Europe : la relation France et Allemagne, mouvementée et indispensable

D'un autre coté, Merkel a joué aussi sur la défaite de Hollande en venant soutenir Sarkosy sur un de ses metings. On verra si Hollande participe a la campagne allemande en soutenant le SPD.

en France lorsque qu'un gouvernement étranger soutient un candidat celui ci perd toujours les élections ,en Allemagne idem . De toute façons le SPD va perdre les élections ,au plus il pourrais faire une grande coalisions sous la direction de Merkel . Il est même possible qu'une coalisions CDU-VERT sorte des urnes .Il faut pas oublier que Merkel grâce à sa gestion de la crise européenne ,bénéficie du soutient populaire des 2/3 des allemands approuvent sa politique . autre chose le SPD a perdu sa base populaire en créant les lois Hartz IV ,base qui a basculer en partie dans le harztIV .
  jean  luc ;)

France-Allemagne, deux siècles d'Interférences architecturales à Strasbourg
http://www.francetv.fr/culturebox/sites/default/files/styles/article_view_full_main_image/public/assets/images/2013/04/interferencesdome.jpg L'architecture peut transcender les conflits et les différences culturelles. C'est ce que montre l'exposition "Interférence" proposée jusqu'au 21 juillet au Musée d'Art Moderne et Contemporain à Strasbourg. A travers plus de 400 œuvres et objets rarement ou jamais exposés, elle retrace les rivalités et les échanges entre la France et l'Allemagne qui ont modelé l'espace architectural européen. « Interférences » s'organise sur un parcours qui se veut chronologique, de 1800 à 2000, autrement dit des lendemains de la Révolution française et de l'Empire jusqu'à nos jours. Deux siècles d'architecture, d'art et d'histoire qui se déclinent à travers Plans, dessins d'architectes, maquettes d'édifices et de villes, photos et textes. Et au final, un constat s'impose : pas de suprématie d'une nation sur l'autre, mais un échange perpétuel, qui n'exclut pas une certaine forme de rivalité.La France de l'après-Révolution, un modèle

La modernité sera incarnée tour à tour par la France ou l'Allemagne. Ce fut le cas après la Révolution française quand des architectes allemands viennent à Paris chercher l'inspiration. Ce fut ensuite les travaux du Baron Hausmann qui influencèrent les plans d'extension de Berlin dans les années 1860. Mais l'annexion de l'Alsace-Moselle en 1871 va renverser ce rapport. L'Empire allemand apposera sa « patte » sur ces territoires et notamment à Strasbourg.http://www.francetv.fr/culturebox/sites/default/files/styles/asset_in_body/public/assets/images/2013/04/gaertner.jpg lire le rste de l'article

jean  luc ;)

Je passe devant tous les jours et je n'avais pas remarqué ! Merci de l'info.

:lol::lol::lol: j'épluche les revues de presse ,et puis c'est connus les français sont mauvais vendeur .l'exposition doit être très inintéressante ,je connais le quartier allemand de Metz l'architecture est très caractéristique de la période 1870-1918 ,on parle de "style prussien",mais il ont fait á Metz la plus belle gare de France ,elle est vraiment magnifique http://www.capmetz57.fr/article-gare-de … 95296.html  .

C'est le style"néo-gothique allemand"  jean  luc ;)

Sais-tu que le gothique est né en France, à Chartres ?
Avant d'arriver à la cathédrale de Strasbourg par des tailleurs de pierre français.

je lit et j'apprends tous les jours ,je connais l'art gothique ,mais comme un profane ,Metz ,Strasbourg,notre Dame oui je les ai vu ,sur Wiki il parle de Sens comme la 1er cathédrale 1135 ,mais c'est bien en l'île de France que l'art gothique est naît . l'ancien nom étais "art français",mais vers 1520 les critiques d'art italiens ,on trouvais que c'etais un art barbare ,et lui on donnais le nom de gothique en souvenir du sac de Rome en 406 par les goths http://fr.wikipedia.org/wiki/Architecture_gothique .

Déjas á cet époque les italiens aimaient pas les Allemands :lol::lol::lol:  .   jean  luc ;)

PS:je pense que l'abbaye de Cluny a jouer un grand rôle dans le rayonnement de l'art gothique avec toutes ses succursales reparti dans toute l'Europe .On voyageais beaucoup en ce temps là . Je me demande si Expat.com n'excitais pas a cet époque ;)

Forum de Strasbourg : à quoi sert la relation franco-allemande ?


France-Allemagne : Après l'amour, «l'adultère»
Bien plus attiré par l'exotisme supposé de l'intitulé que par le fond de la question, le public allemand s'est pressé vendredi et samedi au forum de Strasbourg organisé par Libération et Arte. A l'instar de ce jeune couple d'étudiants Erasmus qui nous avouait que la France n'avait à leurs yeux aucun intérêt particulier et qu'ils se demandaient bien pourquoi les politiques étaient aussi en retard sur le monde réel. Ils ne furent sans doute pas déçus par les débats qu'ils allaient suivre.

Un vieux couple

Se pencher sur la relation franco-allemande, c'est interroger un vieux couple. «D'abord, il y a l'amour. Puis, avec les années, viennent les problèmes, les enfants - l'Europe qui grandit -, les crises, décrivait la journaliste turque Arzu Çakir-Morin. Le couple ne s'entend plus, il lui faut surmonter les difficultés.» Oui, mais comment ? «L'adultère», suggérait le député italien Sandro Gozi, vice-président du mouvement fédéraliste européen en Italie : «Plutôt qu'un couple, je vous conseille une bonne polygamie européenne car votre couple ne marche plus, il est déséquilibré.» Puisque, selon lui, le duo bat de l'aile, «il faut faire entrer les autres Etats membres dans la danse».

En face, Denis MacShane, l'ancien ministre britannique aux Affaires européennes, ironise : «En Angleterre, on prend l'adultère très au sérieux, nous ne sommes pas pour la poly ga mie, on préfère vivre seul !» Le travailliste exprime «ses craintes» de voir l'Angleterre dire bye bye si le référendum promis par Cameron a bien lieu. Pour lui, le couple franco-allemand est une illusion, il n'y a «aucun modèle commun», ni culturel, ni social… Et le Britannique d'énumérer : «Les Allemands exportent, les Français empruntent. Ils ont plus de points de divergences que de convergences mais ils ont appris à vivre ensemble. La vraie cohabitation en Europe, c'est la leur, c'est une chose magnifique que les Anglais ne comprennent pas, parce qu'ils ne comprennent pas l'Europe.»
Berlin, le choix des jeunes  lire le reste de l'article   jean  luc ;)

A qui exporteraient les allemands si leurs clients arrêtaient de s'endetter ?

cyrilleho a écrit:

A qui exporteraient les allemands si leurs clients arrêtaient de s'endetter ?


Je me suis posé la même question sous une forme un peu différente:
"Juste une idée folle: si d'un coup tous les pays qui ont des comptabilités douteuses disparaissaient, et ne resteraient que les états avec des comptes sains. Que se passerait-il ?"

Personne ne m'a répondu (enfin si mais complètement à côté de la plaque).

