BAJAJ/TUCTUC

Personnellement habitant Tamatave, je ne suis pas de votre avis.

Les vélos-pousse sont bien plus gênants que les tuk-tuks et ce pour plusieurs raisons.

- les jockeys de vélo-pousse n'ont en général aucune notion du code de la route ;

- ils font tout ce qu'ils peuvent pour ne pas avoir à s'arrêter aux intersections car la relance est le moment le plus difficile physiquement ;

- ils ont des rétros "extérieurs" obligatoires qui en fait sont à l'intérieur du gabarit donc totalement inutiles sauf pour regarder les jambes des clientes selon l'aveu que m'a fait l'un d'eux ;

- leur faible vitesse et les relances difficiles font qu'ils s'intègrent mal dans la circulation dans les rues étroites et (ou) encombrées, heureusement les pousse-pousse ont disparu ;

- par temps de pluie, ils mettent des imperméables avec d'immense capuches couvrant la tête et assez rigides et ne peuvent plus rien voir sur les côtés ;

- la plupart d'entre eux n'ont aucun éclairage, au mieux un vieux CD servant de catadioptre !

Les tuk-tuks et leurs conducteurs sont loin d'être parfaits et certains de ces points peuvent aussi s'appliquer à eux mais de façon atténuée. Personnellement je serais très content de voir les vélos-pousse disparaitre au profit des tuk-tuks.

Je ne connais pas Tamatave, mais à vos dires on comprend aisément il y a peu de tuk-tuk.

Croyez-moi, vous allez vite déchanter quand ils vont arriver en grand nombre dans votre ville.

Les rétros, ils s'en servent pas (quand ils en ont), ils s'arrêtent n'importe où, ils font des demi-tours sur route sans précaution aucune, se servent pas des clignotants, l'éclairage ? Ils roulent sans ou alors plein phare etc, etc...

Ce sont tout simplement ici des dangers !

Ici tout le monde se pose la question sur leurs "permis de conduire"

Je partage votre avis sur les vélos pousse, ici il y en a pas, mais j'ai traversé Ambaja et j'ai vu qu'ils étaient gênants, mais bien moins dangereux que les Bajaj.

Les "tuk-tuk", "cyclo-pousse" et autre "pousse-pousse" sont de véritables "fléaux".

Ils sont la résultante d'une gestion totalement anarchique de la part des différentes municipalités du pays.

Les "licences" qui leur sont associées sont accordées via un système bien rodé de corruption et ce sans aucune forme de considération pour la prolifération de ce genre "d'engins" et des nuisances qu'ils créent.

Nous sommes d'accords.

Je suis sûr que la majorité n'a pas de permis de conduire, aucune notion du code de la route.

Trop nombreux, beaucoup tournent à vide et klaxonnent à tout va pour "charger" d'éventuels clients, mais on prête l'argent à tout va, on incite à acheter ces engins.

Mais par manque de clients et la concurrence rude de flottes déjà installées par des "gros", beaucoup devront revendre à perte leurs tuk-tuk et resteront endettés auprès de leur banque

En attendant ils nous pourrissent les routes.

@filomene552

"Croyez-moi" ? Pourquoi vous croirais-je ? je crois ce que je vois et ce que je vois c'est ce que j'ai écrit plus haut.

Il y a peu de tuk-tuk à Tamatave ??????? Renseignez-vous avant de dire n'importe quoi, quelques milliers, à peu près autant que de vélo-pousse je pense, peut-être un peu moins.

Et Ambanja, je veux bien, ville bien plus petite que Tamatave, mais contrairement à vos allégations les vélo-pousse sont plus dangereux et surtout plus gênants que les tuk-tuk pour les raisons que j'ai cité plus haut et que vous vous gardez bien de contester.

Cela dit je suis un peu éloigné du centre ville donc pas dérangé par les klaxons mais au cas où vous ne le sauriez pas je vous informe que tous les centre villes du monde sont bruyants et pollués et à Mada le pire est Tana où il n'y a pas de tuk-tuk.

Quand vous avez créé votre post, vous auriez dû préciser que vous n'acceptiez que les réponses allant dans votre sens.

@Crusaders

D'accord dans l'ensemble mais avec une population très peu motorisée la seule solution serait d'avoir des transports en commun convenables. Et le pire est peut-être à venir avec les taxis-motos pour le moment limités à Tana mais qui pourraient envahir le pays. Et là se pose en plus un problème d'hygiène avec le casque client qui passe de tête en tête.

