L'éducation au Canada

Bonjour,

J'aimerais avoir plus d'informations sur l'éducation au Canada.

Tout d'abord, l'éducation est rigide et il y a beaucoup de la hiérarchie comme nous voyons ici?
L'éducation est publique? Ou privé?
L'éducation est multilingue? Ou bilingue (Français et Anglais)?
Il y a d'école avec d'autres langues, portugais, allemand, italien?

Merci pour votre aide.

Augusto

Déjà, l'éducation est une compétence provinciale, donc, on ne parle pas de l'éducation au Canada, mais au Québec ou en Ontario ou au Nouveau-Brunswick. Le système est différent dans chaque province.

Bonjour @emma1608

Merci pour votre réponse. J'aimerais en savoir plus sur l'éducation au Québec.

Je vous remercie d'avance.

Bonjour Augusto_01,

L'éducation au Québec est soit publique ou privée et relève du ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur. Les écoles privées sont subventionnées par l'État à raison de 60 % et plus selon la formation,  par élève. Le système scolaire québécois s'étale du pré-scolaire (maternelle dès l'âge de cinq ans), de l'élémentaire (six ans), du secondaire (cinq ans), dont les établissements sont gérés par des commissions scolaires linguistiques - francophones et anglophones.  Suit l'enseignement collégial, communément appelé CEGEP, pour collèges d'enseignement général et professionnel (deux ou trois ans). Ces quatre niveaux bénéficient de la gratuité (sans compter les frais inhérents).
Suit la formation universitaire de trois cycles, baccalauréat, maîtrise et doctorat. Le réseau universitaire du Québec dessert toutes les régions administratives de la province. Les universités de Montréal (UdeM), Laval (à Québec), et Sherbrooke dispensent l'enseignement universitaire en français, alors que McGill et Concordia à Montréal, Bishop's à Lennoxville en Estrie, dispensent leur enseignement en anglais. À certaines de ces universités, sont rattachées de grandes écoles - HEC-Montréal, ETS-UQAM, Gestion-UQAM, ÉNAP-UQAM, etc. C'est au Québec que la formation universitaire est la moins onéreuse au pays, puisque les coûts de l'enseignement supérieur ont été gelés pendant presque trente ans pour permettre à plus de gens possible de fréquenter l'université. Espérant ces informations vous éclairer.

Merci pour votre réponse.

Mais J'aimerais savoir aussi si l'éducation est rigide et s'il y a beaucoup de la hiérarchie comme nous voyons ici?

Je vous remercie d'avance.

Augusto_01
De la hiérarchie, dites-vous : que voulez-vous dire ? Hiérarchie entre qui et qui ? Quand vous dites ici, est-ce au Brésil ou en France ? En tant qu'enseignant au niveau collégial, comme je l'ai mentionné précédemment, mon poste relève du ministère québécois de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, et le corpus enseigné respecte un plan cadre pour l'ensemble des CÉGEP de la province, édicté par le ministère. Dans chacun des établissements de ce niveau, la direction est assistée de directeurs-adjoints, responsables des différents départements et chaque département compte sur un coordonnateur/trice, qui fait le lien entre le département et la direction adjointe. Par contre, chaque professeur titulaire est tenu de respecter le plan cadre ministériel dans son enseignement. Les rapports maître-élève ne sont pas des rapports de force comme en France, pour ce que je connais, ayant des amis français enseignants. De la hiérarchie, bien sûr qu'il y en a, comme partout ailleurs. Même dans les écoles alternatives, il y a de la hiérarchie. À quoi vous attendez-vous ?