Le système s'effondrerait car notre système monétaire est basé sur une création constante de monnaie par la création de dette, mais comme il faut créer de la monnaie pour rembourser les intérêts, et que les banques créent la monnaie en créant des dettes, la masse de dettes ne peut qu'augmenter. C'est une fuite en avant qui ne peut s'arrêter que lors d'une situation anormale. Personne ne sait trop à quoi cela peut ressembler car c'est la première fois qu'on atteint une telle échelle (L'Allemagne a fait défaut 3 fois au XXème siècle mais n'a pas entrainé le reste du monde).
Qu'en serait-il aujourd'hui ?

@jean-luc à propos de Cluny : Pour Expat.com je ne sais pas, mais pour l'espéranto, c'est sûr qu'il existait déjà : c'était le latin. L'espéranto actuel n'est qu'un latin modernisé et simplifié !

denebe a écrit:
cyrilleho a écrit:

A qui exporteraient les allemands si leurs clients arrêtaient de s'endetter ?


Je me suis posé la même question sous une forme un peu différente:
"Juste une idée folle: si d'un coup tous les pays qui ont des comptabilités douteuses disparaissaient, et ne resteraient que les états avec des comptes sains. Que se passerait-il ?"

Personne ne m'a répondu (enfin si mais complètement à côté de la plaque).


je vous répond á tout les deux .

tout le monde détient les créances de tous le monde . en clair lorsqu'un débiteur fait défaut ,les créanciers doivent soit aider le débiteur ,soit enregistrer les pertes ,soit les deux (gréce) ,ce qui entraîne un 2eme débiteur (Portugal),puis un 3eme (Espagne),puis un 4 eme (Italie),puis Chypre,le prochain la Slovénie,c'est l'effet domino ,les sommes engagée sont de l'ordre de 1000 000 000 000 d'€ soit 1000 milliard d'€ ,le budget de la France tourne autour de 300 milliard . pour les USA c'est 16 000 000 000 000 de Dollards soit 16 fois plus . Personne n'est a l'abri,l'Allemagne comme la Chine  .  jean  luc ;)

cyrilleho a écrit:

@jean-luc à propos de Cluny : Pour Expat.com je ne sais pas, mais pour l'espéranto, c'est sûr qu'il existait déjà : c'était le latin. L'espéranto actuel n'est qu'un latin modernisé et simplifié !


pour ceux qui connaisse pas http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Cluny  jean  luc ;)

Nos élus français remettront en place le troc, c'est défiscalisé, pas de TVA, et en suisse, tu peux placer des meules de gruyére dans les coffres fort, aucune traces comptables:)

@Jean luc
tu prends exemple de la Grèce, je te parle d'un monde (imaginaire certe), dans lequel à un instant t0, tout le monde à une comptabilité exemplaire. La Grèce d'aujourdhui en est très loin...

"Juste une idée folle: si d'un coup tous les pays qui ont des comptabilités douteuses disparaissaient, et ne resteraient que les états avec des comptes sains. Que se passerait-il ?"

jean luc1 a écrit:

Personne n'est a l'abri,l'Allemagne comme la Chine  .  jean  luc ;)


Bien entendu.

Ce qui me dérange c'est l'affirmation selon laquelle une bonne comptabilité permet de s'en sortir. La question est pour qui ?

Maintenant si une personne me dit pour tout le monde, alors j'aimerais avoir quelques explications, je ne comprends personnellement pas bien (d'où ma précédente question...).

Une économie guerrière est très simple à comprendre, une économie vertueuse (à échelle la plus grosse possible) est un peu plus complexe.

L'Economie (avec un grand E) verteuse est autant un doux rêve que la vertue d'un pays à comptabilité exemplaire. C'est compliqué tout ça.

Edit: je ne fais en aucun cas l'apologie des comptabilités frauduleuses, là n'est pas mon propos. :)

denebe a écrit:

@Jean luc
tu prends exemple de la Grèce, je te parle d'un monde (imaginaire certe), dans lequel à un instant t0, tout le monde à une comptabilité exemplaire. La Grèce d'aujourdhui en est très loin...

"Juste une idée folle: si d'un coup tous les pays qui ont des comptabilités douteuses disparaissaient, et ne resteraient que les états avec des comptes sains. Que se passerait-il ?"


La faillite ,car tous les pays ont des créances des autres ,mais aussi des crédits auprès des autres . Si tu paye pas ta créance auprès de ta banque ,celle-ci peut être mis en difficulté pour payer ses propres créances  auprès des autres banques. pour les pays c'est pareille . La crise de 2007 a mis les banques á genoux,tous les pays ont du intervenir pour sauver les banques ,mais la dette de ces pays se sont envoler ,et certains ne peuvent plus payer . le problème se sont les peuples qui payent pas les banquiers dont aucuns n'a été poursuivi .

jean  luc ;)

jean luc1 a écrit:

La faillite ,car tous les pays ont des créances des autres ,mais aussi des crédits auprès des autres . Si tu paye pas ta créance auprès de ta banque ,celle-ci peut être mis en difficulté pour payer ses propres créances  auprès des autres banques. pour les pays c'est pareille . La crise de 2007 a mis les banques á genoux,tous les pays ont du intervenir pour sauver les banques ,mais la dette de ces pays se sont envoler ,et certains ne peuvent plus payer . le problème se sont les peuples qui payent pas les banquiers dont aucuns n'a été poursuivi .

jean  luc ;)


Tu n'as pas saisi le sens de la question. Il est évident que si tout le monde ne règle plus ses dettes, les créanciers vont payer, et qu'une partie (tous ?) d'entre eux vont faire faillite. C'est tellement évident...  Cela étant, la terre ne s'arrêterait pas de tourner ( c'est du second degré, le sujet n'est pas la gravitation), il y aurait une autre économie qui prendrait forme, certainement avec de nouvelles banques, de nouveaux fonds d'investissements, de nouvelles assurances... Des guerres ? Mais là n'était en aucun cas le fond de ma question.

Quand j'ai écris disparaitre, même si c'était peut-être maladroit, tu as laissé de côté le principal:

denebe a écrit:

et ne resteraient que les états avec des comptes sains. Que se passerait-il ?


Ce que cycrillehp a aussi souligné à travers son post:

cyrilleho a écrit:

A qui exporteraient les allemands si leurs clients arrêtaient de s'endetter ?

je crois que tu devrais arrête de te poser ce genre de questions , la faillite dit  aussi que nous aurons tout perdu ,et ce qu'il se passeras après ,nul ne peut le dire . là on tourne en rond ,je pense qu'on doit passer á autre chose .  jean  luc ;)

Peer Steinbrück : "L'Allemagne doit renforcer son pouvoir d'achat pour aider ses partenaires" http://s1.lemde.fr/image/2013/02/27/534x267/1839744_3_40fb_peer-steinbruck-le-candidat-du-spd-aux_1469cfb98fe8897f73d7515aa1c5f913.jpg Peer Steinbrück est le candidat social-démocrate (SPD) à la chancellerie allemande, aux élections de septembre. Il était en visite jeudi 4 et vendredi 5 avril en France, où il a été reçu à l'Elysée.
Après vos rencontres avec Jean Marc Ayrault et François Hollande, pouvez-vous dire que le gouvernement français soutient votre candidature contre celle d'Angela Merkel ?

