Insécurité à ANTANANARIVO

Aux dires même des autorités, l'insécurité urbaine ne cesse de se développer à ANTANANARIVO.

Trois amis - semi-résidents, donc pas vraiment des "perdreaux de l'année" - en ont encore fait l'expérience ces derniers jours.

Le premier s'est fait voler son scooter stationné dans la cour de son immeuble, le second son téléphone portable SAMSUNG S4 à l'entrée d'un supermarché et le troisième son portefeuille en pleine rue.

Certains ne manqueront certainement pas de rétorquer "ce n'est  pas nouveau".

Certes, mais ce qui l'est assurément, c'est l'audace grandissante de cette délinquance et ses modes opératoires.

Les pickpockets de rue opèrent désormais en bande, à trois ou quatre, en commençant par vous suivre puis en vous "quadrillant" avant de vous dépouiller, à l'instar des méthodes employées sur les belles avenues et dans le métro parisien.

Parmi les nouveaux modes opératoires, l'intrusion dans des chambres d'hôtel de touristes.

On connaissait les "petits larcins" du fait, le plus souvent, des employés des hôtels eux-mêmes.

Il semble là-aussi que les cas d'intrusion dans des chambres d'hôtel, en plein jour, se multiplient.

Opérant soit avec la complicité des employés, soit en profitant de l'affluence, les "monte-en-l'air" ont ainsi tôt fait de visiter et de vider votre chambre.   

Allez, certains vont sans doute me traiter de "rabat-joie".

Je le répète pourtant, prudence, prudence, .....

bonjour crusaders,
tu peux répéter autant que tu veux que le pays s'est appauvri,que cela amène des comportement difficiles à prévoir et à supporter,il y aura toujours des aveugles qui auront tout vu.souvent ils ont sur place une "amoureuse"qui les a convaincu que tout va bien...rentrez rentrez petits poissons,tsy ampy feno ny vovo(la nasse n'est pas assez pleine!)