L'éducation est multilingue? Ou bilingue (Français et Anglais)? Vous serez obliger de scolariser vos enfants en milieu francophone en raison de la loi 101. Vous n'aurez pas le droit d'envoyer vos enfants à l'école anglaise au Québec.
Il y a d'école avec d'autres langues, portugais, allemand, italien?
Il existe des écoles dites internationales, mais il est difficile d'y entrer; la majorité des enfants sont pris à l'âge de 5 ans. Toutes les autres années, ils organisent un concours pour prendre que quelques élèves pour d'autres niveaux. C'est ainsi qu'ils vont décider du sort de votre enfant dès le plus jeune âge. Pour entrer dans ce type d'école, votre enfant doit correspondre à leurs critères. Dans le privé, je pense que c'est pareil. Les autres enfants vont à l'école public de leur quartier (bref, pas le choix ou peu de choix!) avec tous les inconvénients qui vont avec. L'enseignement de l'anglais sera plus approfondi qu'en France, c'est certain!
Il peut aussi exister des écoles communautaires (je passais toujours devant l'école arménienne quand j'étais à Montréal).
J'ai toujours dénoncé le manque de liberté scolaire au Québec qui vous oblige parfois à faire des concessions inacceptables (enfin pour moi). Je suis partie pour l'Ontario en partie pour cette raison (vivre la liberté!).

Emma 1068

''J'ai toujours dénoncé le manque de liberté scolaire au Québec qui vous oblige parfois à faire des concessions inacceptables (enfin pour moi). Je suis partie pour l'Ontario en partie pour cette raison (vivre la liberté!).''

Il semble que vous n'ayez pas vraiment compris pourquoi il en est ainsi au Québec et ailleurs dans le monde, que de toute évidence, vous vous en foutez, puisque vous n'êtes intéressée que par votre petite personne, presque toujours à décrier le Québec à chaque post sur ce forum ! ***

Aussi, vous êtes intellectuellement malhonnête en prétendant que l'Ontario offre plus de choix en matière d'éducation des enfants. Dans cette province, pour y avoir habité, la majorité des enfants doit fréquenter l'école anglaise, n'est-ce pas. Les francophones peuvent fréquenter les écoles séparées confessionnelles. Cette minorité y a la vie dure, comme dans les autres provinces unilingues du pays. Pour ce qui est de l'Ontario, le système scolaire se décline ainsi :
L'enseignement est donné en anglais ou en
français.
Tous les enfants de 6 à 16 ans doivent fréquenter
l'école.
L'école publique est gratuite jusqu'à la fin
du secondaire.
Des frais de scolarité sont exigés au niveau
post-secondaire.
Afin d'entrer à l'université, l'étudiant doit détenir
un diplôme d'études secondaires.
Chaque université a ses propres critères d'admission
et il n'y a pas d'examen standard d'admission.
En Ontario la plupart des universités et des collèges offrent leur enseignent en anglais, mais seuls le campus Glendon  de l'université York à Toronto (que j'ai fréquenté), l'Université d'Ottawa  et l'Université Laurentienne  à Sudbury offrent un enseignement en français. Vous pouvez étudier en français au Collège Boréal  avec ses campus dans plusieurs villes ontariennes ou à La Cité Collégiale  à Ottawa.

Comme il est évident que c'est l'anglais qui vous intéresse, apprenez-le, instruisez vos enfants dans cette langue et dans une génération, ils auront oublié leur langue maternelle, à cause de l'attrait de cette langue en Amérique du Nord.

Vous êtes toujours certaine qu'il y a plus de choix en Ontario qu'au Québec ? Un anglophone au Québec ou un nouvel arrivant dont c'est la langue ou dans le cas où un des parents a étudié dans cette langue, peut fréquenter l'école anglaise de la maternelle jusqu'au doctorat et vivre toute sa vie ici, sans jamais avoir à s'exprimer dans la langue de la majorité - le français - , ce qui lui est un affront de la part d'un immigrant et qui est inacceptable dans n'importe quel pays du monde. Pour parodier Prévert, Emma1068 qui êtes en Ontario, restez-y !

