Déprime de femme d'expat

hi,
vous avez des enfants?
elle a une autorisation de travail?
prendre des cours de qq chose?

elle peut s'inscrire a des Meet Up; choisir un groupe qui a ses interets.

j'avais une amie qui etait pareil; elle etait deprimee, regrettait sa vie en France.
elle est rentree en France pour plusieurs semaines et a son retour, elle avait repris du 'poil de la bete' comprenant la chance qu'elle avait de vivre cette experience.
elle s'est inscrite a des cours, a fait du benevolat dans un shelter pour animaux, fait des meet up, aider des enfants pour les devoirs en francais d'une amie.
et elle etait bien plus happy (ils sont rentres en France depuis mais ne pense qu'a revenir lol)

Oui nous avons des enfants, qui eux sont parfaitement integrés.
Oui elle est autorisé à travailler.
En fait elle est partie en France 15j, et à son retour, cela a été la grosse deprime.
Je pense que ce qui lui manque le plus c'est un tissu social.

Je n'attent qu'une chose c'est qu'elle se rende compte de la chance de cette experience et des innombrables opportunités qu'elle peut saisir.
En fait il faudrait qu'elle rencontre une personne qui est passée par ce stade et qui la comprenne et qui l'aide à surmonter cette étape.

Merci pour le tuyau sur les meet up, je vais creuser.

vous avez la chance d'avoir des enfants = cela permet de connaitre plus facilement des gens (les parents des copains); je suis sur que certains seront ravis de faire plus connaissance, d'organiser des soirees entre mamans par ex.
elle a aussi la chance de pouvoir travailler, ca aide a rencontrer du monde aussi.

le tissu social ne sera jamais le meme ici.
et malheureusement c'est a l'expat de faire l'effort de s'integrer.

courage

Merci pour votre soutien.

Bonjour,
J'ai eu l'occasion de participer à un évènement de networking entre femmes francophones (sur New York, je ne sais pas si vous êtes là bas ?)
ça s'appelle SHE for S.H.E, si ça peut vous aider vous pouvez jeter un coup d'oeil!

Perso, j'ai connu des moments comme cela.( surtout au début)
Alors pour m'occuper l'esprit je me suis mis un challenge qui pour les gens qui me connaissent , ont trouvé cela absurde.🤪( même si ils ne me le disent pas, je le lis dans leurs regards et leurs sourires amusés au coin de leurs lèves)
Je suis partie sur une idée préconçue que nous tous,  expats , nous avons : aux US , tout est possible !
Je suis consciente que ce que j'essaie de faire ici serait quasi impossible en France pour moi.
J'avance petit à petit . L'année dernière, j'ai mis en place des bases et j'ai essayé mon idée avec beaucoup de satisfaction. Cette année, je pense concrétiser en profondeur ,et je serais fixée sur la réussite de mon challenge l'année prochaine.
En attendant , je suis super positive et j'ai une tonne de chose à faire , donc plus déprimée 😉

Lake

Merci Claire, nous sommes en Virginie.

Je vais regarder SHE sur internet. Merci pour le tuyau.

C'est une bonne méthode Lake.
Mais elle n'est pas encore au stade de pouvoir se faire une liste de challenge à faire.
J'ai plutot impression qu'il faut qu'elle se persuade que le pente ascendeante est devant elle..
Mais merci Lake pour ce témoignage.

si elle est vraiment mal, il ne faut pas hesiter a consulter un therapeute ou un coach.
il ne faudrait qu'elle s'enfonce dans une 'vraie' depression.

sur NYC y a (avait?) un coach francais qui faisait des sessions par skype aussi.
il organise (organisait?) des reunions aussi (j'y etais alle 1 fois et c'etait tres interessant).
je vois si je retrouve son nom (c'etait y a longtemps)

c'est lui
http://www.monlifecoach.com/nsc.html

Super, merci beaucoup.
Je vais le contacter immediatement.

Bonjour,
Je ne sais pas quoi vous conseiller d'autre que ce qui a déjà été mentionné mais je souhaite à votre femme que ce mauvais moment passe vite, et qu'elle retrouve rapidement goût à l'expatriation !
Bonne continuation.

Merci c'est gentil.

"Je n'attent qu'une chose c'est qu'elle se rende compte de la chance de cette experience et des innombrables opportunités qu'elle peut saisir."

