Décidant de sortir rapidement du nucléaire après la catastrophe de Fukushima en 2011, l'Allemagne avait mis les bouchées doubles pour développer les énergies renouvelables, notamment à grands coups de subvention. Désormais, Berlin revient sur ce système qui a gonflé artificiellement le nombre d'installations d'éoliennes et autres panneaux solaires et surtout fait exploser les factures d'électricité. La baisse des subventions, le trop-plein du marché et la concurrence chinoise ont déjà poussé plusieurs entreprises allemandes dans le domaine du solaire à mettre la clé sous la porte.http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/23/allemagne-nouvelle-faillite-dans-les-energies-renouvelables_4353277_3234.html  jean  luc  ;)

Allemagne: Rewe (distribution) veut investir au moins 1,6 md EUR en 2014
Rewe, deuxième groupe de distribution allemand dans l'alimentaire, va investir au moins 1,6 milliard d'euros en 2014, annonce son patron, le Français Alain Caparros, dans un entretien au quotidien Handelsblatt de lundi.

"Au total, nous prévoyons 1,6 milliard d'euros pour l'expansion et la modernisation de notre réseau en Allemagne et à l'étranger", déclare M. Caparros au journal économique.

Il précise que si le groupe devait procéder à des acquisitions, leur montant s'ajouterait à cette somme.

L'an passé, Rewe avait investi 1,5 milliard d'euros, dont la moitié en Allemagne.

Rewe compte notamment développer des points de restauration - bistrots, bars à sushis - dans ses magasins, pour les rendre plus attractifs, face à la forte concurrence dans ce secteur.

"Nous sommes attaqués simultanément de deux côtés: par le commerce en ligne et par les  par les discounteurs", a-t-il justifié. "Si l'on ne fait pas attention, les supermarchés vont devenir superflus", a-t-il jugé. http://www.lalibre.be/dernieres-depeche … 514c2a8481   jean  luc  ;)

Allemagne : le moral des chefs d'entreprise au plus haut depuis 2011
Le barômètre Ifo qui mesure le moral des industriels allemands s'est encore amélioré en janvier. Il est même plus élevé que ce qu'anticipaient les analystes et atteint un nouveau plus haut niveau depuis juillet 2011.Le moral des entrepreneurs allemands, mesuré par l'indice Ifo, a continué à progresser en janvier, selon des chiffres publiés ce lundi par l'institut de conjoncture allemand . Une progression qui s'avère meilleure qu'attendue et qui amplifie l'amélioration régulière de cet indicateur, même si en décembre la hausse avait été jugée "modeste".

Pour le mois de janvier, le baromètre Ifo a atteint 110,6 points, contre 109,5 points en décembre, à un nouveau plus haut niveau depuis juillet 2011. "L'économie allemande a démarré la nouvelle année remplie d'optimisme" souligne l'Ifo dans son communiqué.

Les conjoncturistes et analystes attendaient un tout petit peu moins, à l'image de ceux interrogés par l'agence Dow Jones Newswires dont le consensus s'établissait à 110 points.
Situation contrastée dans le commerce

La composante de l'indice qui mesure l'appréciation des entrepreneurs de leur situation actuelle a progressé à 112,4 points, contre 111,6 points le mois dernier, s'établissant à "son plus haut niveau depuis juin 2012", a précisé Hans Werner Sinn, patron de l'institut, cité dans le communiqué. Quant à la composante mesurant les attentes pour les six mois à venir, elle a également gagné du terrain, atteignant 108,9 points en janvier, contre 107,4 points en décembre. Elle s'est en outre établi à son meilleur niveau depuis trois ans, a indiqué l'institut Ifo.

Tous les secteurs d'activité affichent une amélioration de leur moral. Dans le secteur manufacturier l'amélioration tient pour une bonne part à de meilleures anticipations en matière d'exportations. Dans le commerce, l situation est plus contrastée. le commerce de gros l'optimisme est de rigueur et le moral s'avère au plus haut depuis deux ans. Par contre dans le commerce de détail, le moral est en légère baisse en liaison avec une activité moins bonne que prévue.

Dans la construction aussi, le climat des affaires est en amélioration significative.

Ce baromètre du climat des affaires est construit à partir d'une enquête mensuelle réalisée auprès de 7.000 entreprises. http://www.lesechos.fr/economie-politiq … 645796.php   jean  luc  ;)

Allemagne: bonne surprise du côté du marché du travail en janvierhttp://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/iHAWE0isbt.UtQJw_fOBEw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzI2O2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zMjY7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/AFP/d68910b17f4a3c34352e4db89857f15be9e5ef16.jpg
Le marché du travail allemand a bien commencé l'année avec un taux de chômage en données corrigées stable et une baisse plus prononcée qu'escompté du nombre de chômeurs au mois de janvier.

Selon les chiffres publiés jeudi par l'Agence pour l'emploi, le taux de chômage en Allemagne en données corrigées des variations saisonnières (CVS) s'est établi à 6,8% en janvier, demeurant à son plus bas niveau depuis la Réunification.

Il est resté stable par rapport au chiffre de décembre, révisé en baisse. L'Agence avait annoncé dans un premier temps un taux de chômage CVS pour décembre de 6,9%.

Le consensus d'analystes réalisé par l'agence Dow Jones Newswires tablait sur un taux de 6,9% en janvier.

Comme le mois précédent, le nombre de chômeurs a constitué une très bonne surprise. Attendu par le consensus d'analystes en repli de 5.000, il a fait nettement mieux en reculant de 28.000.

En décembre, 19.000 chômeurs de moins avaient déjà été enregistrés selon un chiffre revu à la hausse par l'Agence pour l'emploi, qui en avait précédemment annoncé 15.000 de moins.

