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Dernière activité 13 Octobre 2011 par cyberange

Nouvelle discussion

Al Gorythme

salut à tous

j'avais l'habitude de regarder sur le net les articles des nouvelles calédoniennes, mais comme vous le savez le site est devenu payant....

j'aurai beaucoup aimé lire un article parut il y a quelques jours qui parle de mon travail.
étant en métropole, il m'est difficile de pouvoir lire cette article.... :P
quelqu'un pourrait-il ( si il est abonné ) me copier l'article en question et me l'envoyer SVP ?????

please, surlignage, CTRL+C et CTRL+V en MP ???? :P

voiçi le titre de l'article: "Christophe Planche, du bon pour les oreilles" du mercredi 12 octobre 2011 à 03H00

merci d'avance si quelqu'un peut m'aider

a+

Algo ;)

cyberange

Mince effectivement depuis que le site des nouvelles est devenu payant je n'y vais plus non plus ... j'espere que quelqu'un est abonné et pourra t'envoyer cet article .

Niakbow

L'INVITÉ DU MERCREDI
Christophe Planche, du bon pour les oreilles
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Publié le mercredi 12 octobre 2011 à 03H00
Si vous ne l’avez jamais vu, vous l’avez probablement déjà entendu, du moins son travail. Christophe Planche est le régisseur son du centre culturel du Mont-Dore, également cofondateur du label Big sound master.

Christophe Planche a un credo : faire du bon son pour en finir avec le « complexe Pacifique ».
Homme de l’ombre, il ne l’est assurément pas du silence. Le régisseur son du centre culturel du Mont-Dore, qui a vu naître la structure, a déjà une longue expérience derrière lui. Contrairement à de nombreux élèves, sa vocation, il la trouve en troisième, à l’occasion du stage obligatoire en entreprise de fin d’année. Quelque temps avant, il s’était mis à la guitare. Alors, pour choisir son entreprise, il prend le bottin et « cherche à la page studio d’enregistrement ».
Une chance, il est à la Seyne-sur-Mer après avoir quitté Bourail au début des Evènements. C’est non loin de là que se trouve Miraval, un des plus gros studios de France. « Une semaine avec Indochine qui enregistrait : c’était tout tracé pour moi », se souvient l’ingénieur du son qui, à l’époque, avait trouvé comment rester dans la musique.

Rencontre. Pour se préparer, il prépare un Bac F3 (électricité) qu’il obtient en 1990 à Jules-Garnier. « Quatre jours après, j’étais dans l’avion pour apprendre le métier en France. » Pendant cinq ans à Paris, il sera servi en écumant les salles de la capitale. Il fait un premier stage à l’école Creart qui lui donne la convention dont il a besoin.
Mais en 1995, pas encore satisfait de son niveau, il entre dans une des meilleures écoles d’ingénieurs du son au monde : la SAE, dont il sort pour enchaîner des tournées à tire-larigot. Alpha Blondy,
I Jah man and the Gladiators, ou encore Bruning Spear. Il prend alors une leçon magistrale auprès de l’ingénieur du son de Madonna… Autant de grands concerts qui forgent son expérience qu’il ramène à Nouméa en 1997.
Il commence chez Sono plus, qui monte en puissance, avant de rencontrer Xavier Vergès en 2000. L’actuel conseiller municipal est alors responsable des services d’animation et d’insertion et travaille sur la création du centre culturel du Mont-Dore. La rencontre sera payante puisque Christophe Planche accompagnera le développement du centre dès sa création, en dehors d’une parenthèse de quatre ans, entre 2005 et 2009.

Complexe. Une période au cours de laquelle il ne chôme pas puisqu’avec le spectacle Les champs de la terre, il multiplie les tournées en Métropole et en Calédonie où la pièce de Pierre Gope est produite près de 150 fois. Infatigable, il peaufine son label Big sound master, qu’il gère avec Gregory Louzier, pour « promouvoir les artistes locaux » et notamment Tevita, Sacha et Zool, un des plus anciens groupes de métal calédonien.
Les cartons sont pleins. L’année prochaine, il prévoit de produire Naïa roots, Shem ou encore Robin Martin, toujours en respectant le credo : donner le meilleur son possible aux musiciens et en finir avec le « complexe Pacifique » qui veut que le son soit de mauvaise qualité. Cette exigence, il l’applique également au centre culturel, une des salles les plus actives, et pour laquelle Christophe et ses collègues mouillent la chemise.
Au milieu de cet emploi du temps surchargé, Christophe Planche garde quand même un espace à lui, petit, mais présent. « Faire le son pour les autres, c’est bien, mais des fois, ça fait du bien de passer de l’autre côté. » Une sensation qu’il a retrouvée récemment en travaillant sur l’album de Tevita, avant, plus tard, un projet vraiment à lui.

Al Gorythme

Yeah  :)

merci Niakbow :cool:

cyberange

Et bien voilà il suffit de demander :) merci Niakbow

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