Bonjour,

Je rebondis sur cette phrase. Etait-ce sa volonté de venir ? La votre ? Une volonté partagée ? Il est assez rare que les 2 aient le même niveau de motivation, l'un des deux est plus "suiveur". "La chance de cette expérience et les opportunités", c'est votre avis, peut être pas le sien. En plus, la phrase est presque culpabilisante.

Certains conjoints en venant ici, perdent un job, un statut, un réseau.... s'ils viennent un peu à reculons, il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils sautent de joie une fois ici. Se refaire sa vie ici prend du temps et il faut être motivé.

A par consulter (car si c'est une dépression, les forums ne pourront rien pour elle), mon 1er conseil serait de vous approcher des réseaux français sur place "alliances françaises, chambre de commerce, meetup comme le dit Stevenmika". Au moins elle pourra communiquer avec des gens de sa langue et de sa culture et ne pas s'isoler. Ensuite, se faire un réseau de relation Américaines, ça prend du temps et c'est vrai que les enfants, ça aide aussi. Une autre piste, si vous êtes croyants, aller à l'église, c'est plus un lieu social qu'en France, et les américains sont plutôt pratiquants (y'aurait bcp à dire là dessus mais ça reste une piste pour faire des connaissance).

Souhaitez lui bon courage, on est tous passé par là à un moment ou un autre.

idem... la phrase "Je n'attent qu'une chose c'est qu'elle se rende compte de la chance de cette experience et des innombrables opportunités qu'elle peut saisir me gene un peu.
A moins qu'a la base ce soit votre reve a tous les 2...
Mais si elle t'a suivi, alors dis-toi qu'il se peut meme qu'elle ne s'en rende jamais compte. Car c'est ton point de vue. On ne peut pas forcer l'autre a cela. Quand on vit ce dont on a reve, on voit plein d'opportunites. Mais quand on suit, on voit plus clairement les points negatifs.
J'espere de tout coeur que ca lui passera. Mais c'est a toi d'etre la pour elle (ce que tu as l'air de faire) et ensuite c'est a elle et juste a elle de trouver la volonte de s'en sortir, si toutefois elle le veut vraiment.
J'ai vu pas de couples se separer ici aux USA, a cause d'un desir d'expatriation non partage.
Courage!

Bonjour,
Pas facile mais faut relativiser.. c est une chance inouie de profiter de cette experience! J ai vécu 2 ans aux USA et mon plus grand regret est d etre rentrée..  et maintenant pour repartir Bein c est chaud... 😭😭😭😭 courage

Merci à tous pour votre soutien.
Nous allons suivre vos conseils avisés.
Et surtout profiter du moment présent.

J'ai eu le cas dans ma 1e année ici. On devait rentrer en France au bout de 6 mois, j'ai refusé d'y aller, justement parce que j'avais peur du retour.
Je suis allée voir un médecin, y a pas de honte, je suis allée faire une séance de psy qui m'a fait un bien inouï, et après ça les choses ont commencé à évoluer.
On est finalement rentré quelques mois plus tard, j'y suis allée en trainant les pieds, sauf qu'au retour j'avais un projet. Mes enfants étant mon meilleur atout à l'intégration et comme je n'avais pas le droit de bosser, je me suis rendue volontaire pour des tonnes de trucs à l'école. A chaque fois qu'un événement se préparait, j'étais dispo. J'ai été Room Parent, etc...

Bref, perso je pense que les retours au pays font plus de mal que de bien. 15 jours super  géniaux pour 4 mois de dépression... non merci! Ca fait un peu selfsih mais il faut apprendre à penser à soit avant de penser aux autres. Quant aux autres en France, ils ne se rendent juste pas compte à quel point les "vivement qu'on se voit", "quand est-ce que tu rentres?",  "et sinon tu fais quoi de tes journées?" sont destructeurs.


Il faut qu'elle se trouve un truc à faire, un truc à elle. Ca peut être des études qu'elle a toujours voulu faire, de la couture, de la photo,...

"Bref, perso je pense que les retours au pays font plus de mal que de bien."

100% d'accord. 11 ans que je retourne en France tous les ans et à chaque fois les mêmes interrogations : ai-je fait le bon choix ? Je vois vieillir mes parents (+ de 85 ans) et j'ai des sourdes angoisses. Sans le dire clairement, certains jugent. Et puis quand je rentre à la maison, au bout de 2 jours, quand je vois ma vie, la vie de mes enfants, les doutes partent. Ca reste un sacré yoyo psychologique. En 11 ans d'expatriation, j'ai perdu 2 proches et là, ça fait très mal. C'est aussi ça l'expatriation.