L'histoire du développement a démontré l'importance du transport (route, ferroviaire, naval,...)

C'est une raison du succès de la Belgique, très petit pays devenu la 6ème puissance économique  mondiale au début du XXème siècle. Beaucoup de projets des anciennes colonies reposaient sur ce système favorisant les échanges.

A Mada, j'espère que ce sera identique, malgré les tentatives échouées, je veux dire la destruction et le non entretien des infrastructures.

Que préférer: le tuk-tuk indo-malgache ou la trottinette électrique sur les trottoirs occidentaux?

C'est ce que le minable économiste que je suis  appelle l'effet "barbelé".

@filomene552
"Croyez-moi" ? Pourquoi vous croirais-je ? je crois ce que je vois et ce que je vois c'est ce que j'ai écrit plus haut.
Il y a peu de tuk-tuk à Tamatave ??????? Renseignez-vous avant de dire n'importe quoi, quelques milliers, à peu près autant que de vélo-pousse je pense, peut-être un peu moins.
Et Ambanja, je veux bien, ville bien plus petite que Tamatave, mais contrairement à vos allégations les vélo-pousse sont plus dangereux et surtout plus gênants que les tuk-tuk pour les raisons que j'ai cité plus haut et que vous vous gardez bien de contester.
Cela dit je suis un peu éloigné du centre ville donc pas dérangé par les klaxons mais au cas où vous ne le sauriez pas je vous informe que tous les centre villes du monde sont bruyants et pollués et à Mada le pire est Tana où il n'y a pas de tuk-tuk.
Quand vous avez créé votre post, vous auriez dû préciser que vous n'acceptiez que les réponses allant dans votre sens.
@Crusaders
D'accord dans l'ensemble mais avec une population très peu motorisée la seule solution serait d'avoir des transports en commun convenables. Et le pire est peut-être à venir avec les taxis-motos pour le moment limités à Tana mais qui pourraient envahir le pays. Et là se pose en plus un problème d'hygiène avec le casque client qui passe de tête en tête.

-@Atsinanana

Pourquoi tant d'animosité ? D'agressivité envers moi ?

J'ai dit que je connaissais pas Tamatave, mais vu comme vous en parlez, il me semblait qu'il y avait peu de tuk-tuk,mais il y en a beaucoup, j'en déduit donc que les conducteurs de Tamatave sont bien éduqués au code de la route et aux civilités routières. Vous m'en voyez ravi .

Ici c'est un véritable fléau.

On a aussi les taxis motos. mais ici pas de casques, sorties des écoles, pas rare de voir trois ou quatre gamins sur une moto, biensûr vu les embouteillages crées par les tuk-tuk, ces motos doublent par la droite.

Je n'ai pas crée ce post pour qu'on aille dans mon sens, par contre, vous, vous pensez détenir la vérité.

Vous avez aussi un problème : l'agressivité. c'est pas la première fois que je le vois dans vos posts

Ceci dit derrière un écran on a peur de rien

Keep cool

Il ne s'agit pas d'animosité, simplement de remettre les choses à leur place fac à des affirmations mensongères.

Je n'ai jamais dit que les conducteurs de tuk-tuk étaient parfaits, je dis que les vélos-pousse sont bien pires !

Merci pour vos critiques, elles sont injustifiées et sans preuves contrairement aux miennes.

Ceci est mon dernier post sur ce sujet, je ne discuterai pas plus avec une personne qui se sert d'affirmations mensongères pour rallier les gens à sa cause. je vous cite :

"les Malgaches eux même se plaignent du nombre, de la conduite de ces engins et la nuisance sonore"

"Je ne connais pas Tamatave, mais à vos dires on comprend aisément il y a peu de tuk-tuk."

Prouvez ce que vous dites.

Obtus,

C'est ça, vous êtes un esprit obtus.

C'est très gentil à vous de ne plus vouloir discuter avec moi.

Il vous en remercie.

Bonjour à tous,

Je vous remercie pour vos messages.

Mais je pense que nous nous écartons du sujet cette discussion...

Pouvons-nous éviter de faire des commentaires personnels/inutiles svp?

Merci et bon weekend

Yoginee

Équipe expat.com

Bien bien Yoginee,

Je vais poser ma question différemment pour éviter de choquer personne ni de me faire traiter de menteur :

Dans la région SAVA : Vohémar-Sambava-Antalaha (Andapa je sais pas), les Bajaj sont un véritable fléau, dû à leur nombre et  la conduite des gens derrière le guidon.

