Propose investissement pour projet viable

Je suis Patrick Pillule originaire de la France. Je recherche des contacts sur le Gabon avec qui je pourrai nourrir des idées d'investissement pour des projets fiables et viables. Je suis un courtier en immobilier.
Je suis ouvert à toute discussion
Merci

Bonjour Patrick,

Bienvenue sur https://www.expat.com:)

En attendant les retours des membres, je vous invite à lire la discussion suivante : Idées à succès au Gabon, elle vous sera peut-être utile.

Bonne chance,
Bhavna

Je reste ouvert

Et dans quel domaine tu veux investir ?

Il y a des manques aux Gabon, pour schématiser et caricaturer, tu prends la france dans les années 70 et tu as le Gabon.

Bonjour Cynan
Je suis du domaine de l'immobilier mais je souhaite investir dans l'agroalimentaire mais n'étant pas sur le terrain je m'ouvre à toute proposition viable avec des personnes qui maîtriseront non seulement le sujet de même que le terrain. Je reste surpris par ta comparaison du Gabon à la France des années 70, c'est vraiment le cas??

bien comme je l'ai dit j'ai caricaturer, mais il y a des problèmes évidents au Gabon.
Je connais le Gabon depuis 2009, j'y suis aller plusieurs fois, j'ai même passé des entretiens pour y bosser.
Tu peux très bien vivre et travailler au Gabon, pour "partir à l'aventure", c'est un très beau pays, et les gabonais sont très accueillants.

Pour gagner de l'argent, je pense que tu devrais faire une étude de marché, tu n'as cas rechercher les offres d'emplois en Afrique et tu verras que le Gabon est très mal placé.
Si tu regardes les investissements ou le niveau de vie, c est un peu la même chose. La Gabon est un pays riche, mais avec une population pauvre, donc pas facile de vendre tes produits.

Après si tu veux vraiment investir au Gabon, oui tu peux par exemple mettre de l'argent dans le transport. Partir au Cameroun acheter des aliments et les vendre sur Libreville.

Bonjour Patripil,

Votre demande est un peu surprenante pour un investisseur potentiel.
Tout d'abord, pourquoi le Gabon?
Comme disent les économistes,quel effet d'anticipation vous a-t-il instinctivement orienté ici?
L'investissement "dans l'immobilier" (sic) est en général effectué par des promoteurs en recherche de terrains aux fins de financer des constructions (habitations,locaux commerciaux et/ou industriels, etc...) destinées à la vente ou la location.
Le fruit de ces derniers doit amortir et rentabiliser le capital immobilisé.

Une telle mise en oeuvre s'inscrit obligatoirement dans le circuit administratif existant, lui même animé par des intervenants incontournables...
C'est dire qu'une parfaite connaissance de la subtilité des rouages locaux est indispensable pour mener à bien les opérations envisagées.

A ce stade, il faut prendre en considération les statistiques officielles relatives à la corruption sur le continent africain en général, à charge pour vous de les extrapoler éventuellement vers les réalités gabonaises, si tant faire se peut ou se doit.

Une telle maîtrise du "système" vous évitera, je vous le souhaite sincèrement par avance - d'avoir à soumettre à la justice un litige éventuel, quel qu'en soit l'origine: pénale, civile, commerciale ou prud'homale. Il ya un livre à écrire sur les mystères des Palais de Justice.

En bref, il faut pour le moins avoir ou trouver de solides appuis locaux.

Vos concurrents potentiels sont déjà en place depuis longtemps: libanais avant tout, mais aussi maliens, somaliens, sans exclure ceux des gabonais ayant su trouver les voies d'accès à l'Eldorado financier...

Cela dit,les "coups" sont parfaitement possibles, les terrains restant peu chers pour le moment. La tendance très claire du moment, dans les villes est de se rendre compte qu'on gagne plus à construire des immeubles à étages plutôt qu'une simple villa...

Le bail à construction fut longtemps une très bonne solution,mais la réglementation a évolué récemment.

Concernant la cueillette des légumes au Cameroun pour une revente dans la capitale, je vous conseille de laisser cette "manne" aux autochtones!

Cordialement, and good luck!

J. Boaz

Quelle analyse, rien a dire de plus