Non, il n'est pas habituel d'impliquer un gouvernement étranger, en l'occurrence la France, dans une campagne électorale en Allemagne. L'amitié et le partenariat entre l'Allemagne et la France ont une valeur supérieure. Ils ne dépendent pas de la personne ou du parti au pouvoir et cela doit continuer ainsi. C'est pourquoi je n'attendais pas un tel soutien. Pourtant, il y a naturellement une grande communauté politique avec François Hollande, Jean-Marc Ayrault et les socialistes français. Mes entretiens à Paris me l'ont une nouvelle fois prouvé. 

Il y a quelques mois, l'ancien chancelier Gerhard Schröder avait prédit une attaque des marchés si la France ne se réformait pas rapidement. Ce risque existe-t-il toujours ?
Je constate que François Hollande est en fonction depuis dix mois. On ne peut pas exiger de lui de régler les défaillances dont ses prédécesseurs sont responsables depuis dix ans. Je trouve étonnant que Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy échappent à toute critique sur cet héritage. Le président a présenté une boîte à outils et il lui faut le laisser le temps de l'utiliser.

Vous étiez le ministre des finances d'Angela Merkel de 2005 à 2009, lors du gouvernement de "grande coalition". Vous vous entendiez bien. Qu'est ce qui vous distingue d'elle ? lire le reste de l'article
jean  luc ;)

jean luc1 a écrit:

je crois que tu devrais arrête de te poser ce genre de questions , la faillite dit  aussi que nous aurons tout perdu ,et ce qu'il se passeras après ,nul ne peut le dire . là on tourne en rond ,je pense qu'on doit passer á autre chose .  jean  luc ;)


Finalement on est d'accord, on en sait bien peu malgré tout ce qu'on peut écrire et affirmer.

Ces questions sont autrement plus conséquentes que résoudre une équation comptable, et sont toujours éludées. Je n'ai pas plus de réponses à fournir, mais j'interroge, je trouve que c'est la moindre des choses. Avoir un bilan positif peut s'interpréter de bien des façons différentes, notamment suivant l'échelle choisie, entre autres...
Faillite ne veut pas dire tout perdre, tu gardes ta maison, tu gardes les routes, tu gardes une partie de la production électrique, tu galères méchamment pour t'approvisionner en énergie, et puis peut-être que tout d'un coup, par l'opération du saint esprit, les gens s'entraideraient miraculeusement un peu plus (moins de gaspillage -> c'est fou ce que l'on jette...), les sociétés d'investissements s'engraisseraient un petit peu moins et joueraient leur un peu plus leur rôle, à savoir investir dans un projet pour que ça fonctionne d'une manière pérenne et non pour valoriser à courte échéance puis jeter, des solutions jusque lors méprisées deviendraient d'actualité, etc...
Ce que je dis est naturellement faux à bien des égards, sinon incomplets, ou pleins de suppositions. La réalité économique, si on se donne la peine d'y réfléchir honnêtement, est très compliquée, je n'y comprends pas grand chose, contrairement à une équation (1=0,999...).

J'ai lu récemment que les gens du sud étaient des fainéants. C'est une affirmation qui ne veut rien dire. Une personne née dans le Sud, n'est à la base pas plus fainéante qu'une autre née dans le Nord, l'héritage au sens large et les ressources sur place jouent un rôle autrement plus important que tout le reste.
J'extrapole sur la fainéantise: pourquoi un pays produit plus qu'un autre, car l'autre est fainéant. A défaut d'y répondre précisément, je vais juste citer une personne écoutée sur les ondes: "il y a des gens qui ont le cancer de la gorge et qui n'ont pas mal (...), et d'autres, ayant une angine, souffrent le martyre." Est-ce que la première personne est très courageuse, un héros pour ainsi dire, et la seconde une tafiole ? Les faits sont complexes.
On cite souvent en exemple les efforts réalisés par les Allemands après la réunification. Je m'interroge: n'avaient-ils pas la plus grandes des motivations après 40 ans de séparation et l'histoire tragique qu'ils ont vécus ? Je n'en sais rien, j'applaudis des deux mains ce qui a été réalisés, mais les faits restent difficiles à appréhender, à juger.

Alors pour ne pas tourner en rond comme tu dis, je te donne ma conviction: je pense, que dans l'UE il est bon d'assainir nos comptes, d'harmoniser un peu plus nos fiscalités, qu'elles (les fiscalités) soient respectées à travers des contrôles, et que les pays riches versent des aides au pays les plus pauvres, c'est indispensable, comme dans un pays (Rhône-Alpes et Paris reversent plus qu'ils ne gardent, la Bavière et le Baden-Wurtemberg reversent aussi plus qu'ils ne perçoivent, et c'est normal). Ça va saigner, mais j'ai la conviction que s'il on ne fait pas ça, c'est prendre un gros risque pour l'avenir. Je ne parle pas d'une invasion de Panzer à Verdun, je ne sais pas d'où ça peut partir et quelle forme cela peut prendre, mais il faut bien rester humble vis-à-vis de nos ainés, vivre en paix n'est jamais jamais gagné...

Le front de gauche franco-allemand contre Merkel amuse Outre-Rhin
http://l2.yimg.com/bt/api/res/1.2/A_DgnSvYLeH05m268nFnCw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzIyO2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zMjI7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/AFP/photo_1365279171654-1-0.jpg Le front de gauche franco-allemand contre l'austérité d'Angela Merkel reconstitué en fin de semaine suscitait l'amusement en Allemagne à six mois des élections législatives, la chancelière restant plus populaire que jamais dans son pays.

A lire la presse allemande du week-end, la visite du candidat social-démocrate à la chancellerie, Peer Steinbrück, au président français François Hollande vendredi, à Paris, n'a pas contribué à désembourber sa campagne pour les législatives du 22 septembre.

M. Steinbrück, dont la popularité a chuté à son niveau le plus bas depuis son entrée en politique fédérale en 2005 (32%), selon un sondage publié vendredi, était venu polir son image internationale au côté du dirigeant socialiste français: il s'est retrouvé au côté d'un président affaibli, au coeur d'une crise politique.

"Rencontre au sommet des frustrés", titrait samedi le quotidien populaire Bild, le plus grand tirage d'Allemagne. Le journal --plus proche de Mme Merkel que de son rival-- constatait, moqueur: "Après plus d'une heure de discussion avec le président français, M. Steinbrück ressort seul, Hollande ne veut pas se montrer devant la presse".

Même ton du quotidien berlinois Berliner Zeitung, de centre-gauche: "François et Peer ne sont certainement pas une 'dream team' pour la campagne électorale".

Et le Tagesspiegel, également de gauche et berlinois, publiait une caricature des deux, M. Steinbrück déclarant: "Nous avons eu un échange de vue animé sur la façon de pouvoir encore détériorer notre popularité dans les sondages". lire le reste de article jean  luc ;)

L'inquiétant optimisme de François Hollande
Spiegel Online commente l'intervention télévisée du président français. Pour le site allemand, il est apparu "petit", "normal" et surtout "détaché de la réalité". Extraits. http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/illustrations/article/2013/03/2903-Hollande.jpg
Dès le départ, la mission paraissait impossible : mettre un terme à sa chute libre dans les sondages en se présentant le 28 mars à la télévision sur France 2. Il faut dire que depuis sa prise de fonctions, François Hollande a vu sa cote de popularité diminuer presque de moitié et passer de 60 à à un peu plus de 30 % d'opinions positives.