Même les Malgaches s'en plaignent, oui, même les Malgaches !

Je parle évidemment vu de l'extérieur quand on conduit soi même son véhicule.

Pas quand on se promène dedans!

La palme pour moi revient à Sambava.

Chez vous dans votre ville, comment ça se passe ?

Pour celui qui apprécie d'aller au resto ou à l'épicerie en marchant, ou tout simplement de flâner, c'est sûr que les bajaj sont un fléau : bruit des moteurs, fumées d'échappement, coups de klaxon que la présence d'un vazaha pédestre ne manque jamais de susciter. Les pousses ont pour eux l'absence de pollution et le silence relatif (car leurs conducteurs sollicitent encore plus le vazaha pédestre que leurs collègues motorisés).

@filomene552

J'ai l'impression qu'à Sambava les gens ont l'air ravis de pouvoir utiliser le bajaj quand ils en ont besoin.

Les bajajs emmènent les enfants à l'école, permettent à certaines personnes d'aller faire leur courses plus facilement etc ...

Ceci dit, j'ai eu du mal la première fois de ma vie à prendre le service à Fénérive d' un vélo-pousse. Cela me paraissait inhumain, proche de l'esclavagisme.

A Madras, en Inde où j'ai travaillé plusieurs mois, un tuk-tuk me conduisait depuis l'hôtel jusqu'au bâtiment de la société où je travaillais. Tous faisaient de grands détours pour augmenter le prix de la course, donc je me munissais d'une revue (TheEconomist) pour frapper gentillement sur la tête du chauffeur, afin de corriger l'itinéraire. Anecdotalement, mon contrat de travail prévoyait mensuellement 3 semaines sur place et 10 jours de congé, vols payés, J'en ai profité pour découvrir Madagascar dont je suis devenu amoureux à tout jamais.

Une fois débarqué du tuk-tuk et arrivé au building récemment construit, il me fallait 45 minutes d'attente dans la file aux portes de l'ascenseur, puis 15 autres minutes pour trouver un bureau "partagé". En quittant le bâtiment, je me suis aperçu que les enfants de mes collègues indiens cassaient les cailloux et autres détrituts de la construction de cet immeuble pour arrondir leur "fin de jour". Innommable vision qui se rencontre aussi à Mada.

Quelques jours plus tard, j'avais l'accord de ma société pour travailler dans la salle de billard de l'hôtel avec nos clients saoudiens ravis pour le coup. Notre équipe avait été déplacée en Inde depuis Riyadh suite à des attentats terroristes (très rares) en Arabie Saoudite. Autant vous dire que mes collègues étaient plus qu'heureux d'échanger leurs djellaba et tasse de thé contre un short et un verre de bière.

Plus que le comportement incivique et ignorant du code de la route des conducteurs de tuc-tuc, je pense, que ce soit à Mada ou en Inde, le problème de la circulation citadine résulte de la surpopulation. Une solution tramway, malgré l'étroitesse des voies tananariviennes, me paraît bénéfique. Solution à priori moins coûteuse que le téléphérique.

@jpmadalu

Que préférer: le tuk-tuk indo-malgache ou la trottinette électrique sur les trottoirs occidentaux ?

À MADAGASCAR, point de place pour les trottinettes électriques.

Les trottoirs étant "squattés" par les vendeurs ambulants, les piétons sont, de fait, rejetés sur la chaussée ce qui ajoute au "bazar" ambiant.

Et ce sous le regard complaisant - complice - de la maréchaussée.

@jpmadalu

A Madras, en Inde où j'ai travaillé plusieurs mois, un tuk-tuk me conduisait depuis l'hôtel jusqu'au bâtiment de la société où je travaillais. Tous faisaient de grands détours pour augmenter le prix de la course, donc je me munissais d'une revue (TheEconomist) pour frapper gentillement sur la tête du chauffeur, afin de corriger l'itinéraire.

Ne serait-ce pas plutôt Spirou ?

@jpmadalu

Plus que le comportement incivique et ignorant du code de la route des conducteurs de tuc-tuc, je pense, que ce soit à Mada ou en Inde, le problème de la circulation citadine résulte de la surpopulation. La solution tramway, malgré l'étroitesse des voies tananariviennes, me paraît bénéfique. Solution à priori moins coûteuse que le téléphérique.