Si vous avez LA VERITE sur le Québec, alors ce n'est pas sur ce forum qu'il faut venir. Le forum concurrent vous ira à merveille.
Déjà, Je critique seulement deux facettes du Québec ; le système de santé et le système éducatif primaire et secondaire, pas celui du CEGEP ou de l'université où je suis moi-même passée (enfin l'université).
Si vous me connaissez si bien, vous avez qu'à lire mes posts et hormis dans ces deux domaines, je ne critique pas le Québec plus qu'un autre. Ca s'appelle la liberté de parole et il est vrai qu'un bien intégré comme vous, ça ne vous convient pas, alors ne lisez pas mes posts.
Non, en Ontario, l'école est obligatoire jusqu'à 18 ans. Il existe un système francophone public et catholique + système anglo public et catho. En France, il existe les écoles privées sous contrat si l'école publique locale ne vous convient pas. Au Québec, vous n'avez qu'une école publique de quartier... Les écoles privées sont sélectives... alors question choix (primaire et secondaire), vous pouvez repasser. Les nouveaux-arrivants doivent bien savoir qu'ils n'auront pas le choix d'instruire leurs enfants en anglais au Québec ou totalement bilingue, sauf éventuellement dans une école internationale super sélective. C'est à l'auteur de la discussion que je réponds et non à vous.

A Ottawa, au moins, vous avez plusieurs choix en tant que francophone et l'école à la maison si ça vous chante, sans ennuis.
Parlons du droit des parents également : au Québec (primaire et secondaire), vous n'avez presque pas le droit à la parole. En Ontario, vous avez des médiations et vous pouvez aller jusqu'au tribunal scolaire (dans les cas extrêmes).
Nous avons vécu l'enfer à l'école québécoise alors ne venez pas nous faire la leçon.
Quant à dire que pour entrer à l'université en Ontario, les gens doivent détenir un diplôme secondaire... oui, mais j'en connais qui y entrent en ayant fait leur scolarité à la maison.
Quant à la liberté scolaire au Québec, j'ai le droit de m'exprimer dessus et si ça ne vous plaît pas, encore une fois, fichez le camp, il n'y a rien à voir!

''Au Québec, vous n'avez qu'une école publique de quartier... Les écoles privées sont sélectives... alors question choix (primaire et secondaire), vous pouvez repasser. Les nouveaux-arrivants doivent bien savoir qu'ils n'auront pas le choix d'instruire leurs enfants en anglais au Québec ou totalement bilingue, sauf éventuellement dans une école internationale super sélective. C'est à l'auteur de la discussion que je réponds et non à vous.''

Tout comme vous, c'est à Augusto_01 que j'ai répondu et vous vous êtes immiscée dans la discussion, c'est votre droit. Le sujet étant la hiérarchisation du système scolaire québécois et son désir de savoir si l'école d'ici était aussi rigide qu'en France (ou au Brésil, sans avoir précisé le pays dont il est question).

Le français est la langue officielle du Québec, dois-je vous le rappeler. Pourquoi les nouveaux arrivants dont l'anglais n'est pas la langue, viendraient-ils ici instruire leurs enfants en anglais ? Il existe huit autres provinces et trois territoires pour ce faire au pays. D'ailleurs, l'anglais comme langue seconde est enseigné dès le primaire au Québec, n'est-ce pas. Selon la Presse Canadienne et basé sur les données du recensement de 2016, ''la maîtrise des deux langues officielles a progressé dans la plupart des provinces et territoires, mais l'augmentation est surtout attribuable au Québec. C'est la province qui reste en définitive la locomotive du bilinguisme au pays. On y trouvait ainsi un peu plus de 3,6 millions de personnes bilingues en 2016. Il s'agit d'une augmentation de 8,8 %, soit près de 300 000 personnes, par rapport à 2011(...) Le Québec affiche par ailleurs l'augmentation la plus marquée au pays en ce qui a trait au poids démographique de la population de langue maternelle anglaise (7,7 % de la population). En fait, tandis que ce poids chutait dans toutes les provinces au pays pendant la période visée par l'enquête, il enregistrait une croissance dans la province.'' Toujours selon les données du recensement de 2016, le Québec, a vu son portrait démographique évoluer ces dernières années avec l'apport de l'immigration, enregistrant une hausse de 12 pour cent du nombre de personnes ayant déclaré l'une des 140 langues maternelles immigrantes qui figurent parmi les statistiques du recensement (de 1 003 390 à 1 124 025 personnes). Les cinq langues étrangères les plus parlées dans la région métropolitaine de Montréal sont l'arabe (18 %), l'espagnol (12,9 %), l'italien (10,9 %), les langues créoles (6,5 %) et le mandarin (4,2 %). L'arabe est aussi la langue la plus parlée dans la région d'Ottawa-Gatineau (18,6 %). (Source : Statistiques Canada, Recensement 2016)