Cela faisait quatre mois que le président français ne s'était pas directement adressé à la nation. Quatre mois qu'il avait disparu et que son silence était vivement critiqué. L'objectif de son intervention consistait donc surtout à envoyer un signal : la France a un président, et le président a la situation en main.

François Hollande a remporté son pari, autant que la chose soit possible quand on n'a rien de vraiment concret à annoncer. Son intervention a été un mélange de leçons, d'annonces, d'encouragements et de vérité inhabituel : le chômage baissera, les impôts n'augmenteront pas, les lourdeurs administratives seront réduites ; le président a même reconnu que les Français devraient travailler plus longtemps pour leur retraite. A propos de la crise de l'euro, il laisse échapper un : "Comme vous le savez, Mme Merkel et moi n'avons pas les mêmes conceptions."

lire le reste  de l'article

   jean  luc ;)

Dourdan : la tombe allemande divise encore 140 ans après
Une cérémonie prévue demain sur la tombe du soldat allemand inconnu de la guerre de 1870 suscite une levée de boucliers à Dourdan.

http://www.leparisien.fr/images/2013/04/12/2718721_7e3a7684-a2f7-11e2-9735-00151780182c_640x280.jpg
«Après cinquante ans de jumelage avec Bad Wiessee (Allemagne), on peut mesurer le chemin parcouru et envisager l'avenir tant les relations entre les deux villes sont fortes », se félicite Olivier Legois, maire (SE) de Dourdan. Mais pour certains, il y a des limites à ne pas franchir. A partir d'aujourd'hui et jusqu'à dimanche, la ville célèbre ses 50 ans de jumelage avec Bad Wiessee, une commune de Bavière de près de 6000 habitants.
Outre les festivités culturelles, la mairie de Dourdan a prévu de se rendre demain matin au cimetière, pour une cérémonie au monument aux morts et sur la tombe du soldat allemand inconnu de la guerre de 1870. Pour l'occasion, elle a commandé à l'artiste local Christophe Mazoué une sculpture : « Un arbre du monde », qui symbolise l'amitié entre les peuples, pas seulement franco-allemands, mais « entre tous les peuples ».

Une polémique qui « ulcère » le maire

« Nous ne pouvons que condamner une telle initiative », estime le groupe d'opposition Nouvel Elan écologique et solidaire, « profondément indigné ». « La réconciliation franco-allemande telle que l'a voulue le général de Gaulle, et comme l'a poursuivie François Mitterrand, n'a jamais inclus d'honorer la mémoire du soldat allemand inconnu, mort pour une cause non seulement injuste mais criminelle. » Ils ne seront pas les seuls à boycotter la cérémonie : le député (PS) Michel Pouzol a aussi fait part de sa désapprobation. « Cette cérémonie est très déplacée, dénonce-t-il. L'Europe est forgée sur l'alliance franco-allemande, on ne remet pas cela en question. Mais d'ici à honorer la tombe d'un soldat allemand… »

Une polémique qui « ulcère » Olivier Legois. « Le soldat en question était un clairon de l'armée prussienne, indique-t-il, très en colère. Nos collègues allemands vont venir avec nous dans le carré militaire français. Et nous ne pourrions pas faire de même? Il ne s'agit pas d'un hommage, juste une façon de se rappeler ensemble des atrocités qui ont été commises et de se féliciter de l'amitié que nous avons su tisser. Beaucoup de communes font de même, encouragées par les autorités officielles et militaires. » lire le reste de l'article

  jean  luc ;)

L'Allemagne et la France doivent reprendre le dialogue
Une récente enquête de la BCE montre que les ménages allemands sont parmi les plus pauvres de la zone euro. C'est un danger potentiel pour la survie de l'Union. Car un seul pays ne peut plus supporter tout l'effort.
http://www.lesechos.fr/medias/2013/04/17/558862_0202708684077_web_tete.jpg
Une liste infamante de patrimoines vient d'être rendue publique. Son caractère scandaleux saute aux yeux. Il s'agit de la liste des patrimoines moyens et médians des ménages dans la zone euro, par pays, divulguée par la BCE. On y trouve, noir sur blanc, la raison pour laquelle l'Allemagne pourrait bien, de guerre lasse, finir par nous dire : « Europa ? Nein Danke ! »

La lecture de ce document se résume en un constat : l'Allemagne est le pays le plus riche de la zone euro (le quart de son PIB) ; et les ménages allemands sont parmi les plus pauvres de cette zone. Deux fois plus pauvres que les Grecs et les Français (en valeur médiane), trois fois plus pauvres que les Espagnols et les Italiens, cinq fois plus pauvres que les Chypriotes. L'Allemagne, banquier et locomotive économique de l'Europe, est devenue, en termes de patrimoine des ménages, le parent pauvre de la zone euro !

[L'enquête a de nombreuses failles : elle date de 2008, surévalue de ce fait les patrimoines à forte composante immobilière (notamment espagnols), et sous-estime ceux où la propriété immobilière est moins répandue, comme en Allemagne. Mais] elle envoie, de l'autre côté du Rhin, un message univoque que les Allemands entendent depuis trop longtemps dans leur histoire moderne : toujours l'Allemagne paiera pour les autres.

On voudrait ignorer, de ce côté-ci du Rhin, l'amplitude des sacrifices financiers consentis par l'Allemagne depuis des décennies. L'intégration sans violences de l'Allemagne de l'Est et de ses 16 millions d'habitants, après quarante et un ans de paupérisation par le communisme. LeDeutsche mark sacrifié pour qu'existe l'euro. Les réformes Schröder, que les présidents Chirac et Sarkozy n'ont pas eu le courage de dupliquer en France, et qui se traduisent par 6,9 % de taux de chômage en Allemagne aujourd'hui. Enfin, le sauvetage de pays méditerranéens dont les habitants sont en médiane plus riches que les Allemands, grâce à la mauvaise gestion des excès de crédit (Espagne), la tricherie et la corruption (Grèce), le blanchiment d'argent russe (Chypre) ; et la garantie implicite de la BCE. lire le reste de l'article

jean  luc ;)


PS:la dernière phrase de l'extrait m'a bien plu . voilà la vérité

L'Allemagne compte sur l'Elysée pour réformer la France
http://s2.lemde.fr/image/2010/08/18/534x267/1400232_3_f9a6_un-objectif-essentiel-de-la-politique_9ff33e3100ba721baaa3dc5ef8e7d6a5.jpg
La locomotive allemande serait-elle en train de perdre de sa vigueur ? Selon quatre grands instituts de conjoncture qui publient, jeudi 18 avril, leurs nouvelles prévisions, la croissance outre-Rhin ne devrait atteindre que 0,8 % en 2013. En octobre 2012, ces mêmes instituts misaient sur 1 %. Ils restent malgré tout plus optimistes que le gouvernement (qui table sur une croissance de 0,4 % en 2013) et le Fonds monétaire international (0,6 %).

