Bonne année !

Merci Julien,

Par ce message, je veux vous remercier pour votre carte de Bonne Année 2014. Ce geste d'amitié nous a profondément touchés.
A notre tour, nous voulons vous présenter nos meilleurs vœux. Que les douze prochains mois soient une île de paix pour vous et votre famille.

Amicalement.

Ivete et Yves Arthur
São Paulo-SP

Joyeux baisers d'amitié à vous mes chers amies et amis

On va essayer d'être encore en vie durant cette année 2014    donc d'avoir la santé et après le reste suivra     

Bonne année 2014 à tous ceux qui sont au Brésil, à tous ceux qui viendront nous rejoindre et à tous ceux qui l'envisagent

Feliz ano 2014, saude, paz e amor

Pas seulement la santé Chico mais aussi un peu de chance pour passer à travers les mailles des filets de la Violence (picks pockets,révoltés,petits bandits de toutes sortes,chauffards stupides,déréglés du plafonnier,la liste est longue et augmente chaque jour,tout cela est incontrôlable.La santé ,onn peut encore lŽadministrer.
JŽai envie de dire bonne chance }a tous pour 2014,tellement le système dans lequel nous fonctionnons est complexe et dangereux.

Vous n'avez encore rien vu, fin des jeux pour le Brésil en cette nouvelle année 2014 et les Brésiliens vont se réveiller avec une sacré gueule de bois dans les prochains mois (crise immobilière, financière, explosion du chômage, inflation, hausse des taxes, dévaluation du R$, hausse des taux des crédit, échec de la coupe du monde    etc...) pire que ce qui se passe en France, donc on ne peut que leur souhaiter qu'une Bonne année 2014 et pour nous expatriés cela ne nous changera rien car nous avons un avantage, c'est d'avoir pris de l'avance

Effectivement, les vœux à la fois les plus pertinents et les plus irréalistes qu'on puisse formuler à ceux qui vivent au Brésil ou qui y voyagent, c'est un peu plus de sécurité!

Je suis sidéré par ces négationnistes qui tiennent sur les forums de voyage des raisonnements absurdes du genre : "j'ai voyagé au Brésil pendant quinze jours, il ne m'est rien arrivé donc le pays est sûr" (à ce compte, je suis arrivé cette année à Recife, je suis sorti de l'aéroport et ai été braqué méchamment cinq minutes après, donc je pourrais assimiler Brésil et Somalie)

Pour le reste (les problèmes économiques)... attendre et voir sans optimisme. 

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Meilleus voeux pour 2014!
Plus particulièrement:
- Pour les expats : une année sans que vous et votre famille ait affaire à la violence.  Et comme ma femme me répète souvent: "si on t'attaque, jure-moi de ne jamais réagir". 'est triste mais c'est une des meilleures recommendations mais bon si vous vivez ici, vous le savez déjá.
- Pour les candidats à l'expatriation: quelques recommendations. comme beaucoup le repètent sur ce forum, le Brésil n'est pas un pays d'expatration de "passage" (2,3 ans et puis sŽen va). Cela néccéssite un investissement total (langue, culture, énergie, argent) pour avoir une chance de réussir. Si vous êtes jeunes étudiants et plein dŽambitions, l'Europe, les pays anglo-saxons et l'Asie sont surrement des destinations plus faciles (par mon expérience).
- Pour le Brésil et les Brésiliens: Une Coupe du Monde qui se passe dans le joie et la bonne humeur. Je doute pas que cet évènement sera l'occasion d'énormes manifestations.  J'espère juste que le pays ne sera pas paralysé, que les scènes de violence seront éparses et que la réponse des forces de l'ordre sera raisonable.  Après tant d'investissment, il serait bon d'éviter le cliché sea, sex, sun and guns. Le Brésil doit montrer qu'il peut assumer sa 7ième place au PIB.
- Pour le gouvernement français: que le gouvernement actuel arrète de prendre les expats français pour des gogos et/ou des évadés fiscaux et/ou des traîtres à la patrie! La France est un des seuls pays ou l'expatriation est considérée comme un mal alors que la plupart des pays voient cela comme un atout. Avoir des expatriés aux 4 coins du monde permet au pays d'origine de renforcer ces liens écomiques et culturels avec le pays d'accueil. C'est une vrai richesse, pas un fléau.

Pour le gouvernement français: que le gouvernement actuel arrête de prendre les expats français pour des gogos et/ou des évadés fiscaux et/ou des traîtres à la patrie!

Tout à fait d'accord mais il faudrait aussi que CERTAINS expatriés, par leur discours, ne prêtent pas le flan à ces accusations! Il faut voir certaines réflexions sur le forum Portugal, par exemple, où quelques forumeurs ne parlent QUE de l'hypothétique gain fiscal (heureusement, d'autres compensent)

C'est un caractère très français, aussi, de dénigrer la mère patrie, y compris et surtout devant les étrangers (qui comprennent mal cela). Pour la plupart des pays, c'est plus ou moins la devise "qu'il soit dans le vrai ou dans l'erreur, mon pays, c'est mon pays" et par exemple les Brésiliens qui sont les premiers à râler à juste titre contre la corruption, la violence, le manque d'infrastructures etc. n'aiment pas trop que des étrangers - sauf si ce sont des intimes - le fassent à leur place.

Le discours de CERTAINS expatriés (là encore je ne généralise pas) qui passent leur temps à ressasser à leurs proches, quand ils sont de retour au pays pour des vacances, à quel point eux ils sont dans le vrai et à quel point ceux qui ne partent pas sont des cons, n'est pas fait pour arranger les choses (quand on est heureux, on ne le chante pas sur tous les toits à qui ne demande rien... ça fait méthode Coué)

Bref des expatriés, par leurs excès, contribuent à créer une atmosphère délétère. Chacun a fait ses choix de vie, qu'il est difficile d'évaluer tant les circonstances sont différentes selon les individus. J'ai été expat des années durant, je suis rentré, j'envisage de repartir, je ne me considère pas comme un modèle et je me garderai bien de juger qui que ce soit, sur cet aspect de la vie de chacun (en foi de quoi je ne veux pas qu'on me juge

le Brésil n'est pas un pays d'expatriation de "passage" (2,3 ans et puis sŽen va).

Tout à fait d'accord. Sauf peut être pour qui part avec un contrat d'une entreprise étrangère au Brésil, qui n'investit pas sur place.

J'ajoute: Meilleurs vœux aux investisseurs au Brésil, car il faut un sacré courage et/ou une colossale dose d'optimisme en plus d'aptitudes à travailler très dur. Le Brésil du farniente est un paradis, le Brésil du travailleur est autrement rude!