Ne vous inquiétez pas, le Président de la République a déjà prévu - promis - les deux !!!!!

@filomene552
J'ai l'impression qu'à Sambava les gens ont l'air ravis de pouvoir utiliser le bajaj quand ils en ont besoin.

Les bajajs emmènent les enfants à l'école, permettent à certaines personnes d'aller faire leur courses plus facilement etc ...
-@DenisMada

Je me répète : je parle pas de prendre le Bajaj : je parle de leur nombre et de la conduite irresponsable de leur "conducteur"

Bien sûr que les Bajaj rendent des services, c'est leur boulot !!!

Avez-vous déjà conduit à Sambava ?

Si oui et que vous trouvez rien à redire, vous êtes l'exception qui confirme la règle.

@jpmadalu
A Madras, en Inde où j'ai travaillé plusieurs mois, un tuk-tuk me conduisait depuis l'hôtel jusqu'au bâtiment de la société où je travaillais. Tous faisaient de grands détours pour augmenter le prix de la course, donc je me munissais d'une revue (TheEconomist) pour frapper gentillement sur la tête du chauffeur, afin de corriger l'itinéraire.

Ne serait-ce pas plutôt Spirou ?
-@Crusaders

Je vous sens un peu "taquin"

Non ?

La ville de Sambava est réputée pour la production de vanille et bien d'autres produits de rente. Cependant, elle se développe depuis ces dernières années de manière anarchique, pour ne citer que l'envahissement de Bajaj.

Un article de 2019 de MIDI-MADASIKARA titré : un développement anarchique de la ville

A titre d'illustration, cette petite ville est submergée par des milliers de Bajaj ou « Tuk-Tuk ». Il a été révélé par l'Agence de Transport Terrestre (suite à une descente effectuée sur place il y a deux mois de cela) que plus de la moitié des conducteurs de ces engins tricycles ne disposent pas de licence d'exploitation. Ils n'ont pas non plus de notion de code de la route, faute de permis de conduire. Cela provoque des embouteillages monstres dans la ville. De nombreux conducteurs de Bajaj bloquent la route toute entière quand il y a un petit obstacle alors que la route n'est qu'à double voie. D'autres font une manœuvre en pleine circulation. Petit à petit, cet envahissement de Bajaj à Sambava entraînera une disparition des taxis et des bus en ville si l'Etat ne prend pas de mesure drastique. Ce n'est pas tout ! Ils travaillent en dehors de leur zone d'exploitation, soit dans la zone suburbaine, et ce, au détriment des autres transporteurs légaux.

En conclusion, les transports de bus Cotisse, il est vrai pas interurbains, ne sont pas si mal que çà.

Pas de Spirou en Inde, malgré beaucoup d'indiens prénommés en français comme Christian, Bruno, Crusaders (est-ce français hihi ?)

Bon je vais transformer mon pseudo : MahometLeProfêteMalagasy.

@jpmadalu
A Madras, en Inde où j'ai travaillé plusieurs mois, un tuk-tuk me conduisait depuis l'hôtel jusqu'au bâtiment de la société où je travaillais. Tous faisaient de grands détours pour augmenter le prix de la course, donc je me munissais d'une revue (TheEconomist) pour frapper gentillement sur la tête du chauffeur, afin de corriger l'itinéraire.

Ne serait-ce pas plutôt Spirou ?
-@Crusaders

Je vous sens un peu "taquin"
Non ?
-@filomene552

Croyez-vous ?

Un petit peu, je vous le confesse.

Après plusieurs jours de pause expat je lis cette discussion, et j'y ajouté mon grain de sel.

Concernant Sambava j'y ai un peu séjourné il y a 5 ans et j'avais été frappé par le nombre de Bajaj, comme ils étaient nommés sur de vastes panneaux publicitaires. Manifestement il y en avait déjà pléthore et ça n'a pas dû s'améliorer.

A Tamatave où je circule parfois à moto les cyclopousses sont plus dangereux, l'un m'a d'ailleurs fait chuter après avoir déboité sans avertissement. Pour être équitable et concernant la dangerosité j'ai failli emboutir un tuk-tuk qui qui avait effectué un demi-tour sans prévenir également.

Je pense, en ce qui concerne Tamatave, que pour un conducteur de véhicule motorisé, les pousse, limités en vitesse et en puissance, sont plus dangereux que les tuk-tuk.