Pour l'heure, l'Allemagne ausculte de très près la situation de ses voisins, et notamment de la France. Les déclarations, lundi, d'Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, au Rheinische Post, un journal régional - "L'industrie allemande s'est créée un avantage concurrentiel en limitant les hausses de salaires. Ce déséquilibre n'est pas économiquement viable. C'est même dangereux" -, n'est pas passée inaperçue à Berlin.

"Un objectif essentiel de la politique allemande était, ces dernières années, de faire baisser le chômage, répond Steffen Seibert, porte-parole d'Angela Merkel. Cela a également réussi grâce la responsabilité dont ont fait preuve les partenaires sociaux. Des hausses de salaire supérieures aux gains de productivité auraient nui à la compétitivité et menacé l'emploi. La relative robustesse de l'économie allemande est également bonne pour l'Europe."lire le reste de l'article

jean  luc ;)

"De l'Allemagne" : le grand malentendu
http://s1.lemde.fr/image/2013/04/18/534x0/3162078_5_67bc_le-crieur-detail-de-karl-hofer-1935_707a9db9f9b18f53c7603e25afcfe8a2.jpg
Ce devait être le point d'orgue culturel des cérémonies célébrant les 50 ans du traité de l'Elysée entre l'Allemagne et la France. Parrainée par Angela Merkel et François Hollande, l'exposition "De l'Allemagne, 1800-1939, de Friedrich à Beckmann" a ouvert au Louvre, le 28 mars, avec pour dessein de montrer - enfin - au public français qu'il y avait des peintres allemands, contrairement à une idée répandue en France dans l'entre-deux-guerres, et pas encore tout à fait disparue. Riche de 200 oeuvres, elle a d'abord été saluée par la critique de part et d'autre du Rhin et a immédiatement attiré le public - 3 400 visiteurs par jour en moyenne. Mais, très vite, en Allemagne, elle a aussi été vivement remise en cause.Pourquoi ? Parce que cette exposition française, dans le plus grand musée du pays, démontrerait que le nazisme était la conclusion logique de l'histoire et de la culture allemandes, et que celles-ci ne pouvaient qu'y sombrer. Le néoclassicisme de Friedrich Schinkel aurait engendré l'architecture d'Albert Speer et la sculpture d'Arno Breker ; la passion pour le gothique des peintres "nazaréens" (des artistes allemands installés en Italie) aurait suscité les cérémonies et les parades que le IIIe Reich mettait en scène à Nuremberg et à Munich ; le culte romantique de la nature de Caspar David Friedrich ou de Carl Gustav Carus aurait conduit presque inéluctablement sur le néopaganisme SS. L'enjeu de tels propos est terrible : les questions du "destin" allemand et des origines du nazisme sont à nouveau posées, comme elles l'ont été depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

VIRULENCE

Mais, pour cette raison, parce que ces sujets ont été si souvent étudiés, parce qu'Hannah Arendt est depuis longtemps une lecture "classique" et que les travaux des historiens - parmi lesquels de nombreux Allemands - sont largement connus, on ne s'attendait pas aux réactions apparues dans la presse allemande peu de temps après l'inauguration, à leur virulence, à leurs arguments.

En visitant "De l'Allemagne", le désir d'en finir avec la tenace ignorance du public français en matière d'art allemand semblait même toucher à la ferveur - une sorte de affirmative action esthétique qui aurait mis à mal les stéréotypes et caricatures germanophobes ayant empoisonné la vie culturelle française depuis au moins 1870.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Le PS déclare la guerre à l'Allemagne…http://www.lefigaro.fr/medias/2013/04/26/PHO6f7704f4-ae88-11e2-9f5b-cbe3d097e376-805x453.jpg
Les socialistes durcissent le ton contre «l'Europe de la rigueur» et Angela Merkel. Un texte bientôt validé par la direction du PS appelle à «l'affrontement démocratique».
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Comment donner des gages à une majorité en plein blues sans remettre en cause le cap de la politique menée? Les dirigeants socialistes ont trouvé la parade, en attaquant violemment l'Europe conservatrice, cette «Europe de la rigueur», et la chancelière allemande. Les socialistes ont durci le ton envers Angela Merkel, en appelant à «l'affrontement démocratique» avec l'Allemagne, dans un texte qui sera validé mardi prochain au bureau national du PS, avant une convention du parti sur l'Europe, prévue le 16 juin.

«Le projet communautaire est meurtri par une alliance de circonstance entre les accents thatchériens de l'actuel premier ministre britannique et l'intransigeance égoïste de la chancelière Merkel», écrivent les auteurs de ce texte, qui devait être amendé vendredi lors d'une commission des résolutions. Les socialistes refusent une Europe où les peuples passeraient après les marchés. «L'amitié entre la France et l'Allemagne, ce n'est pas l'amitié entre la France et la politique européenne de la chancelière», poursuivent-ils.

La charge est violente. Elle avait déjà été menée, mais en des termes plus feutrés, lors du dernier conseil national du PS, le 13 avril. Le premier secrétaire Harlem Désir avait alors appelé à être à «la pointe de la confrontation» avec Merkel, la «chancelière de l'austérité». Même le premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui avait défendu sa politique de sérieux budgétaire, avait critiqué les conservateurs européens, rappelant que la recherche de la croissance devait être menée à l'échelle de l'Europe. lire le reste de l'articlecommentaire :C'est le gouvernement qui est au service du ps ,celas illustre bien l'incapacité des politiques a réglés la crise qui est soit disant derrière nous   

Carrez : le PS prend l'Allemagne pour un «bouc émissaire»
http://www.lefigaro.fr/medias/2013/04/26/PHO71b1ceac-ae92-11e2-9f5b-cbe3d097e376-805x453.jpg
Pour le président UMP de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, «la gauche cherche à s'exonérer de toute forme de responsabilité».
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LE FIGARO. - Le PS appelle à «l'affrontement démocratique» contre l'Allemagne. Qu'en pensez-vous?

Gilles CARREZ. - L'Allemagne est en train de devenir le bouc émissaire de l'échec économique et social de François Hollande. S'apercevant qu'elle ne pourra plus longtemps continuer à imputer la charge de ses erreurs sur l'héritage de la droite, s'apercevant aussi qu'elle doit rendre des comptes sur son action, la gauche cherche à s'exonérer de toute forme de responsabilité en fustigeant la politique économique allemande. C'est peu responsable.

La crise met-elle en péril le couple franco-allemand?

La crise de la zone euro est révélatrice des divergences de productivité et de compétitivité majeures au sein de l'Union monétaire. L'évolution divergente de la compétitivité des entreprises françaises et allemandes en est l'aspect le plus grave. Mais ce décrochage dont nous souffrons aujourd'hui n'est ni récent ni fortuit. Il intervient dès le début des années 2000, au moment où la France met en place les 35 heures et où l'Allemagne opère une politique de modération salariale et de flexibilisation de l'emploi. Nous ne pouvons pas aujourd'hui reprocher à l'Allemagne les efforts qu'elle a consentis pour se doter d'une économie compétitive. La crise ne met donc pas en péril le couple franco-allemand sur le plan économique, elle nous oblige simplement à repenser cette relation en nous plaçant devant nos propres responsabilités. lire le reste de l'article  jean luc ;)

PS: plus ils taperons sur l'Allemagne ,plus le peuple allemand seras derrière son gouvernement  ,nous les expatriers ont va pas être à la fête .