Si on se remémore pourquoi on est venu et qu'on est toujours en phase avec ça, on passe ces moments. Si on a des doutes (perso les tueries dans les écoles me donnent régulièrement envie du billet retour), c'est plus diffcile.

Courage.

Merci pour ce temoignage, c'est reconfortant de voir que nous ne sommes pas seul avec ces doutes. Même si nous avons tous un passé different, l'expatriation c'est quand même un grand défi et surtout pas un projet à prendre à la légère.

Objectif USA a écrit:

"Bref, perso je pense que les retours au pays font plus de mal que de bien."

100% d'accord. 11 ans que je retourne en France tous les ans et à chaque fois les mêmes interrogations : ai-je fait le bon choix ? Je vois vieillir mes parents (+ de 85 ans) et j'ai des sourdes angoisses. Sans le dire clairement, certains jugent. Et puis quand je rentre à la maison, au bout de 2 jours, quand je vois ma vie, la vie de mes enfants, les doutes partent. Ca reste un sacré yoyo psychologique. En 11 ans d'expatriation, j'ai perdu 2 proches et là, ça fait très mal. C'est aussi ça l'expatriation.

Si on se remémore pourquoi on est venu et qu'on est toujours en phase avec ça, on passe ces moments. Si on a des doutes (perso les tueries dans les écoles me donnent régulièrement envie du billet retour), c'est plus diffcile.

Courage.

Je me retrouve ou nous, ma femme et moi, nous nous retrouvons très bien dans ce que tu dis.

En fait, ça va de l'idéalisation d'un système basé sur cette notion de freedom et de responsabilité individuelle qui va durer quelques années, à un réveil progressif qui va nous montrer la réalité de la société Américaine qui n'est en fait qu'une énorme oligarchie qui a su détourner à son profit les textes fondateurs, reposant sur cette fameuse freedom et responsabilité individuelle.   

Pour justement être capable de surmonter ce réveil, deux choix s'offrent.
- Le premier c'est de savoir profiter des "opportunités" qu'offrent la société Américaine qui sont pour nos enfants une chance de faire des etudes qu'ils n'auraient certainement jamais fait s'ils étaient restés en France et pour nous les adultes, d'avoir accès à une carrière professionnelle hors du commun surtout si nous étions restés en France. 
- Le second, tout laisser tomber et rentrer car n'étant pas capable de "couper le cordon" et de ce fait  d'arriver à se construire une existence sur de nouvelle base ou alors, tout laisser tomber parce que les opportunités ne sont tout simplement pas là...

Ce que je veux dire c'est qu'en tant qu'expat' Français, pour rester aux USA il s'agit d'un phénomène de compensation c'est à dire y trouver ce qu'en France on aurait très certainement pas trouvé, ce qui va justifier les sacrifices liés à l'éloignement. 
A noter aussi que cet "éloignement" peut être relativement assez facilement comblé si on a la chance d'avoir un bon boulot car si on a un bon boulot, c'est aussi que l'on gagne bien sa vie donc on est pas à un billet d'avion prêt...

@pescaraplace: We're on the same page.

C'est vrai que j'ai la chance de pas mal gagner ma vie et que le boulot me ramène 2 à 3 fois / an en France donc je peux compenser.

J'ai ma boite ici et j'adore ce que je fais. Quand je compare avec mes amis entrepreneurs en France.... je sens que suis un privilégié.

Mes enfants étant venus tôt ici (5, 8, 11), ils ont plus américains que Français. En plus, c'est notre 2ème expatriation et la 1ere avait été très difficile pour eux (je ne m'étendrais pas sur le sujet), ici, ils ont eu l'impression de revivre dès les premiers mois.

Mais au début, pour revenir au post d'origine, on ne voit pas forcément tout ça. C'est le temps qui donne du recul.

Il faut prévoir de rentrer souvent en France, genre deux fois par an. Si possible, inviter la famille et les amis à venir en vacances. Si elle ne travaille pas, il y a des billets d'avion super pas cher (voir Scott's cheap flights par exemple) mais il faut être prêt à partir n'importe quand.
Acheter à manger des produits français, s'abonner à des choses comme la miam-miam box, et se faire envoyer des paquets depuis la France.
Trouver d'autres français, ou même des québécois (ils sont toujours de bonne humeur) soit par les meet-up, cercles de français, ambassade, facebook.
Et surtout s'occuper. Trouver une occupation, payée ou pas (souvent pas payée parce que les époux n'ont pas le droit de travailler).
Bon courage.

