Bonjour,
En Centrafrique où il existe un contrôle technique annuel des véhicules, c'est l'un de mes techniciens qui avait pour mission de conduire mon Suzuki Samouraï en version épave à ce contrôle. Avec ses quatre pneus ultra lisses qui entraînaient deux ou trois crevaisons mensuelles.
Je suppose que l'obtention du précieux sésame se soldait un échange de bons procédés, le document administratif en échange de quelques petits billets.
Et si un contrôle technique devait voir le jour en Thaïlande, je suis certain que la corruption aurait les mêmes effets.