Les relations entre la France et l'Allemagne au plus mal http://www.lefigaro.fr/medias/2013/04/28/PHOaa599872-aff3-11e2-9b35-45ce6a71ecd5-805x453.jpg À Berlin, le sentiment que la charge du PS reflète l'avis de François Hollande s'est insinué dans tous les ministères.Le feu couve depuis de longs mois sous les relations glaciales entre Paris et Berlin. Mais la «tension amicale» revendiquée par François Hollande pour qualifier ses relations avec Angela Merkel vient de se muer en hostilité ouverte avec la publication du projet de texte du Parti socialiste français critiquant «l'austérité allemande». Désormais, il sera difficile de maitriser l'incendie entre l'Élysée et la chancellerie.

À Berlin, le sentiment que le document reflète peu ou proue l'avis du président français s'est insinué dans tous les ministères. La direction du PS dénonce la droite «affaiblissant» l'Europe et fustige «l'intransigeance égoïste» d'une Angela Merkel ne songeant qu' «à la balance commerciale enregistrée par Berlin et son avenir électoral». Doublé des déclarations incendiaires de ministres et hauts responsables français, le texte a eu l'effet d'un uppercut en Allemagne, où le gouvernement s'efforçait de respecter l'accord visant à ne pas étaler les désaccords franco-allemands en public. lire le reste de l'article

jean  luc ;)

En Allemagne, François Hollande est devenu un «Sorgenkind», un enfant à soucis.
Le moteur franco-allemand a calé à un moment crucial où l'Europe a besoin d'un consensus entre Paris et Berlin pour se réformer et aller de l'avant.
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Vu d'Allemagne, la France n'a pas grand-chose à célébrer douze mois après l'élection de François Hollande. En un an, sous l'impulsion du président socialiste, elle est passée du statut de partenaire privilégié à celui de «Sorgenkind», un enfant à soucis, dont les difficultés économiques menacent d'aggraver la crise traversée par la zone euro. Les élites économiques et politiques du pays déplorent aussi la dégradation des liens entre Paris et Berlin, pourtant indispensables pour faire avancer l'Europe.

S'inscrivant dans la tradition des tandems franco-allemands réussissant à composer en dépit de leur appartenance à des familles politiques opposées, Angela Merkel et François Hollande semblaient faits pour s'entendre sur le plan personnel. Tous deux ont la réputation d'analyser méthodiquement les données des problèmes et de prendre des avis nombreux avant une décision, à laquelle ils se tiennent. Éloignés du «bling-bling» attribué à Nicolas Sarkozy, ils cultivent «simplicité» et «normalité».lire le reste e l#article  jean  luc ;)

Le débat sur l'Allemagne
La question de la politique allemande divise fortement le PS et, au-delà, une large partie de la gauche réelle. Elle est aussi révélatrice de la structuration de l'imaginaire d'une bonne partie des élites françaises depuis le désastre de 1940, à lire les réactions d'un Copé ou d'un Fillon. À l'UMP, parti « attrape-tout » de la Droite française, sous les proclamations d'un attachement au gaullisme, on sent bien que Munich et Vichy sont toujours bien présents. Cette « question » de l'Allemagne sert de révélateur à un état d'esprit constant dans la classe dirigeante. C'est en cela que ce débat, ou ce qui en tient lieu, est intéressant. Mais, comme toujours, sous l'écume des mots se cache un véritable débat.


Où le PS, et quelques autres, se ridiculisent.

Ce dernier à pris l'apparence d'une attaque contre la politique de Mme Merkel en Allemagne. Mais, un débat s'est invité dans le débat ! Le PS a ouvertement rompu avec les propres règles de démocratie interne qu'il avait fixées. La direction de ce parti refuse le droit d'expression à son aile gauche[1]. Cela n'étonnera personne ; dans l'expression « social-démocrate » nous avons deux mensonges pour le prix d'un. Le PS n'est plus un parti « social », dans la mesure où il accepte tous les reniements et il n'est certainement plus un parti « démocrate » pour la raison que, pour faire accepter ces dits reniements, il doit renoncer à la démocratie dans ses propres rangs. Ayant fait les frais des pratiques de ce parti dans le passé, je n'en suis nullement surpris. Je suis par contre étonné que d'aucuns puissent être encore surpris par les pratiques qui sont sommes toutes habituelles du PS.

Revenons au principal du débat, ou à ce qu'il devrait être. Le texte initial de la majorité du PS stigmatisait fortement l'Allemagne et Mme Merkel. Suite à une intervention de la Présidence de la République et de l'Hôtel Matignon, c'est une version très affadie qui a en définitive été adoptée. On jugera sur pièce. Cependant, la proposition de l'aile gauche du PS, n'est pas, elle non plus, précise. Elle propose un « traité social européen », une « suspension du pacte de stabilité », un « plan de relance » à l'échelle européenne et le refinancement massif des dettes publiques par la Banque Centrale Européenne. On a du mal à comprendre pourquoi un tel texte a été censuré. Ces propositions sont celles qui sont traditionnellement mises en avant par le PS depuis des années avec le succès que l'on sait ! De manière symptomatique les auteurs de ce texte ne font aucun effort pour chiffrer leurs propositions. L'eussent-ils fait qu'ils s'apercevraient qu'elles sont irrecevables pour l'Allemagne (et des pays comme l'Autriche ou la Finlande). C'est bien gentil quand on fait partie d'une collectivité de dire « il faut faire ceci ou cela » mais si l'on ne regarde pas les montants, le poids de ceux-ci sur d'autres membres de la collectivité, on n'a guère de chance de voir son projet appliqué. Dès lors, la seule fonction de ces propositions ne peut être que de se laver les mains et de garder une conscience propre, en sachant que jamais ces propositions n'aboutiront. Les centaines de milliers de chômeurs qui sont venus rejoindre les millions déjà existants apprécieront.

D'une certaine manière le Parti de Gauche, pourtant fort critique vis-à-vis du PS participe de cette mascarade. On tonne contre Mme Merkel, on affirme qu'il faut résister à l'Allemagne, mais l'analyse de la position du gouvernement allemand relève plus du fantasme que de la réalité. On a déjà eu l'occasion de critiquer les outrances des Jean-Luc Mélenchon sur ce point, et de souligner à quel point elles traduisaient une profonde incohérence d'analyse et de programme[2]. C'est cette incohérence qui l'oblige justement à hausser le ton, comme seront tout aussi obligés les responsables de la gauche du PS s'ils veulent se faire entendre.lire le reste de l'article
jean  luc ;)

Ce qu'il faut (vraiment) reprocher à l'Allemagne
La critique des socialistes français à l'égard de l'Allemagne est archaïque et à contretemps. Si Berlin s'est montrée réticente à aider les pays du sud de l'Europe, elle a changé. Elle doit maintenant céder sur l'union bancaire. http://www.slate.fr/sites/default/files/imagecache/node-story/angela-merkel-tete.jpgIl devient vraiment inquiétant de voir que les socialistes, après un an d'exercice du pouvoir, ne s'améliorent pas. Ils sont arrivés au gouvernement absolument pas préparés et complètement déconnectés avec la réalité de l'économie moderne.

