Vos nouvelles habitudes en Uruguay

Bonjour à toutes et à tous,

Vivre en Uruguay, c'est s'imprégner de la culture et du mode de vie du pays.

Depuis que vous vivez en Uruguay, avez-vous adopté des habitudes locales ? Lesquelles ?

Quelles expressions locales réutilisez-vous ? Votre quotidien est-il organisé différemment ? Voyez-vous les choses d'une autre manière ?

Qu'est-ce qui vous séduit dans le mode de vie en Uruguay ? Qu'est-ce qui, au contraire, vous semble difficile à assimiler ?

Merci d'avance,

Christine

Bonjour Christine,
Pour ma part, comme je suis dans un campo, avec des bêtes, c'est donc eux qui dictent le mode de vie, pour la culture, je garde la mienne qui me conviens très bien, et qui est un ensemble de différentes choses de différents pays.
Surtout pas d'habitudes local, car on va à la catastrophe dans pas mal de domaines. De ne pas être à l'heure, de faire grève pour un oui ou pour un non, de ne pas respecter ses engagements etc.
L'expression que j'utilise le plus souvent, est fuera, qui s'adresse à mes animaux. Mon quotidien est rythmé par les bêtes.
La liberté de faire ce que je veux dans mon campo, par exemple, quand il me prend, le besoin, de tirer sur une bête nuisible, je le fais sans me poser de questions.
En Uruguay il serait vraiment difficile, de ne pas assimiler les choses.
Richard ;)

Je reviens sur les habitudes locales, et la mentalité Uruguayenne, je prends l'exemple de chez moi que je connais le mieux.
Il y avait une entreprise Norvégienne ASTRA, au port de la Paloma, elle employait plus de 3000 milles personnes, il y avait un bus tous les quinze minutes, et ça tourner en 3x8, donc la région été prospère, il ne faut plus la chercher, elle c'est installé au Chili, pourquoi vous allez me dire, et bien je vous donne la raison.
Tout d'abord les vols, spécialité en Uruguay, chaque bateau, qui revenait de pèche avait ordre de jeter son ravitaillement des membres d'équipages, à la mer, afin que la direction reface le plein, et par la suite c'été des embarcations qui allaient prendre le ravitaillement sur les bateaux de retour, et était revendu dans la population.
Ils faisaient des entailles dans leurs bottes et leurs cirés, pour en avoir des neufs, les syndicats menaçaient de grève à tout bout de champs pour des augmentations de salaire, eh bien du jour au lendemain, les norvégiens ont fermé la boutique, et sont partis sur le Chili.
Il y avait récemment, un embarcadère pour le bois, pour faire de la patte à papier, entreprise Danoise, et bien rebelotte vol de Fuel etc, la paresse des gars, et la menace des syndicats, la Société fermé en une journée, et installation à Montevideo, et quand vous été patron, c'est-à-dire, que vous avez des employés, c'est la même chose à échelle réduite.
Voilà le triste constat, il est évident que l'on ne donne jamais la réalité sur les forums, ce qui est fort dommage, pour éviter des déconvenues, à certains expats. :(