C'est quoi l'hépatite B?

Pour moi et ma fille... pas non plus de vaccin contre l'hépatite"B"... trop d'inconnues concernant ses effets à long terme...
C'est un choix que mon pédiatre a accepté...

madagaston a écrit:

En posant cette question, je voulais dire simplement que les vaccins quels qu'ils soient, ont du bon ... mais aussi du mauvais.
Voir ci-dessous:
http://vaccination-info.be/questions-re … -dangereux
Pour ma part, comme il y a controverse en ce qui concerne certains vaccins, j'ai toujours eu comme devise: "dans le doute abstiens-toi" (sauf naturellement en cas de nécessité ou de danger bien spécifique).
Mais chacun est libre de mener sa vie à sa guise et même la mettre en danger si l'envie lui prend. En tout cas pour ma part, ayant travaillé pendant plus de trente ans dans une usine chimique du type Seveso2 seuil haut, je sais que les produits chimiques sont non seulement très dangereux mais en plus ils sont à certaines doses mortelles. 
C'est comme pour les champignons, il y a d'excellents comestibles comme par exemple Tricholoma equestre qu'on appelle également bidaou dans la région du sud ouest de la France (Il est appelé Tricholome équestre parce que les chevaliers le consommaient alors que les bouviers devaient se contenter du bolet des bouviers). C'est une espèce qui était très consommée dans cette région mais il y a eu une douzaine d'intoxications et plusieurs morts. J'ai moi-même consommé ce champignon plusieurs fois avant qu'il soit classé dans la catégorie des champignons toxiques.  Apparemment quand on dépasse une certaine dose en consommant ce champignon il y a des risques pour la santé. Il en est de même pour un autre champignon que j'ai présenté à de maintes expositions mycologiques et un jour un visiteur m'a dit qu'il consommait régulièrement ce champignon étiqueté comme toxique voire mortel, il m'a traité de menteur. J'ai eu beau lui expliquer que les substances présentes dans ce champignons s'accumulaient dans le corps qui était incapable de les éliminer et quand on a atteint la dose, c'est trop tard.
Je pense non sans raisons que pour les médicaments "chimiques"le problème est le même et qu'à une certaine dose le corps amoindri ses propriétés de défenses naturelles ce qui a mon avis n'est pas bon du tout pour la santé.
Mais chacun peut avoir son opinion à ce sujet et si je suis dans ma "septantième" année, je ne m'estime pas mécontent car je considère que le reste des années à venir ne sera que du bonus... et depuis une bonne dizaine d'années, j'ai renoncé à me faire vacciner inutilement et je ne m'en porte pas plus mal. Mais ne perdons pas de vue que la vie finit toujours mal... avec ou sans vaccin d'hépatite B

Je ne citerai qu'un chiffre, taux de prévalence de l'Hépatite B à MADAGASCAR, 23,00 %.

Les principales voies de transmission de l'infection par le VHB sont les suivantes:

De la mère à l'enfant au moment de l'accouchement (transmission périnatale);
Je ne renaîtrai plus donc inutile de me faire vacciner

Entre enfants;
Je ne suis plus un enfant donc je ne l'attraperai plus

Lors d'injections et transfusions à risque;
Je ne suis pas héroïnomane donc pas de problème de ce côté là non plus

Lors de contacts sexuels non protégés.
Notre couple est très fidèle donc inutile de se protéger.

Le virus de l'hépatite B ne se transmet pas lors de l'échange d'ustensiles, l'allaitement maternel, les étreintes et les baisers ou encore en tenant la main de quelqu'un, en toussant, en éternuant ou en se baignant dans une piscine.
Et oula, je pense qu'on a fait le tour de la question.

madagaston a écrit:

Les principales voies de transmission de l'infection par le VHB sont les suivantes:

De la mère à l'enfant au moment de l'accouchement (transmission périnatale);
Je ne renaîtrai plus donc inutile de me faire vacciner

Entre enfants;
Je ne suis plus un enfant donc je ne l'attraperai plus

Lors d'injections et transfusions à risque;
Je ne suis pas héroïnomane donc pas de problème de ce côté là non plus

Lors de contacts sexuels non protégés.
Notre couple est très fidèle donc inutile de se protéger.

Le virus de l'hépatite B ne se transmet pas lors de l'échange d'ustensiles, l'allaitement maternel, les étreintes et les baisers ou encore en tenant la main de quelqu'un, en toussant, en éternuant ou en se baignant dans une piscine.
Et oula, je pense qu'on a fait le tour de la question.

En l'occurrence, et je vous prie de m'en excuser, ce n'est pas tant l'exposé de votre situation personnelle qui me semble pertinente mais bien l'ampleur de la pandémie à l'échelle du pays - MADAGASCAR -.

Il est un fait indéniable qu'à Madagascar les règles élémentaires d'hygiènes n'ont pas été inculquées dès le plus jeune âge et c'est pour cette raison que des tas de maladies continuent à se répandre telle des traînées...
(de poudre qu'avez-vous imaginés?).
En fait, des maladies peuvent se propager avec des "mollards": ainsi,en France il existe bien une loi qui interdit de cracher dans les lieux publics : en l'occurrence, un décret pris par le gouvernement Vichy le 22 mars 1942. Modifié en 1992, il est toujours en vigueur. On apprend ainsi, dans l'alinéa 8 de l'article 74 de ce décret, qu'il est « interdit à toute personne de cracher ailleurs que dans des crachoirs disposés à cet effet ». Les crachoirs ne faisant plus partie du mobilier urbain, la justice a déjà eu à statuer sur ce type de délit. Ainsi, en 2006, un lycéen de 16 ans a été condamné à 135 € pour avoir craché par terre à un abri de bus dans le IXe arrondissement de Paris. Deux ans plus tard, en 2008, un jeune majeur a été condamné en première instance à cinq mois de prison avec sursis pour avoir craché lors d'une manifestation lycéenne à Paris. Le « mollard » avait alors malencontreusement atterri sur un policier.
  Lu dans "Le Parisien".
A Madagascar on peu voir ce genre de scène tous les jours, même de belles jeunes femmes qui crachent par terre.