Depuis, ils se sont heurtés brutalement aux murs de Florange et de la stagnation, mais ces échecs n'ont pas changé leur façon de penser. Députés et ministres, chacun poursuivant son idéologie d'hier, continuent à avancer des propositions inadaptées, incohérentes et néfastes. Le jour même où François Hollande réhabilite l'entreprise, énumère des mesures fiscales convaincantes pour faire de l'entreprise et de sa réussite «une cause nationale», des députés proposent une loi Florange qui va les empêcher de respirer quand elles vont mal. Le surlendemain, Benoît Hamon ressort la vieille idée de «class action» qui les menace de cauchemars juridiques.
Le gouvernement fonctionne à l'envers

Et, jamais à court de mauvaises idées, Arnaud Montebourg, le ministre symbole de l'échec, ne trouve pas mieux pour se faire valoir que de bloquer le rachat de Dailymotion par Yahoo! au nom d'un archaïsme franchouillard qui va se révéler assassin sur Internet. C'est comme ça que la France de 1981 avait voulu sauver CII-Honeywell Bull...

Tout cela fait une série de mauvaises nouvelles qui devrait convaincre le président Hollande que son gouvernement fonctionne à l'envers et qu'il aura beau tenir des discours de réconciliation aux entreprises, ce n'est pas avec de tels ministres et une telle incohérence, une telle vision régressive, qu'il va les rallier à sa «cause nationale» et les inciter à investir.

Le pire de la semaine est venu du fameux texte du PS sur «l'égoïsme d'Angela Merkel». Il montre que les socialistes continuent d'être sur leurs rails rouillés d'avant, aveugles sur la réalité et donc forcément à côté des vrais enjeux. Comme l'axe franco-allemand est difficile mais fondamental pour l'Europe, les explications franches sont indispensables, y compris publiques, les peuples doivent y participer. Mais encore faut-il que les interlocuteurs français ne lancent pas de faux reproches aux Allemands.lire le reste de l'article

jean  luc ;)

Thierry Repentin : "Une relation unique" entre la France et l'Allemagne http://media.rtl.fr/online/image/2013/0509/7761213107_thierry-repentin-le-9-mai-2013.jpgINVITÉ RTL - Le ministre délégué chargé des Affaires européennes est revenu ce jeudi 9 mai sur la relation quelque peu houleuse, ces derniers temps, entre la France et l'Allemagne.

Sur RTL, Thierry Repentin s'est attaché, en ce jour de la fête de l'Europe, à rassurer sur l'état des relations franco-allemandes après de récents accrocs. Le Parti socialiste français avait notamment fustigé dans un projet de document "l'intransigeance égoïste" présumée de la chancelière allemande Angela Merkel. Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, avait, quant à lui, appelé à une "confrontation" avec Berlin.

    Nous sommes dans une tension amicaleThierry Repentin

"François Hollande a raison de dire que nous sommes dans une tension amicale. C'est une relation unique", a affirmé le ministre en référence aux efforts faits par le président de la République pour calmer le jeu mercredi lors des commémorations de l'Armistice du 8 mai.
"Il y a un débat et à la fin, ça se passe toujours avec un compromis entre la France et l'Allemagne. Ça sera encore le cas pour les grands dossiers que nous avons à régler", avait assuré le chef de l'État.

    On se dit tout, même quand nous ne sommes pas d'accordThierry Repentin

Thierry Repentin a, lui aussi, insisté sur cette capacité à composer. "Il n'y a pas sur la planète deux pays qui se voient ainsi toutes les semaines. On se dit tout, même quand nous ne sommes pas d'accord. Mais ensuite, il y a dialogue et nous trouvons des compromis", a-t-il affirmé.  source et vidéo  jean  luc ;)

Le franco-allemand doit montrer le chemin.

En ce 8 mai, jour de la commémoration de la victoire des alliés en 1945, et veille du jour anniversaire du lancement de la construction européenne par Robert Schuman dans le fameux salon de l'horloge au ministère des Affaires étrangères,  que penser de la relation franco-allemande ?

D'après ce que chacun comprend à la lecture de la presse qui relate les petites phrases des uns et des autres de part et d'autre du Rhin, cette relation n'est sans doute pas orageuse, mais elle n'est pas au beau fixe.

En Allemagne, on se plaint de la lenteur des Français à mettre en œuvre les réformes qui leur feraient retrouver une compétitivité perdue.  En France, des voix se font entendre pour dénoncer la politique d'austérité imposée par la chancelière allemande. Il y a à juste titre débat sur ce point en effet, et d'ailleurs Angela Merkel y a été sensible puisqu'elle admet qu'en dépit des promesses faites, la France ait encore deux ans avant de retrouver l'équilibre budgétaire.

Mais cela ne doit pas masquer l'essentiel. A savoir que sans le couple franco-allemand pour éclairer le chemin, la construction européenne se perdrait dans les sables et finirait même par disparaître.

D'une part, les reproches faits à Madame Merkel sont sous certains aspects injustes. Mais d'autre part et surtout, si nous voulons préserver notre avenir politique et économique, il n'y a pas d'autres solutions que de s'entendre avec nos voisins allemands.  lire le reste de l'article
jean luc ;)

j'ai regarder une très bonne vidéo sur France sur les relations Franco-allemande .attention certains propos tenus par des invités français sont ouvertement anti allemand http://www.france2.fr/emissions/ce-soir … 2013_57053  .

jean  luc ;)

Récession : la France et l'Allemagne dans le même bateau ?
"La récession touche tous les pays de la zone euro", a déclaré François Hollande. Explications de l'économiste Philippe Waechter.
http://referentiel.nouvelobs.com/file/5796614-recession-la-france-et-l-allemagne-dans-le-meme-bateau.jpg
Le président François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel le 18 mars 2013 à Berlin. (Sipa)

   
France et Allemagne sont-elles dans le même bateau ? François Hollande l'a laissé entendre lors de sa conférence de presse jeudi 16 mai. "Ce qui frappe l'Europe, c'est la récession qui touche tous les pays de la zone euro – certains moins que d'autres, mais je pourrais faire des comparaisons, y compris avec l'Allemagne, pour ces six derniers mois", a-t-il déclaré sans développer.

Le président de la République faisait référence aux difficultés de l'économie allemande. Certes, elle a enregistré une croissance de 0,9% l'année dernière, et de 0,1% début 2013, mais elle s'est contractée de 0,7% au dernier trimestre 2012. De l'autre côté du Rhin, le PIB français a stagné en 2012 et reculé de 0,2% au premier trimestre. Ainsi, les destins des deux économies européennes se rapprochent. Explications de Philippe Waechter, économiste en chef chez Natixis Asset Management.

La France et l'Allemagne sont-elles embarquées dans le même bateau ?

- Leurs moteurs ne sont pas les mêmes. La croissance allemande repose traditionnellement sur ses exportations mais les derniers chiffres montrent qu'elle est aujourd'hui essentiellement supportée par sa consommation intérieure. Autrement dit, son modèle lié au commerce international, notamment asiatique, se retrouve un peu fragilisé.