Ces chiffres "nous montrent, que le marché du travail est en forme et que la situation de l'emploi en Allemagne est stable", a commenté dans un communiqué la ministre allemande du Travail, Andrea Nahles. Elle a rappelé le combat du gouvernement contre le chômage de longue durée et le manque criant de main d'oeuvre qualifiée.

Le taux de chômage brut, moins pertinent aux yeux des spécialistes, a pour sa part fortement augmenté pour passer de 6,7% en décembre à 7,3% en janvier. Le nombre de chômeurs dans le pays s'élève à 3,136 millions de personnes. Il a "nettement augmenté en janvier pour des raisons liées à la saison hivernale", a expliqué dans un communiqué Heinrich Alt, un responsable de l'Agence pour l'emploi. lire le reste de l'article
jean  luc  ;)

L'Allemagne et le sud de la zone euro tirent la croissance en janvierhttp://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/1qhJMs5jElRNQOSKUUUdKQ--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NDUzO2NyPTE7Y3c9ODA1O2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTU7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/figaro/PHO0a826ff4-8cfc-11e3-803a-b9433740c1c6-805x453.jpg   

Cet indicateur avancé de la croissance, très regardé par les marchés, atteint, à 56, son plus haut niveau depuis mai 2011. Il correspondrait à une hausse du PIB de 1 % sur le trimestre. Cette croissance est tirée par le secteur industriel allemand, lequel profite d'une hausse des commandes en provenance d'Allemagne, d'Asie et des États-Unis.

La France, deuxième économie de la zone euro, reste à la traîne de ses voisins avec un indicateur sous la barre des 50, qui témoigne d'une contraction de l'activité. «Il est à espérer que le nouveau programme de réformes lancé par le président Hollande se traduise par un électrochoc pour le climat des affaires et provoque un retour de la croissance», commente Jack Kennedy, économiste chez Markit.

D'autant que la croissance est bel et bien de retour dans le sud de la zone euro, où les PMI manufacturières enregistrent de nouvelles progressions en Italie, en Espagne mais aussi en Grèce.

Pour la première fois depuis 2009, le secteur manufacturier grec a renoué avec la croissance en janvier. Mais cette embellie est encore insuffisante pour y faire baisser le taux de chômage. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014 … anvier.php   jean  luc  ;)

L'Allemagne se demande à quelle sauce manger les évadés fiscaux

Faire payer jusqu'au dernier centime ou fermer un peu les yeux pour inciter à l'auto-dénonciation? Plusieurs cas médiatisés de personnalités détentrices de comptes bancaires cachés en Suisse ou ailleurs ont relancé cette semaine en Allemagne le débat sur la fraude fiscale http://images18.levif.be/images/resized/400/044/330/047/8/500_0_KEEP_RATIO_SHRINK_CENTER_FFFFFF/image/4000443300478.jpg   Uli Hoeness, le président du club de football du Bayern Munich qui doit être jugé en mars lors d'un procès qui s'annonce emblématique, a été rejoint en quelques jours à la Une des journaux par une célébrissime féministe et quelques hommes politiques, des dossiers qui ont mis en lumière les divergences au sein de la jeune coalition gouvernementale conservateurs/sociaux-démocrates d'Angela Merkel.

"Oui, j'ai eu un compte en Suisse. L'an dernier, je l'ai signalé au fisc, j'ai payé les impôts sur les taux d'intérêt et fermé le compte", a avoué dimanche Alice Schwarzer, figure de proue du féminisme allemand. Si elle reconnaît une "erreur", la journaliste de 71 ans souligne que désormais "tout est légal". Dans la foulée sont apparus deux autres cas, de responsables politiques cette fois.

Mettant en difficulté le maire et chef du gouvernement régional de Berlin, le social-démocrate Klaus Wowereit, qui a admis avoir été au courant, le secrétaire d'Etat à la Culture André Schmitz a reconnu avoir transféré il y a quelques années plus de 400.000 euros d'héritage en Suisse, sans en payer les impôts dus à l'Allemagne.

C'est une somme du même ordre que le trésorier du parti conservateur CDU d'Angela Merkel, Helmut Linssen, a transféré du Luxembourg aux Bahamas puis à Panama. L'enquête fiscale ouverte à son encontre avait été abandonnée en 2012, les faits étant prescrits.

MM. Schmitz et Linssen ont fini par donner leur démission. Mais cette ribambelle de sommes à six chiffres ayant échappé au fisc a nourri le débat sur la tolérance à avoir pour les fraudeurs repentis, qui bénéficient d'une amnistie et ne doivent régler rétrospectivement leurs impôts que sur une période limitée, cinq voire dix ans.

Les sociaux-démocrates veulent limiter à ceux qui auraient omis "une bagatelle" la possibilité de se racheter une virginité fiscale en se dénonçant, et plutôt augmenter les enquêtes. Les conservateurs et les ministres des Finances des Etats régionaux sont contre. "Je ne vois pas de raison convaincante pour l'abolition d'un tel instrument, mais on peut en durcir les conditions", tout en faisant attention de ne pas anéantir l'incitation à se dénoncer, a déclaré le ministre conservateur des Finances, Wolfgang Schäuble, au quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.

"Perfectionner les règles" d'impunité des fraudeurs qui se dénoncent est d'ailleurs au programme de gouvernement négocié à l'automne entre conservateurs (CDU-CSU) et sociaux-démocrates (SPD). Une proposition doit être mise sur la table en mars.

Selon les données collectées par l'agence de presse DPA, plus de 26.000 personnes se sont dénoncées au fisc en 2013, un chiffre en forte augmentation. L'achat par certains Etats régionaux de CD volés de données bancaires a poussé nombre de fraudeurs à se mettre en règle. lire le reste de l'article    jean  luc  ;)