L'utilisateur que je suis emprunte parfois le pousse, et régulièrement, 3 fois par semaine, le tuk-tuk pour se rendre à Salazamay, aller et retour vers 19 heures, pour les après-midi pétanque /belote ou tarot. Moyen de locomotion pratique et bon marché, avec souvent des échanges sympathiques et sans aucune appréhension.

Il est impératif d'avoir toujours la monnaie pour éviter des discussions qui pourraient être gênantes.

Pour résumer je dirai qu'à Tamatave ces moyens de locomotion sont très pratiques et peu chers. Et je réalise très bien que dans les embouteillages les pousse principalement sont une gêne pour les automobilistes.

Veloma.

Bonsoir,

Je suis tout à fait d'accord sur la pollution sonore des Tuk tuk. A Tamatave c'était infernal pendant le COVID, pendant les deux ans de fermeture des frontières car pas de touristes, donc des klaxons à tout va dès que les chauffeurs apercevaient de loin des clients potentiels, ils s'accrochaient.

Justement, des tuk tuk men m'expliquaient qu'ils devaient absolument survivre, donc ils ne vous lâchaient plus. Ils étaient plus nombreux que d'habitude à cette époque là, en train de guetter devant la sortie de Shoprite, Ils quémandaient des courses, ils ne négociaient plus les prix comme avant le covid.."Le client est Roi", eh oui la roue tourne..

C'était assez spécial, parce qu'on n'entendait pas beaucoup de bruits en ville, pas beaucoup de monde qui circulait, ni voitures, ni les gens dans la rue, sur la plage n'en parlons pas (les gargottes n'avaient pas le droit d'ouvrir leurs parasols)..donc pratiquement pas de vie à l'extérieur avant l'ouverture des frontières.

Ce qui fait qu'on entendait énormément les klaxons des tuk tuk qui faisaient écho dans le vide sonore..C'était plus qu' infernal.

Par contre, je ne nie pas le côté pratique des tuk tuk pour faire les grandes courses surtout sous la pluie.

En ce qui concerne les cyclo pousse, ils font partie du décor de Tamatave. Toamasina sans pousse n'est plus Toamasina qui n'aura plus son côté typique qui lui appartient avec ses pousses de divers coloris et qui font son charme depuis toujours.

Bonne nuit

Annie

@Annie_D

Bonsoir,
Je suis tout à fait d'accord sur la pollution sonore des Tuk tuk. A Tamatave c'était infernal pendant le COVID, pendant les deux ans de fermeture des frontières car pas de touristes, donc des klaxons à tout va dès que les chauffeurs apercevaient de loin des clients potentiels, ils s'accrochaient.
Justement, des tuk tuk men m'expliquaient qu'ils devaient absolument survivre, donc ils ne vous lâchaient plus. Ils étaient plus nombreux que d'habitude à cette époque là, en train de guetter devant la sortie de Shoprite, Ils quémandaient des courses, ils ne négociaient plus les prix comme avant le covid.."Le client est Roi", eh oui la roue tourne..
C'était assez spécial, parce qu'on n'entendait pas beaucoup de bruits en ville, pas beaucoup de monde qui circulait, ni voitures, ni les gens dans la rue, sur la plage n'en parlons pas (les gargottes n'avaient pas le droit d'ouvrir leurs parasols)..donc pratiquement pas de vie à l'extérieur avant l'ouverture des frontières.
Ce qui fait qu'on entendait énormément les klaxons des tuk tuk qui faisaient écho dans le vide sonore..C'était plus qu' infernal.
Par contre, je ne nie pas le côté pratique des tuk tuk pour faire les grandes courses surtout sous la pluie.
En ce qui concerne les cyclo pousse, ils font partie du décor de Tamatave. Toamasina sans pousse n'est plus Toamasina qui n'aura plus son côté typique qui lui appartient avec ses pousses de divers coloris et qui font son charme depuis toujours.

Bonne nuit

Annie

Les pousse-pousse - avec leur charme un pau "suranné" - oui.

Les cyclo-pousse beaucoup moins quand même.

@Crusaders

Vous avez raison, c'est ce à quoi je pensais. Ces pousse pousse d'avant, d'une époque révolue..les temps changent.

Ceci dit, les cyclo-pousse restent des pousses quand même. Et ici au moins les gens n'auront pas mal au cœur de monter dessus.

Pendant ce temps, les cyclo-pousses (à assistance électrique, certes) font leur apparition dans les grandes villes de France.