Gérer le mal du pays au Japon

Bonjour à toutes et à tous,

Etre expatrié au Japon est une belle aventure… qui peut aussi s'accompagner de moments de nostalgie.

Quels sont vos conseils pour éviter d'avoir le mal du pays ?

Comment gérez-vous ce sentiment ?

Existe-t-il des endroits au Japon où retrouver des produits ou l'ambiance de votre pays d'origine ?

Partagez avec nous votre expérience.

Merci,

Christine

Pas vraiment senti car mon épouse est japonaise et mes beaux-parents m ont accepté bien que je ne parlais pas un mot de japonais. Neanmoins il m etait difficile à m habituer à la canicule et au " air con"
qu on trouve partout ici
En Europe il me suffisait d allumer le ventilateur . Je dois avouer que je ne me sens pas encore à l aise en été bien que je sois ici depuis plus de trente ans.
Je suis venu ici avec l intention d y rester toute ma vie , alors pas vraiment de nostalgie. Maintenant avec toutes les techno à notre disposition, Skype Line Facebook etc , les proches ne sont jamais loin.
J ai la chance de trouver de vrais gaufres et chocolats belges dans ma ville. Avant il fallait aller à Tokyo pour en trouver.
Comment faire pour gérer le mal du pays?
Penser à tous les bons aspects de la vie au Japon et comparer les avec ceux de votre pays natal . Bien qu il n y ait pas autant de vacances , des séismes fréquents , chaleur épouventable , humidité désagréable de juin à septembre , il fait bon de vivre ici . L ordre publique est excellent , les transports en commun sont toujours à l heure ( mais très chers comparés à l Europe) , les gens sont aimables surtout Si vous êtes caucasien,excellents soins médicaux bien que chers (pas  gratuits), jamais vu de mendiants, les gens sont honnêtes en général, jamais de grève, etc
Évidemment il y a sûrement de meilleurs pays pour s expatrier.
Il faut à tout prix parler le japonais . That's the first step !
Richard

Je n'ai ressenti un mal du pays ou une certaine nostalgie passagère qu'au cours de ma 3e année au Japon (rien avant, rien depuis), mais pour les faire passer, comme la personne qui a répondu avant moi, j'ai commencé à me concentrer sur toutes les belles choses qu'il y avait au Japon, les choses qu'on ne trouve qu'ici, qu'on ne peut faire qu'ici, qu'on ne peut manger qu'ici et à les apprécier en réalisant que je ne pourrais plus en profiter si je rentrais dans mon pays.
J'ai aussi cesser de comparer le Japon à mon pays où de penser aux choses de mon pays que je n'avais pas ici.
Ça s'est vite transformé en réflexe naturel.
J'ai l'occasion de pouvoir rentrer dans mon pays chaque année et j'en profite pleinement à ce moment-là mais une fois de retour au Japon je n'y pense plus.
Je pense également que maîtriser au maximum le Japonais et ne pas s'arrêter de l'apprendre en se pensant satisfait du niveau qu'on a atteint permet d'éviter les frustrations que peuvent provoquer les problèmes à communiquer avec les gens qui nous entourent, la difficulté à aborder certains sujet ou les malentendus.
Ne jamais s'imaginer avoir déjà tout compris à la culture et / ou la société japonaise mais continuer à être curieux me semble également un point important.

Salut tout le monde,

mon cas est tout à fait particulier: Je viens tout juste d'arriver au Japon et j'ai déjà le mal du pays. Pourtant , j'ai déjà travaillé dans plusieurs pays en Europe et Asie mais j'ai un blocage avec Tokyo au bout de 2 semaines! le rythme de vie est trop élevé durant la semaine et  Les gens sont trop distants donc dur de se faire des connaissances lorsqu'on vient de débarquer..

Bref,j'espère que ça va s'arranger

Sans doute tu te plaisais beaucoup dans le pays précédent..,, Si on ne parle pas la langue , ce sera difficile . As tu vraiment eu envie de venir ici? Avec quel but? Peu de Japonais peuvent se débrouiller en anglais.
Ils ont toujours l air d être ISOGASHI ....occupés. Beaucoup vivent pour travailler contrairement aux Européens, je crois.

franchement,j'ai jamais eu particulièrement envie de venir au Japon. Parcontre, je suis quelqu'un qui aime sortir de sa zone de confort et qui aime découvrir donc lorsque l'occasion s'est présenté pour venir ici (boulot) , je me suis dit "why not" .
J'ai commencé à apprendre le japonais car effectivement, j'ai remarqué que c'est presque vitale ici