Quant à l'enseignement privé au Québec, la Fédération des établissements d'enseignement privés (FEEP) regroupe 193 établissements répartis sur l'ensemble du territoire québécois. Ces établissements dispensent des services à plus de 113 000 élèves de l'éducation préscolaire et de l'enseignement primaire et secondaire, soit environ 10% des élèves du Québec.  Sachez que ce ne sont pas que des surdoués qui peuvent fréquenter ces établissements, puisqu'il suffit d'avoir les moyens pour y envoyer ses enfants. Vous n'êtes pas sans savoir que certains de ces établissements dispensant un enseignement en anglais, sont des passerelles vers l'école publique anglaise; il suffit d'un passage de quelques semestres et le tour est joué pour y accéder et poursuivre sa scolarité jusqu'au doctorat en anglais. Aussi, il est possible pour un enfant d'étudier à la maison, en autant que cet enseignement respecte les programmes du ministère québécois de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, comme il se doit, tout comme en Ontario.

Vous avez choisi de vivre en Ontario, grand bien vous fasse, puisque selon vos dires, vous avez vécu l'enfer au Québec. Moi, je vis dans cette province et m'y plais et informe ceux/celles qui désirent s'y expatrier au meilleure de mes connaissances. Vous n'avez pas à m'interdire de vous lire, même si vous profitez de cette tribune pour déverser votre fiel sur le Québec. Vos écrits, dès qu'ils sont publiés sur ce forum, sont du domaine publique, n'est-ce pas. :cheers:

Ce ne sont pas mes fiels sur le Québec, c'est simplement qu'il faut vraiment se renseigner sur le système scolaire primaire et secondaire qui est loin d'être un système satisfaisant (la fac n'en fait pas partie). Si la personne veut envoyer ses enfants dans l'enseignement privé, il faut s'y prendre un an à l'avance et elle doit être au courant. Nous avons vécu l'enfer à l'école, pas dans d'autres domaines (sauf la médecine). Vous n'allez pas me dire comment les parents québécois souffrent d'un système scolaire assez dictatorial et que ceux qui décident de scolariser leurs enfants à la maison ne vivent pas le martyr. J'en fais partie de ces associations (j'habite à 5 bornes du Québec) et je vois bien comment mes collègues québécois souffrent (un peu moins depuis la nouvelle loi) de l'arbitraire des commissions scolaires. Non, la liberté scolaire n'est pas garantie au Québec, loin de là. Vous ne connaissez pas ce domaine-là, moi si!
Je conseille à la personne de taper les mots clés sur Google comme "décrochage scolaire", "garçons à l'école québécoise", "ritalin au Québec" et elle se fera une idée. Sinon, si vous voulez parler culinaire ou resto, c'est vrai que le Québec est bien supérieur à l'Ontario. Je continuerai à dire ce que je pense, que ça vous plaise ou non!