Cela fait 22 ans que je suis a NY et maintenant 1 an dans le CT , mon mari est américain . Il y a des clubs pour les newcomers dans certaines villes . Il faut chercher aussi les groupes internationaux ( souvent organises par les églises meme si on n'est pas pratiquant ) . J'ai organise des international coffee group dans les villes ou j'ai habite . Le bouche a oreille fonctionne bien mais il faut se lancer . Ne pas la pousser de trop . Il suffit d'un bon contact pour tout déclencher .  J'ai commence a donner des cours prives par accident ( je grondais mes enfants a la banque ! ) puis l'école m'a contactée pour faire des remplacements de dernière minute pour leurs cours du soir . Il faut qu'elle trouve une activité ( sport / hobbies ... qui lui plaise et qu'elle s'inscrive a un cours . ) beaucoup d'écoles offrent des cours Adult ed , c'est un bon moyen de rencontrer des gens . Je trouve les groupes internationaux plus intéressants que les groupes uniquement français . Beaucoup de mes amis expats ont fini par rester mais l'adaptation prend du temps . Oui beaucoup de choses sont très différentes ici . Il y a aussi beaucoup de groupes interessants a la bibliothèque . Vous êtes dans quel coin de Virginie ?

Pescaraplace a écrit:

Objectif USA a écrit:

"Bref, perso je pense que les retours au pays font plus de mal que de bien."

100% d'accord. 11 ans que je retourne en France tous les ans et à chaque fois les mêmes interrogations : ai-je fait le bon choix ? Je vois vieillir mes parents (+ de 85 ans) et j'ai des sourdes angoisses. Sans le dire clairement, certains jugent. Et puis quand je rentre à la maison, au bout de 2 jours, quand je vois ma vie, la vie de mes enfants, les doutes partent. Ca reste un sacré yoyo psychologique. En 11 ans d'expatriation, j'ai perdu 2 proches et là, ça fait très mal. C'est aussi ça l'expatriation.

Si on se remémore pourquoi on est venu et qu'on est toujours en phase avec ça, on passe ces moments. Si on a des doutes (perso les tueries dans les écoles me donnent régulièrement envie du billet retour), c'est plus diffcile.

Courage.

Je me retrouve ou nous, ma femme et moi, nous nous retrouvons très bien dans ce que tu dis.

En fait, ça va de l'idéalisation d'un système basé sur cette notion de freedom et de responsabilité individuelle qui va durer quelques années, à un réveil progressif qui va nous montrer la réalité de la société Américaine qui n'est en fait qu'une énorme oligarchie qui a su détourner à son profit les textes fondateurs, reposant sur cette fameuse freedom et responsabilité individuelle.   

Pour justement être capable de surmonter ce réveil, deux choix s'offrent.
- Le premier c'est de savoir profiter des "opportunités" qu'offrent la société Américaine qui sont pour nos enfants une chance de faire des etudes qu'ils n'auraient certainement jamais fait s'ils étaient restés en France et pour nous les adultes, d'avoir accès à une carrière professionnelle hors du commun surtout si nous étions restés en France. 
- Le second, tout laisser tomber et rentrer car n'étant pas capable de "couper le cordon" et de ce fait  d'arriver à se construire une existence sur de nouvelle base ou alors, tout laisser tomber parce que les opportunités ne sont tout simplement pas là...

Ce que je veux dire c'est qu'en tant qu'expat' Français, pour rester aux USA il s'agit d'un phénomène de compensation c'est à dire y trouver ce qu'en France on aurait très certainement pas trouvé, ce qui va justifier les sacrifices liés à l'éloignement. 
A noter aussi que cet "éloignement" peut être relativement assez facilement comblé si on a la chance d'avoir un bon boulot car si on a un bon boulot, c'est aussi que l'on gagne bien sa vie donc on est pas à un billet d'avion prêt...

Et plus de grosses grèves surtout quand les gens ne sont pas d'accord.

Essayer une psy francaise basee aux US. Cela peut beaucoup aider de parler a quelqu'un qui est une vraie psychologue, dans la langue maternelle mais qui a aussi vecue une experience similaire. je peux vous conseiller quelqu'un qui vit sur la cote ouest, mais avec skype, c'est easy...