A quoi cela est-il dû ?

- Jusqu'à récemment, les exportations allemandes résistaient en Asie : malgré une activité peu dynamique dans cette région, les Allemands tiraient leur épingle du jeu. Mais un des éléments importants de ce début d'année, c'est la forte dépréciation du yen, qui fait que les entreprises allemandes perdent des parts de marché face aux produits japonais. L'Allemagne se retrouve donc dans une dynamique un peu différente .lire le reste de l'article  jean  luc ;)

Allemagne : Hollande et Merkel se retrouvent pour fêter les 150 ans du SPD
http://referentiel.nouvelobs.com/file/5824917-hollande-et-merkel-se-retrouvent-pour-feter-les-150-ans-du-spd.jpg
Angela Merkel et François Hollande à Berlin, lors de la visite du Président français en Allemagne le 18 mars 2013. (SIPA)



François Hollande, Angela Merkel, le président de la République allemande, Joachim Gauck, Harlem Désir, le président du Parlement européen, Martin Schulz. Ils sont nombreux ceux qui ont fait le déplacement ce jeudi 23 mai pour fêter à Leipzig, en Allemagne, les 150 ans de la naissance du parti social démocrate, le SPD.

Nombre d'observateurs étrangers se sont étonnés de la présence de la chancelière chrétienne-démocrate. "C'est une manifestation institutionnelle, qui transcende les partis, observe un diplomate berlinois. On est au-delà de l'affrontement bi-partisan".

"C'est la marque d'une démocratie vivante", renchérit Joachim Poss, vice-président du SPD au Bundestag, qui souligne qu'en un siècle et demi le plus vieux parti d'Allemagne a considérablement influencé dans la vie politique outre-Rhin.

Les trois réalisations majeures du SPD

Certes depuis 1873 la formation n'a été que trente années au pouvoir, mais, comme le pointe l'historien Heinrich August Winkler dans le quotidien Tagesspiegel, il a joué un rôle de premier plan, notamment "en étant en mars 1933 le seul parti qui ait refusé les pleins pouvoirs à Hitler". Correspondant à Paris de l'hebdomadaire Die Zeit, Gero von Randow, souligne un autre acquis, parfois oublié: c'est grâce aux sociaux-démocrates, à l'époque très proches des syndicats, que la protection sociale à l'allemande, le fameux système Bismarckien, a été mis en place. Le tout puissant chancelier prussien avait ainsi trouvé le moyen d'interdire le parti, mais de calmer les colères ouvrières.lire le reste de l'article
jean  luc ;)

Social-démocratie : l'étrange chassé-croisé entre la France et l'Allemagne
http://www.latribune.fr/getCrop.php?ID=6926458&ext=jpg&W=770&H=380&ptr=0Alors que François Hollande loue les réformes Schröder, le SPD s'en éloigne en trouvant de l'inspiration dans le programme... des socialistes français. Un nouveau décalage franco-allemand. François Hollande, invité d'honneur des 150 ans du SPD à Leipzig, n'a pas eu de mots assez forts pour louer le « réalisme » du SPD, sa « culture du compromis » et les réformes de Gerhard Schröder. Des caresses qui ont dû sembler bien étranges aux oreilles des dirigeants sociaux-démocrates allemands qui, depuis des mois, tentent de prendre leurs distances avec l'Agenda 2010 de l'ancien chancelier, précisément en s'inspirant du programme… de François Hollande.

Effet des réformes Schröder dévastateur

Car l'effet des réformes Schröder et du réalisme du SPD sur le parti a été dévastateur. Il a profondément divisé le parti et lui a fait perdre une grande partie de son électorat. Certes, dans un récent sondage, seulement 45 % des personnes interrogés considèrent que ces réformes constituent la cause de la faiblesse du SPD. Loin derrière sa position dans la crise européenne et sa volonté d'augmenter les impôts (70 %) ou la popularité d'Angela Merkel (66 %). Mais ce résultat doit être relativisé.

Ce qui a été perdu n'est pas revenu

Car si les réformes Schröder ont aujourd'hui bonne presse en Allemagne, il n'en a pas toujours été ainsi. Entre 2003 et 2009, une partie non négligeable de l'électorat social-démocrate a cessé de voter pour le parti. L'ennui, c'est que cet électorat n'est pas revenu vers le SPD, lorsque les réformes ont commencé à « porter leurs fruits ». Ces électeurs préfèrent aujourd'hui voter pour la CDU.

Le bilan est donc très préoccupant, car il signifie que, malgré l'expérience Schröder, le SPD n'a pas réussi à devenir durablement crédible comme un parti défendant la compétitivité et l'orthodoxie monétaire. Les deux raisons les plus fréquemment citées dans le sondage - la gestion de la crise européenne et les impôts - le prouvent clairement : dans l'esprit des Allemands, le SPD n'est pas le parti réformiste, libéral et orthodoxe sur le plan budgétaire qu'il est dans celui des Français. La mauvaise performance de Peer Steinbrück, son candidat à la chancellerie, ancien ministre des Finances et « schröderien » historique, en est une preuve supplémentaire. Plus brutalement, on pourrait en conclure que la politique centriste du SPD n'a guère été payée de retour.lire le reste de l'article  jean  luc ;)

ALLEMAGNE • La thérapie du couple franco-allemand
Après une période tendue, le couple franco-allemand s'est réconcilié à Paris. Le président français a plus que jamais besoin des "câlins" d'Angela Merkel, note la presse allemande.
http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/2013/05/3105-HOLLANDE_MERKEL.jpg
La "tension amicale", expression naguère utilisée par François Hollande pour décrire sa relation à Angela Merkel, s'est transformée en tension hostile. La réplique du président français face aux demandes de Bruxelles : "La Commission européenne n'a pas à dicter ce que nous devons faire", a été suivie d'une critique sévère de la coalition allemande. De son côté, le député chrétien-démocrate Michael Meiste a déclaré à la Frankfurter Allgemeine Zeitung : "La Commission européenne est critiquée par Hollande alors qu'elle a traité la France avec générosité au regard du déficit budgétaire."

Ulrich Schäfer, chroniqueur à la Suddeutsche Zeitung et pourtant très critique à l'égard de la politique d'austérité promue par Bruxelles, souligne aussi les contradictions de Hollande : "Par ses remarques, le président contredit ses propres exigences sur une gouvernance économique. S'il prend sa proposition au sérieux, il devrait supporter les conseils de Bruxelles."
Mais, pour le quotidien économique Handelsblatt, la rencontre entre Merkel et Hollande [le 30 mai, à Paris, pour évoquer un plan européen de lutte contre le chômage des jeunes (sorte de New Deal)] est une "thérapie de couple". Après de longues disputes, la France et l'Allemagne se rapprochent à nouveau. "Ce n'est encore que le tout début d'un projet entre Paris et Berlin, mais c'est au moins un changement notable en comparaison des sommets passés, où les partenaires divisés s'opposaient au lieu de s'unifier", commente Thomas Hanke, correspondant du journal en France. lire le reste de l'article jean  luc ;)