Pour votre information, je sais de quoi je parle, question éducation, car je fais partie du système, comme prof de littérature au collégial. À vous lire, on voit bien que vous êtes une personne intempestive et hargneuse, qui fait flèche de tout bois pour invectiver tout un chacun sur ce forum. Les informations que j'ai données à l'initiateur de la discussion sont justes et documentées. Contentez-vous d'informer sur votre Ontario chéri, quand il en est question, au lieu de partir en épouvante sur des sujets qui ne vous concernent pas.  Pour moi, la discussion est close. Sans rancune, Emma**** ! :cheers:

Ah bon, c'est nouveau ça! Ca fait de nombreuses années que je suis sur ce forum et j'ai plutôt la réputation de donner de bons coups de main. Vous êtes au collégial, mais pas à l'école primaire et secondaire. Que je sache, je n'ai jamais parlé du CEGEP ni de l'uni. Vos infos sont documentées sur le Québec, mais vous ne saviez pas que l'école était obligatoire jusqu'à 18 ans en Ontario alors que vous y avez vécu.  Vous, c'est le discours officiel... Ca va aider la personne, oui et non. La grande majorité des immigrants qui débarquent au Québec croient pouvoir élever leurs enfants dans l'enseignement bilingue. C'est possible au jardin d'enfants, mais après à l'école, c'est le couperet. Il faut être prévenu. Il faut aussi être prévenu que l'école n'est pas organisée de la même manière qu'en France, que les parents n'ont pas le dernier mot en ce qui concerne le placement des enfants ayant par exemple des troubles d'apprentissage, que l'école joue un rôle dictatorial si on sort de leur moule (pour les gamins, c'est encore pire), que les syndicats d'enseignants sont tout puissants (si vous voulez lire quelques blogs de profs hommes hargneux soit-disant du primaire, je peux vous donner quelques adresses). Je voulais aussi signaler qu'il faut bien choisir son quartier à Montréal par exemple, parce que vous allez dépendre d'une école de quartier. Si elle est bien, tant mieux, sinon, c'est assez difficile d'en sortir à moins de déménager avec toutes les contraintes qui vont avec. Si le message est passé, alors c'est excellent. Il vaut mieux être vigilant. La Loi 101 obligeant, entre autres, les immigrants à scolariser leurs enfants en français doit être connue. Si on vient au Canada, c'est pour que nos enfants soient bilingues ou participent à des activités bilingues. Sinon, je n'ai pas de leçons à recevoir d'un prof!
***

:sleep

Bonjour à toutes et à tous,

Pourrions-nous nous calmer et éviter les attaques personnelles svp? Veuillez vous respecter, tout le monde peut participer et partager leur expérience. Merci
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@Augusto > n'hésitez pas à poster si vous avez d'autres questions.

Merci,
Christine

Bonjour,

D'abord je vous remercie  pour votre réponse.
Probablement je n'ai pas été clair dans mes questions.
Ici - en France - l'enseignement est trop rigide et ils travaillent beaucoup avec la frustration des enfants, l'école en France n'est pas un endroit agréable pour les enfant, et si vous ne vivez pas dans un bon quartier (des quartiers riche), les écoles sont terribles dans le contenu transmis aux étudiants et avec beaucoup d'intimidation entre les étudiants. Le sentiment des enfants ici est celui d'une école où il n'y a pas de dialogue entre élève - enseignant (trop militaire). Example: si l'élève va mal en classe, l'institution le rabaisse plutôt que de l'aider à améliorer ses notes I son apprentissage.

Et la question est liée à exactement cela...

Est-ce que l'école au Québec travaille pour frustrer vos enfants?

L'établissement d'enseignement a-t-il tendance à repousser ceux qui ne réussissent pas bien à l'école ou est-ce le contraire qui les aide à s'améliorer?

Honnêtement, quelle est la différence entre les écoles des quartiers riches et des quartiers «pauvres»?

Comment est le contact entre les enseignants et les étudiants?

Comment est le contact entre les étudiants? trop de harcèlement?

Je vous remercie d'avance.

Bonne Journée,

Augusto