Yves

Bonjour.
Je suis arrivée en Juillet 2017. Je me suis mariée à Cambridge ( MA), et suis dans l'attente de réponse quant à ma demande de Green Card. Je ne peux donc quitter les USA, et je dois dire que chaque jour est un nouvel espoir et une nouvelle déception.... Je n'ai qu'une envie c'est de rentrer en France ( famille, amis, langue, cuisine, culture...), et de pouvoir ensuite circuler librement entre nos 2 pays. C'est mon choix d'être venue ici, et ( pour le moment), je ne le regrette pas, mais j'ai parfois aussi des moments d'abattement, de culpabilité, ( et ce n'est pas à cause de ma famille et de mes amis car ils me soutiennent tous dans mon projet). Quant aux membres de ma famille américaine, ils sont adorables.
Et pourtant la France, ses grèves, ses grincheux, et surtout son art de vivre me manque tellement parfois.
Dans ces moments, je fais de longues marches, et je me suis créee une routine: je vais à la bibliothèque pour écrire 3ou 4 après- midi par semaine.
Si la situation n'avance pas, je vais tenter le bénévolat prochainement.
Je fais aussi venir mes enfants régulièrement, tous les 2 mois à peu près.
Sachez que vous n'êtes pas seuls, perdre ses repètes n'est pas facile, en trouver d'autres non plus, même quand c'est par choix que nous sommes là.

bonjour , nous sommes ma femme et moi depuis 2 ans en virginie a Richmond mais nous avons fait ce changement radical, étant retraités de France, pour nous rapprocher de notre fille qui a fait sa vie ici, et nous avons 2 petits enfants, cela rend l'expatriation plus facile.
ce que je peux vous conseiller est de vous rapprocher de français vivant dans le coin car il y en a beaucoup en Virginie. Dites moi ou vous êtes si vous êtes proche de Richmond on peut se rencontrer et par ce fait tisser des liens pur aider votre épouse dans cette expatriation.
nous avons fait en 2 ans pas mal d'amis expatriés depuis plus longtemps que nous et cela nous aide pas mal, notamment a échanger en français.
voilà si le coeur vous en dit, n'hésitez a me contacter par mail .
je vous souhaite de bonnes journées car la Virginie est un super Etat.
a bientôt
amicalement

Bonjour,

Dans quelle région de Virginie habitez-vous ? Nous sommes installés dans la région de Roanoke -Blacksburg depuis novembre 2017. Nous avons deux enfants de 7 et 14 ans. S'il y a des possibilités de se rencontrer avec votre épouse, c'est avec plaisir.

Bonjour,
J'arrive un peu tard, mais je suis nouvelle sur le site. Où habitez-vous en Virginie ? Nous sommes installés depuis novembre 2017 dans la région de Roanoke - Blacksburg. Nous avons deux enfants de 7 et 14 ans. S'il y a des possibilités de pouvoir se rencontrer avec votre épouse, c'est avec  plaisir. L'expatriation est une grande expérience jalonnée de doutes parfois. Nous en connaissons tous.
Bon courage.

Bonjour,

Merci pour votre proposition, je vais vous répondre par MP.

Je fais partie d'une assoc appelee Washington Accueil (WAA) qui regroupe enormement de personnes tres sympas, francophones, et qui habitent DC, Le Maryland et la Virginie.
Nous organisons des rencontres, des cafes et des sorties de tout genre (sport, culture etc).
Nous organisons (le 20/09) un cafe de la rentree, qui est notre 1er evenement de l'annee, a DC. Votre femme est la bienvenue!

Je vous mets un lien vers le site - https://www.washingtonaccueil.org/
Elle se sentira tout de suite plus integree  ;-)
Yasmine

Merci beaucoup pour cette information.

J'ai vécu la même expérience avec mon ami qui a quitté les US pour venir s'installer avec moi en France. L'hiver breton (long, froid et humide) a eu raison de lui et il est tombé dans la déprime. J'ai pris rendez-vous pour lui avec une psy américaine car il préfère s'exprimer en anglais. Elle l'a aidé à relativiser. Peut-être qu'un ou une psy parlant français serait un soutien précieux pour votre femme, même si elle a tout l'amour et le soutien de son foyer il lui faut certainement une aide extérieure pour qu'elle puisse relativiser et aller de l'avant.
Bon courage à vous deux.